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Comment négocier un prêt quand on a que son physique pour soi – Chapitre 1

Comment négocier un prêt quand on a que son physique pour soi - Chapitre 1



Cest fou ce quil faut faire pour obtenir un prêt à la consommation de nos jours. Pour tous ceux qui sont sans le sou et qui galèrent, ce nest vraiment pas facile. Quoi ? Comment ça qui je suis ? Vous ne me reconnaissez pas ? Cest vrai que jai changé depuis la dernière fois. Souvenez-vous de moi, la jolie Daphnée. Mais si, rappelez-vous. Vous aviez suivi mon histoire lorsque jai passé mon permis de conduire (Comment avoir son permis quand on est bien foutue mais fauchée, du même auteur). Et bien oui Cest moi. Ma vie a évolué depuis le lycée. Aujourdhui je ne suis plus blonde mais brune (je me suis faite une couleur) et surtout je suis maman.

Souvenez vous que javais besoin de passer mon permis pour avoir un nouveau boulot que je venais de décrocher. Dabord à mi-temps puis à temps complet après lobtention de mon BAC. Etant complètement fauchée, jen étais venu à payer mes leçons de conduite en nature. Jétais même allé jusquà coucher avec lexaminateur du permis de conduire pour lavoir.

Ne roulant pas sur lor javais pu macheter une bagnole doccaz. Pour cela je navais pas hésité donner de ma personne pour obtenir une réduction. Jai sucé le vendeur. Ce séduisant jeune homme était hésitant au début. Malheureusement on sest fait surprendre par son chef. Un gros bonhomme très moche et puant le tabac froid qui a exigé davoir lui aussi sa part du gâteau sinon il naurait pas hésité une seconde à me dénoncer aux flics. Jai du me résoudre à ce quil me prenne brutalement sur son bureau. Enfin bref javais fini par obtenir ce que je voulais.

Cest dans ce nouveau boulot que jai rencontré le père de mon fils. Jai été engagée à la réception dun hôtel. Le genre dhôtel bon marché que lon trouve dans les zones commerciales entouré de restaurants, en périphérie des grandes villes. Au début je navais pas remarqué que le patron me tournait autour. Cet homme avait monté son affaire, un hôtel franchisé, avec son épouse. Il avait un physique quelconque mais toujours propre sur lui. A force de compliment et de petites attentions il a fini par me serrer dans une des chambres et régulièrement on senvoyait en lair en cachette.

Il me promettait de quitter sa femme car il maimait mais comme elle était malade, il ne pouvait pas le faire tant quelle ne serait pas guérie. Tout ça était faux, je ne lai appris que bien plus tard. Je me suis retrouvé enceinte par accident. Je ne me lexplique pas. On utilisait des préservatifs pourtant. Peut être que lun deux a craqué, je savais que ça arrivait mais bon cétait fait. Je pensais utiliser ma grossesse pour le hâter dans sa décision mais quand il a appris la nouvelle, il sest montré froid et distant, prêt à me virer pour éviter tout scandale. Je lai menacé de tout balancer et de demander un test ADN. Du coup on a trouvé un accord entre nous. Il me trouve un poste équivalent parmi son réseau de partenaire, il me verse par virement bancaire une petite somme, sans limite de temps, pour le bébé et en échange, il ne veut plus entendre parler de moi. Bien sur si le virement venait à sarrêter avant les 18 ans de lenfant je me gardais le droit de mettre ma menace à exécution et de tout déballer sur la place publique.

Voila comment je me suis retrouvé seule avec un Bébé à 21 ans.

Ça fait maintenant 3 ans depuis ça et je ne suis pas à plaindre. Mon boulot est sympa et ma supérieure ma prise sous son aile. Elle ma même trouvé un appartement moins cher et plus grand au près dune de ses amies qui tiens une résidence. Que demander de plus.

Avec le temps ma vieille bagnole commençait à prendre de lâge. Plus le temps passait plus javais de frais dessus. Sans compter quelle nétait pas super adaptée pour transporter le petit et ses affaires. Jai donc entrepris demprunter de largent auprès de ma banque. Jai pu avoir un entretien avec un conseiller qui ma donné un dossier à remplir. Jai fais mes calculs pour ne pas avoir de trop grosses mensualités à payer et jai redéposé mon dossier. Ce nest que quelques jours plus tard que mon conseiller me recontacta pour un rendez vous. Je me prépare, je me fais toute belle avec un beau soutif style Wonderbra (même si je nen ai pas forcement besoin pour avoir une poitrine que attire lil mais autant mettre tous les atouts de son coté). Un joli chemisier dont je laisse les boutons du haut ouverts. Une veste style tailleur ainsi quune jupe qui narrivait pas au genou et des talons.

A mon arrivée à la banque on ma fait patienter. Ce conseiller, je ne le connaissais pas. Celui que javais avant à été muté sur une autre agence. Soudain dans le couloir je vois une ombre savancer, un gros bonhomme, à vu de nez 120 . 130 kilos, presque 1 m 70 et habillé dun costume-cravate élégant. Quand il est apparu à la lumière, avec son visage joufflu, je lui aurais donné la quarantaine facile, presque même la cinquantaine.

— Mlle Daphné Rivoli ?

— Oui

— Je suis Bertrand Perrault, votre conseiller. Veuillez me suivre dans mon bureau sil vous plait. Dit-il de sa voix grave.

Cet homme semblait mal à laise en ma présence. Son regard semblait fuir le mien. Je lavais remarqué dès le début que louverture de mon chemisier attirait son regard, quil sefforçait de sen détourner, sapercevant que je lavais remarqué. Il rougissait à vue dil et ça mamusait. Cétait aussi un peu le but recherché de ce petit jeu de séduction.

— Bon mademoiselle, jai bien reçu votre dossier concernant votre demande de prêt. Avec vos revenus et vos fiches de paie, vous avez les ressources quil faut, jusque là tout va bien. Toutefois un élément manque. Vous navez personne pour se porter caution.

— Non cest vrai mais jai de quoi assumer les mensualités.

Aie ! ça commence mal. Cest vrai que même si maintenant je massume, il ne fallait pas compter sur mon père pour se porter caution. Déjà quil ma coupé les vivres depuis mon redoublement en terminale, cétait hors de question. Et autour de moi je ne pouvais le demander à personne dautre. Ma patronne ? Non elle avait déjà tant fait pour moi. Et puis elle avait déjà des problèmes personnels, je me voyais mal lui demander ça. Le père de mon fils Jeremy ? Ça a été la croix et la bannière pour lui faire cracher une pension alimentaire « non officielle ». Il aurait refusé. Non je navais personne. Et ça sentait mauvais pour mon dossier du coup.

— Jen conviens, les chiffres le prouvent mais avec la crise, notre hiérarchie nous impose de prendre plus de garantie. Vous navez vraiment personne ?

— Non malheureusement Je nai personne.

— Parents ? amis ? Je lis dans votre dossier que vous avez un enfant que vous élevez seule visiblement. Le père ne peut rien faire ?

— Les relations que nous avons sont très épisodique et disons . Plus que tendues.

— Je vois. Ça me navre pour vous mais malheureusement je me vois dans lobligation de vous refuser ce prêt. Si ça ne tenait quà moi, si on navait pas ces nouvelles directives et si vous étiez venu faire cette demande il y a quelques mois, jaurais pu faire quelques choses mais là je suis obligé de suivre les consignes que lon nous a imposées.

Saleté de crise. A cause de la conjoncture actuelle cest encore les petits comme moi qui trinquent. Tout ce que je demande cest 5000 pour une voiture, remboursable sur un an. Cest pas la mer à boire. Ça me désespérait. Toutefois, sa dernière phrase était curieuse. Il a bien dit que si ça ne tenait quà lui il me laccorderait. Et quil était obligé de suivre ses consignes. Peut-être y avait-il un moyen de trouver une solution.

— Attendez vous voulez dire que sans ça cest mort ?

— En fait, même si, au final, cest moi qui ai le dernier mot pour lattribution du dossier, cest moi qui ai le pouvoir de décision, au moindre problème, non seulement on peut vous demander de tout rembourser mais je risque des ennuis.

OK donc ce nest pas impossible. Je le vois tout rouge et troublé. Il faut dire que je mamuse depuis le début à mettre ma poitrine bien en évidence. Pourtant je le vois il est marié (ça se voit à son alliance), il a une photo de sa femme et de ces enfants sur son bureau donc une poitrine il sait ce que cest. Il nest pas puceau. Il est peut être timide tout simplement. Quà cela ne tienne, je tente ma chance. Visiblement je nai plus rien à perdre. Au pire il va me dire « non » pour mon prêt et méconduire poliment.

— Vous voulez dire que vous pourriez me laccorder mais que vous ne prendrez pas le risque ?

— Exactement.

— Et si je vous certifiais que ça narrivera pas ? quil ny aura jamais aucun défaut de paiement ?

— Vous ne pouvez me le garantir. Il suffit dun accident, ou quelque chose concernant votre fils par exemple, ce que je ne souhaite pas ou encore des frais inattendus .

— On pourrait tout aussi bien .. trouver un arrangement . Une solution qui pourrait nous satisfaire lun comme lautre. lui dis-je en lui faisant du pied, en commençant à caresser sa main, à humecter mes lèvres tout en lui lançant un regard sensuel et en me penchant tout en comprimant ma poitrine entre mes bras.

— < GLURP > Ecoutez mademoiselle, je suis flatté de lintérêt que vous me porter mais . Je suis marié, Ce nest pas en me charmant que vous obtiendrez quoi que ce soit.

Dans sa phrase je sentais de la frustration. Cétait évident jétais à son gout mais il sy refusait. Il était fidèle à sa femme. Tant mieux pour elle et tant pis pour moi alors. Jallais devoir faire avec, ou plutôt sans.

— Bon . Daccord. Tant pis je ninsiste pas. Je peux dire adieu pour la voiture..

— Je suis certain que vous trouverez une autre solution. Malheureusement, avec un dossier comme le votre, je ne peux me risquer à vous le donner.

— Au moins jaurais tenté ma chance.

Il me raccompagna poliment à la sortie. Bon bah, il va me falloir trouver autre chose. Une autre voiture peut-être ? Moins chère et moins adaptée ? On va voir.

Ça faisait une semaine que javais eu mon rendez vous avec mon banquier. Pour linstant, la seule solution que javais trouvé cétait de retourner chez ceux qui mavaient vendu ma première caisse. Je savais que le patron, avec la lubricité qui le caractérise, allait me demander beaucoup pour avoir une voiture potable et pas trop chère. Cétait sur que, si jallais les voire, jallais passer à la casserole. Ok je nai pas eu dhomme depuis . Le père de Jeremy mais ce nest pas une raison pour me farcir un gros dégueulasse qui allait vraisemblablement me frapper pour satisfaire ses penchants sadiques.

Je revenais de ramener mon fils chez ma mère qui le gardait de temps en temps quand mon téléphone sonna.

— Mademoiselle Rivolli ? Ici monsieur Perrault, votre banquier. Je ne vous dérange pas ?

— Non, non, jarrive à linstant chez moi.

— Parfait. Jai étudié votre dossier jai peut-être trouvé une solution.

— Ah ? vous mintéressez.

— Jaimerai vous en parler.

— Ok, où et quand ?

— Je suis actuellement en déplacement clientèle et jai un dernier client à aller voir. Je passerai à proximité de chez vous au retour. 15h ça vous va ?

— OK, 15h chez moi parfait. Je vous attends.

— A tout à lheure.

Jétais impatiente de connaitre cette solution dont il parlait. Si ça pouvait me permettre de ne pas aller voire ce gros obsédé de vendeur de voiture, je devais saisir ma chance.

15h Pétante, jattends mon banquier. Jai préparé du café, mis de lordre dans mon salon et fait un brin de ménage. De ma fenêtre je vois une grosse Mercedes se garer. Je le vois en sortir avec sa mallette.

Je me précipite à la porte, attend quil sonne pour lui ouvrir.

— Bonjour mademoiselle

— Bonjour monsieur. Entrez.

Impatiente de connaitre cette solution qui menlèverait un gros poids, je linstalle et lui offre un café. Je nai pu mempêcher de remarquer quil était plus souriant que la dernière fois, plus à laise. Par contre son regard semblait désespérément chercher mon décolleté. Raté mon gros, aujourdhui il fait frais. Jai mis un pull.

— Bon venons en à lobjet de ma venue. Comme je vous lai dit au téléphone jai peut-être une solution pour votre prêt.

— Oui ?

— Je dispose de fonds propres alloués par ma banque pour . Disons, des besoins ponctuels.

— .. Oui ? . Et en quoi votre caisse noire peut maider ?

— Ce nai pas une caisse noire. Cest légal. Je comptais profiter de se compte à part pour . Me porter personnellement caution pour vous.

— Cest vrai ? .. Mais je sens quil y a une contrepartie. Je me trompe ?

— Effectivement . Comment dire ça ?

— Essayez avec des mots ce sera plus facile. ..

— Quand jai vu que vous étiez prête à . Me charmer..

— Vous vous êtes dit que vous pourriez en profiter ?

— . Oui, comme un échange de bon procédés, on pourrait se voire de temps en temps, on fait un petit calin ..et jassure vos arrières pour votre prêt. Quen pensez-vous ? ma-t-il dit en me caressant la main.

Un échange de bons procédés, cest exactement comme ça que Philippe, mon moniteur dauto école avait nommé le fait que je couche avec lui pour payer mes leçons de conduite et quil a qualifié ma nuit damour avec lexaminateur du permis de conduire pour que je puisse lavoir. Pourquoi pas après tout. Ce banquier qui était en face de moi me proposait un compromis qui mallait et que javais envisagé lors de notre précédent rendez vous. En plus, il ne semblait pas méchant, juste un peu timide, il navait pas lair dêtre le style dhomme violent mais plutôt gentil.

— Je pourrais être intéressé . Toutefois, vous êtes marié . Et je me demande bien ce que deviens votre femme à vos yeux dans le cas présent ?

— Bien que ça ne vous concerne pas, jy ai vu, en fait, la une opportunité. Depuis quelle a eu sa promotion, ma femme et moi on se voit de moins en moins, on ne travail pas aux même horaires, on se croise en coup de vent et .

— Laissez-moi deviner : vous avez besoin de tendresse ?

— Je naurais pas formulé ça comme ça mais cest lidée. Ce que je vous propose cest juste de prendre du plaisir entre personnes adultes. Après si vous ne voulez pas je comprendrais.

Au moins il était honnête. Il nétait quun homme en manque dattention qui cherchait laffection dune femme. De mon coté au niveau mec cétait le zéro absolu. Autant en profiter aussi. Il me lavait dit : cétait juste sexuel. Autant tenter le coup.

— Et si jaccepte, comment ça se passera ?

— Je ne sais pas . On peut se voir .disons une fois la semaine. Faut quand même rester discret. Plus, serait de la gourmandise. On convient dun jour et dune heure, je vous appelle. On le fait et on se sépare jusquau prochain rendez-vous. Quen dites-vous ?

— Pourquoi pas. Mais on ferait ça pendant combien de temps ?

— La durée de votre prêt, 1 an.

— Ça fait beaucoup quand même.

— Si ça peut vous rassurer, Il y a des semaines où je ne serais pas disponible, où il ne se passera rien. Par exemples pour les fêtes de fin dannée, on a lhabitude de partir en famille durant 3 semaines au ski. Parfois je suis en séminaire ou déplacement professionnel. Je vous préviendrai avant bien sur. Ça vous va ?

— Ça me parait correct.

Cette phrase sonnait comme un accort tacite entre nous. Il sapprocha de moi pour membrasser délicatement avant de commencer notre arrangement.

— Bon bah si on est daccord, on va commencer alors. Me dit-il en me regardant dans les yeux avec insistance.

— Vous je sais ce que vous voulez.

— Je pense quon peut se tutoyer maintenant en privé du moins.

— Daccord … Je vais te donner ce qui te fait envie depuis notre première rencontre.

Je me suis alors approché de lui et jai retiré mon pull, puis mon T-shirt et enfin mon soutient gorge pour me retrouver seins nus à quelques centimètres de son visage. Voyant quil restait hésitant à ravaler sa salive, ne quittant plus mes deux globes du regard, jai pris sa tête entre mes mains pour la fiché sur ma poitrine. Je le sentais soupirer et ses mains sont alors venues me masser. Sa langue commençait à tourner autour des mamelons. Il était heureux et du coup il sest levé de sa chaise.

— Bon je vais te montrer quelque chose et tu vas me dire ce que tu en penses.

Suite à cette phrase, il déboucla son pantalon, baissa son caleçon et se retrouvait devant moi, le service trois pièces à lair.

— Alors ?

— Joli morceau

— Merci…. A toi de me montrer ce que tu peux faire avec.

Je me suis alors mis à genou devant lui qui soutenait sa bedaine dune main, et jai commencé à lui sucer la queue. Sa queue qui proportionnellement à son volume semblait petite mais de près restait de taille plus quhonorable.

Alors que je lavais en bouche, lui me caressait les cheveux avec sa main libre. Je le sentais frétiller entre mes lèvres et entendait son souffle haletant et ses soupirs de plaisirs qui se faisaient de plus en plus forts. Je lai sucé jusquà ce quil fasse éclater son plaisir dans ma bouche par un râle de satisfaction. Après lui avoir bien nettoyé sa tige, je me suis retourné vers le lavabo de la cuisine adjacente au salon pour me rincer alors que lui, tout sourire, commençait à se reculotter.

— Ma chère Daphnée cétait super. Bon quand est-ce quon se revoit ?

— Je ne sais pas. La semaine prochaine, même jour même heure cest possible ?

— Oui, mais peut-être plus tard. Je nai pas toujours de rendez-vous à lextérieur. Faudra parfois attendre que ma journée à la banque se termine et je promets de venir ici juste après.

— Ok, Vous . Enfin tu as mon numéro. Donne-moi lheure et je marrangerai pour que mon fils soit chez ma mère.

— OK. On fait comme ça.

Cest ainsi que cette relation entre nous a commencé. On se voyait toutes les semaines, ou presque, et chacun y trouvait son compte.

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