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Courir mène à tout. – Chapitre 2

Courir mène à tout. - Chapitre 2



Quatre jours s’étaient écoulés depuis la visite d’Éléonore. Les nuits d’Alexandre avaient été peuplées de rêves confus où il était constamment dominé par son ancienne camarade de classe. L’idée de ces situations au départ l’avait gêné et même un peu angoissé. Pourtant d’un autre côté, quelque chose l’attirait et il ne savait toujours pas le définir. Ce dont il était certain était que ses rêves nocturnes provoquaient chaque fois du plaisir. Lors de chacun de ses réveils, il en avait découvert des traces. Pensant qu’elle viendrait rapidement récupérer ses affaires il les avait lavées et soigneusement rangées dans le tiroir du meuble dans l’entrée. Une fois cette tâche accomplie il avait repris ses habitudes gymniques sans dévier de son trajet. La jeune femme ne se manifestant plus, il s’était dit que cela avait été un intermède. Les derniers jours de congés s’écoulèrent rapidement. La vie avait repris son cours normal. Il lui restait deux jours avant de retourner travailler. De temps à autre lui revenaient à l’esprit quelques mots et notamment la phrase où elle avait parlé d’escargot pour désigner son sexe. Il ne pouvait s’empêcher en prenant la douche de se regarder dans le miroir. « Je me demande pourquoi elle m’a dit ça. Je ne trouve pas que ma verge est petite. Elle est normale. »

Ce matin-là en rentrant il entendit la sonnerie du téléphone retentissant derrière la porte. Ce ne pouvait être la jeune femme, Alexandre se dépêcha d’ouvrir pour décrocher.

 Oui, ah ! Bonjour patron, oui, oui, d’accord, je fais mon sac et je saute dans un avion. Oui, j’ai compris, non, c’est normal, je comprends, au revoir.

Son employeur venait de faire appel à son esprit d’équipe pour lui faire reprendre le travail quarante-huit heures plus tôt. « Merde ! Bon, tant pis, je les récupérerai le mois prochain. Je n’ai pas envie d’aller chez les roast-beefs » Après avoir consulté les horaires, il se dépêcha pour préparer ses affaires. Ce dépannage urgent ne pouvait attendre.

Trois semaines plus tard, Alexandre était content de pouvoir à nouveau fouler l’allée gravillonnée de l’allée menant à sa maison. Il faisait beau et chaud, il n’avait qu’une hâte, celle de pouvoir s’adonner à son petit plaisir. Le chantier en Grande-Bretagne avait été couronné de succès et en plus il avait obtenu un nouveau contrat auprès de cette firme. Une réussite qui avait incité son employeur à lui accorder quelques jours supplémentaires pour compenser le départ précipité. En regardant les alentours, il se dit que cela aurait besoin d’un peu de débroussaillage. Après avoir récupéré la clef dans sa cachette, il ouvrit la porte. En passant le seuil, il soupira d’aise. « Hum, c’est bon d’être de retour, j’aime l’odeur du bois ciré. » Les minutes qui suivirent furent occupées à placer le linge dans la machine, mettre en route la lessive, récupérer le courrier, sans oublier les petites choses habituelles. Il était content et sifflotait tout en s’activant. « Je vais me faire, un thé, oui, bonne idée. » Quelques minutes plus tard, il s’installa dans le salon pour y déguster la boisson chaude. Il profiterait de cette pause pour prendre connaissance du courrier arrivé en son absence.

En ouvrant les yeux, il se rendit compte rapidement que quelque chose ne tournait pas rond. Déjà, cette sensation d’inconfort, en regardant tout autour il reconnut l’environnement. Il était toujours dans sa maison, mais au grenier. Alexandre avait mis un peu de temps pour se situer parce qu’il avait la tête en bas. Sa jambe droite était tenue par une corde. Oui, il était bien dans son grenier, mais l’aménagement lui était totalement inconnu. Il se demanda comment cela avait pu se produire. Précédemment, il était assis dans le salon pour lire le courrier. Et maintenant, tel un cochon il était suspendu par une jambe. La corde qui le maintenait passait par une poulie fixée sur la grosse poutre. « Mais, qu’est ce que cela veut dire ? » tout en s’exprimant il tenta de libérer sa jambe.

— Hi hi hi ! Tu es enfin réveillé !

 Oui, bon ça va, Éléonore détache ma jambe.

 Non !

Tout en parlant, elle venait de se placer en face de lui. Il découvrit la jeune femme, souriante comme à son habitude.

 Ce n’est pas la peine, tu ne vas pas y arriver, c’est bien fixé. As-tu fait ce que je t’ai demandé ?

 Oui, bien sûr, tes vêtements sont propres et rangés dans le petit meuble dans l’entrée.

 Ah ! Ça ! j’ai vu ! Je ne te parle pas de ça.

 Écoute, je n’ai pas envie de jouer. Je suis fatigué d’un long voyage. Libère-moi et reviens demain.

En guise de réponse, il la vit prendre une paire de ciseaux sur la table et revenir vers lui. Il remua un peu plus pour essayer de se libérer. Tout en bougeant, il put voir que sa cheville était prise dans un lien en cuir. En dehors de la position désagréable, il ne souffrait pas. Son autre jambe à demi repliée pendait vers le sol. Il se dit qu’il devait être dans une position étrange et certainement risible s’il en croyait le sourire affiché par la jeune femme. Dès qu’elle fut à la bonne distance, elle commença à couper la jambe du pantalon. En quelques coups de ciseau, le t-shirt, le pantalon et son slip furent coupés. Alexandre était maintenant entièrement nu et elle le regardait en riant.

 Tu as toujours tes poils disgracieux, cela fait sale. Tu ne l’as pas fait, je vais donc le faire. Dis-toi bien que tu seras puni.

 Mais non ! Arrête ça tout de suite !

Éléonore commença par lui attraper une main et la plaça dans le même type de lien en cuir que sur sa cheville. La position d’Alexandre venait de changer un peu. Petit à petit, il se retrouva ligaturé sur un appareil qui le tenait à l’horizontale, le corps entièrement déployé. Il se rendit compte qu’il était quasiment dans la position de l’homme de Vitruve. Les bras et les jambes écartés il était maintenant totalement exposé. En riant, elle actionna un mécanisme qui le fit pivoter. Précédemment, il pouvait voir la charpente, maintenant il voyait le sol.

 Pourquoi fais-tu ça ?

 Je te veux sans poils. Comme tu ne l’as pas fait, je vais le faire.

Il se savait à la merci de la jeune femme, il garda le silence. La nouvelle position était plus agréable, il était bien tenu, il ne restait qu’à attendre. Elle s’activait silencieusement, elle avait commencé par ses jambes, puis le sillon fessier et son anus finissant par les aisselles. Avant de lui faire changer de position, elle lui claqua avec force les fesses. Les contacts répétitifs le firent un peu gémir. Il se retint de se plaindre, il devait admettre qu’il aimait ça.

 Hum ! Tu aimes ça, je le vois.

 Je dois le reconnaître, c’est excitant.

Il se demanda pourquoi il lui avait avoué ce qu’il ressentait. Ses sentiments contrastés au début l’étaient beaucoup moins maintenant. Il avait eu du mal à se retenir de lui dire qu’il espérait que cela irait plus loin. La première fessée, bien que cuisante, elle lui avait beaucoup plu. Cela lui avait permis de se rendre compte qu’il aimait cette situation. Elle venait de le faire basculer, elle rit en découvrant son sexe d’où du liquide séminal s’écoulait du prépuce. Sans attendre, elle se baissa pour prendre le sexe dans sa bouche et aspirer le liquide.

 Oui ! Je le confirme, tu as bon goût. Ceci dit, tu seras tout de même puni pour ne pas avoir fait ce nettoyage.

Le sexe et le pubis furent rapidement débarrassés du système pileux. Après avoir passé une crème apaisante, elle commença à le branler. Les caresses prodiguées faisant leur effet, la verge se dressait palpitante. Alexandre ne se souvenait pas d’avoir été aussi dur, c’était peut-être dû à sa position.

 Une petite mèche, elle me semble bien dure. Je vais la manger !

Il avait du mal à tenir sa tête relevée, il était écartelé. Il sentit la bouche se refermer autour de son sexe lisse. Elle l’aspirait goulûment, lui mordillant le gland, une main lui serrait fortement les bourses. Inconsciemment, il projetait son bassin en avant pour s’offrir encore plus. Un mélange de plaisir et de douleur l’emmena rapidement vers l’explosion.

 Aaaah ! Nooon ! Je vais Jouir.

Elle n’eut pas le temps de se retirer. Le sperme en de longues éjaculations fut projeté au fond de sa gorge.

 Non ! Tu ne dois jouir que quand je te l’autorise. Tu vas être puni pour ça aussi.

 Mais, ce n’est pas de ma faute.

 Tais-toi ! Maintenant, j’ai envie que tu me lèches le minou et que tu me fasses jouir. Uniquement ta langue. Je t’interdis de me toucher. Je vais te détacher. Avant tu dois me promettre de m’obéir.

 Mais je

Sans répondre, elle venait d’activer le mécanisme, il se trouvait dirigé vers le sol. Aussitôt, les coups plurent sur ses fesses et son entrejambe. Une fois encore ce mélange de plaisir et de douleur lui faisait tendre son bassin dans la direction de ce qu’il avait deviné être un martinet. Il fut presque déçu quand cela s’arrêta. Ses jambes et ses mains venaient d’être libérées. Éléonore venait de s’approcher de lui, ce qui lui permit de découvrir le sexe nu. Le vêtement de cuir qu’elle portait était largement fendu à hauteur du joli coquillage. Déjà, le clitoris était bien visible entre les jambes écartées. Il avait les fesses encore cuisantes des coups cinglants reçus. Il s’appliqua à commencer à lécher cette vulve. Dès les premiers coups de langue, il sut que le plaisir était là. Les coups de bassin en avant le lui confirmèrent. Deux mains venaient de lui saisir la tête pour plaquer sa bouche contre la source goûteuse. Il découvrait le goût de cyprine et il aimait beaucoup. Il l’entendait soupirer, gémir et la sentait frissonner contre lui. Éléonore avait visiblement déjà été beaucoup excitée par ce qu’elle lui avait infligé.

 Ouiii ! Mange-moi !

Il léchait et mordillait ce sexe qu’elle lui offrait. Tout en s’appliquant, il s’estimait très chanceux de cette rencontre. C’était la première fois qu’elle s’offrait de la sorte, il se régalait du goût de l’odeur. Sa langue allait aussi loin que possible, il sentait Éléonore frémir sous sa caresse linguale. Brusquement, les mains qui tenaient sa tête se firent plus dures, plus autoritaires, son nez était complètement aplati contre le pubis. Elle l’empêchait presque de respirer, c’est à ce moment précis qu’il sentit un jet pénétrer dans sa bouche. Maintenant, il buvait comme à une source. Il se dit que pour sa première fois il était gâté. Il l’entendait gémir, puis crier son plaisir.

 Ah ! j’ai cru que j’allais mourir tellement c’était bon.

Lui tenant toujours la tête elle se pencha pour l’embrasser sur la bouche. Il se rendit compte que même pour un baiser elle dirigeait.

 Hum ! Mélangé à ta salive c’est plutôt bon. J’ai bien joui, tu t’es rattrapé.

 Ah ! Merci, tant mieux, c’est la première fois que

— Hi hi hi ! Tu veux dire par là que c’est ta première fois tout court. C’est excellent, je vais pouvoir te dresser à ma convenance. J’en mouille d’avance, j’aime l’idée.

Toujours agenouillé devant elle, l’air crédule il la regardait. Toujours souriante, elle s’était mise à déambuler dans le grenier. Il la regardait bouger, il se disait qu’avec ce vêtement elle ressemblait à un félin. Il appréciait la grâce des mouvements et les ondulations de son bassin. Cette situation lui permit de voir à quel point elle avait aménagé le grenier. Il se retint de poser des questions sur l’utilité et l’utilisation de certains accessoires.

 Tu es donc puceau, hi hi, il faut que je voie, lèves toi !

Alexandre obéi sans attendre, mais une fois debout, par réflexe il plaça ses mains devant son sexe. Aussitôt, les lanières du martinet vinrent en contact avec ses fesses. Comme il ne semblait pas comprendre et réagir assez vite, d’autres coups suivirent les premiers.

 Je t’ai seulement demandé de te lever, pas de cacher ton escargot. Tu dois obéir et ne faire que ce qui t’est demandé.

Tout en souriant, elle lui précisait les choses. Il faillit se frotter les fesses pour calmer le picotement, mais il se retint. Éléonore lui faisait face, hochant de la tête en signe d’approbation. Sa main droite faisait tourner les lanières du martinet.

 Tu sais, ton corps épilé est magnifique. Tu es vraiment joli, tu me plais. Je ne comprends pas que tu n’aies pas eu de copine jusqu’à ce que nous fassions connaissance.

 C’est que je n’ai pas eu l’occasion. Bon, c’est vrai, je n’ai pas trop cherché à faire des rencontres.

Les bras le long du corps il la vit s’agenouiller, en même temps une main était venue à la rencontre de son sexe. Le contact des doigts le fit frissonner. L’absence de poil lui faisait ressentir la respiration de la jeune femme sur son pubis. Ces deux sensations augmentaient encore l’excitation qui le travaillait. En la regardant agir, il se demandait où elle voulait en venir et ce qu’elle cherchait.

 Ah oui ! Tu l’as toujours.

 Aïe ! Mais que fais-tu ? Cela fait mal !

 Oui, le frein est toujours, présent. Cela ne peut qu’être gênant lors de nos jeux.

Tout en lui répondant, elle avait commencé à lui caresser le sexe. Rapidement, sa verge prit de l’ampleur. De sa main libre, elle lui caressait les fesses, les palpant, les triturant. De temps à autre, un doigt s’aventurait dans le sillon fessier effleurant sa rosette. Instinctivement, le bassin d’Alexandre répondait aux sollicitations, soit en avant, soit en arrière. Il sentait le plaisir augmenter seconde après seconde. Il s’abandonnait entre ces mains douces qui le manipulaient. Il sentait sa verge devenir très dure et Éléonore tirait souvent pour découvrir au maximum le gland tenu par le frein. À ce moment-là, il ressentait une légère douleur vite compensée par les sensations par ailleurs. Elle le regardait en souriant, observant ses réactions. Il n’en pouvait plus, précédemment elle lui avait demandé de se retenir sous peine de punition. Par moment, il gémissait de plaisir. Il venait de sentir un doigt pénétrer son petit trou, surpris, il bascula son bassin en avant. Il ne pouvait plus se retenir, le plaisir était là. Il allait éjaculer, au même instant, elle fit un mouvement brusque et le frein céda. Plusieurs jets de sperme partirent en direction de la jeune femme agenouillée. Le visage était couvert du liquide, il la vit lécher ce qui se trouvait sur ses lèvres.

 Miam, c’est tout de même bon. Maintenant, tu n’es plus vierge. Cela piquera un peu, mais tu es un grand garçon. Allez, nettoie le visage de ta maîtresse !

Il n’en revenait pas, elle l’avait fait. Il avait une petite gêne, mais sans plus, il ne pouvait parler de douleur.

 Que je nettoie ? Mais

 Oui ! Lèche-moi le visage, récupère tout ! Tu vas voir, c’est bon.

Il s’agenouilla pour se trouver à la bonne hauteur et commença le nettoyage demandé. Il n’en revenait pas de se laisser conduire de la sorte. Elle avait depuis la première rencontre pris l’avantage sur lui. Il ne s’en offusquait pas, il trouvait cela naturel et reconnaissait que cette situation lui plaisait. Il eut un petit haut-le-cur quand il récupéra la première trace de sperme. La consistance et le goût étaient nouveaux et surprenants. Petit à petit, il finit par trouver cela agréable.

 C’est bien mon mignon. Attends, maintenant je vais dévorer ton escargot. Il y a un peu de sang, le mélange doit être bon.

Après l’avoir fait allonger sur le dos, elle entreprit de lui sucer le sexe. Le contact de la langue sur la partie à vif le fit sursauter. Cependant rapidement le plaisir revint, elle s’était placée tête-bêche lui offrant ainsi sa vulve. Les longues caresses buccales échangées les conduisirent jusqu’à un orgasme très fort et simultané.

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