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Dame Erika – Chapitre 10

Dame Erika - Chapitre 10



Chapitre 10 : Le dîner-spectacle 3ème et dernière partie

ÉLISE

Toujours la queue en bouche, je me redresse, cambrée sur mes jambes, le cul bien en arrière. Jouvre mes fesses pour bien leur montrer mon trou du cul et ma moule : il faut quils mouillent tous, les mecs comme les nanas ! Tina fait pareil. En plus, elle commence à se tripoter les seins, gémit ; je limite. Puis elle se branle le clito ; moi aussi.

Cest bouillant, je ne vois plus le public ; je suis en train de mabandonner à ce plaisir que jusque là nous nous étions interdit, Tina et moi. « Quest-ce quon a été connes de ne pas faire ça plus tôt ! » me dis-je. Je lâche la queue de Pat, lève les yeux vers lui, remonte, lui lèche les tétons au passage, le regarde dans les yeux ; tout au fond, je vois comme une étincelle. Je suis troublée. Je regarde Tina : elle aussi ma lair dêtre troublée.

Oups ! Je me reprends, il faut finir ce spectacle. Je me suis juré quon va les faire éjaculer dans leur culotte, ces guerriers. Je reprends mes caresses sur Pat. Son torse est doux, il na pas de poils ; ses pecs, un délice Je mouille. Un sursaut : ses mains viennent de se poser sur mes fesses, et il me les caresse avec douceur ; je gémis de bonheur. Ses mains courent dans mon dos, font des cercles de mes fesses à mes épaules. Il est doux ; je frissonne, je mabandonne. Les yeux clos, je miaule doucement. « Plus fort ! Il faut quils entendent mon bonheur, quils le partagent, que je leur donne envie ! »

Tina ? Elle aussi miaule. Du coup, on se fait un concours, à qui miaulera le plus fort.

Les mains de Pat remontent jusqu’à ma nuque ; il me presse tout contre lui. Mes tétons durs et pointus jouent avec les siens, mon ventre me brûle, me pique ; enfin, je ne sais plus. Je ferme les yeux, je ne veux pas voir, voir Tina, le voir lui. Je sens son souffle sur mes lèvres, puis le contact doux et humide des siennes. Je commence à trembler ; jai peur. Jenroule mes bras autour de son cou. Ses mains me pressent encore plus fort, une sur ma nuque, lautre au creux de mes reins. Il est fort ; il écrase son sexe bandé à son maximum contre mon ventre. À présent je sens sa langue ; elle force louverture de ma bouche. Je résiste, je ne veux pas, et Tina Pardon, Tina ! Je cède. Sa langue puissante sengouffre dans ma bouche ; elle est chaude, humide. Elle a encore le goût de ce doux vin, le claret, avec ses saveurs de miel et dépices. Sa langue me fouille, cherche la mienne sans trop de mal car moi aussi je suis venue la chercher. Tout à coup jai envie de fuir, de menfuir avec lui, finir ça ailleurs, loin de ces gens qui sont en train de nous mater, de me mater mon cul. Malheureusement, je ne peux pas menfuir : il menlace fort, très fort ; et ce baiser passionné, goulu On se dévore mutuellement. Et mon ventre qui cri famine Je nai plus le choix : il faut y aller. Je vais leur montrer, à ces gueux, comment on baise au XXIe siècle !

Je maccroche à son cou, me hisse, encercle sa taille de mes jambes. Il a compris, compris que le moment est arrivé, ce Marseillais trousseur de jupons, mon Marseillais. Il passe ses mains sous mes fesses et me soulève. Je sens son sexe glisser entre nous, et quand il se découvre entièrement jentends un « Oh » de surprise. « Vous avez vu comment il est bien monté, mon étalon ? » Ils ne répondent pas : ils nont pas entendu la question, je lai juste pensée.

Il a senti le frais sur son gland ; il me redescend et me pénètre sans peine tellement je mouille.

Il entre, senfonce en moi jusquà la garde. Je relâche un peu mes bras et mes jambes. Je sens son sexe senfoncer encore en moi ; presque tout mon poids repose sur la base de son sexe. Je vais leur montrer ce que cest quun cri de plaisir ; je nai pas besoin de me forcer : un « Ouiii ! » long et puissant et, en écho, celui de Tina. Cette fois, cest moi qui vais chercher sa bouche, cest moi qui vais chercher sa langue, cest moi qui ouvre les yeux. Létincelle de tout à lheure est devenue une flamme ; putain, elle vient de mallumer !

Nous somme là, immobiles ; lui dans moi, moi accrochée à son cou, à nous embrasser comme de vrais amoureux. Je risque un coup dil vers Tina. On se regarde, on se sourit, un sourire désolé. Je lui souffle :

Allonge-toi sur le sol.

Sans un mot, son regard dans le mien, nous glissons sur le sol, lui toujours en moi. Accroupie sur Pat, un regard à Tina et nous commençons un mouvement de va-et-vient avec notre bassin. Je vais chercher un baiser, et lui dis :

Tu es prêt ? Simule fort !

Je lui pince les tétons.

Ah ! râle-t-il de sa voix grave.

Il pince les miens. Je couine :

Ah Ouiii !

Et on recommence encore et encore. Nous couinons, gémissons plusieurs fois.

Il râle, tel un animal en rut : il simule bien ! Je couine, je râle, je crie, fort très fort ; je glousse, mais je ne simule plus. Jentends Tina : elle aussi couine comme une folle. À sa voix, je sais quelle ne simule pas non plus. Je glisse à mon Marseillais qui est en train de me rendre heureuse « Je ne vais pas tenir longtemps » En réponse, il me soulève, passe derrière moi. Maintenant je suis à quatre pattes, à genoux. Il se place derrière moi. Jai compris : il va me prendre comme une bête. Je nattendais que ça ! Il mattrape par les hanches et mempale avec un « Han ! » bestial et une force telle quon entend le claquement de mes fesses contre son ventre,

Putain, la vache ! Ça ma fait leffet dune bombe ! Jai le vagin en feu, je crie, je sens mes seins se balancer, secoués comme jamais ils ont été. Je ne sais pas si lui simule mais il gueule, minjurie de tous les noms : de salope, de pétasse, de pute, de pouffiasse et dautre noms doiseaux. Cest con, mais jaime ça. Je gueule encore plus, mais plus je gueule plus il me pilonne, et puis je sens en moi un jet puissant et saccadé : il éjacule en moi, entraînant un orgasme dune violence incommensurable. Je hurle de bonheur.

Putain, que cest bon ! Vas-y encore, ah oui ! Encore ! Vas-y Plus fort, bordel ! Défonce-moi ! Ah oui

Il est endurant : il ne débande pas, il me ramone, putain, je te dis pas avec quelle force ! Je gueule encore : je viens davoir un second orgasme. Jen peux plus, je deviens folle, folle de sexe et folle de lui, ce Marseillais avec sa grande gueule. Putain, quand il sy met Il vient de menvoyer en lair ; jen suis toute retournée, jen pleure. Ah, quest-ce que cétait bon !

Dommage, il vient de se retirer. Il maide à me relever ; je suis toute pantelante. Je menroule autour de lui ; le baiser est sauvage, puissant. Par-dessus lépaule de Pat, je vois Tina qui me regarde avec une mine de chien battu. Je lâche mon Marseillais et cours vers elle ; elle aussi court vers moi. Elle me renverse, et nous voilà parties dans un 69 passionné. Nous nous bouffons la chatte et le sperme des garçons aussi. La langue pleine de sperme, on se lest même mise dans le trou du cul : on est folles ! Deux doigts dans la chatte et un dans le cul, nous remettons le couvert, et cest reparti : on se lèche, se suce, se mord, sembrasse comme des goulues. Et un orgasme de plus sur scène !

Je suis épuisée. Nous nous relevons. Mes jambes me tiennent à peine. Les garçons nous jettent une cape sur les épaules et nous saluons. Les spectateurs se lèvent et applaudissent. Toutes les braies sont tachées ; le seigneur a lui aussi taché son pantalon. Il est ravi ; Dame Erika aussi.

La musique reprend ; lair est entraînant. Nous dansons tous le quatre.

Ils sont tous en train de se rasseoir ; sans doute veulent-ils « Une suiiiite ! Encoooore ! Viiiite ! »

Non : idée !

Je cours vers eux ; la cape juste attachée à mon cou se soulève et découvre mon corps, mes fesses. Arrivée à hauteur de Dame Erika et de son seigneur, je les prends par la main et les entraîne vers la scène, les oblige à senlacer ; Pat et moi le faisons, Tom et Tina aussi.

La musique reprend. Nous leur montrons le pas. Ils dansent, un peu gauches au début, puis de mieux en mieux. Les convives nous rejoignent, dansent aussi, mais me passent aussi la main au fesses ; jaime bien les mains aux fesses ! Au bout de quatre danses, tout va bien : tous les convives dansent. Les couples sembrassent, se pelotent ; on leur a tellement foutu le feu tout à lheure Sûr que ça va finir en orgie.

Je suis fatiguée, exténuée. Nous commençons à partir quand Dame Erika nous rattrape et nous entraîne à sa table ; son époux nous rejoint avec Tina et Tom. Ils nous offrent à boire et à manger ; jai faim et soif, mais plus de sexe : cest bon, je suis rassasiée ! Ils nous parlent, on rit, on chante en « yaourt ».

Dame Erika fait appeler ses servantes ; elles vont nous préparer des chambres : ce soir, nous nirons pas au cachot, et nous ne serons pas « mortis » non plus !

Dame Erika vient douvrir le premier cabaret dîner-spectacle dAquitaine.

[à suivre]

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