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Concours Xstory Premières fois – Chapitre 2

Concours Xstory Premières fois - Chapitre 2



Une partenaire inattendue,

Cest la lumière du jour qui me réveille. Jai un peu de mal à savoir ce que je fais au milieu du salon sur un tapis fait de couvertures, de couettes, de coussins et doreillers. Soudain tout me revient à lesprit et je suis surprise de ne pas ressentir la moindre parcelle de honte ou de culpabilité. Jai envoyé à Michel un SMS suivi de bien dautres hier soir et jai vu, avec bonheur que non seulement il nétait pas jaloux, mais quen plus il mencourageait à poursuivre ma quête du plaisir et des expériences, quelles soient individuelles ou collectives.

Du bruit sur le balcon me fait comprendre que mes amis ont repris le travail et je les remercie intérieurement de mavoir permis de récupérer. Je me lève et file dans la cuisine. Le café est prêt et des tartines beurrées et recouvertes de confiture. Je minstalle et savoure ce petit déjeuner, mapercevant que jai une faim de loup. Une fois rassasiée, je me dirige vers la salle de bain et prends une douche qui me réveille définitivement et me prépare pour une journée, que jimagine pleine de plaisir et de joie. Enfilant mon peignoir sur mon corps nu, je retourne à la cuisine et me sers un autre café en allumant une cigarette. La tasse dans une main et la cigarette de lautre je vais dans le salon et ouvre la porte du balcon. Fred et Luc sont en train dinstaller des barres de fer contre le mur et sourient en me voyant.

— « Tu as bien dormi ma belle ? » demande Fred.

— « Jespère quon ne ta pas réveillée ? » renchérit Luc.

— « Non, non, cest le soleil qui ma réveillée, et jai dormi comme une souche. Et vous, ça fait longtemps que vous êtes debout ? »

— « Fred nous a réveillé à 6 heure et nous a fait sortir sans bruit, malgré Damien qui voulait te faire certaines petites choses afin que tu te réveilles de bonne humeur. Fred a dû le sortir avec la promesse dun coup de pied dans le cul sil nallait pas plus vite ! »

— « Je me suis réveillée de bonne humeur et jespère que Damien na pas été trop déçu quand même ? »

— « Un peu, mais cest plus à moi quil en veut, et ça je men fous ! » tranche Fred.

— « Et les deux autres ils sont où ? »

— « Thomas travaille sur le mur à larrière et Damien prépare les plaques dans le garage. Mais tu devrais rentrer car il fait froid et tu nas pas lair très habillée pour supporter les rigueurs de lhiver. »

— « Tu as raison, vous avez deux heures pour me dire ce que vous voulez manger à midi et ce soir, ensuite jirais faire des courses. Allez, à tout à lheure les hommes, et nhésitez pas à demander si vous avez besoin de quelque chose, café, cigarettes ou autre chose ! »

— « Ok Bab, rentres avant dattraper froid. »

Je rentre dans le salon et range les affaires qui traînent au milieu du salon. Une fois terminé, je prends le linge dans le bac et descends pour le mettre dans la machine à laver. Entrant dans le garage je vois Damien afféré devant de grandes plaques et lui dis :

— « Bonjour Damien tu as bien dormi ? »

— « Très bien et toi ? »

— « Super. Mon petit doigt ma dit que tu avais plein de bonnes idées à mon encontre ce matin, mais que tout avait été un peu freiné par ton chef. »

— « Men parles pas, enfin on se rattrapera ce soir, non ? »

— « Jespère bien aussi. Allez, je vais laver ça sinon je serais à la bourre. »

Pénétrant dans la buanderie je sens le regard du jeune homme sur moi et cela me rend heureuse de me sentir belle et désirée. Ouvrant le couvercle de la machine, jy jette le linge et alors que je me penche pour prendre le bidon de lessive je sens une présence derrière moi.

— « Ne me touches pas intimé-je dune voix forte – tu as les mains dégueulasses et je sors de la douche, alors gardes les mains loin de moi. »

— « Mais jai envie de te toucher moi. Depuis que je me suis levé je ne pense quà ça. »

— « Alors, laisses moi finir et attends. » dis-je en préparant la lessive.

Je mets la machine en marche et je me retourne vers lui. Il est presque en transe et ses yeux sont fixés sur moi. Plantant mon regard dans le sien, je pose ma main sur la bosse quil arbore au niveau de la braguette de son bleu de travail. Je suis toute chamboulée de sentir ce désir chez ce jeune homme qui a presque 15 ans de moins que moi. Sans le quitter des yeux, jouvre sa fermeture éclair et ma main pénètre par là, à la recherche de son sexe dressé que je prends immédiatement entre mes doigts. Magenouillant face à lui, je quitte enfin son regard pour ne plus que me concentrer sur la bite tendue de Damien. Après lavoir gratifiée dun petit coup de langue, je lengloutis et commence à le sucer avec bonheur et délice. Sentir ce membre chaud dans ma bouche, le désir immense de ce garçon et ma propre envie de jouir de la vie et de ce quelle moffre, mexcitent au plus au point et une de mes mains ségare entre mes cuisses. Tandis que je donne du plaisir à cet homme que je ne connaissais pas il y a encore quelques jours, ma main branle avec dextérité mon clitoris, dune sensibilité extrême. Chaque fois que je sens quil va me toucher avec ses mains sales, je mordille son sexe gonflé de désir. Les mains séloignent et je reprends mon uvre, léchant son gland, sa hampe et ses couilles poilues et remplies de semence quil me réserve. Réclamant plus que ne peut moffrir ma main, jarrête ma succion, me redresse et prenant un peu délan, massois sur la machine à laver. Ecartant les cuisses, je le regarde et lui demande de me prendre.

— « Tu peux me prendre par les hanches si tu veux, mais ne mets pas tes mains ailleurs, ok ? »

— « Ok ! » dit-il avant de se coller contre moi.

Son gland butte contre mon sexe trempé et déjà préparé par mes doigts experts. Me sentant prête, il pousse un cri rauque et se retrouve planté en moi, entamant immédiatement un va-et-vient rageur qui me comble de joie. Il me tient par les hanches, me faisant presque mal tant son désir est fort, mais le mien étant au moins aussi grand, je ne fais aucune remarque et prends même du plaisir à cette brusquerie. Il a lair infatigable et lorsquil jouit en moi au bout de 5 ou 6 minutes je suis déjà grimpée 3 fois au septième ciel.

Le repoussant, je lui dis quil faut que nous retournions chacun à nos occupations, mais que je le remercie pour ce plaisir matinal.

— « Cest toi quil faut remercier, tu es vraiment géniale Barbara ! »

— « Merci, tu es très bien aussi. » dis-je en lui posant un baiser sur le coin de la bouche.

Remontant à létage je retourne prendre une douche, à la suite de quoi je mhabille, choisissant des vêtements qui saccordent avec mon état desprit. Le téléphone sonne à cet instant.

— « Allo ? »

— « Barbara ? Cest Patricia. De Jausiers. » rajoute celle-ci, afin quil ny ait pas de méprise.

— « Oui, je tai reconnue. Comment vas-tu ? »

— « Pas très bien à dire vrai, jai vraiment envie de te voir et de pouvoir parler avec toi. »

— « Et bien fais-le. » dis-je, en me disant quelle na vraiment pas lair bien du tout.

— « Justement, je suis à 20 kilomètres de chez toi. Je suis partie de Jausiers à 1 heure du matin et je me suis tout de suite dirigée vers chez toi, mais je ne pouvais pas te téléphoner avant de peur de te réveiller. »

— « Tu as bien fait. Je veux dire, de venir. Par contre tu peux me téléphoner à nimporte quelle heure quand ça ne va pas. Cest à ça quon reconnaît ses amis, non ? »

— « Peut être, mais moi tu sais, des amies, je nen ai pas vraiment. A part toi bien sûr, mais tu as les enfants et tu ne peux pas être toujours disponible. »

— « Ne tinquiètes pas, les enfants sont chez leurs tata et tonton pendant encore presque 10 jours. Jusquà la fin des travaux. Tu pourras les voir quand même, ce nest quà 20 kilomètres. »

— « Génial, mais cest vrai que cest bien que tu sois seule, car jai des choses pas très drôles à te dire et je ne voudrais pas quils me voient pleurer. »

— « Cest si grave que ça ? »

— « Rater sa vie ? Oui, je crois que cest assez grave. »

— « Dans combien de temps penses tu être là ? »

— « Dici, 20 minutes. Jai sorti le plan pour aller jusquau Mac Do près de chez toi, ensuite je tappellerais. »

— « Ce nest pas la peine, je vais y aller à pied et je te guiderais après. On ira faire des courses et on rentrera à la maison. Ok ? »

— « Super, jarrive le plus vite possible. »

— « Prends ton temps, cest pas le moment davoir un accident. Allez, raccroche et à tout de suite. »

— « A tout de suite. »

Je viens juste darriver devant le fastfood lorsque japerçois la petite Clio verte. Patricia se penche pour ouvrir la portière et je massois à ses côtés. Nous tombons dans les bras lune de lautre et je maperçois quelle pleure doucement.

— « Ne pleure pas. On va faire des courses et on file à la maison pour parler, ok ? »

— « Daccord. »

Alors que nous marchons sans parler dans les allées de Cora, je remarque soudain le changement qui sest produit en mon amie depuis la dernière fois que je lai vue. Non seulement elle a maigri et serait, si son visage nétait pas marqué par la tristesse, très jolie. Sa façon de se vêtir est elle aussi totalement différente. Même si elle nest pas habillée à la dernière mode, on voit quelle a mis du goût à choisir ses vêtements, qui ne sont plus du tout là pour être uniquement fonctionnels. Elle porte toujours un jean, mais celui-ci est bien coupé et met ses jambes et ses fesses en valeur. Le pull léger quelle porte, met plus en valeur ses formes, plutôt quil ne les cache. Enfin, elle ne porte plus ses grosses chaussures de montagne, mais des escarpins sans talons, et très jolis. Je lui fais part de ma surprise face à sa perte de poids.

— « Jai presque perdu 10 kilos en quatre mois. »

— « Wouaouhhh !!! »

— « Et oui, mais cétait pas du luxe, non ? »

— « Oh, tu nétais pas grosse quand même ! »

— « Pour une tenancière de café de campagne, non, mais pour une prof de science, jai pensé que ce nétait pas vraiment engageant. »

— « Cest très réussi, tu es très belle, même si ton air triste ternit un peu le tableau. »

— « Oui je sais, mais je préfère quon soit au calme pour en parler. Daccord ? »

— « Daccord. De toute façon jai fini. Je paye et on rentre à la maison. »

Après avoir payé, chargé les courses dans la voiture nous roulons vers la maison. Je lui explique les travaux et le bruit dans la journée. Je lui parle aussi des arrangements que jai pris avec les ouvriers pour les repas et les douches. Elle me répond quelle trouve ça sympathique de ma part et que si je my fais, elle sy fera aussi et quelle ne veut pas que je change quoique ce soit pour elle. Arrivées devant la maison, je descends les courses, tandis quelle prend ses sacs et me suit. Les gars nous suivent des yeux, mais aucun ne fait une réflexion. Déposant les courses sur la table de la cuisine, je laccompagne dans la chambre afin quelle y pose ses affaires. Il nest pas encore dix heures et je propose un café et une cigarette. Elle accepte les deux, et se met à parler, les larmes coulant le long de ses yeux.

Elle mexplique que rien ne va plus avec Serge et quil lui rend la vie impossible depuis quelle a pris sa place de prof au lycée. Quand elle a commencé à maigrir et à shabiller différemment il a commencé à lui faire des scènes et des fois, lui faire vraiment peur. Elle dit quil ne comprend pas son envie de travailler alors quils nen ont pas besoin financièrement, et que lorsquelle lui objecte que cest pour faire quelque chose, voir des gens différends, il explose, lui disant que cest pour chercher un autre homme quelle le fait. Elle me dit que pourtant ce nest pas pour ça, quil y a longtemps quelle sait que les hommes ne sintéressent plus à elle, et quils ne la voient absolument pas comme une femme.

— « Avant peut être, mais maintenant, tu es vraiment féminine, vraiment belle. »

— « Arrête de me raconter des bêtises, je sais comme je suis. »

— « Non, tu sais comme tu étais. Viens avec moi. » dis-je en lui tendant la main.

Elle me suit docilement et nous pénétrons dans la chambre où je la place devant le miroir de larmoire.

— « Regarde-toi bien. Même si tu nes pas maigre tu es très bien faite, tu thabilles avec plus de goût et tes vêtements, même sils ne sont pas hyper sexys, mettent ton corps en valeur. Je connais beaucoup dhommes qui se retourneraient sur toi. Tu nas pas remarqué ? »

— « Non, pas du tout. »

— « Alors lève les yeux et cherche leur regard et tu verras. »

— « Tu crois ? »

— « Jen suis sûre ! Ecoute, si tu veux bien, je vais moccuper de toi et tu peux rester ici le temps que tu voudras et je te jure que jespère que ce sera long. »

— « Cest vrai ? Alors jaccepte ton invitation. Je suis vraiment heureuse de ne pas mêtre trompée en pensant que tu étais mon amie. Et toi, ça va, tu nas pas de problème ? Il reste encore deux mois avant le retour de Michel, non ? Ca doit être long. »

— « Oui, cest très long, mais nous correspondons beaucoup, par mail, SMS et téléphone. »

— « Oui, bien sûr mais ce nest pas pareil. »

— « Tu as raison – dis-je dun air grivois – mais jai des compensations. Ne me demande pas lesquelles, je texpliquerais peut être plus tard. »

— « Ok, comme tu voudras. »

— « On va préparer le repas pour les hommes et après on va aller faire quelques courses pour nous, daccord ? »

— « Je te suis. »

Nous préparons le repas, puis lorsquil est prêt je vais trouver Fred et lui explique ce que nous avons décidé. Il dit quil ny a aucun problème et nous souhaite une bonne journée.

Nous remontons en voiture et cest moi qui conduis pour aller dans les magasins que jaie choisi. Le premier est une grande surface où nous trouvons plein de jolies fringues. Elle me dit quelle ne pourra jamais mettre des trucs comme ça, mais la forçant à les essayer, elle saperçoit quaprès tout, ça ne lui va pas si mal. Je lui choisis deux robes boutonnées sur lavant, une beige et lautre vert pomme, ainsi que des pantalons mettant ses jambes en valeur. Pour le haut, je trouve des chemisiers, des tee-shirts aux couleurs éclatantes et des petits pulls colorés et collants au corps. Changeant de rayons, je lentraîne au milieu dune foison de sous-vêtements tous plus affriolants les uns que les autres. Elle refuse tout dabord de les regarder, puis se met à les toucher, les comparer et enfin à les choisir. Il faut toute ma persuasion pour arriver à lui faire prendre des strings. Objectant que ça doit être très inconfortable, je lui avoue ne porter que ça depuis des années et men trouver très satisfaite. Elle a du mal à me croire alors je lentraîne dans une cabine et lui prouve la véracité de mes dires. Elle trouve ça très beau et accepte de se laisser tenter. Les sacs commencent à être bien remplis et je décide de lentraîner dans un autre magasin, celui-ci étant spécialisé dans les chaussures, les sacs et autres petits accessoires. Là aussi nous faisons une razzia et cest la carte bleue incandescente que nous décidons de mettre un terme à nos dépenses. La tristesse a disparu du visage de mon amie et cest en plaisantant et riant aux éclats que nous rentrons à la maison.

Arrivées devant la maison, nous garons la voiture dans la rue dà côté et entrons. Les garçons sont en plein ouvrage et nont guère le temps de nous jeter un coup dil. Nous posons les sacs dans la chambre et allons prendre un café dans la cuisine. Je maperçois que les gars ont tout rangé, fait la vaisselle et lont aussi essuyée et rangée. Ouvrant la fenêtre je leur crie :

— « Merci mes chéris pour le rangement ! »

— « De rien !! » crient ils en chur.

— « Je te trouve bien familière avec les ouvriers. » sétonne Patricia.

— « Cest que ils sont devenus un peu comme des amis depuis 4 jours. »

— « Tu métonnes, tu leur prépares à manger, tu leur prêtes ta douche ! Ils peuvent être contents ! »

— « Oui, cest sûr, mais il faut dire quils me rendent bien ma gentillesse. » répondis-je, énigmatique.

Reprenant notre discussion, japprends que Patricia soupçonne son mari davoir une liaison avec une autre femme de Jausiers. Lui demandant si je la connais, elle répond que non, car cest une femme qui venait de revenir après plusieurs années passées à Marseille. Je linterroge, car elle na pas lair den souffrir plus que ça.

— « Tu sais, cela fait des mois quil ne ma pas touchée, et même si je nai jamais été très portée sur la chose, je dois dire que ça me manque un peu, mais je dois avouer aussi que je naie plus vraiment envie de le faire avec lui, vu comment il se comporte avec moi. »

— « Tu veux prendre un amant ? »

— « Ca ne va pas non ? Non, je constate seulement que les relations me manquent, mais je ne pourrais jamais le tromper. »

— « Et pourquoi ? Tu dis que tu penses quil le fait, alors pourquoi te gênerais tu ? Tu as le droit de prendre du plaisir, même sil ne veut pas te le donner. »

— « Tu sais, jen prends, mais toute seule. »

— « Oui et bien la branlette cest bien, mais on atteint vite les limites ! »

— « Cest un peu vrai. Jai limpression depuis quelques mois de régresser. De redevenir adolescente. »

— « Pourquoi ? »

— « Parce que depuis que jétais mariée, je ne métais plus jamais caressée. Par contre depuis quelques mois, je narrête pas de le faire, comme si le fait de nêtre plus désirée avait dopé ma libido ! Ca me fait tout drôle de ten parler aussi librement, je nai même pas honte.»

— « Honte de quoi ? Tu ne fais que ce que tout le monde ferait dans pareil cas, non ? »

— « Peut être, mais il ny a que lorsque je suis avec toi que je ne suis pas gênée. Cest bizarre, non ? »

— « Je ne sais pas. Tu sais, moi aussi, en quelque sorte je suis une femme délaissée. »

— « Et bien tu nen as pas lair. Ça ne te manque pas à toi ? Je veux dire sans Michel ? »

— « Beaucoup, mais comme toi, jai des palliatifs. »

— « Jimagine ! »

— « Je ne crois pas non, mais cest une autre histoire. »

— « Je ne comprends pas ce que tu veux dire, mais je pense que tu mexpliqueras plus tard. »

— « Oui, jen suis sûre. Bon, on va essayer tes frusques ? »

— « Maintenant ? »

— « Non, le mois prochain ! Bien sûr maintenant, quand veux-tu y aller ? Et puis si tu les as achetées, cest pour les mettre, non ? Alors allons dans la chambre et fais moi voir tout ça. »

Nous allons dans la chambre et je massois sur le lit, le dos contre le mur et attends quelle se change. Elle a lair gênée et se déshabille tout doucement, ne cessant pas de parler.

— « Allez – mimpatientais-je – arrête de parler et enlève tes fringues. »

— « Ça me gêne un peu de me déshabiller devant toi. » dit-elle, piteuse.

— « Tu plaisantes ! On est faites pareille non ? »

— « Oui, mais je ne me suis jamais mise nue devant une autre fille et ça me gêne vraiment. »

— « Quà cela ne tienne ! – dis-je en me levant et en me mettant nue plus vite que je ne laie jamais fait. – et maintenant, tu auras moins honte ? »

— « Ben je crois oui. » et elle termine de se dévêtir.

Je lui choisis dabord les sous-vêtements. Un string noir et un soutien-gorge assortis. Elle les enfile gauchement, si bien que je suis obligée de laider. Arrangeant un sein qui déborde un peu de son balconnet et centrant la ficelle du string qui partait un peu de travers.

— « Ça me fait tout drôle, jai limpression que ça me rentre dedans. »

— « Cest un peu le but, tu sais. »

— « Oui, jimagine, nempêche que cest un peu gênant. »

— « Tu vas thabituer, et puis cest très excitant par moment. »

— « Tu métonnes ! » dit-elle en riant.

Je me remets sur le lit et la regarde essayer les robes, les pantalons et les hauts. Une fois terminé, elle décide de porter la robe verte. Je lui demande dessayer tous les sous-vêtements de manière à voir lesquels iront le mieux avec sa robe.

— « Personne ne verra si cest assorti. » dit-elle.

— « Tu nen sais rien, et puis moi je le sais et je trouve que ce serait une faute de goût. »

— « Et toi, tu ne thabilles pas ? »

— « Moi je suis bien à poil, mais je vais prendre une robe de la même coupe que la tienne. »

— « Et les sous-vêtements ? »

— « Là je crois que je vais te laisser sur place car jen ai des tas et tous plus sexy les uns que les autres. »

— « Tu fais voir ? »

— « Et comment ! » dis-je en sautant sur mes pieds et en ouvrant tous les tiroirs de ma commode.

Je sors un ensemble tout noir. String, soutien-gorge à balconnets, porte-jarretelles et bas résilles, le tout du plus bel effet. Je sors ensuite de mon armoire la même robe que la sienne mais de couleur rouge et lenfile avec plaisir.

— « On va apporter du café aux mecs ? Ils doivent se geler dehors. »

— « Oui, je pense quils apprécieront avec ce temps. Mais tu veux quon sorte comme ça ? »

— « Comment comme ça ? »

— « Et bien habillées comme ça, cest pas un peu »

— « Un peu quoi ? Provocant ? Ça fait combien de temps que tu ne tes pas habillée ? Tu sais que plein de femmes shabillent comme ça tous les jours et cest pas pour aller faire le trottoir. »

— « Tu as raison, je crois que cest ce string qui me rentre dans le enfin tu comprends, qui me gêne. Jai limpression que tout le monde sen aperçoit. »

— « Mais tout le monde sen aperçoit. » lui répondis-je en riant.

— « Idiote ! Allez, on va faire ce café ou non ? »

Nous partageons le travail, et tandis que lune fait le café, lautre prépare le plateau, avec tasses et gâteaux. Une fois le café passé, je pose la cafetière sur le plateau et suivie de Patricia je me dirige vers le garage. Comme il ny a personne, je pose ma charge et sors pour aller chercher les garçons. Je leur propose de faire une pause et ils acceptent bien volontiers. Une fois tout le monde dans le garage, nous les servons et offrons les gâteaux. Ils ont lair frigorifiés.

— « Vous avez froid ? »

— « Tu métonnes – lâches Damien – tiens regarde. » et il pose le dos de sa main sur ma joue. Il est complètement gelé et je prends sa main pour souffler dessus.

— « Combien il vous reste de temps à travailler ? » interroge Patricia.

— « Encore une bonne heure et demi. » dit Fred.

— « Les pauvres ! » dit mon amie.

— « Et après, le repos du guerrier ! » lâche Damien, immédiatement foudroyé du regard par Fred et les autres.

Le café et les gâteaux terminés, ils repartent au boulot et nous remontons à létage.

— « Il me semble bien familier le petit jeune, tu ne trouves pas ? » demande Patricia.

— « Peut être un peu, mais il est très gentil. » répondis-je.

Nous recommençons à parler et me sentant en confiance je commence à me livrer un peu plus, parlant de ce qui se passe en moi depuis deux mois. Je lui parle de mes soirées caresses et même du godemiché lapin que Michel ma offert.

— « Cest Michel qui te la offert ? Je ne te crois pas. »

— « Pourtant cest vrai. Tu sais, on sécrit des histoires qui parlent de nos fantasmes et de nos envies. Jy ai pris goût et Michel apprécie beaucoup. »

— « Je suis vraiment étonnée, et puis ce ne doit pas être évident décrire des choses intimes comme ça. Surtout en sachant que quelquun va les lire. »

— « Cest la beauté de la chose. Il se caresse en lisant mes fantasmes et je fais de même en lisant les siens. »

— « Je je pourrais en lire un ? »

— « Bien sûr. Tu veux un des siens ou un des miens ? »

— « Comme tu veux, ou plutôt non, un des tiens. »

— « Viens, je vais te les donner, ils sont dans ma table de nuit. »

Elle me suit jusquà la chambre et jouvre le tiroir. Je retire les papiers et elle ne peut que voir mon lapin, sagement installé dans le tiroir.

— « Cest lui le fameux lapin ? »

— « Et oui, – dis-je en le sortant et en le lui tendant – Patricia je te présente Bunny, et toi Bunny je te présente Patricia. Faîtes vous un bisou. »

Elle le fait en éclatant de rire. Elle me le rend et le posant sur le lit, je my assois et cherche dans la liasse, une histoire qui pourrait lui plaire. Layant trouvée, je lui la tends et elle sinstalle pour lire. Dès les premières lignes son visage sempourpre et elle me jette des regards fréquents. A peine a-t-elle fini quelle me rend les feuilles, la main tremblante.

— « Cest vraiment toi qui a écris ça. On croirait que cest du vécu. Il y a tellement de détail. Comment fais-tu ? »

— « Dabord je le rêve et ensuite je retranscris mon rêve. Cest simple, non ? »

— « Mais tu peux réellement imaginer coucher avec deux hommes, et ensuite lécrire et envoyer ça à ton mari ? Comment réagit-il ? »

— « En faisant une suite, lis là. »

Elle prend les papiers que je lui tends et recommence à lire. Là, son visage vire au rouge cramoisi. Elle serre les jambes lune contre lautre et a lair de manquer dair. Elle va jusquau bout et laisse tomber les feuilles sur ses cuisses.

— « Je nose même pas imaginer comment Serge réagirait si je lui écrivais des trucs comme ça. »

— « Essaies. »

— « Je ne pourrais pas, je ne rêve pas de trucs comme ça. »

— « Tu es sûre de ça ? Cest ce que je disais à Michel au début, mais il a insisté et jai fini par avouer que jy pensais aussi. »

— « Oui, peut être, ça marrive quelque fois, mais je refoule ça au plus profond de moi. Ce que je trouve bizarre, cest que tu es toujours la seule femme, même dans les textes de Michel, et quil y a toujours plusieurs hommes.»

— « Cest vrai, cest un de mes fantasmes, mais Michel, lui, cest bien plus quun fantasme, il aimerait vraiment me faire lamour avec un autre homme. »

— « Tu délires ? »

— « Non, je te jure que cest vrai. »

— « Mais pourquoi ? »

— « Il dit que cest pour que je découvre des plaisirs incroyables. »

— « Et toi, tu en penses quoi ? »

— « Et bien pour dire la vérité, je suis très tentée. »

— « Tu le ferais vraiment ? »

— « Je lai vraiment fait ! »

— « Quoi ?!!!! Mais quand ça ? Avec qui ? Michel le sait ? »

— « Hier, avec les 4 gars qui bossent sur la maison, et jai immédiatement envoyé un SMS à Michel qui est content comme tout et qui ma fait promettre de recommencer lorsquil reviendra. »

— « Je ne te crois pas ! »

— « Envoies lui un SMS et demandes le lui. Tiens voilà son numéro. »

— « Non, donnes moi ton téléphone. Je veux quil croie que cest toi qui appelles. »

— « Ok, tiens. »

Elle tape le message suivant : KE VOUDRE TU KE JE FASSE CE SOIR ? COMME HIER ?

La réponse ne tarde pas et elle lit à haute voix : OUI, ME DI A 1 GARS DE FILME KE JE PARTICIPE 1 PEU. JE TEM. BISOUSPARTOUT.

— « Je narrive pas à y croire. Comment accepte-t-il ça ? »

— « Parce quil a su deviner ce qui me ferait plaisir et quil ne veut que cela. »

— « Mais alors, je suis de trop ici. Jimagine que si je navais pas été là, ils seraient venus ici ce soir. »

— « Oui, mais ce nest pas grave, tu dormiras ici et nous dans le salon. »

— « Pas question, cest toi qui dormiras ici et moi là-bas. »

— « Réfléchis, comment veux tu que nous tenions à 5 dans le lit. Nous mettons des couettes et des couvertures par terre et nous dormons par terre. Du moins quand nous dormons. »

— « Je narrive toujours pas à y croire. »

— « Laisse tomber, tu verras bien ce soir. Dailleurs ils ont bientôt fini et si tu veux prendre une douche cest le moment avant quils ne remontent et monopolisent la salle de bain pendant une heure.»

— « Tu as raison, jy vais. »

Elle se dirige vers la salle deau et jen profite pour descendre avertir mes hommes de la situation. Ils ne comprennent pas vraiment ce que jattends deux, mais comme je ne le sais pas non plus, je leur demande de faire avec moi, comme si elle nétait pas là, et je leur affirme que je ferai de même. Je remonte en vitesse, retire mes vêtements et enfile une nuisette transparente, dévoilant tout mes dessous coquins. Lorsquelle sort de la douche elle reste un moment interdite en me voyant vaquer à mes occupations dans cette tenue, plus dédiée aux plaisirs quaux travaux ménagers. Elle ne dit rien et maide à préparer le repas. Elle a enfilé un de mes peignoirs et me demande si elle peut aller dans la chambre pour se rhabiller. Je lui réponds quil ny a pas de problème et elle disparaît. Pendant ce temps, les 4 hommes remontent, près à prendre leur douche. Je leur propose une bière et demande à Patricia à travers la porte ce quelle veut boire. Elle choisit un Porto et me dit quelle nen a plus pour longtemps. Apportant le plateau dans le salon, je massois au milieu de mes mecs, gratifiant chacun dun bisou. A ce moment là, Patricia entre dans le salon. Personne ne dit un mot. Elle est vêtue de la même manière que moi. Une nuisette a tout le mal du monde à cacher ses sous-vêtements affriolants. Bizarrement, elle a lair très à laise et demande :

— « Qui me fait une petite place ? »

Luc et Thomas sécartent et lui désignent la place entre eux. Elle prend place et demande :

— « Barbara, je pense que tu pourrais faire les présentations. »

— « Je pense aussi. Alors Patricia je te présente Fred, Damien et les deux gars autour de toi Luc et Thomas. Les garçons je vous présente ma meilleure amie, et comme elle ne va pas très bien en ce moment, je vous demande dêtre très gentil avec elle. »

— « Aucun problème Bab – dit Fred – Ok, les gars, pas de gestes ou de paroles déplacés envers la petite dame, compris ?!! »

— « Euh ! pour les paroles je suis daccord – dit Patricia dun air malin ( mais pour les gestes, faîtes comme vous le sentez ! » finit-elle en riant.

Tout le monde se met à rire et tous se lèvent pour lui faire la bise. Les hommes étant toujours pareils à eux même, pas un néchappe à la malédiction de la serviette et tous arborent une érection magnifique devant mon amie. Elle se contente de les embrasser dun chaste bisou sur les lèvres avant que tous ne se rassoient. Les présentations étant faîtes tout le monde lève son verre et nous trinquons à notre belle soirée qui sannonce. Buvant à petites lampées nous commençons à nous détendre, certains que cette soirée sera encore plus mémorable que celle de la veille. Contrairement à hier, cest Fred qui va en premier prendre sa douche. Luc et Thomas plaisantent avec Patricia qui rit de leurs plaisanteries, pourtant un peu lourdes par instant. Seule dans mon coin avec Damien, jai tout le mal du monde à repousser ses avances, malgré le fait que jobjecte que cest à cause de la saleté de ses mains que je ne veux pas quil me touche. Cest donc lui qui prend la place de Fred dès que celui-ci est revenu. Ce dernier, malgré une main posée sur ma cuisse, me rend compte de lavancée des travaux. Je lécoute et ma main posée elle aussi sur sa cuisse joue avec les muscles puissants qui roulent sous sa peau. Au bout dun moment, mapercevant que ma caresse a des conséquences que jaurais pu prévoir, je lui dis que je vais préparer le repas. Il me demande si jai besoin daide et jaccepte. Me levant, il me suit, ayant toutes les peines du monde à cacher son érection. Tandis quil met le couvert je maffaire à préparer le repas. Le couvert étant mis, il me demande si je désire quil fasse autre chose. Me retournant, je le regarde avec un regard espiègle en murmurant que je ne sais pas. Alors que je regarde de nouveau mes casseroles, il sapproche derrière moi et se colle contre mon dos. Immédiatement je sens que la serviette nest plus là. Son sexe dressé trouve logiquement sa place entre mes fesses et une délicieuse sensation irradie mon bas-ventre. Ses mains se saisissent de mes seins quil caresse doucement, faisant darder les mamelons. Une main sur le manche dune casserole, lautre glisse derrière mon dos et prend le membre de Fred, le branlant légèrement. Une des mains de mon nouvel ami glisse le long de mon ventre et atteint les rebords de mon string. Creusant le ventre comme pour linviter à poursuivre, ce dernier comprend le message et ses doigts sinsèrent sous lélastique et vont se perdre dans ma toison rasée. Un de ses doigts sinsinue dans ma fente déjà humide et trouve presque immédiatement mon petit clitoris qui nattendait que cela. Ecartant un peu plus les jambes, il peut désormais y joindre une deuxième puis un troisième doigt. Il me caresse doucement, calquant son rythme sur celui que jaie pour remuer les pâtes dans la casserole. Cest à ce moment là que Patricia entre dans la cuisine pour voir si elle peut se rendre utile.

— « Oh pardon, – fait elle en faisant mine de ressortir excusez-moi. »

— « Non Pat, reste là. Tu veux me rendre service ? »

— « Oui, bien sûr. Que veux tu que je fasse ? »

— « Pourrais tu toccuper de Fred, je lai chauffé à blanc mais maintenant je ne peux pas men occuper, alors tu serais gentille, si tu pouvais lui rendre ce quil me fait. »

Dabord interdite, elle sapproche enfin et vient près de nous. Fred continue à me caresser, mais il regarde Patricia dans les yeux en lui souriant. Lâchant la cuillère en bois, je prends tendrement la main de mon amie et la pose sur le sexe de Fred. Nos deux mains sur son sexe arrachent à Fred un petit gémissement de bonheur. Pat le regarde et lui sourit, puis elle se penche sur lui et lembrasse légèrement sur les lèvres. Celui-ci entrouvre ses lèvres et sa langue pénètre la barrière de celles de Patricia. Elle lui rend son baiser et se colle un peu plus à nous. Mettant fin au baiser, Patricia a lair davoir pris sa décision. Se mettant à genoux elle penche la tête vers le membre de son futur amant et le prend entre ses lèvres. Voyant que laffaire est en bonne main, je lâche le sexe de Fred et le laisse à la bouche de ma copine. Fred continue à me caresser dune main tandis que lautre caresse la nuque de Patricia. Cette dernière, dabord timide, fait maintenant preuve dune grande maîtrise de son art. Le visage de Fred est explicite et je sens que si elle ne fait pas attention, il va bientôt se vider dans sa bouche. Moins dune minute plus tard, il lavertit quil va venir et fait mine de se retirer, mais plus rapide que lui, elle saisit ses fesses et le force à rester dans sa bouche tandis quelle continue à le pomper vigoureusement. Dans un râle, le mâle se vide en de grandes giclées dans la gorge de mon amie qui essaie davaler au fur et à mesure, mais ne parvient pas à éviter que des coulées séchappent de sa bouche. Elle le suce encore une bonne minute, nettoyant avec application toute trace de sperme qui pourrait subsister. Enfin satisfaite, elle se redresse et en souriant me demande :

— « Je peux encore quelque chose pour toi ? »

— « Je nose pas te le demander. »

— « Quoi ? Je te promets une obéissance parfaite, au moins ce soir. »

— « Tu saurais surveiller la casserole ? » demandais-je à Fred.

— « Bien sûr. » dit celui-ci en prenant la casserole dans la main.

— « Suis-moi ! » dis-je à Patricia en la prenant par la main.

Elle me suit docilement tandis que tu lentraînes vers le salon. Lallongeant par terre, je me mets tête bêche sur elle et lui dis :

— « Alors, fais comme moi. » et je pose mes lèvres sur son sexe déjà ouvert et trempé.

Sans aucune hésitation, elle redresse la tête et je sens sa langue lécher ma fente gourmande. Les garçons nous regardent et comprennent quils ne doivent pas intervenir avant quils ny soient invités. Malgré que cela soit la première fois que je le fais avec une autre femme, je sais immédiatement comment la satisfaire. Ma langue imite la sienne et plonge dans son sexe accueillant, le faisant mouiller abondamment. Récupérant du liquide intime avec mes doigts jentreprends de lui masser son petit illet et de mengaillardir à le pénétrer avec un puis deux doigts. Me rendant la pareille et répondant ainsi à ma prière intérieure, elle marrache des petits cris de plaisir. Afin de nous faciliter la tâche, Damien enduit nos deux petits puits dune bonne couche de lubrifiant. Nos doigts saffolent dans létroit conduit soudain moins difficile à prendre. Nos cris apprennent à nos amants que nous sommes en train de jouir et sans attendre que nous ayons repris nos esprits ils nous installent à quatre pattes, côtes à côtes. Luc et Thomas sinstallent derrière nous tandis que Damien sinstalle en face, nous tendant sa bite à dévorer. Luc pénètre en moi sans aucune difficulté, tandis que Thomas sintroduit en Patricia qui laccepte apparemment aussi facilement. Commençant à nous prendre à une même cadence, nous décidons de nous occuper ensemble du membre impressionnant de Damien. Une main chacune sur la bite tendue nous alternons afin de le sucer. Tandis quune le prend dans sa bouche, lautre lui lèche les bourses. De temps en temps, nous interrompons la caresse et nous embrassons à pleine bouche. Sentant de plus en plus le plaisir monter en nous, grâce aux deux bites qui nous pilonnent, nous tentons de faire jouir Damien en même temps que nous. Alors que je prends un pied énorme, Patricia me suit quelques secondes après, immédiatement suivie des deux hommes en nous, qui se vident en même temps. Alors que nous sommes en plein voyage, Damien se retire et lâche ses longs geysers de sperme. Ceux-ci sécrasent sur nos visages, nos poitrines, et sentant ma réticence, Patricia, lèche les traces sur mon visage. Cest à ce moment que Fred fait irruption dans la pièce en annonçant que le repas est prêt. Reprenant peu à peu nos esprits, nous nous dirigeons vers la cuisine. Le repas est littéralement dévoré et je suis heureuse davoir forcé un peu sur les quantités. Une fois le repas terminé, nous rangeons rapidement la cuisine et mettons la vaisselle dans le lave-vaisselle. Fred soccupant du café, nous rejoignons le salon. Nous arrangeons le salon pour la nuit, étendant les couettes et les couvertures et y jetant coussins et oreillers. Damien et Thomas sinstallent de chaque côté de Patricia tandis que Luc sallonge près de moi. Lorsque Fred arrive, il tend à chacun une tasse de café et sassoit près de moi. Personne ne parle pendant que nous buvons notre café. Jallume une cigarette et en propose une à Luc et à Fred. Je me lève et glissant un CD dans la chaîne stéréo, une douce musique emplit lespace, mettant une ambiance feutrée. Lorsque je me retourne, je vois que Luc sest assis le dos contre le canapé et vois la belle érection qui tend sa verge. Ecrasant ma cigarette dans le cendrier, je lui prends la sienne et lécrase de même. Lenjambant, je massois sur son sexe en lui tournant le dos, et le guide en moi. Une fois bien plantée sur le membre de Luc, je ne bouge pas et me mêle de la conversation des autres. Luc non plus ne bouge pas et semble se satisfaire dêtre en moi. Tandis que je discute, ma main caresse le sexe tendu de Fred, qui discute lui aussi avec nous. Patricia sallonge sur le côté, en appui sur un coude. Thomas se met derrière elle, et soulevant sa jambe sintroduit en elle. Elle ferme un instant les yeux, puis reprend la conversation, se contentant elle aussi de la présence immobile de lhomme en elle.

Au bout dun moment les paroles cessent et imperceptiblement je commence à onduler sur le sexe de Luc, tandis que Thomas entame un va-et-vient dans le sexe de Pat. Fred se place devant moi, moffrant son sexe à sucer. Jaccepte loffrande et prends son membre dans la bouche. Au bout dune ou deux minutes je décide de recevoir ce qui me revient. Me relevant un peu, je me retourne face à Luc, et me rassois sur son sexe. Me couchant un peu plus sur lui, jinvite Fred, sans parler, à participer à ma jouissance. Ce dernier sagenouille derrière moi, prépare mon illet avec une noix de lubrifiant, puis après avoir introduit deux doigts en moi et mavoir un peu préparée à le recevoir, il colle son gland contre mon petit trou et sintroduit en moi dune poussée précise. Je ne peux retenir un petit cri. Les deux hommes tentent daccorder leurs cadences et au bout dune dizaine de secondes y parviennent. De son côté aussi, Patricia joue les femmes sandwich, mais son plaisir est beaucoup moins silencieux que le mien. Ses cris déchirent le silence et des larmes coulent de ses yeux. La douleur se mêlant au plaisir peut parfois avoir de drôles de résultats. Lallure de leurs rapports est soutenue et lorgasme bruyant de Patricia les surprend par son intensité. Les deux hommes continuent malgré tout, leur cavalcade et au bout de quelques temps, jouissent en elle avec des râles puissants. Mes deux hommes eux semblent attendre ma jouissance pour jouir en moi. Lallure na pas changé, elle est lente, mais les coups sont puissants me remplissant et me comblant à chaque coup de boutoir. Sentant la jouissance arriver, je commence à gémir, alors les hommes augmentent la cadence et au moment où jatteints le point ultime, ils libèrent en moi leurs semences qui jaillissent comme des geysers brûlants. Je mécroule sur Luc et Fred suit le mouvement, se retenant juste à temps pour ne pas mécraser.

Il me faut deux ou trois minutes pour récupérer mes esprits. Fred se retire et je bascule sur le côté. Reprenant une cigarette, je lallume, me ressers un café et savoure le calme après la tempête. Patricia me sourit puis part dans la salle de bain afin de se laver. Lorsquelle revient, je la remplace et reviens mallonger auprès delle. Les hommes aussi, à tour de rôle, vont prendre une douche. Lorsquils reviennent, nous éteignons la lumière et nous endormons serrés les uns contre les autres.

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