Histoires de sexe lesbien Histoires de sexe voisins

Culbuté dans un parc – Chapitre 1

Culbuté dans un parc - Chapitre 1



Je m’appelle Karim, j’ai 35ans et je suis un peu en rondeurs.

Mon histoire s’est passée il y a 10ans, un jour j’étais dans un grand parc à côté de chez moi en short et je faisais du jogging de bon matin j’avais fait deux tours du parc quand soudain je vois devant moi un malabar tout en muscle qui s’est mis sur mon chemin les bras croisés, j’ai essayé de l’éviter sur sa gauche mais rien n’y fait, il s’est déplacé et je me suis retrouvé bloqué par sa poitrine, je commençais à trembler tellement j’avais peur que ce soit un voleur qui pourrait me faire du mal s’il ne trouvait rien sur moi car justement je n’avais rien sur moi.

Il me fixa dans les yeux et me fit signe de passer devant lui vers un bosquet qui était sur le côté. Je me suis exécuté tout tremblant et me dirigeais vers l’endroit qui était désert.

Et là, il me somma de m’agenouiller ce que je fis sans résistance,et portant sa main à sa braguette, il sortit une chose énorme qu’il me présenta; c’était un sexe gros comme un boudin au repos il faisait facilement 20cm et une épaisseur à faire tressaillir les grandes stars du porno.

Il m’ordonna d’ouvrir la bouche et m’y enfourna le monstre, j’avais la bouche grande ouverte mais je ne pouvais pas le rentrer en entier car il était démesuré, j’avais l’habitude de sucer des bites grosses mais celle là était hors normes avec un gros champignon rose en guise de verge, je suffoquais mais lui poussait son sexe jusqu’au fond de ma gorge.

Il y était arrivé mais je n’avais que le tiers en bouche et lui commençait à imprimer des va et vient de plus en plus violents qui me donnèrent l’impression d’être violé par la bouche, des larmes coulaient sur mes joues tellement j’avais mal mais j’appréciais cette intrusion et malgré que je suffoquais, je continuais à le pomper avec hardiesse, il continua de me baiser la bouche et à un moment, il s’était raidi et m’empoignant par les cheveux, il me tira vers son bas ventre et déchargea un geyser de sperme au fond de ma gorge qui faillit me suffoquer, il ne me lâcha que lorsque j’eus intégralement ingurgité son foutre salé.

Il me prit par les épaules et me fit retourner et mis à quatre pattes, là, je me suis dit ça va être ma fête car même ayant l’habitude de me faire prendre par des hommes bien foutus j’avais des appréhensions sur la capacité de mon cul à honorer ce mastodonte.

Il me cracha en plein trou et se mit à me doigter, par un puis deux puis trois doigts pour me préparer au sacrifice, me sentant prêt, il pointa le champignon entre mes fesses et poussa son ventre contre mes fesse, j’eus un haut le coeur et je sentis que j’allais m’évanouir tellement c’était douloureux mais l’envie prit le dessus sur cette lancinante douleur et je me surpris à en demander encore plus malgré que j’avais l’impression d’avoir le cul déchiré par cette protubérance inégalable et je poussais à présent mes fesses vers le bonheur que me procurait l’énorme intrusion et là il me prit par les épaules et d’un seul coup m’enfonça la totalité de son sexe; j’ai hurlé comme un écorché tellement c’était douloureux mais passé cet instant, je le suppliais de me baiser fort, de m’exploser le cul, de faire de moi ce qu’il voulait car j’étais sa femme, son jouet, sa pouliche et qu’en véritable étalon, il avait le droit de faire de moi ce qu’il voulait.

Mes paroles avaient dû l’exciter au plus haut point car maintenant, il me pilonnait littéralement le cul avec son obus tout en me traitant de pouffiasse, de chienne et de lopette avide de sexe.

Je ne savais plus ce que je disais ni combien de fois j’ai joui tellement c’était intense et j’étais fier d’avoir pu gober par le cul ce que je n’avais pas pu le faire par la bouche.

Je le sentis se raidir, il me prit les bras les tira vers lui et poussa de toutes ses forces son ventre contre mes fesses, je l’avais en moi jusqu’à la garde, il ne bougea plus et son sexe fut pris de soubresauts avant de décharger une tonne de foutre qui m’éclaboussa les entrailles; je me suis laissé tomber à plat ventre et dans ma chute, il s’affala sur moi, me fit tourner la tête et m’embrassa longuement et langoureusement tout en continuant à se vider les couilles dans mon trou qui devait être aussi grand qu’une gouttière.

Il me laissa le cul en l’air et vint me présenter son dard devant mon visage pour que je le nettoie, ce que je fis avec bonheur et ayant terminé il me dit de revenir le lendemain au même endroit, ce qui eut l’effet de me donner des palpitations car j’avais tellement envie de refaire la même chose mais je lui dis que ce serait bien s’il venait chez moi car j’habitais seul et que dorénavant, je le considérais comme mon mari et qu’étant sa femme, il pouvait disposer de moi quand il voulait à la maison.

Il a accepté et depuis je suis comblé par tous les trous et dans toutes les positions à n’importe quel moment de la journée et ça c’est une autre histoire que je vous raconterai plus tard.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire