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Corinne – Chapitre 1

Corinne - Chapitre 1



Cette histoire m’est arrivée au milieu des années quatre-vingt, à une époque où le mot SIDA existait déjà mais pas encore la peur de celui-ci.

J’étais étudiant, un peu professionnel car j’ai essayé un peu de tout. J’habitais Bruxelles. L’été, depuis une année, je travaillais comme accompagnateur pour les Wagons-Lits.. Il y avait deux catégories d’une part les wagons-lits proprement dits et d’autre part les couchettes. J’étais affecté à la seconde catégorie.

Ce n’était pas trop difficile, avant le départ il fallait préparer les couchettes supérieures, charger un minimum de boissons et de nourriture. A l’arrivée des passagers il fallait tout ranger et préparer le retour en début d’après-midi. Le lendemain matin, à l’arrivée du train un véritable parcours du combattant attendait l’accompagnateur, car il fallait passer dans chaque magasin pour rendre le matériel et enfin, épuisé, je pouvais rentrer à la maison.

Depuis quelques semaines je travaillais pour des voyages organisés par l’agence des chemins de fer, cela exigeait un niveau de confort plus élevé. Une hôtesse accompagnait les voyageur jusqu’à leur hôtel. Pour ma part c’était toujours la même elle s’appelait Corinne, une jolie brunette, un peu ronde, très mignonne et surtout très drôle. Nous avions appris à nous connaître et nous nous apprécions de plus en plus.

Sur place nous allions en général déjeuner tous ensemble, puis allions une heure ou deux a la plage.

Cette fois ci notre train était parti le vendredi et rentrait le dimanche. Le vendredi soir, ou plutôt le samedi matin, après avoir finit le travail nous avions eu une conversation très sérieuse et intime. Nous nous étions rendu compte a quel point nous nous plaisions. Nous nous sommes quitté sur un petit baiser très chaste sur les lèvres. Elle regagna sa cabine en Voiture-lit et moi je restai dans ma cabine de Voiture-Couchette.

Le lendemain nous avons été mangé seul, puis avons été à la plage. A aucun moment nous n’avons eu d’intimité, mais ce n’était pas important, tant nous étions heureux d’être ensemble.

Le soir après le service je la rejoignis dans la Voiture-bar, nous subîmes quelques plaisanteries de la part des autres et y répondîmes avec humour. Tout en dansant j’essayais de l’attirer dans mes bras.

— Non pas ici. Viens me rejoindre dans dix minutes dans ma cabine

Et elle partit tout de suite, heureusement il faisait sombre et les autres n’avaient pas vu notre manège. J’attendis dix interminables minutes et me dirigeai vers sa cabine. Je frappai à la porte

— Entre !!

J’ouvris la porte et la refermai derrière moi, je fus alors littéralement pétrifié. Elle était la nue, me souriant gentiment. Je restai là un long moment sans bouger, respirant à peine, détaillant son corps. Elle n’était pas très grande, environ un mettre soixante-cinq, avait une belle poitrine ronde et ferme, de larges aréoles foncées attiraient la caresse du regard, des doigts et de la langue. Je me plongeai dans ses yeux, son regard était confiant et amoureux. Puis doucement je détaillai ce corps offert, ses seins bandaient déjà, les bouts étaient tendus vers moi, je les caressai des yeux et poursuivis mon exploration vers le nombril, tournai autour et m’arrêtai sur son mont de Venus.

J’avais la gorge sèche, mon sexe s’était gonflé en un temps record, je bandais comme un fou, il était impossible de masquer mon état.

Elle prit l’initiative, tendit la main vers mon pantalon, caressa doucement ma queue à travers l’étoffe tout en me tendant ses lèvres. Le contact de sa main tentant d’emprisonner ma bitte me libéra et je la pris dans les bras, l’embrassais longuement sur la bouche. Sa langue pénétrait avidement la mienne. Ses mains s’acharnaient à ouvrir ma ceinture, très vite mon pantalon tomba sur mes chevilles. Elle s’écarta un peu pour ouvrir ma chemise, je me laissai aller à cet effeuillement, l’aidai à enlever définitivement mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes. Je restai là avec mon short, ma queue en sortait de manière un peu grotesque. Elle sourit en la regardant et la caressa à nouveau, puis en une fois retira ce bout d’étoffe qui l’emprisonnait.

D’une main douce elle reprit sa masturbation, de l’autre elle me prit la main et la dirigea tout simplement vers son sexe. Sa chatte était trempée, je passai longuement un doigt sur ses lèvres, puis revins vers son bouton. Elle sursauta un peu, je lui enfonçai un puis deux doigts dans la chatte et commençai une caresse active. Elle écarta un peu les jambes pour m’aider.

— Continues comme cela, c’est bon, mais n’attaque pas trop vite mon clito il est très sensible.

Elle s’allongea sur la banquette à côté de nous et je vins sur elle. Je poussais ma queue en une fois dans sa chatte, elle tremblait d’excitation et de mon coté j’étais au bord de l’extase. Très vite, trop vite, je déchargeai trois longues giclées de sperme. Tout son corps se tendit, elle m’enserra entre les jambes, imprima un va et vient furieux sur mon dard et poussa un long gémissement de plaisir. Je poursuivis le mouvement aussi longtemps que possible pour prolonger son plaisir. Essoufflés nous nous sommes calmés, elle m’embrassa doucement sur la bouche et tout ce qui passait à sa portée. Pendant un long moment nous avons échangé les mots qui nous excitaient, je lui parlais de sa chatte, de son cul, du plaisir de la baiser. Elle me parlait de ma queue, de mon dard, des mes couilles, du plaisir de me baiser. Aucuns mots n’étaient vulgaires dans sa bouche.

Entre-temps ma queue avait débandé, mon gland à regret était sorti de sa chatte. Je commençai à l’embrasser sur la bouche tout en la remerciant pour cette partie de baise, puis je descendis vers les seins et chacun à leur tour les embrassai, caressai et léchai. Finalement je l’embrassai goulûment sur ses lèvres intimes, buvant son plaisir, elle se remit à trembler, sa respiration s’accéléra, elle me caressait les cheveux tout en me poussant la tête contre sa chatte.

— Moi aussi j’ai envie de te remercier

Nous nous sommes tournés pour se mettre en 69, elle est venue sur moi, ma bouche restait collée à sa chatte. A un moment elle s’est retrouvée assise sur ma bouche, mon sperme a alors coulé et je l’ai lapé avec avidité. Elle s’est penchée en avant et a avalé ma queue en une fois. Tout en gémissant de plaisir Elle me suçait un peu maladroitement mais avec beaucoup d’entrain.

— Attention, je vais jouir, je vais te juter dans la bouche si tu continues

Malgré tout elle continua à m’aspirer le dard, j’essayai de me retenir le plus longtemps possible, puis je lui crachai mon sperme. Elle eut un petit moment d’hésitation et reprit sa succion pour finalement avaler ma semence. Un peu de cyprine coula à ce moment de sa chatte et je m’empressai de la lécher.

Elle se releva et vint m’embrasser à pleine bouche.

— C’est la première fois que je suce un mec a fond.

— Tu as aimé ?

— Oui j’aime ton goût, j’aime quand tu me lèches, j’aime quand tu me baises.

Elle m’a pris alors par la main

— Viens allons sur le lit on sera plus confortable.

Elle accompagna cette phrase d’un gentil sourire, voyant ma queue toujours raide elle ajouta :

— Hum ! C’est moi qui te fais cet effet ? Je suis flattée

— Il faut dire que tu es super bandante et il y a longtemps que j’en avais envie.

— Moi aussi, tu m’as plu des que je t’ai vu. Tu peux pas savoir le nombre de fois ou je me suis branlée en pensant à toi..

— Probablement pas autant que moi.

Elle monta l’échelle, me laissant regarder à loisir sa chatte, j’avais envie de la prendre sur l’échelle, mais elle voulait un peu de confort. Elle s’allongea sur le lit et je vins en elle tout de suite. Elle m’enveloppa à nouveau dans ses bras et ses jambes, commença un massage de ma queue avec sa chatte. Elle me parlait doucement, me piquait de doux baiser et me baisait la queue. La jouissance monta lentement, elle se mit à gémir de plus en plus fort, je me mis à la tringler de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle hurla longuement son plaisir. Je n’avais pas réussi à jouir, ma queue me faisait mal.

— Tu as joui ?

— Non mais c’est pas grave, toi tu as pris un super pied c’est l’essentiel.

— Non je ne vais pas te laisser comme cela.

Elle se pencha sur moi et me suça très longuement jusqu’à obtenir une petite giclée de sperme qu’elle avala avec gourmandise. Puis a regret je me rhabillai tout en lui donnant les clés de mon appartement et lui faisant promettre de m’attendre au lit.

Depuis toutes ces années tu me fais bander comme la première fois, je t’aime toujours autant ma chérie.

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