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Comment je suis devenue la putain de mon amie. – Chapitre 7

Ma nièce Julie - Chapitre 3



Lorsque je me réveillai, la pendule marquait onze heures. Une envie duriner me tenaillait. Je me levai et ressentit aussitôt comme un vide dans mon ventre. Rien de comparable, pourtant, avec le moment où la main de Claudine sétait retirée de mon vagin. Jallai aux WC, puis pris une douche. Lorsque je sortis, ma maîtresse nétait toujours pas revenue. Où était-elle allée ?

Jeus la réponse en entrant dans la cuisine. Un papier, couvert de son écriture se trouvait sur la table. Il disait :

Ma salope chérie,

Ne tinquiète pas, je suis partie chercher quelques affaires, pour me changer. A compter daujourdhui, je crois que je vais minstaller avec toi.

Lorsque je reviendrai, je pense que nous irons déjeuner dehors, mais pour linstant, je veux que tu restes à poil. Attend-moi, à genoux dans le couloir, mains dans le dos. Tu écarteras les cuisses largement.

A tout à lheure, petite putain.

Ta maîtresse, qui taimes !

Je serrai le papier sur mon cur, puis le reposai. Je pensai défaillir de bonheur. Mon amour, ma maîtresse chérie avait décidé de venir vivre avec moi.

Je me mis à penser à tout ce qui métait arrivé, depuis deux jours. Certes, ma soumission à Claudine pouvait sembler rapide, immédiate, mais elle était mûrement réfléchie, résultat dune longue, très longue attente.

Pendant mon adolescence, jétais tombée sous la coupe de ma sur, plus âgée que moi de deux ans. Elle mavait mise à sa merci et je lui étais toute entière dévouée. Je lui léchais les pieds, la chatte, le cul, tout ce quelle voulait. Elle mavait même prêtée à ses copines. La plupart du temps, lorsque nos parents étaient absents, je me retrouvais nue, en train de faire le ménage, ou lécher ma sur et ses copines. Puis, lorsquelle eut vingt ans, elle partit aux Etats Unis.

Alors, frustrée, je me tournai vers les hommes. Jeus bien vite une réputation de salope, qui couchait un soir et larguait rapidement les garçons. Je dus déménager et cest ainsi que je rencontrai celui qui allait devenir mon mari. Là encore, énorme déception, déception qui allait conduire à notre divorce.

Un an et demi auparavant, javais rencontré Claudine. Dès lors, je métais mise à fantasmer sur elle. Si un homme navait su me soumettre, elle, elle saurait. Nouvelle déception ! Claudine ne semblait guère tentée par la domination. Malgré tous mes appels du pied, rien. Je la laissais décider de tout, adoptais une attitude effacée, afin de lui faire sentir mon désir de la servir.

Et enfin, elle sétait décidée. Elle mavait même prise de court. Elle mavait forcée, en quelque sorte. Et je métais jetée avec une sorte de rage dans la déchéance quelle me promettait. Enfin, les fantasmes de ma jeunesse se réalisaient. Et bien plus encore.

Je repris conscience et regardai lheure. Douze heures trente. Ma maîtresse nallait sans doute pas tarder. Je me dirigeai aussitôt dans le couloir et magenouillai, prenant la position demandée.

Cinq minutes plus tard, jentendis une clé tourner dans la serrure. Claudine entra, entourée dun doux parfum. Comme à son habitude, elle était habillée avec goût, dun ensemble tailleur pantalon, en lin écru, à ses pieds, des escarpins assortis, laissant dépasser ses orteils verni de frais.

Je me prosternai et embrassai ses pieds. Elle se laissa faire, tendant même ses chevilles, afin de montrer quelle appréciait ma soumission. Après un petit moment, elle me repoussa et me dit :

 Lève-toi ! Habille-toi ! Je temmène déjeuner !

Je mempressai daller dans ma chambre afin de mhabiller. Alors que je voulus passer une culotte, Claudine sen empara et lança, en riant :

 Non, ma chère, pas de sous-vêtements. Cul nu sous ta robe !

Lorsque je passai la dite robe, je la vis faire la moue et je linterrogeai du regard.

 Tu nas rien de plus sexy ?

 Sexy, mademoiselle ?

 Oui, plus court !

 Plus court ?

Déjà que je la trouvais courte, très courte, car elle marrivait à mi-cuisses. Que voulait-elle donc ? Je fus fixée lorsquelle reprit :

 Tu trouves ça court ? Tu nas rien à ras la motte ?

 Non mademoiselle !

 Bon, il va falloir remédier à cela. Une pute habillée comme une bonne sur, ça ne le fait pas ! Tu nas pas une robe ou une jupe ouverte devant ?

 Euh ! Si ! Une jupe longue, boutonnée devant !

 Montre !

Dès quelle la vit, je sus que jallais devoir la porter. Effectivement, elle me dit :

 Voilà, ok ! Tu lenfiles et tu me montres tout ça !

Jobéis et la passai. La jupe était boutonnée jusquau genou. Claudine fit la moue et reprit :

 Retire trois boutons ! Vite !

Je mexécutai et le vêtement souvrit plus haut quà mi-cuisse. Cela ne sembla pas suffire à Claudine, car elle exigea que jen déboutonne encore deux. Cette fois-ci, la jupe était ouverte juste en dessous de la fourche de mes cuisses. Au moindre mouvement, elle souvrirait, laissant voir ma chatte glabre. Je me sentais gênée, mais cela semblait réjouir ma maîtresse. Elle me fit passer le seul chemisier transparent que je possédais, puis me fit assoir, afin de me maquiller. Lorsquelle eut terminé, elle me plaça devant un miroir. Je faillis me retourner pour voir qui était la femme se reflétant dans la glace. Elle mavait appliqué un maquillage appuyé et je ressemblais à une pute. Je lui fis part de ma consternation :

 Mais Mademoiselle, jai Jai lair dune prostituée !

 Oh là, là, répondit-elle, hilare, que de grands mots ! Tu as lair de ce que je veux que tu deviennes, une pute. Tu entends, une pute, pas une prostituée ! Répète !

 Je suis une pute, mademoiselle !

 Eh bien voilà, ce nest pas si difficile, si ?

 N Non, mademoiselle !

 Bon ! Allons-y ! Cest moi qui conduis ! Ah ! Mets les mains dans le dos, ça téviteras davoir lidée de retenir ta jupe.

A chaque pas, je sentais la jupe bâiller, découvrant mon pubis épilé. En outre, le fait de croiser les bras dans le dos, faisait saillir ma poitrine, la collant plus encore contre le tissu transparent. En baissant les yeux, je voyais les tétons turgescents, tenter de percer le chemisier. Il ne me fallut pas longtemps avant de sentir ma chatte dégouliner. Nous nétions pas encore arrivés à la voiture que je sentis ma mouille couler le long de mes cuisses. Le fait dêtre à la disposition de ma maîtresse mexcitait au plus haut point, ainsi que le fait dêtre presque nue.

Dans la voiture, Claudine mordonna de garder les mains dans le dos et de bien écarter les cuisses, ce qui eut pour effet de faire glisser les pans de ma jupe et dévoiler entièrement mon entrejambe. Dun geste rapide, elle passa deux doigts sur ma fente et constata mon excitation :

 Eh bien, ma salope, tu mouilles drôlement !

 Oui mademoiselle !

 Ça texcite, de te montrer comme ça ?

 Oui mademoiselle !

 Ça promet ! Tu vas mouiller ta jupe ! comme ça, les gens verront que tu es une salope !

 Oui mademoiselle !

 Oui mademoiselle Oui mademoiselle ! Tu ne sais dire que cela ?

 Oui Enfin, non ! Je suis votre salope, votre pute ! Vous pouvez tout exiger de moi !

 Ça je sais, tu me le répètes assez souvent ! On verra bien, lorsque jexigerai des choses difficiles !

 Comme ?

 Tu verras ! On arrive ! En descendant, tu reboutonneras ta jupe ! Un seul bouton, cela suffira !

 Bien mademoiselle !

Je descendis dabord de la voiture, puis, debout devant la portière, je rattachai le bouton. Lorsque je relâchai le tissu, je constatai que si lon ne voyait plus mon sexe, il ne fallait que je lève trop les bras, sinon De plus, en levant les yeux pour regarder vers le restaurant, je constatai que de nombreux regards étaient fixés sur moi, à travers la verrière. Je me mordis les lèvres et baissai la tête. Savoir que mon intimité avait été lobjet dune telle attention, mexcitait et me faisait honte ne même temps.

Claudine me demanda, après avoir, elle aussi, jeter un coup dil vers la baie vitrée :

 Ça te plait, ma petite pute, dêtre lobjet de toute cette attention ?

 Oui, mademoiselle Jaimerais

 Oui ?

 Jaimerais me faire baiser par toutes les personnes présentes.

 Toutes ?

 Oui mademoiselle !

 Même les femmes ?

 Oh oui !

 Tu es vraiment une traînée Viens, allons déjeuner !

Mentraînant à sa suite, elle traversa le parking. Cest alors que je remarquai que la plupart des voitures étaient garées dans le sens inverse de la nôtre. Ma maîtresse sétait donc placée de manière à ce que je sois visible depuis le restaurant. Dans le cas contraire, la voiture maurait dissimulée, lors de mon rhabillage.

En approchant de a porte dentrée du restaurant, je vis que deux hommes, à une table, ne me quittaient pas des yeux. Je les fixai à mon tour. Cétaient deux hommes, un peu quelconque, plutôt beauf, rondouillards, bedonnant. Toutefois, leurs vêtements semblaient de bonne coupe, quoique sportive. Je voyais bien que leurs yeux étaient fixés sur le haut de mes cuisses, là où ma jupe souvrait à chacun de mes pas. Je savais quils navaient sans doute rien manqué de mon exhibition, à linstant, en sortant de la voiture. Je les voyais échanger des commentaires sur moi, sans aucun doute.

Je les perdis de vue à notre entrée dans la salle, mais je savais, je sentais quils ne me quittaient pas des yeux. Je sentais mon sexe shumidifier, à lidée de leurs regards posé sur mes fesses, quils savaient nues. Je ne parvenais pas à véritablement comprendre ce qui se passait en moi. Voilà deux hommes, à qui je naurais pas jeté un seul regard, il y avait encore quelques jours, qui maintenant mexcitaient fortement. Jen arrivais même à mimaginer avec eux. Etais-je véritablement devenue une salope, comme le disait si bien Claudine. Navait-elle fait que révéler ma véritable nature ?

 Eh bien ? Simpatienta Claudine, tu me suis ?

Elle avait déjà commencé à suivre le maître dhôtel, pendant que je restais là, sous lil concupiscent des deux hommes.

 Ou oui, mademoiselle, fis-je sous leffet de la surprise.

Je la rejoignis à grandes enjambées, ce qui faisait écarter plus encore les pans de ma jupe. En passant entre les tables, je perçus nettement les regards égrillards des hommes, plus ou moins discrets, et ceux, nettement réprobateurs des femmes.

Ma maîtresse choisit une table, près dune verrière, sur une estrade. Elle me fit assoir en face delle, face à la salle. Je me doutais que la situation surélevée de notre table permettait à tout un chacun de contempler mes cuisses. Par un accès de pudeur soudain, je serrai les cuisses, jusquà ce que Claudine me reprenne :

 Tu as les cuisses serrées ? Chuchota-t-elle, lorsque le maître dhôtel séclipsa, après nous avoir donné la carte des repas.

 Oui mademoiselle !

 Cesse tout de suite ! Prends ta position de salope !

 Mais ils ils ont tout voir !

 Et alors ? Tu te souviens ? Tu mobéiras en tout ! Alors, exécution !

 Oui mademoiselle !

Et jécartai les cuisses, dévoilant ainsi mon intimité à toute la salle. Je ne tardai pas à voir des hommes tourner la tête vers nous, sous lair agacé de nombreuses femmes, et surtout sous les yeux, tout proche des deux gros hommes. Je savais que, de là où ils se tenaient assis, ils avaient une vue parfaite sur ma chatte, que je sentais trempée. Ils devaient voir la luisance de mes lèvres intimes et peut-être même, mon clitoris, dardé hors de son capuchon. Bien que, pour ce dernier, je nen sois pas sûre.

A SUIVRE

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