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Coline – Chapitre 6

Coline - Chapitre 6



Je reviens de la salle de bain, il me regarde de haut en bas et me fait

nous allons dans un endroit assez select, change ton jean pour autre chose, tu n’en seras que plus belle.

Un peu décontenancé, je monte et regarde dans le dressing ce qui pourrait convenir. J’opte pour un pantacourt bleu nuit taille basse en tergal, le tissus est fluide. Je l’essaye, me regarde dans le psyché, eh . pas mal du tout ça ! Je remonte un peu ma culotte pour quelle dépasse un peu et j’imagine la tête que ferait Abi en me voyant ! Bon, je remets de l’ordre dans tout ça, je trouve une petite ceinture fine, que je glisse dans les passants en laissant lâche.

Je redescends et Monsieur Max émet un sifflement qui me fait rougir.

Pendant la route, j’essaye d’en savoir un peu plus sur la soirée

détends toi, on va chez des amis

je suis intimidé d’être présenté à des amis.

ils tiennent un restaurant, tu verras c’est sympa, tu aimes danser ?

Oui, j’adore, j’ai fait de la danse plus petit.

Humm, j’ai de la chance alors, tu vas me montrer ça ! Quel genre de danse ?

Moderne jazz

Ça te plaisait ?

Oui !

Parfait !

Le restaurant est une auberge plutôt classe ce qui ne m’étonne guère.

Max ! s’exclame le patron

Pablo ! Ça fait combien de temps qu’on ne s’est pas vus ?

Trop longtemps, allez rentre avec la petite, je vous ai préparé une table spécialement pour vous. Comment t’appelles tu ma grande?

J’hésite

allez dit comment tu t’appelles !

Coline m’sieur dis-je pas très à l’aise

hum c’est aussi joli que toi!

Toujours aussi charmeur toi !

Moi pendant ce temps, je pique un fard et suis mal à l’aise, il me prend vraiment pour une fille !

Nous sommes installés à une petite table ronde au milieu du restaurant, un joli bouquet de fleurs trône au milieu, ainsi qu’une bougie allumée, c’est très romantique ça ! Je m’installe et Pablo avance ma chaise comme pour une personne d’importance.

Je n’ai pas l’habitude mais c’est plutôt sympa.

Je ne sais trop comment me tenir pour ne pas trahir mon statut. Et je commence à essayer d’adopter les postures qu’Abi aurait en cette circonstance quand elle est au restaurant.

Je serre les genoux, tient mes mains jointes collées à ma figure, je dodeline de la tête, je bombe le torse. Enfin qu’est-ce qui me prend ? Ça m’amuse  et je suis excité après les séances de sexe de tout à l’heure.

Monsieur Max passe la commande sans le demander mon avis, il a choisi des choses fines et subtiles. Un peu de vin, je ne bois jamais de vin, mais là, je veux faire bonne figure, alors je vide mon verre qui ne manque pas de me monter à la tête.

Je vois des hommes qui passent à proximité et qui ne manquent pas de jeter des regards dans ma direction, du coup, je plonge ma tête dans mon assiette.

Pablo, le patron, passe prendre des nouvelles, me demande si le repas m’a plu, ce à quoi je réponds affirmativement.

alors, où l’as tu trouvé cette petite Coline ?

Elle faisait du stop, je l’ai prise et la suite c’est fait en douceur,

je n’en reviens pas, il est en train de raconter à voix haute, comment il m’a embarqué !

Elle m’a plu tout de suite, alors j’ai usé de mon charme légendaire, et je ne le regrette pas, c’est un bon coup cette petite.

Je pensais bien que si tu passais ici avec elle, c’est qu’elle avait succombé à tes charmes, d’ailleurs je n’en connais pas une qui t’aies résisté !

Eh que veux tu ! Fait Monsieur Max en prenant un air faussement modeste. Si tu savais comment elle suce !

je manque de m’étouffer, comment peut-il dire ça à haute voix alors que le restaurant est plein ?

Je le regarde d’un air furieux.

oh eh, me raille-t-il, tu ne vas pas dire le contraire ?

Allez allez les tourtereaux, vous n’allez pas vous quereller ici devant moi ! Je vous ai réservé un salon cosy dans lequel vous pourrez boire un bon café et goûter une de mes spécialité maison !

Pablo nous emmène dans un petit salon, fermé par un rideau. L’intérieur est fait d’un canapé en arc de cercle autour d’une petite table ronde, sur laquelle une nappe masquant le pied est dressée.

Nous sommes installés, et sa main posée sur mon genou, il me demande de le sucer. Je m’apprête à le faire quand il me repousse en me disant de me mettre sous la table.

C’est excitant, je me glisse sous la table, je défais son pantalon, sors son sexe et m’applique à faire une superbe pipe, quand j’entends que Pablo entre avec les cafés et dessert,

mais qu’as tu fait de ta puce ?

Je m’arrête de sucer interdit !

Au rire de Pablo, je comprends que Monsieur Max lui a indiqué que j’étais sous la table.

tu es resté incorrigible !

Eh oui, que veux tu, on ne se refait pas !

J’entends le bruit des assiettes et des couverts qui sont mis sur la table, puis le pan de la nappe se soulève et Pablo me lance,

Coucou fillette, t’est bien là ?

Et il repart avec un rire gras.

Le fait d’être surpris m’excite de façon inattendue.

Je sens la main qui reprend ma tête pour que je finisse la pipe commencée.

Je le sens arriver et m’apprête à le recevoir.  Une fois de plus, ses jets chauds et puissants frappent le fond de ma gorge.

Je ressorts, et nous mangeons notre dessert, non sans nous être roulés quelques pelles. J’aime ses caresses et la façon qu’il a de me peloter. Pour la première fois, il m’attrape le sexe et commence à me masturber sans m’emmener jusqu’au bout.

Dans le sous-sol de l’auberge, il y a une piste de danse avec de la musique suffisamment variée pour plaire à tout le monde.

Des canapés bien profonds nous accueillent. Monsieur Max, me prend rapidement par la main et mentraîne dans un slow collé serré torride.

Je vois des regards se poser sur nous. Certains désapprobateurs, je ne sais ce qui dérange, la différence d’âge ou ont ils compris mon statut ?

Peu m’importe, je m’amuse. Nous retournons nous caler dans ce canapé. Peu de temps passe avant que je ne sois demandé pour danser par un homme un peu rond. Je regarde Monsieur Max

tu veux y aller ? Vas y si tu veux, amuses toi on est là pour ça

merci !

Je me lève timidement et part avec cet homme.

Si au début, nous dansons avec une certaine réserve et distance, je sens peu à peu que l’espace se réduit jusqu’à devenir suffisamment collés et que je sente la bosse qu’il a au niveau de la braguette.

Je tente de l’écarter, mais il revient inexorablement à la charge.

Pendant que nous dansons, il me demande mon nom, et je n’avais pas prévu ce piège, quel con !

Je finis par lâcher

Coline

Tu es très mignonne tu sais !

Merci pour le compliment

C’est qui lui ?

Ben euh on sort ensemble !

Une fois la danse finie, je me précipite sur le canapé, et je refuse les autres demandes ce qui ne manque pas de faire rire Monsieur Max.

Nous repartons tard dans la soirée. Nous repassons à sa maison, je monte retirer les restes de maquillage, récupérer mes chaussures, retirer tout ce qui ne m’appartient pas, et remettre les vêtements avec lesquels je suis arrivé .

J’entre dans l’appart, et merde, la lumière est encore allumée, j’avais espéré passer inaperçu.

Cynthia m’accueille, elle me dévisage de la tête aux pieds, j’ai gardé le serre tête

Bonjour Colin, ça va ?

Oui !

Ca te va bien les cheveux relevés comme ça, on voit enfin tes beaux yeux bleus.

Merci

Ton jean aussi est sympa, ça te va bien, ça te change, c’est moins stricte.

Cool, merci !

Je me dirige vers la chambre que je partage avec Marc et Anton un peu rassuré.

La semaine se poursuit, pendant laquelle un certain nombre de questions trottent dans ma tête.

La soirée que nous avons passé avec Monsieur Max, était super excitante, mais je ne sais toujours pas quoi en penser.

Laissons la suite décider un peu de tout ça et concentrons nous sur les cours.

Mes produits de beauté vont rejoindre ceux des filles dans la salle de bain. Ce qui m’attire quelques quolibets de Marc, et des approbations de la part des filles.

C’est amusant ces ambiguïtés. Du coup, les filles se rapprochent un peu de moi, elles se lâchent un peu sur les confidences.

Le Week-end arrive, je rentre enfin à la maison. Les semaines vont s’enchaîner sur le même rythme. Je passe la soirée du dimanche soir avec Monsieur Max, nous sortons, et il me ramène après.

A chaque retour à la maison, Abi me questionne sans ménagement, moi j’en profite pour l’observer et épier ses attitudes. Quand à la vie avec les colocataires, elle suit son cours, les remarques sur mes changements commencent un peu à se calmer.

Un soir, en me ramenant, il me demande de passer un week-end complet avec lui.

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