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Comment ma mère a " sauvé " ma partie de poker ! – Chapitre 4

Comment ma mère a " sauvé " ma partie de poker ! - Chapitre 4



Pendant deux jours, seul à la maison, je sombrai dans l’apathie et la dépression.

J’attendais prés du téléphone fixe, mon portable allumé et l’ordinateur ouvert sur la boite mail, tout en guettant les bruits venant de la porte d’entrée.

Malheureusement, il ne se passait rienriencela en devenait désespérant.

Pas un coup de fil, pas de mail, pas de SMS

Je me sentais de plus en plus mal.

Je passais des nuits blanches avec pour unique compagne une bouteille de Jack Danielsforcement ces moments ne furent pas mes plus grandes heures de gloire.

Beaucoup de questions tournaient en boucle dans ma tête : comment allait ma mère, était elle retenue contre son gré, que se passait-il entre elle et ces forbanset là mon imagination envisageait les scenarios les plus graveleux

Je voyais ma mère nue ou en tenue plus ou moins érotique faire l’amour ou plutôt se faire baiser et jouir comme une putain

Je m’en voulais d’imaginer cela, avec tous les détails pornographiques inhérents à ce genre de situationmalheureusement en ayant vu dans quel appareil ma mère avait quitté la maison en compagnie de Kevin, Rudolph et Jean-Louis, je me disais qu’ils n’avaient pas passé les dernières heures à jouer au Monopoly !!

Ou alors autre hypothèse atroce, ma mère après s’être un peu éclatée avec ces mecs, avait compris que sa place n’était pas avec eux et avait voulu rentrer chez elle.

Ce que ces types avaient refusé ils la gardaient contre son gré et peut-être la forçaient ils à se

Là aussi mon imagination vagabondait bon train : je voyais ma mère en tenue hyper provocante, une robe moulante noire, sans aucun dessous a part une paire de DIM-up dont on voyait le liseré tellement la robe était courte, se pencher à la vitre d’une voiture, dans une rue mal éclairée en pleine nuit 

Heureusement tout cela n’était que prospectives, délires d’un esprit qui devenait malade à force d’attendre

Des questions auxquelles je n’avais malheureusement aucune réponserestait l’attenteinterminable

Je me sentais très mal, la culpabilité m’étouffait.

J’avais poussé ma mère au vice avec mes plans débiles ; que pensait-elle de moi à cet instant ?

Pas grand chose de bon, vu le regard chargé de mépris dont elle m’avait gratifié, en quittant la maison, nue, aux bras des trois enfoirés !

Parfois pendant ces deux nuits sans sommeil, je sombrais au hasard des assoupissements dus aux vapeurs éthyliques, dans des rêveries pornographiques dans lesquelles je la voyais s’abandonner avec délices à des épisodes de luxures sordides.

Des orgies débridées, au cours desquelles elle s’adonnait avec passion et force jouissances à toutes les perversions

Alors à ma grande honte, je me réveillais dans des états comateux, mais avec une érection magistrale.

Je devais bien me l’avouer à moi-même, cette situation incongrue, me dégoûtait et m’excitait en diable ! Manifestations de la noirceur de l’âme humaine

Mais surtout autre problème : comment allait réagir mon père quand j’allais lui expliquer la situationet ses causes. Je n’allais pas tarder à le savoir.

Il devait rentrer sous peu de son «  pseudo séminaire de formation » dont nous savions pertinemment ma mère et moi, qu’il n’était qu’une couverture pour l’une de ses nombreuses frasques adultérines !

La porte s’ouvrit au soir du troisième jour, je sursautai, pensant avec espoir voir me mère entrer dans la maison.

Mais ce n’était que mon père tout frais, joyeux et guilleret après son grand weekend «  studieux ».

Il éclata dans une violente colère quand je lui résumai la situation.

Il me traita de tous les noms et une fois sa vindicte évacuée, son premier geste fut de prendre le téléphone pour appeler la police.

Je l’en dissuadai rapidement, lui faisant comprendre que sa femme était partie de son plein gré et que rien ne laissait penser qu’elle était retenue contre sa volonté.

De plus je craignais des représailles sérieuses contre nous, si la police mettait son nez dans les affaires de Kevin, qui était connu comme le loup blanc dans les officines de la police.

Le lendemain de son retour, alors que nous tournions comme des lions en cage, je reçus un appel en numéro privé sur mon portable. Je mis rapidement en haut parleur et nous entendîmes des soupirs, gémissements et onomatopées.

Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que j’avais au bout du fil une femme en compagnie de un, ou plutôt au moins deux hommes en pleine copulation

Au bout de trois minutes interminables de cris féminins, de gémissements, de ahanements plus ou moins rauques, une plainte déchirante marqua l’orgasme de la femme, idem venant d’au moins un des hommes.

Puis une voix mâle assez essoufflée s’exprima :

« Franchement Antonin, ta mère est une salope de premièremême mes copines ne lui arrivent pas à la cheville.

Je ne te remercierai jamais assez pour cette partie de poker !

Je ne te raconte pas le nombre de mecs qu’elle a vidés pendant ces trois jours.

Elle est insatiable, un vrai vide couilles. Merci mon pote.

— Espèce d’ordure, libérez ma femme immédiatement ou j’appelle les flics !

— Tiens mon chéri, tu es rentré. Alors tu t’es bien amusé à ton «  séminaire ? »

— Mais Caroline, ne me dis pas que tu es consentante ?

— Pourquoi pas ?

— Tu baises avec ces mecs, alors que tu es mariée avec moi et tu n’en a même pas honte ?

— Honte de quoi ? Et toi mon cher époux, tu as oublié toutes tes sauteries avec tes putes de copineset bien tu vois, moi aussi je peux faire pareil, je ne suis pas plus conne que toi, et en plus je peux te dire que j’ai plus pris mon pied en 3 jours qu’avec toi en 20 ans de mariage !

— Espèce de salope, trainée, sale pute !

— Mais oui mon chéritu m’as prise pour une conne ces dernières années, je vais te le faire payer très cher et cela n’est que le débuttu auras bientôt de mes nouvellesça va te plaire !

Kevin, vasy ! Enculemoi ! »

On entendit alors clairement des claquements de fesses, et l’agitation d’un mouvement de bassin qui ne pouvait que signifier que ma mère se faisait en effet besogner l’arrière-train, et tout de suite les cris de plaisir reprirent :

«  Mon dieu, ouiiii ! Vas-y ! Défonce moiiiii !! »

N’en pouvant plus mon père coupa la communication et se laissant tomber dans un fauteuil, céda à un profond mutisme.

J’allais chercher la bouteille de bourbon, lui remplit généreusement un verre, qu’il vida cul-sec et m’asseyant en face de lui, je fis de même.

Nous portions un toast silencieux à nos fautes respectives, notre incapacité à gérer la situation et à notre veulerie.

Caroline, ma mère nous tenait par les c. sur le coup je ne voyais vraiment pas quoi faireau moins elle était consentante maigre satisfaction.

Puis la vie reprit son cours presque normal, sans ma mère à la maison, mon père retournant à son travail et moi a mes études à la fac.

Néanmoins je remarquai de la part de mes camarades, et de quelques connaissances, un changement d’attitude à mon égard.

Des sourires torves s’adressaient parfois à moi en catiminiparfois les conversations s’arrêtaient net, alors que je m’approchais de groupes de copains. Parfois on me demandait si ma mère « était en forme »je préférais m’éclipser discrètement.

J’avais l’impression d’être devenu la cible de l’attention de beaucoup de monde dans mon amphi et il me semblait, pas pour de bonnes raisons.

Néanmoins il y eut un rayon de soleil dans toute cette noirceurCoralie Destrée !

Petite brunette aux cheveux mi longs, toujours une mèche rebelle sur le visage, j’avais essayé sans grand succès de la draguer depuis le début de l’année.

Elle ne s’intéressait guère à moi. Et puis juste quelques jours après cette maudite partie de poker, elle m’avait présenté un intérêt tout neuf.

Elle commença par s’assoir a côté de moi dans l’amphi au grand dam de son dernier ex, et puis, en sortant on était allé réviser ensemble et elle m’avait donné son numéro de portable.

Des fois on se ratait dans l’amphi et elle m’envoyait des textos sibyllins.

«  Tu sais j’adore ce que fait ta mère, elle est géniale »

De peur de passer pour un con et d’éteindre cette idylle naissante, je répondais par des «  oui, moi aussi j’aime ce qu’elle fait ! »

«  Si tu savais dans quel état cela me met, ça m’excite beaucoup, tu m’emmèneras chez toi, on discutera ensemble

— OK, pas de problème tu veux venir quand ?

— Après l’option latin, tu m’attends et tu me prends en voiture .ça marche ?

— Super !  »

Coralie, chez moi ! Excitée par je ne sais quelle situation, mais excitée !

Elle avait peut-être un truc à me montrer, à partager à deux, du porno ??

Je savais que les filles de ma génération en regardaient beaucoup et Coralie avait une petit réputation de «  salope », certains disaient même avec les deux sexes.

Comme promis elle m’attendait, je ne l’avais pas vu de la journée, elle était habillée cours, une petite jupe blanche, un chemisier noir, des DIM up.

Et des chaussures hautes à lacets

Avec son sourire éclatant, son regard enjôleur et une petite lueur lubrique dans le regard elle était à croquer !

Je la fis rentrer chez moi, elle semblait dans un état d’excitation extrême.

«  Ta mère n’est pas là ?

— Ah non, elle a eu un empêchement au dernier moment, (mais merde qu’est-ce que ma mère venait foutre la-dedans ? J’avais trouvé la meilleure réponse a brule pourpoint. )

— Mince quel dommage, ce sera pour la prochaine fois alors, je compte sur toi, il faut absolument que je la rencontre et qu’on discute entre femmes, tu pourras être là aussi si ça t’excite, et même participer, enfin je ne connais pas votre degré de complicité, je ne voudrais pas commettre d’impair

— Oh non, pas de problème je participerai, ma mère et moi sommes très liés depuis longtemps, on se dit tout, on fait tout ensemble.

D’ailleurs la dernière fois elle a même fait un strip poker avec mes potes, c’était hummm ! (je ne savais pas trop ce que je disais mais j’entrai dans son jeu et au fur et a mesure que je parlais, je voyais ses pupilles se dilater d’envie, son souffle s’accélérer, ses paroles devenaient parfois rauques.

— Mince tu l’as fait avec tes potes haouaaaahh !! Mais c’est que t’es un sacré petit coquin toi, j’aurais jamais cru ça de toi !!

Hé ! Le prochain coup tu m’invites, je peux même faire venir deux de mes copines qui sont aussi allumées que moi, je te raconte pas la partie qu’on va se faire !! Ça fait longtemps que vous avez ce genre de rapports, ta mère et toi ? Et ton père il ne dit rien

— Ben mon père, de son côté il va voir ses copines, ses putes comme dirait ma mère, alors j’ai ma mère pour moi tout seul et on s’éclate bien à deux quand même.C’est pour ça que la dernière fois j’ai eu l’idée de l’inviter à ma partie de poker, t’aurais vu comment elle sétait fringuée rien que pour me faire plaisir !

— Humm dis moi tout, vite, tu me fais trop mouiller on peut aller dans ta chambre ?  »

Je ne savais pas trop ce qui se passait avec Coralie, mais je n’avais plus de pensées cohérentes, j’étais prêt à lui raconter n’importe quel délire pour qu’elle sallume encore un peu plus j’avais envie de me la faire.. oh putain, je bandais comme un taureau !

Je refermai la porte, tamisai la lumière et, là, Coralie se jeta sur moi m’embrassa à pleine bouche, sa langue vint heurter mes dents, je m’ouvris entièrement à elle. Elle me violait littéralement la bouche. Je sentis très vite une main fureteuse jouer avec ma braguette, me baisser le pantalon très rapidement, puis mon boxer, et se jeter carrément sur mon sexe en érection.

A ce moment la jolie Coralie commença une fellation du feu de dieu et je dus lui repousser la tête avant d’exploser dans sa bouche.

«  J’aurai pu aller jusqu’au bout tu sais si tu es vraiment le fils de ta mère, au bout d’à peine 2 minutes tu aurais déjà récupéré, mais ce n’est pas grave, baise moi maintenant comme sur les vidéos.  »

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Coralie avait déboutonné son chemisier mettant ses seins à l’air, ses tétons étaient tout dur d’excitation, puis elle dégrafa sa jupe et c’est une petite chatte toute lisse qui se présenta à moi au dessus des DIM up qu’elle garda. Elle se laissa affaler sur le lit les cuisses bien écartées, j’avais une vue imprenable sur son petit abricot juteux et brillant.

 

Un peu intimidé, (j’étais puceau, à 18 ans, mais je n’osai pas le lui dire), je passais une main incertaine sur son sexe aux lèvres si douce et a la vulve bien dilatée, son petit trou semblait l’être aussi ; j’étais comme un fou.

Je m’approchai, ma verge se dirigeant vers son entrejambes, elle ne me laissa pas le temps du discernement, elle attira mon bassin contre elle, puis saisissant mon dard elle se l introduisit dans son petit puits d’amour.

Je commençai un mouvement de va et viens pas trop assuré, mais ses premiers gémissements de plaisir me confirmèrent que malgré mon inexpérience, le rythme ne devait pas être trop mauvais.

Malheureusement après à peine 2 minutes, malgré mes efforts pour me retenir, je libérai ma semence dans son intimité si accueillante.

«  C’est pas grave je fais toujours cet effet aux mecs la première fois, je suis sans doute trop chaudemais, je sais que le fils de « la chatte en rut » va vite récupérer ! »

Elle ne me laissa pas le temps et me retournant sur le dos, elle recommença une fellation experte, alors mon érection revenue, elle s’empala sur ma queue et se livra à un rodéo endiablé. Cette fois-ci je tins un peu plus longtemps.

Mademoiselle se permit encore 2 orgasmes pendant cette nouvelle passe d’arme.

Et alors que je pensais me reposer pour récupérer un peu ,elle me fit assoir en face d’elle s’approcha et me saisissant verge et testicules elle se mit à me masturber vigoureusement, déclenchant une troisième érection. Cette fois ci elle s’enfourcha une troisième fois sur mon sexe en fleur de lotus.

Et c’est plus lentement, nos rythmes mieux accordés, nos langues et nos bouches jouant de concert, que mes mains caressaient et malaxaient ses seins au 85 B bien ferme, comme deux belles demi-oranges.

Les siennes me caressaient les fesses, se permettant parfois l’intromission d’un doigt aventureux dans mon petit trou, ce qui me déclenchait des gémissements et une dureté supplémentaire dans mon érection.

Puis nous vînmes ensemble dans un orgasme assez intense qui me déchira les tympans, tellement ses plaintes de jouissance étaient fortes.

«  Mon dieu, tu te débrouilles pas mal faut dire qu’avec ton hérédité, forcement. La prochaine fois, si tu veux j’amène mon gode ceinture il servira a plusieurs personnes comme ça. Je ne me trompe pas, tu aimes te faire enculer n’est ce pas ?

— Oui je dois l’admettre, cela ne te choque pas, venant d’un homme ?

— Non pas du tout, moi j’adore sodomiser les femmes et les hommescomme ça je te dis, je le prendrai pas pour rien la prochaine fois que je viens chez toi

Bon j’espère que ta mère sera là ce coup-ci, je m’en voudrai vraiment de ne pas la connaitre et je t’en voudrai que tu ne me la présentes pas !! » 

Je raccompagnai Coralie chez elle et rentrai chez moi.

Le soir fumant la cigarette après l’amour, comme le mâle repu et heureux que j’étais, je repensai à toute cette séance très érotique et en oubliai même nos malheurs avec ma mère.

Ma mère !!! Mais oui ! Elle n’avait pas arrêté de m’en parlerpourquoi voulait-elle absolument la voir ??

Elle voulait se la faire ou quoij’allais commencer a prendre au sérieux ces rumeurs sur sa bisexualité.

Après qu’est ce que j’en avais à foutre si elle fantasmait sur ma mère du moment qu’elle couchait avec moi et quelle séance de baise .

Mon dieu c’était hallucinant, je vivais mes fantasmes les plus fous avec un super petit canon.

Mais quelle chance j’avais, elle avait quitté un des plus beaux mecs de l’amphi pour moi. Et je ne comprenais toujours pas pourquoi.

Le lendemain et les jours suivants, tous les mecs me regardaient avec envie et respect. Il faut dire que Coralie ne se gênait pas pour me rouler des pelles bien baveuses sur le campus devant tout le monde, de même qu’elle ne se gênait pas pour me tripoter la braguette sur un banc devant le resto U, alors qu’elle plaçait mes mains sur ses seins, en me demandant de la peloter.

Mon père étant avec une de ses petites amies, hé oui, sa mésaventure avec me mère ne l’avait pas empêché de continuer ses frasques, et il ne prenait plus de précautions désormais inutiles, j’invitai Coralie chez moi pour la deuxième fois.

Devant l’absence de ma mère elle me regarda perplexe, je sentais qu’elle allait presque faire demi-tour, et elle me dit que c’était vraiment dommage qu’elle ne soit pas là parce qu’elle avait pris son gode ceinture

Je la retins par le bras et lui dis que ma mère était un peu fatiguée de sa journée de travail et qu’elle rentrerait sous peu.

«  Bon alors si c’est comme ça mon petit bonhomme tu vas goûter à quelque chose de nouveau, je ne l’aurai pas pris pour rienj’aurai aimé qu’il serve plusieurs fois mais on va commencer par toi en attendant.  »

Malgré l’extravagance et la singularité des propos de Coralie, j’avalais tout sans me poser de questionsj’étais tellement fou d’elle que toute pensée logique avait quitté mon cortex cérébralje flottais sur mon petit nuage !

Elle me déshabilla très vite, me fit la déshabiller, nous nous enlaçâmes et nous embrassâmes un long moment puis elle m’ordonna de me mettre a 4 pattes sur mon lit. J’obtempérai en ayant une vague idée de ce qu’elle allait faireje prenais ça pour du bluff.

Je sentis une main puis une bouche se refermait sur mon sexe pendant que l’autre s’occupait de mon petit trou en le doigtant.

A un moment alors qu’elle m’avait donné l’ordre de fermer les yeux et de ne plus les rouvrir, je sentis un gel froid se déposer sur mon illet puis, une douleur fulgurante.

La salope m’avait enculé d’un seul coup sans crier gare sur le coup, les larmes me vinrent aux yeux ,(je pensais stupidement à Michel blanc dans le film «  Tenue de soirée) et elle commença à me ramoner.

Du haut de ses 19 ans, de son mètre soixante et de ses 48 kg elle me baisait comme un mec et moi je me faisais baiser comme une fille.

Elle me faisait gémir comme une salope ; j’avais un peu honte, mais ce que je ressentais était trop bon, je prenais un pied d’enfer. Je l’encourageais quand elle baissait la cadence ; n’ayant plus aucune retenue devant l’arrivée d’un orgasme que je sentais fulgurant, je me mis à gémir et ahaner comme une femelle en rut.

Le dernier coup de rein fut le bon et je m’écroulai sur mon buste alors qu’une éjaculation infernale me vidait les couilles. ça venait de très loin, jamais je n’avais pris un tel pied.

«  Eh bien mon cochon tu es très réceptifmoi aussi tu m’as fait jouir de t’avoir défoncé comme çaj’en ai baisé des femmes et même des matures, mais tu es mon premier mec avec qui je fais ça, et j’avoue que j’ai adoré !

A refaire ou plutôt non la prochaine fois c’est toi qui m’enculeras comme je viens de le faire, tu verras j’adore ça moi aussi !

Bon et ta mère ? Alors elle est arrivée ?  » .

Et elle sortit dans le plus simple appareil, de ma chambre, cherchant l’auteure de mes jours avec la plus grande désinvolture.

La situation étant d’autant plus incongrue et troublante qu’elle avait gardé son harnais de gode ceinture

Je la retins en lui serrant le bras :

«  Eh Coralie ça va pas non ? Tu peux te balader comme ça dans ma maison ! Et si mon père revenait ?

— C’est ta mère qui m’intéresse t’as pas compris ou quoitu te fous de ma gueule là.

Bon j’ai compris elle n’est pas là, tu m’as menée en bateau. Écoute je me rhabille et je me casse, c’est fini entre nous. Personne ne me prend pour une conne comme ça !

— Mais, puisque je te dis qu’elle a trop bossé et quelle est crevée, je ne sais pas moi, elle dort peur être à l’hôtel ?

— Te casses pas j’ai compris ! Adieu ! »

Et elle me laissa comme ça, en plan, en une incompréhension totale.

Le lendemain trop meurtri, et m’attendant aux quolibets des autres étudiants je n’allai pas à la fac, ni le jour suivant.

Mais le soir le téléphone sonna, je m’attendais à avoir ma mère au bout du fil mais c’était Coralie, sa voix était enjouée.

«  Mon chéri pardonne-moi de ne pas t’avoir cru, quand tu disais que ta mère était crevée après sa journée, je comprends maintenant, excuse moi, je saurai me faire pardonner si tu vois ce que je veux dire ce sera très hot !

En tout cas elle est fantastique, je suis trop content de te connaitre et de la connaitre bientôt. Ca va être FANTASTIQUE ce qu’on va vivre.

— Bon écoute Coralie, j’en ai marre de tous tes sous-entendus, ça veut dire quoi cet intérêt pour ma mère, tu veux la baiser ou quoi ??

— Ben évidement, mais ne t’inquiète pas je ne te laisserai pas sur le carreau !

— Tu veux quand même pas dire ce que je pense ?

— Ben si tu m’as dit que vous le faisiez quand ton père était absent ?

— Attends je comprends plus rien, là ? T’es complètement cinglée ou quoi ? Tu crois qu’on va baiser ma mère à deux ?? Et puis d’abord elle n’est pas là depuis 10 jours maintenant.

— Ben oui, je le sais bien, elle était a Paris et là, à Marseille depuis 4 jours, c’est pour ça qu’elle ne pouvait pas être chez toi et je comprends qu’elle soit fatiguée la pauvre, en tout cas elle a encore été au top !

— Bon là, je comprends plus rien du tout ,vous avez quoi tous avec moi, tout le monde est bizarre, me regarde avec des sourires en coins, toi tu te jettes sur moi , on devient amants comme ça , t’arrête pas de me parler de ma mère , tu sais ce qu’elle fait ou elle se trouve, alors que mon père et moi on a aucune nouvelle . Vous êtes tous devenus fous ou c’est moi ?

— Attends, tu te fous de moi là, tu plaisantes ou alors merde ce n’est pas possible ! Tu ne sais pas pour ta mère ?

— Savoir quoi bordel de merde, écoute sois plus claire, je ne suis pas violent mais là tu me pousses à bout !! SAVOIR QUOI ???

-Oh merde tu ne sais pas bon écoute je suis désolée Antonin je te dis rien au téléphone. Si j’ai bien compris la situation et tu sembles honnête, alors c’est trop horrible pour toi.

Écoute, demain je fais péter mes heures de cours, et tu sais que c’est un gros sacrifice pour moi, je le fais jamais d’habitude (en effet Coralie était une étudiante très brillante dans sa matière et pas que le cul !)

On se donne rendez-vous au café «  tango » a 9h00, il n’y aura personne, là, je t’expliquerai tout, et je te commanderai un double whisky, tu en auras besoin.

— Heu, bon je comprends rien mais d’accord.

— Encore un truc Antonin, tu n’es pas seulement un amant passable, tu es un mec superje crois que je commence à éprouver des choses pour toi et crois moi demain cela te réconfortera de le savoir ! À demain ! »

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