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cocufiage – Chapitre 1

cocufiage - Chapitre 1



Entre Karine et Alexis rien ne va plus. Ensemble depuis bien trop longtemps pour maintenir encore une sexualité satisfaisante et mariés depuis trop peu pour sen accommoder, il ne baisent plus. Alors quand lors dune sortie un peu trop arrosée, un quasi inconnu, improvisé sexologue dun soir, leur propose une thérapie de couple à domicile, ils sautent sur loccasion.

Des fantasmes jusque là inavoués se dévoilent peu et à mesure des questions et des confessions tombent. Qui eut cru que la belle Karine, se caressait en pensant a des hommes mûrs. Qui eut cru que cette jeune institutrice, si sévère avec ses élèves, simaginait soumise et obéissante.

Qui aurait pensé que sous son air de garçon propre sur soi, Alexis avait des envies de voyeurisme et quen cachette il fantasmait de voir sa belle embrochée sur la queue dun autre.

Ceci et leur histoire:

Avec toutes ces émotions Karine avait besoin de reprendre un peu ses esprits et partit se refaire une beauté à la salle de bain laissant les hommes seuls. A son retour elle aperçut quAlexis avait disparu. Son fauteuil était vide et sa cigarette désormais éteinte laissait encore échapper une légère fumée. Il navait pas vraiment terminé son verre de vin. Visiblement il était parti avec précipitation. Lhomme, lui, était assis au salon.

Cest moi qui lui ai demandé de partir. Mais ne ten fait pas. Il nest pas parti bien loin. Juste de lautre côté du mur, dit-il en pointant du doigt la chambre des jeunes mariés.

Pourquoi?

Javais, comment dire… peur que sa présence tincommode. D’ailleurs je suis sûr quen ce moment même il essaie de nous écouter, loreille collée au mur.

Mais? comment ça. Il va revenir.

Tu es bien naïve. Après la conversation de ce soir, ton mari ma donné la permission de mamuser avec toi.

Pardon?

De te baiser!

Mais cest pas vrai. Vous êtes malade, je veux que vous partiez dici. Alex!

Mais le chemin vers la porte lui fut interdit par le grand bedonnant qui dun geste sûr mais tendre la fit asseoir sur le canapé. Obnubilé par cette aura elle ne bougea même pas lorsquil la lâcha et s’assit à son tour en face dans le fauteuil.

Ne ten fait pas. Je ne ferai rien sans ton accord. Enfin votre accord à vous deux. Bien que la dessus ton cher et tendre ma laissé beaucoup de libertés, et même quelques instructions bien précises. A toi de voir si tu es capable de satisfaire ses fantasmes!

Quoi? De quoi parlez vous?

De ça. Il montra une caméra installée dans un coin de la pièce. Elle tournait. Son désir était que je filme tout ce qui va se passer.

Vous n’êtes quun tordu. Je veux que vous partiez.

Attend. Lit ça. Si je narrive pas à te convaincre peut être que lui le peut. Il lui tendit un bout de papier.

« Fait moi pousser des cornes» Alexis

Cétait bien sa signature.

— Tu vois, ta lopette de mari voudrait que je te baise. Tu ne veux pas le décevoir, nest ce pas?

Dans la tête de Karine les idées devenaient peu à peu plus claires. Toutes cette discussion. La révélation de fantasmes nouveaux. La conversation de se soir et la présence surprise de cet homme. Tout avait donc été préparé minutieusement à lavance. Il avait même trouvé une caméra sans quelle ne soit au courant.

«Ma lopette de mari» culpabilise tellement de ne pas me satisfaire quil est prêt un me laisser baiser avec un autre. Un vieux et grassouillet de surcroît.»

En un instant elle simaginait Alex loreille collée au mur en train dessayer d’entendre ce qui se dit. Si ça se trouve il a déjà sorti sa queue pour se caresser. Une terrible excitation monta dans son bas ventre.

Ce nétaient donc pas que des fantasmes!

Que dois-je faire? Demanda-t-elle enfin dune voix tremblante.

Danse pour moi. Dit-il dune voix autoritaire, virile.

Elle hésita. Puis doucement, elle commença se trémousser devant lui. Dabord maladroitement puis au fil des morceaux, se relâcha. Elle aimait danser et cela se voyait. Cétait son principal atout de séduction. Lhomme lui ne bougeait pas. Il restait là, à regarder Karine bouger son corps des manières les plus provocantes. Elle sentit un petit picotement dans son ventre et elle en était presque certaine, sa chatte devait désormais être trempée.

— Bien, tu veux voir ma bite. Une vraie, pas comme celle de ton mari.

Oui, jaimerai bien. La musique lavait mis en trans et Karine ne contrôlait visiblement plus ses réaction ni ses propos.

Alors approche et met toi à genoux.

Elle s’exécuta et vint se mettre par terre entre les jambes de lhomme. Alors il déboutonna son pantalon et sortit son sexe juste sous le nez de la candide jeune femme.

Sa bite était pas très longue mais épaisse. De près elle semblait impressionnante. Elle arrivait à peine à la contenir dans sa main. Cest aussi la première fois quelle voyant un sexe dhomme non circoncit. Limpression était bizarre. Il ne bandait pas (elle en était vexée vu le spectacle offert tout a lheure) et elle neut aucun mal à décalotter le sexe pour laisser place un gros gland violacé. Elle resta là à le contempler.

Et maintenant suce moi. Dit- il dune voix forte. Elle compris. Il voulait que tout le monde puisse entendre ce qui se passe.

Elle…elle est grosse dit-elle dune voix presque apeurée.

Elle te plait?

Oui, mais…

alors, tu va te décider à la sucer!

Mais comment allait-elle arriver à la mettre dans sa bouche.

— Jai pas entendu de réponse?

Oui. Elle répondit hésitante.

Avant même quelle neut le temps de dire autre chose, lhomme saisit Karine par les cheveux dune main lui tirant la tête en arrière et de lautre lui introduisit la queue dans la bouche. Leffet de surprise fut immédiat et fit monter en elle une terrible envie de vomir quelle arriva à peine à contenir. Seul quelques larmes qui perlaient sur ses yeux et une respiration bruyante par le nez trahissaient tout la difficulté quelle avait à gober ce sexe. Jamais avant elle navait avalé quelque chose daussi gros. Pourtant elle ne se débâtit pas

Tout était différent de ce quelle connaissait. Non seulement la taille mais aussi lodeur, le gout navait rien avoir. Bien plus forts, plus virils. Mais ce qui était différent avant tout cest toute la difficulté quelle éprouvait à faire bander cette bite. En général, les hommes bandaient avant même quelle ne les touche. Et là? Voilà quelle sactivait depuis plusieurs minutes alternant tout son savoir faire pour enfin sentir le membre gonfler peu à peu.

En bien jai cru que tu ny arriverai jamais. Je crois que cest la première fois quon me suce aussi mal.

Quoi? Alors quelle se donnait tout le mal du monde à faire bander ce vieux cochon il osait encore linsulter.

Karine lui envoya un regard des plus noirs. Si elle avait pu parler, elle laurait sans doute insulté mais le peu de fierté qui lui restait en ce moment fut bien rapidement anéanti par un brusque appui sur larrière de la tête qui lui enfonça littéralement la bite au fond de la gorge.

Suce mieux que ça je te dis. Salope!

hhmmmmm

test une salope nest ce pas. Il la regarda droit dans les yeux. Dis le!

… oui

Oui quoi?

Je… je suis une salope.

Taime bien quon tinsulte nest ce pas.

Oui. Et ce fut un oui sincère, elle était plus excitée que jamais.

Dis le encore.

Je suis Votre salope. Une … une putain…

Elle sappliqua. Durant de langues minutes. Elle faisait même bien mieux que sucer. Elle passa de long moments à lécher la grosse queue depuis la hampe jusquau gland prenant le plus grand soin de bien la nettoyer. Elle essaya également de mettre la queue le plus profond de sa gorge bien quà ce jeux là elle nétait pas la plus douée.

Ce réflexe vomitif fait chier!

Quest ce quelle aurait aimé la gober tout en entier, rien que pour lui montrer quelle suce bien. Quelle est douée. Goulûment, elle lécha ses grosses couilles complètement rasées (elle nen avait jamais vu avant mais le contact était des plus agréables). Elle était galvanisée par tout ce qui se passait et profitait dès quelle navait pas la bouche pleine de pousser quelques râles que son chéri ne se gênerai pas d’apprécier à sa juste valeur.

Mais ce qui lexcitait avant tout cétait tous les commentaires obscènes que le gros lançait à son égard. Il la traitait des tous les noms: salope, chienne, pétasse, trou à bite, tout y passait. Il lui faisait des remarques sur son physique, sur «ses gros nibards», «son gros cul», «son visage de pute». Il lui racontait des histoires sur toutes les filles «mieux quelle» quil avait baisé avant, sur toutes celles qui suçaient mieux, qui étaient plus belles ou mieux foutues.

Ce faire rabaisser ainsi était excitant. Simaginer Alexis de lautre côté du mur en train découter un vieux dégoûtant insulter SA femme pendant quelle lui léchait la bite lui faisait un effet terrible.

Tu les sent pousser tes cornes, mon amour?

Elle était tellement emportée dans son élan quelle sentit à peine quand le bedonnant lui tira la tête en arrière pour la décoller de sa queue et la jeta au milieu de la pièce.

Que dirait tu si maintenant cest moi qui moccupait de toi. Histoire que ton amoureux t’endente aussi gémir?

Oui baise moi! Elle navait décidément elle avait dépassé toutes ses limites. Jamais avant elle navait parlé comme ça.

Te baiser? Pas encore. Mais commence déjà pas enlever tes vêtements que je puisse admirer ton cul.

Elle sempressa de retirer sa robe dans des mouvements dénués de sensualité. Tout ce quelle voulait cest montrer son jeune corps à ce vieux pervers. En quelques instant elle se trouvait nue au milieu de la pièce. Fière! Fière de son corps pour la première fois depuis longtemps.

Met toi face à la caméra! Bien, maintenant écarte les jambes. Met les main derrière la tête.

Oui, monsieur. Elle avait bien compris quil voulait linspecter et comptait bien jouer le jeu de la femelle soumise.

Il se mit en face delle et pris le sein gauche dans sa main en le soupesant. Il joua ensuite avec son téton entre ses doigts afin de le faire dresser. Puis, le pinça légèrement. Karine ne dis rien. Elle avait toujours eu la poitrine sensible et des tétons très érectiles. Les pincer était à mi chemin entre le plaisir et la douleur. Lhomme fit la même chose avec le deuxième sein en pinçant cette fois ci plus fort.

Ai!

Tu as quelques chose à dire?

..non, monsieur. Elle baissa le regard.

Tu as de belles mamelles. Bien lourdes et fermes. Et tu aime quon les caresse nest ce pas?

Oui monsieur.

Alors demande le.

DEMANDE LE!

Le ton de voix venait de changer et était devenu bien plus autoritaire.

Sil vous plait monsieur, caressez mes seins.

Tes quoi? Je crois que je nai pas bien entendu?

Caressez mes .. mes grossesses mamelles. Sil vous plaît

Pendant de longues minutes il lui malaxa les seins avec ses grosses mains sans quelle nai le droit de quitter sa position de soumise. Il joua avec les tétons jusquà leur donner une taille bien plus que respectable. Désormais gorgés de sang ils avaient abandonné leur couleur rose habituelle pour une teinte bien plus foncée. Ca allait à merveille avec sa peau laiteuse.

Et ta chatte alors, voyons voir à quoi elle ressemble.

oui monsieur.

Tu ne te rase pas, hein?

non monsieur,

Pourquoi?

Je trouve ça fait plus femme.

Karine ne faisait en effet que le strict minimun: le maillot. Elle savait très bien que ce nétait pas la mode actuelle mais elle trouvait son minou bien plus beau comme ca. Alex ne sen était jamais plaint.

Jaime pas les poils. Sur ce il attrapa une grosse touffe dans sa main et tira dessus.

AUUCH! Vous faites mal.

Par réflexe elle attrapa la main de son bourreau pour quil relâche létreinte. Il nen fit rien. Elle se mit à gigoter dans tous les sens. Enfin il la lâcha mais avant quelle nai eu le temps de linsulter une claque sabattit sur son visage. Plus humiliante que douleureuse cette dernière eu pour effet de tétaniser Karine.

reprend ta position. Elle sexécuta.

Excusez moi monsieur, dit elle en reniflant du nez. Des larmes coulaient désormais sur ces joues, étalant son maquillage.

Jaime pas les poils mais pour cette fois ça ira.

oui monsieur, dit elle sans oser le regarder.

Maintenant montre moi ta chatte.

Elle se pencha en avant laissant sa généreuse poitrine pendre dans le vide. Sur ordre, elle écarta les fesses à laide de ses mains pour laisser une vision libre sur son minou et son anus. Une main ne tarda pas à caresser dabord les lèvres puis en les écartant, le clitoris. Enfin!

Un doigt se glissa lentement et sans difficulté dans sa fente.

Mais ma fois, tu es complètement trempée.

Je sais, se dit elle, je sens que ça coule. Cest toi qui me fait cet effet vieux dégouttant à mhumilier comme ça devant mon mari. A me caresser le chatte et me fourrer ton gros doigt dans le vagin. Bourre moi! Ses pensées devenaient de plus en plus obsènes.

Lhomme introduisit sans difficultés une deuxième phalange dans son corps et commença un lent va et vient. Lautre main venait de passer sur son ventre et vint trouver le petit bouton. Aux deux caresses, celle des doigts dans sa chatte et de son clitoris vint se rajouter une troisième, jusque la inconnue. Un gros pouce se posa sur lanus de Karine. Voilà quelques chose quelle avait jusque là toujours refusée.

Cest bon. Cest agréable. Cest nouveau. Non, cest mon trou de balle, je veux pas. Cest dégouttant. Oui, appuie plus fort mon salaud. Met moi ton doigt. Dilate moi!

Les sentiments étaient bien trop partagées mais inconsciemment elle cambra son dos et tira encore plus fort sur les fesses pour laisser de la place.

taime ca je vois, que je te caresse la rondelle?

hmmmm, oui… non .. hmmm je sais pas…

Tu tes déjà fait enculer

Non monsieur

Alors tu devrais. Mais pas ce soir.

Pourquoi?

parce que ce soir jai prévu de te baiser.

Alors faites le! Baisez moi!

Répète.

Baisez moi sil vous plais. Je veux sentir votre gros dard en moi. Je vous offre mon cul. Faite de moi votre chose, mais pitié baisez moi. Je suis prête.

Elle ne revenait elle même de ce quelle venait de dire. Ce nétait plus très important de toute façon. Il était clair quelle allait se donner à cet homme.

Chose promise, chose due.

Et en se tournant vers la camera

— Tu vois cocu, ta petite femme est prête. Ta belle bourgeoise bien éduquée est bonne pour se faire monter!

Elle se mit à quatre pattes. Il se vint derrière elle, lattrapa par les cheveux pour faire cambrer le bassin, mis son énorme bite à lentrée du vagin et la pénétra dun coup.

Le rapport était brutal, presque bestial et dénué de toute sensualité. La queue monstrueuse était en trait de la pilonner avec la régularité dun métronome lui faisant arracher à chaque coup des gémissements de plus en plus intenses. A chaque pénétration elle sentait les grosses couilles du bedonnant frapper son ventre. De temps en temps une claque venait s’abattre sur ses fesses la motivant à cambrer son bassin de manière encore plus généreuse. La douleur quelle ressentait à chaque fois quil tirait sur ses cheveux rendait sa moule plus humide. Les insultes, de plus en plus vulgaires et humiliantes la rendait plus soumise encore.

Ce quelle trouvait dégoûtant avec Alex, la mettait dans un état second avec ce vieux cochon. Karine se sentait plus que jamais comme une femme dans les bras de ce molosse qui faisait éclater en elle toutes ses inhibitions, les certitudes sur la vie de couple et enfin sa fierté. Elle nétait là que pour une seule chose: obéir! Donner du plaisir à nimporte quel pris. Se faire monter comme une vulgaire fille de rue par ce vieux pervers quasi sous les yeux de son mari. Mais quelle femme était elle?

Elle était sale, enfin! Fini les apparences de la jeune fille bien élevée, choquée lorsquelle entendait ses parent faire lamour dans la pièce dà côté. Maintenant elle criait son plaisir, et en était fière.

Crie petite garce. Crie que ton homme entende comme tu es mieux dans les bras dun autre.

hmmmmm

montre lui ton plaisir, fait le lui entendre

. HMMMMMMM

encore

AHHhHHHHHH

Parle lui. Dis lui comme tu te sent.

AHHHHH, AHHHHH. Cest bon.

Cest bon comment.

Cest mieux que dhabitude. Hmmmmmmmmm

Ta entendu cocu. Je baise mieux que toi.

Les coups de bite devenait de plus en plus rapides, forts, profond. Karine sentait que son orgasme nallait pas tarder. Ca y est, il est là. Il arrive. Enfin.

AHHHHHHHHH, je JUISSSS, ENCORE ; encore, encore……

Que ce fut fort. Elle avait du mal à reprendre son souffle. Son esprit lui était totalement ailleurs. Après de longs moments elle repris enfin linitiative. Elle rampa tant bien que mal jusquà la caméra quelle dirigea sur son visage encore pivoine des efforts fournis.

Tu vois mon amour. Ce nest en fin de compte pas si difficile de te faire pousser des cornes. Cest même plutôt agréable. En fait, je crois bien que tu ne ma jamais fait jouir comme ça. Jai été la putain dun autre mon coeur. Jai aimé ça. Je ne le regrette pas, cétait mieux quavec toi. Ten dis quoi. Cest pas ta petite bite qui allait me faire jouir quand même. En tout cas jespère que la branlette à été bonne. Cest tout ce que tu aura ce soir.

Le message fut ponctué dun petit bisous à la caméra.

Taurai pas oublié de me finir, salope.

Le gros venait de réapparaître dans lesprit de Karine. Cest surtout son sexe qui venait de réapparaître devant son nez dégageant maintenant lodeur de sa propre chatte. Elle le regarda avec attention puis se retourna à nouveau vers la caméra.

Tu sais quand je dis que je n’avale jamais… eh bien je crois que ce soir je vais craquer, finit elle par dire avec un sourire malin.

Elle pris la bite cette fois ci sans difficulté dans sa bouche et la suça avec énergie. Elle neut aucun mal lamener à la jouissance. Cétait la première fois quelle allait avoir du sperme dans sa bouche mais étonnamment elle sen réjouissait. La première giclée la surprit et faillit interrompre l’expérience. La deuxième fut mieux supportée mais dès la troisième elle se rendit compte que la quantité de foutre trop importante et elle ne réussirai jamais à tout garder en bouche.

Elle sortit le sexe pour reprendre son souffle. Deux giclées supplémentaires venaient de s’abattre sur son visage et ses cheveux. Du sperme, débordait dentre ses lèvres, coulait sur son menton.

Elle se tourna à nouveau vers l’objectif et après avoir bien montré le jus au fond de sa bouche, avala. Enfin elle enleva ce quil y avait sur son visage avec les doits quelle lécha goulûment.

Wauuu, ta vu la quantité. Jamais taurai pu me fournir tout ça. Il faut des grosses couilles pour faire autant du foutre. Mais nespère pas trop, je garde ça pour les autres.

Epilogue

La camera tournait toujours mais Karine nen avait plus rien a faire. Elle ne pris même pas la peine de nettoyer la semence désormais séchée sur son corps. Elle resta nue, les jambes écartées à se caresser en regardant son amant. Il ne la toucha plus mais elle jouis sous ses yeux encore une fois.

Quelle le veuille ou non elle venait de changer. Quallait elle devenir maintenant? Cest encore une autre histoire. nhésitez pas à me le faire savoir si elle vous intéresse.

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