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damien – Chapitre 1

damien - Chapitre 1



DAMIEN

(1)

Je déambule lentement dans les ruelles étroites. Rien na changé. Enfin, presque rien. Il me semble tout reconnaître parfaitement malgré le temps passé sur ces souvenirs. Cela faisait à peine deux heures que jétais arrivé dans ce pays et javais encore trois bonnes heures avant mon rendez-vous. Le taxi mavait déposé en plein centre-ville et jai tout de suite senti le besoin de commencer par le souk. Des senteurs oubliées imprègnent mes narines. Fortes, prenantes, les mêmes quil y a quinze ans. Le fond sonore, mélange de cris, dimprécations, de brouhaha confus, de palabres interminables pénètre mes tympans. Tout me revient en mémoire. Des bribes de souvenirs encore flous, entrecoupés dimages dune netteté surprenante. Très vite, mon cerveau me restitue ma jeunesse. Jarrive à retrouver sans problème le chemin. Mes pas m’entraînent vers la rue des échoppes de tissus. Les murs se rapprochent encore pour ne laisser quun passage étroit saturé dune foule bigarrée. Au fur et à mesure de ma lente progression, les années seffacent et je ne suis plus seul. Sylvie et Khaled marchent à dix pas devant Mourad et moi et son épaisse chevelure blonde fait une tâche lumineuse au milieu des turbans blancs et rouges. Ce jour-là, je faisais un peu la gueule car jaurai préféré être au bord de leau plutôt que dans ces ruelles de ce souk. Mais Sylvie voulait absolument voir les échoppes dont Khaled et Mourad nous avaient parlé et je navais plus le pouvoir de refuser. Je me doutais bien que ces deux-là, avaient quelque chose en tête. Il sétait passé tellement d’événements en cinq semaines que tout devenait possible avec eux. Même linconcevable. Il faisait très chaud pour la saison et il y avait beaucoup de monde autour de nous. Peu détrangers. La saison venait à peine de démarrer. – Nous sommes bientôt arrivés. Tu verras Damien, tu vas aimer. Sylvie et Khaled ont franchis létroite porte dune échoppe. Jai voulu les suivre. Mourad men a dissuadé. – Y a rien pour les hommes la dedans. Cest uniquement pour les femmes. Viens suis moi Damien. On va entrer à côté. Cest le même patron. Il a deux boutiques. Une pour les hommes et une pour les femmes. Je suis Mourad à lintérieur du magasin. Une pièce sombre, éclairée par des néons blancs. Les murs sont recouverts de tout ce dont peu rêver un touriste. Étoffes aux couleurs criardes, poteries, armes de parades, babouches.

Un capharnaüm organisé pour faire un maximum de vente. Il y a déjà du monde. Le patron nous regarde, reconnaît Mourad et ne soccupe pas de nous pour continuer à marchander avec les touristes. Pendant un bon quart dheure, Mourad me fait larticle et me saoule de parole. Pourtant il sait que je ne veux rien acheter. Je me demande bien pourquoi nous sommes là. Il imite les commerçants du coin avec force gestes, mimiques et jérémiades. Il est assez drôle, mais je commence à en avoir sérieusement marre de la boutique. Pourtant je ne peux rien lui dire. Brusquement, il écarte une lourde tapisserie tendue contre un des murs et me dévoile un étroit couloir. – Viens je vais te montrer des choses très intéressantes. Le ton nest plus le même. Il me regarde avec ce sourire en coin que je commence à bien connaître. Les traits juvéniles de son visage se sont légèrement durcis. Son regard devient ironique. – Aller viens, tu ne vas pas le regretter Je le suis dun pas hésitant et la tenture retombe lourdement derrière nous. Les bruits de la boutique faiblissent. Le couloir nest pas éclairé. Nous marchons en silence pendant une dizaine de mètres avant de déboucher dans une toute petite pièce sans éclairage. On y voit à peine. Mourad laisse retomber une autre tenture derrière nous. Contre un des murs, il y a des larges marches. Des gradins, comme dans un amphithéâtre. Mourad colle sa bouche contre mon oreille. – Cest un ancien hamman. Viens je vais te montrer quelque chose. Il me prend par la main et me tire vers les marches. Mes yeux shabituent à l’obscurité ambiante. Nous escaladons les larges marches. Je distingue une grille métallique au-dessus de la dernière marche, au milieu du mur lépreux. Il y a de la lumière qui filtre de cette grille à mailles très fines. Nous arrivons sur la dernière marche. Mourad me montre la grille en me faisant signe de me taire. Je mapproche. Mon visage se colle au treillis. De lautre côté, il y a une pièce identique en tous points à la nôtre. Je comprends que de lautre côté on ne peut pas nous voir. Deux bougies éclairent la pièce. Jai un peu de mal à distinguer correctement ce qui se passe en bas des gradins, mais je comprends parfaitement ce que je vois et mon cur fait un saut dans ma poitrine. Ainsi donc cétait vrai. Bien sûr que je men doutais. Mais entre imaginer et voir, il y a tout un monde. Mourad se colle contre mon dos. Je le laisse faire. Je narrive pas à détacher mon regard de ce qui se passe dans lautre pièce. Les formes se découpent en ombres chinoises, mais il ne faut pas beaucoup dimagination pour y mettre les couleurs. Cette chevelure blonde, si opulente, au niveau du bassin de Khaled qui laisse faire, pantalon et slip autour des chevilles, mains sur les hanches et bassin tendu vers le visage caché par les cheveux. Sa tête qui va et vient contre le bas ventre musclé. Des bruits légers de succion ou de déglutition. Mes mains se plaquent contre le mur froid et humide, de chaque côté de la grille. Tout est confus dans mon cerveau. Je narrive pas à comprendre ce qui nous arrivent ni pourquoi cela nous est arrivé à nous. Mourad est carrément collé contre mon dos. Son bassin pousse sur mes fesses. Impossible dignorer la bosse dure qui se plaque sur ma raie. Je me sens souillé et humilié. Mais je sais aussi que je ne me révolterais pas. Javais manqué de courage la première fois et les fois suivantes. Maintenant il était trop tard pour esquiver. Dans lautre pièce, Le visage a quitté le pubis. Le membre tendu brille à la lueur des bougies et me semble complètement disproportionné par rapport au corps auquel il est rattaché. La femme reste à genoux devant le pieu. Khaled la relève, la met de dos et la tire contre son torse. Elle se laisse manipuler. Je ne distingue pas assez son visage pour voir son expression. Les mains brunes du jeune arabe remontent la chemisette pour la faire passer au-dessus de la tête blonde. Elle se contente de lever les bras pour faciliter le travail. Les mains caressent le ventre plat, la taille, puis remontent sur les bonnets du soutien-gorge du maillot de bain. Elle relève sa tête en arrière pour la poser sur l’épaule de larabe. Bientôt, le soutien-gorge rejoint la chemise sur le sol. Les mains aux doigts très longs, empaument les globes laiteux, pour les malaxer violemment. Khaled tire sur les tétons, écarte les globes, les serres et les presse. Elle le laisse faire, cambré en arrière, son dos plaqué sur le torse de Khaled. On arrive à entendre leurs soupirs croisés qui résonnent dans la pièce. Je bouge à peine quand Mourad saisi mon short et le baisse sous mes fesses et je ne fais rien non plus, pour échapper aux mains qui me débarrassent de mon slip. Les deux vêtements tombent autour de mes chevilles. Ils mont tellement bien soumis, que je lève moi-même une jambe après lautre pour men débarrasser. Elle a le torse nu et moi le reste. Elle le haut, et moi le bas. Elle avec Khaled, et moi avec Mourad, juste séparés par une cloison et sans quelle sache ce qui se passe derrière ce grillage. Elle lui tend ses seins généreux. Moi je cambre mes fesses. Pendant que Mourad me salive la raie, Khaled lui retrousse sa jupe et la roule autour de sa taille. Puis, il loblige à se pencher. Elle ploie sont buste et bras tendus, prend appui sur le premier gradin. Elle reste immobile et consentante, seins pointés vers le sol. Il lui caresse les fesses à travers le fin tissu de son slip blanc. Les mains de larabe parcourent lentement les globes offerts et protégés par la culottes avant de se perdre dans lentre jambes.

Elles palpent, et fouillent lintimité que je connais si bien. Je connais les plaisirs que lon peut prendre à caresser cette peau si fine et se perdre dans cette moiteur. Les doigts de Mourad se posent sur mes lèvres. Il presse et jouvre la bouche. Trois doigts fouillent mon palais. Jouvre grand la bouche en salivant abondamment. Les doigts vont et viennent entre mes lèvres avant de me libérer le palais. Ils sont remplacés par un chiffon que Mourad enfonce bien dans ma bouche. Il ne laisse rien dépasser. Je me laisse faire sans aucune révolte, même quand il saisit mes poignets et tire mes mains en arrière pour les plaquer sur mes fesses. De lautre côté du grillage, Je la vois se débarrasser de son slip en se trémoussant. Khaled caresse lentement le dos bronzé. Elle se penche un peu plus. Les mains de larabe abandonnent un bref moment le corps offert pour se débarrasser de tous ses vêtements. Il est nu derrière elle. Son sexe pointe fièrement devant les fesses offertes. Pendant quelques secondes, il regarde ce corps, avant de le saisir par la taille et le plaquer contre lui. Il commence à frotter son sexe tendu contre les globes charnus. Le sexe très brun tranche sur la pâleur de la peau. Le bout du pieu caresse la peau satinée. Elle, reste cassée, torse ployé, seins tendus vers le sol, jambes ouvertes. Sa croupe offerte, s’agite lentement contre le sexe. Moi aussi jai tendu ma croupe. Je fais même mieux puisque, cest moi qui mécarte les fesses dans lattente. Je dévoile complètement ma raie. Je sens lair frais de la pièce caresser mon anus. Mon visage est plaqué contre la grille. Ma bouche est écartelée par le bâillon. Jattends dans cette position le bon vouloir de Mourad. Dans lautre pièce, Khaled a empoigné les tétons bruns pointés vers le sol. Ils les pincent durement et cela la fait gémir. Un gémissement qui arrive jusqu’à nous et me fait encore plus mal. Il lui lâche les seins et lui tire les cheveux. Il lui caresse le dos, les hanches, les fesses. Les gémissements augmentent dintensité pour se transformer en longs râles qui sortent du plus profonds de sa poitrine. Je serre les dents sur le tissu mais ne peut détacher mon regard de cette scène qui me fait mal. Mourad a lui aussi dégagé son membre. A ses mouvements de mains et au bruit de sa bouche, je comprends quil se masturbe en enduisant son sexe de salive. Son gland est contre mon anus. Je tremble. Jai un peu peur. Bien moins que la première fois. Mais langoisse noue quand même mon ventre. Heureusement le bâillon taira mes gémissements. Mourad me flatte la croupe. Je mécarte les fesses au maximum. Quand elle a brusquement redressé sa tête en poussant un petit cri, jai compris que Khaled venait de trouver le passage intime et que sa queue prenait possession du corps de mon amie. Elle a fermé les yeux, gorge tendue, tête rejetée en arrière. Khaled la tenait par les hanches. Lui seul bougeait dans un long mouvement de va et vient de son bassin. Jimaginais son gland circoncis ouvrir les parois intimes pour glisser au fond de son ventre soyeux. Aller et venir lentement dans le tunnel ouvert. Je connaissais la taille de cette queue, la grosseur du gland, lépaisseur de la hampe. Je devinais quil la possédait entièrement. Que toutes les chairs intimes de mon amie devait frotter contre se sexe. Quelle devait mouiller comme jamais en sentant le pieu lui labourer le ventre. Khaled sest immobilisé. Son bassin est resté collé contre les fesses de Sylvie qui haletait bruyamment. Les larmes ont giclé de mes yeux quand mon anus sest ouvert sous la poussée du gland de Mourad. Sa queue très dure forçait le passage bien lubrifié par la salive. Mon anus souvrait lentement pour recevoir le gland et la douleur montait mobligeant à serrer les dents sur le bout de tissu. Surtout ne pas crier pour ne pas dévoiler notre présence. La queue de Mourad senfonce centimètre par centimètre. Ce salaud va très lentement et prend son temps. Lui aussi regarde le spectacle au-dessus de mon épaules et il pousse au rythme des coups de rein que Khaled est entrain de donner. Comme ils me lavaient dit, ils aiment bien enfiler.

Et ce verbe était parfait. Jétais entrain de me faire enfiler en regardant ma petite amie se faire enfiler aussi. Elle par devant et moi par derrière. Elle en prenant son pied et moi en souffrant. Mourad poussait sans relâche et son gland allait de plus en plus profond. La douleur ne me quittait plus mais elle était supportable. Mon trou avait appris à souvrir et était maintenant bien souple. Malgré cela, jai cru quil nallait jamais finir dentrer dans mes entrailles que je sentais souvrir sous la pression de gland circoncis. Je pleurais et javais mal aux mâchoires à force de serrer le bout de tissu dans ma bouche. Il a poussé une dernière fois et jai enfin senti les poils de son pubis contre mes fesses. Jai plaqué mes mains contre le mur et mes fesses se sont refermées sur le mandrin du jeune arabe bien vrillé au fonds de mon cul tendu. De lautre côté du grillage, Khaled donne de longs coups de ventre contre mon amie. Il la tenait par la taille et la tirait vers lui avant de la repousser. Je voyais les seins pourtant fermes ballotter au rythme des coups de bitte quelle reçoit. Elle a du mal à tenir la pose et ses petits cris envahissent la pièce silencieuse. La queue de larabe sactive dans la chatte béante. Je sais que quand elle est excitée, mon amie mouille beaucoup. La grosse bitte ne doit avoir aucun mal à coulisser de plus en plus vite dans le fourreau de chair. Elle se laisse niquer comme ils disent. Cest le deuxième mot quils mont appris. Ils sont entrain de nous niquer tous les deux. Une queue dans la chatte de mon amie et lautre dans mon fion. Ils mavaient aussi dit que les français, ils aiment bien les gros zobs des arabes. Ce mot-là, je le connaissais déjà. Le gros zob de Mourad a commencé à coulisser dans mon intimité. La douleur sest vite calmée. Je me suis laissé sodomiser en regardant ma petite amie se faire baiser. Je sentais que mon anus se moulait à la taille du sexe qui s’enfonçait de plus en plus vite et je savais que mon amie devait dégouliner sous les coups de boutoirs de Khaled. En lespace de trois semaines qui s’annonçaient de rêve, tout avait basculé et nous étions devenus les jouets plus ou moins consentants de ses deux étudiants arabes plus jeunes que nous. Javais envie de pisser et de chier. La queue dans mon fion devenait de plus en plus active. Les coups de reins de plus en plus violents. Mourad rajoutait de temps en temps de la salive. Tout se passe dans un silence absolu. A peine les bruits de nos respirations, et les petits cris de plaisir de mon amie. La pénombre rendait la scène presque irréelle. Mon anus est maintenant complètement dilaté. Je sens mon sexe recroquevillé battre entre mes jambes au rythme de lenculade. Je serre les poings en mordant le chiffon dans ma bouche. De lautre côté, Khaled aussi va de plus en plus vite. Heureusement quil la tient. Elle se laisse manipuler comme une poupée. Le zob doit lui défoncer les muqueuses. – Tu mouilles bien salope. Il na pas parlé bien fort mais dans cette pièce vide, les mots ont résonné sans problèmes et mont fait sursauter. Mourad sest planté à fond dans mon cul et je me suis tendu en sentant son gland taper contre mes intestins. Sa bouche sest plaquée contre mon oreille. – Toi aussi tu mouilles du cul. Il est bien large maintenant. Mon amie feulait doucement. Une espèce de ronronnement de chatte. Je savais que cétait un signe annonciateur de sa jouissance. – Tu sens comme il est gros le zob de Khaled. Je suis sûr quil est plus gros que celui de ton ami. Tu vas voir comme tu vas aimer. Khaled mentait avec un aplomb incroyable. Bien sûr quil connaissait la taille de mon sexe. Mourad me défonçait de toutes ses forces et la douleur revenait. Son sexe coulissé parfaitement bien entre mes fesses. Ses couilles battaient contre les mienne. Jai entendu Khaled – Attends ma salope. Cest pas là…. – Non!… Non!… Non Khaled.. Jai ouvert les yeux oubliant ma douleur. Elle a tenté de séchapper. Elle a crié, puis la supplié- Je ten prie Khaled….. Non… Jai jamais fait….. Non pas ça… Khaled…. Sil te plaît…. – Vassy ma poule, cries. Comme ça les autres vont venir te voir te faire niquer….. Tu vas voir comme tu vas aimer….. Jen connais qui adore…. Tu en redemanderas après… Tu vas voir…. Fais-moi confiance… Laisses toi faire…. Attend bouges pas…. Elle a poussé un cri de douleur qui sest transformé en sanglots. Mais elle ne tentait pas déchapper à son amant. Elle a de nouveau crié plusieurs fois en pleurant et jai compris quil était entrain de la sodomiser. Il est resté immobile quelques secondes avant de commencer à la tringler. Il allait doucement et les sanglots continuaient. Mais cela ne lui suffisait pas. Il la mise à quatre pattes et a genoux derrière elle, la tenant fermement par la taille, il la enculée de plus en plus vite. Mourad sest vidé dans mon ventre. Je lai regardée se faire sodomiser. Elle navait jamais voulu avec moi. Je suppose que cétait la première fois que cela devait lui arriver. Je comprenais sa douleur. Je compatissais. Mourad a libéré mon anus qui est resté ouvert. Khaled sest vidé aussi dans le cul de ma petite amie qui ne disait plus rien.

Elle a juste gémis car elle à jouit en même temps que lui. Ils sont resté quelques secondes sans bouger avant quil ne la libère en lui caressant les fesses quil venait de martyriser. – Tu vois que cest bon…. Tu as bien pris ton pied… Il sest rajusté pendant quelle se rhabillait. Ils se sont embrassés. Elle sest remaquillée en lui souriant. Il lui a encore caressé les fesses. Ils ont soufflés les bougies et ont quittés la pièce. Il la tenait par la taille. Elle semblait heureuse. Nous nous sommes reculés. Je me suis aussi rhabillé. – Attends quils sen aillent. Nous sommes restés dans le noir. Au milieu de la pièce. Il ma saisi par la nuque pour me baissait la tête. – Nettoies mon zob. Je lai fait à genoux. Javais envie de vomir mais je bandais comme un malade. – Ta fatma cest une vraie salope….. Pire quune femelle en chaleur… Nettoies bien sous les couilles… Toi aussi tes une vraie pute… Je sens quon va bien samuser les quatre… Tète bien mon gros biberon… Tu peux te branler si tu veux. Je suis sûr que tu en crèves denvie…. Il te plaît mon zob hein? …. Mon sperme a fusé en longues saccades en même temps que Mourad jouissait une deuxième fois dans ma bouche. Javais honte de moi. Je lai bu jusqu’à la dernière goutte. Lui il riait doucement.

DAMIEN DEUX

— Hé Monsieur, tu veux entrer…. Viens viens, il y a des très jolies choses….. Tes français…. Viens Monsieur viens, entre et fais comme chez toi… Je suis sorti brusquement de mes souvenirs. Le patron de la boutique devant laquelle je suis resté figé, minterpellait gentiment. Il ne devait pas comprendre pourquoi un type comme moi était immobile devant son entrée. Il me regardait avec curiosité. Était-ce le même quil y a quinze ans? Non, non, celui-ci avait mon âge. Javais envie de lui demander si je pouvais visiter le vieux hammam. Il aurait été certainement très surpris quun touriste de mon acabit a connaissance de cette pièce. Je lui ai souri poliment avant de rebrousser chemin pour quitter le souk. Je laissais mon esprit guider mes pas. Ils avaient commencé par moi. A peine une quinzaine de jours après avoir fait leur connaissance sur la plage. Sylvie et moi étions en vacance depuis trois semaines. Cétait nos premières vacances ensembles et mes premières vacances hors de France. Cétait aussi mes premières vacances dadulte. Cétait deux ou trois années après soixante-huit. Libération totale des murs. Cheveux longs, chanvre et musique indienne. Sylvie et moi nous sommes rencontrés sur les bancs de la fac de droit en milieu dannée. Elle avait un an de plus que moi et était bien plus délurée. Elle avait plus dexpériences aussi, et jai étais très surpris quand elle ma directement dragué pendant un cours de droit constitutionnel vachement barbant. Elle sest assise près de moi et à tout de suite collé sa jambe contre la mienne. – Salut – Salut – Moi cest Sylvie et toi? – Euh… Damien…. Moi cest Damien… – Cest un joli prénom çà…. Pourquoi tu me regarde comme çà… Tas peur de moi….. Je ne vais pas te manger tu sais….. Je me suis senti rougir jusquaux racines des cheveux. Je ne savais plus ou me mettre ni quoi dire. Sa jambe sest pressée plus fort contre la mienne me procurant de délicieux frissons le long de ma colonne vertébrale. – Tu sais que tu es mignon…. Surtout quand tu rougis….. Tas de beaux cheveux. Presque aussi longs que les miens… – Tu es….. Tu es très belle aussi… Je ne savais plus quoi dire, mais je voulais quelle reste près de moi. Elle a été au-delà de mes espoirs les plus fous. – Viens on se casse. Ce cours ne sert à rien. Bien sûr je lai suivi. Premier arrêt dans un café. Elle a continué à se moquer gentiment de moi. Elle ressentait mon trouble, et en jouait. – Jaime bien les mecs comme toi, mince, blond, presque imberbe. Ca me change des ours qui courent après moi….. – Mer…. Merci….. Je ne suis pas très grand tu sais…. – Faut pas que tu sois gêné pour çà….. Allez viens….. Je nai pas osé lui demander où elle memmenait. Une fois que nous sommes arrivés cétait trop tard pour reculer. Je me suis retrouvé dans sa chambre, seul avec elle pendant que ses parents travaillaient. Elle a mis un disque, ma débarrassé de ma parka et a ôté, le gros pull de laine qui lui arrivait sous les fesses. Jétais assis sur son lit ne sachant pas quoi faire de mes mains de tout mon corps.

Une appréhension me tenaillait le ventre. Elle est venu debout entre mes jambes écartées. Jai levé mon visage vers elle. Elle souriait. Son odeur pénétrait mes narines. Mes mains tremblaient. Elle sest avancée. Son bassin était à deux centimètres de mon visage. Elle ma caressé les cheveux et ma tête sest collée contre son pantalon à la toile rêche. Je respirais son odeur. Son pantalon est tombé. Je sentais le soyeux de son petit slip rose. Ma longue a couru sur la peau satinée au-dessus de lélastique, mes mains se sont posées sur ses fesses. Jétais dans un autre monde. Ses odeurs intimes m’enivraient. Je frottais mon visage sur son pubis poussant le plus loin possible. Son slip devenait humide de ma salive. Elle serait très fort ma tête contre son bas ventre et je ne sais pas comment elle sy est pris mais son slip à rejoint son pantalon. Javais son sexe a deux centimètre de mes yeux. Je voyais ses petits poils blonds et soyeux, le renflement de ses lèvres et sa fente rose. Jai sorti ma langue et me suis régalait de son goût fort et âcre. Cétait la première fois que je faisais cela. Elle me laissait la lécher en écartant ses jambes autant que le lui permettaient ses vêtements autour des chevilles. Ma langue courrait le long de ses lèvres intimes. Je buvais ses sécrétions et ses poils me chatouillaient! le visage. Jallais de plus en plus vite, de plus en plus loin, et je bandais comme un malade sans même me toucher. – Attends…. Attends… Pas si vite…. Elle sest mise à genoux. Jai allongé mes jambes. Je sentais encore sa liqueur sur mes lèvres. Ses mains se posées sur mon ceinturon. Elle avait une habileté diabolique. Je me suis retrouvé nu à partir de la taille. – Cest marrant tas pas de poils sur les jambes non plus…. Sa réflexion ma refroidi, et même un peu humilié. Mais sa main droite sest emparée de ma hampe pour entamer un lent va est viens sur mon gland. Je lai laissé faire en serrant les dents. J’essayais de me contrôler. Je ne voulais pas jouir tout de suite. Je me suis reculais dos contre le mur et jambes largement écartées sur son lit. Elle ma suivi à genoux. Je voyais ses reins et le haut de ses fesses. Dune main elles serraient mes couilles, de lautre elle me masturbait très lentement. Son visage sest levé vers le miens et nos lèvres se sont soudées pour un interminable baiser. Sa langue fouillait mon palais, sa mains sactivait sur mon gland et je sentais mes couilles pleines profitaient de la chaleur de sa paume. – Jaime bien les garçons qui se laisse faire….. Je vais te faire jouir…. Comme cela tu dureras plus longtemps….. Jai eu honte de ne plus pouvoir me contrôler. Jai inondé sa main, ses cheveux, mon ventre. Elle ma regardé jouir en riant – Ben dis donc ten avais besoin on dira….. Tas pas de petite amie?… Jai été assez surpris de la question à ce moment de la séance. Javais du mal à retrouver mes esprits. Je me suis essuyé avec ma chemise. Elle sest mise nue. – Non… Non… Je nai pas de petite amie…. – Pourquoi?… Tes beau mec pourtant…. – Je ne sais pas…. Pas eu loccasion…. Son index sest pointé sur mon sexe tendu vers le plafond de la chambre. – On dirait que tu as encore la forme….. Tas déjà eu beaucoup de filles…. – Euh…. Quelques-unes….. – En fac? – Non… Non…. Elle a quitté le lit entièrement à poil pour aller changer de disque. Jai pu admirer son corps. Les jambes très fines et très longue, le ventre plat, le bas ventre à la toison claire. Elle marchait lentement et ses hanches se balançaient au rythme de la musique. Elle a des petits seins avec des aréoles larges et sombres. Cest vrai que ses cheveux étaient à peine plus longs que les miens. Elle est vraiment belle et je savourais la chance que javais. Elle est revenue sur le lit. – Çà te dérange si cest moi qui dirige les opérations?…. J’ai dû la regarder dune manière idiote car elle sest sentie obligée de préciser. – Jaime bien prendre les choses en main quand je fais lamour et souvent cela ne plaît pas aux garçons….. Tu veux bien me laissez faire?…. Jai pas su quoi lui répondre et elle a pris ce silence comme un accord. Etendu nu sur le lit, je lai laissé faire. Elle est venue directement chevaucher mon visage. Sa fente humide sest collée à ma bouche. – vas-y lèches moi…. Oui enfonce ta langue jadore … Oui comme çà… Loin… Bien profond…. Je lui faisait ce quelle demandait. Ses poils grattaient mon visage. Sa mouille devenait de plus en plus abondante et coulait dans ma bouche. Lodeur de plus en plus forte envahissait tout mon corps. Elle frottait sa chatte sur mon visage. – Oh oui cest tellement bon….

Jaspirais son jus, ma langue allait très loin et de plus en plus vite. Le manège a duré un bon moment et je ne sentais plus ma langue. Brusquement elle ma libéré. – Je ne veux pas jouir tout de suite…. Tu lèches bien…. Cest fois ci elle ma chevauché au-dessus de ma bitte tendue et sest empalée dun seul coup sur mon sexe. Jai poussé un gémissement avant de commencer à bouger. – Non… Non… Ne bouge pas… Je préfère le faire… Cest elle qui sest fait jouir pendant que je lui pinçais les seins aux pointes turgescentes. Elle na même pas attendu que je jouisse. Nous nous sommes rhabillé et je nai pas osé lui dire que jaurai voulu moi aussi jouir. Jai eu mal aux couilles toute la journée. Cest comme cela que je suis devenu son amant. On sentendait parfaitement bien. Je ne lui demandais aucun compte et elle non plus. Les séances de sexes se multipliaient et cest elle qui menait le jeu me demandant des trucs de plus en plus hardis. Nous appliquions tous les slogans de libération de lépoque. Souvent à la fac, elle se penchait à mon oreille et me demandait le même truc. Je devais aller aux toilettes et ôter mon slip que je lui ramenait. Elle le gardait toute la journée dans son sac. Je savais quil lui arrivait souvent de faire lamour avec dautres mecs. Je ne lui en voulais pas du tout, mais moi je lui restais fidèle. Je ne savais même pas pourquoi. Un jour chez elle, après avoir fait lamour, elle me dit que jai trop de poils. – Comment çà trop de poils, je nen nai pas du tout à part sur les jambes et encore. Vu leur blondeur. – Tas trop de poils sur le pubis. Cest dommage tu seras superbe uniquement avec tes cheveux longs… – Je ne sais pas trop…. Je trouve que déjà je ne fais pas très mec.. – Comment ça! Tu crois quil faut ressembler à un ours pour nous plaire?…. Jaime bien ton côté un peu féminin… – Ah bon… Jai lair féminin? – Non rassures toi tes un vrai mec…. Attends je reviens… Effectivement elle est vite revenue. Elle avait dans une main une bombe de mousse à raser et dans lautre le rasoir de son père. Elle voulait me raser. Je nétais pas du tout daccord. Mais jai finis par abdiquer et un quart dheure après, je me sentais plus nu que nu avec ma bitte tendue sur ma peau imberbe. Mes couilles ressemblaient à deux petits haricots. On a fait lamour ou plutôt, elle sest servie de mon pieu pour jouir et jai aussi lâché ma purée sur ses seins. A partir de ce jour, je me suis régulièrement rasé les poils. Et je faisais tout ce quelle me demandait. Cest elle qui ma proposée ces vacances en Tunisie. Quatre mois au soleil dans lappartement dun ami à elle. Bien sûr que jai accepté. Cétait la première fois que jallais vivre tout le temps avec une fille. Dès la fin des classes nous sommes partis. En stop et bateau. Lappartement était minuscule. Une pièce avec un lavabo dans un immeuble décrépis. La porte dentrée et lunique fenêtre donnait sur une cour intérieur. Nous étions les seuls français et les autres habitants nous ont regardés bizarrement les premiers jours. Pour eux, il était incompréhensible que des touristes vivent dans cet endroit. Nous on sen foutait. Nous étions là pour le soleil, le pays et la plage et nous en avons bien profité…. Jusquau jour….

DAMIEN TROIS

Nous on sen foutait. Nous étions là pour le soleil, le pays et la plage et nous en avons bien profité…. Jusquau jour…. Nous bronzions et ils étaient brusquement devant nous. Ils étaient un peu plus vieux que nous et parlaient très bien le français. Ils se sont assis à côté de nous. Nous avons vite fait connaissance. Sylvie les regardaient dune façon que je lui connaissais bien. Surtout Kalhed. Cétait un athlète. Un vrai. Grand, musclé, un sourire ravageur et un visage volontaire avec un regard profond. Cétait un homme. Mourad était plus petit mais tout en muscle avec un regard assez vicieux. Nous ne nous sommes plus quitté de la journée. Au fil des jours, nous sommes devenus des amis. Ils nous faisaient découvrir des endroits superbes, inconnus des touristes. Ils savaient bientôt tout de nous. Je remarquais bien que Kalhed narrêtait pas de regarder ma copine et ses questions avaient toutes des connotations sexuelles implicites. Je ne men formalisais pas. Je connaissais Sylvie. Ils étaient très surpris de mes cheveux longs. De ma blondeur. Cest vrai que physiquement, ils étaient bien plus costauds que moi avec des muscles lourds et une force supérieure à la mienne. Ils portaient toujours le même maillot de bain, noir assez échancré. On ne pouvait pas ignorer les bosses que faisait leur sexe. Heureusement quils ne savaient pas que je me rasais. Au bout dune semaine nous étions inséparables. Au cours de nos échanges, ils avaient vite découvert quon ne fumait par uniquement du tabac et ils nous ont proposé facilement de nous procurer des barrettes. Mon amie se méfiait un peu. Moi jai craqué tout de suite pour les rejoindre chez eux un soir en profitant de la fatigue de Sylvie qui ne désirait pas sortir. Jai eu un mal de chien à trouver le chemin de leur maison. Je suis arrivé tard chez eux. Ils occupaient une pièce dans un immeuble des quartiers populaire de la ville. Jai frappé. De la musique arabe assez entraînante traversait la porte.

Cest Khaled qui ma ouvert. Il a été à peine surpris de me voir sur le pas de la porte. Son visage sest éclairé dun large sourire de connivence. – Toi tu viens pour fumer un peu… Entre … Entre…. La pièce était petite avec deux lits jumeaux qui occupaient pratiquement tout lespace disponible. Il y faisait une chaleur presque insupportable et une très forte odeur de tabac éclipsait toutes les autres. Mourad était couché sur un des lits. Les deux étaient uniquement vêtus dun slip noir. Cela ma un peu troublé et gêné. Pourtant sur la plage, ils étaient toujours vêtus dun maillot de bain noir assez serré. Mais là, nous nétions plus sur la plage et ce nétaient pas des maillots mais des slips. – Salut Damien… Tes seul? – Oui… Oui… Sylvie est fatiguée. Elle a préféré se coucher tôt… – Dommage… Viens assieds-toi sur le lit….. Mets-toi à laise…. Khaled a baissé un peu la musique. Cest seulement à ce moment que jai remarqué que leurs slips étaient complètement transparents. Le tissu était plein de fines mailles d’où des poils noirs sortaient. On voyait pratiquement tout. Cétait pire que sils avaient été nus. Je navais jamais vu ce genre de sous-vêtement. Ils étaient comme dhabitude, souriants et insouciant, complètement indifférents et absolument pas gênés de leurs presque nudité. – Tas de la chance. On en a reçu y a pas longtemps…. Mais il vaut mieux le fumer ici… Attends je vais en chercher…. Khaled est vite revenu en tenant à la main un chiffon blanc quil a déroulé sur le lit. Je suis resté complètement abasourdi par la quantité dherbe. Il y avait au moins une dizaine de barrettes. Dun beau brun presque noir. Il y en avait pour une fortune. Je nen avais jamais vu autant dun seul coup. Je nai pas osé leur demandé comment ils pouvaient en avoir une telle quantité à leur disposition. – Tu vois on ne ta pas menti…. Tu veux goûter…. Tu vas voir, cest du bon…. Il vient direct du producteur…. – Vous êtes vachement sympa les mecs…. – Attends, je vais ten préparer un ou deux…. Mourad sest redressé et sest mis à préparer les joints. Il le faisait avec une habileté qui démontrait une longue pratique. Il ma tout de suite tendu le premier. Jai allumé le joint en forme de cône en aspirant fortement. Lodeur à tout de suite envahie la petite pièce. Je sentais la fumée remplir mes poumons. Le goût était bien plus fort que celui que je connaissais. Plus doux aussi. Je remplissais à fonds mes poumons. Jétais en manque. Mourad a fait plusieurs joints quil a déposés sur le chevet qui séparait les deux lits. Il me les a montrés. – vas-y ils sont pour toi… – Cest beaucoup…. Je ne pourrai pas me payer tout çà… – Tinquiètes pas mon ami…. Pas de problème….. – Et vous vous fumaient aussi… – Oui…. Bien Sûr…. Mais uniquement du tabac….. Je commençais lentement à ressentir les effets habituels. Je me détendais. La vie était belle et je me marrais avec eux. Ils me répondaient. Je rigolais bêtement et profitais de laubaine. Eux sétaient recouchés et buvaient tranquillement leur limonade en me regardant tirer comme un malade sur le joint. Dès que jai finis le premier, Mourad ma tendu un second joint. Je lai pris de bon cur. Javais la tête qui tournait. Leur herbe était bien plus forte que la nôtre. Il faisait chaud et je transpirais à grosses gouttes. La seule fenêtre de la pièce, était fermée. – Mets-toi à laise tu vas crever dans cette chaleur…. On ne peut pas ouvrir la fenêtre si non, on risque de sentir lodeur dans la rue. Jai éclaté de rire et me suis mis torse nu. Je regardais leurs slips et devinais très nettement leurs sexes au repos compressé par le tissu tendu. Leurs corps bruns tranchaient sur les draps blancs froissés. Ils transpiraient à peine et leurs peaux mates brillaient légèrement. Jai finis mon second joint. Khaled a augmenté le son de la radio. La musique était entraînante. Jétais heureux. Mourad sest mis a danser devant nous. Une danse du ventre endiablée et lascive. Son bassin ondulait souplement. Les muscles jouaient librement sous la peau. Il sest approche de moi.

Son slip était tout proche de mon visage. Je me suis levé pour danser aussi. La chambre sest mis a tournée. Jai vacillé. – Doucement Damien. Tu vas tomber. On dirait que tu as trop fumé mon ami….. Attends on va taider…. Ils mont couché sur un des lits. Le plafond dansait. Le lit aussi. – Il fait trop chaud… – Attends reste tranquille…. Je me suis laissé faire. Mourad ma ôté mes chaussures et a ouvert mon pantalon de toile. Il me la retiré en tirant par le bas des jambes. Je me suis vite retrouvé en slip sur le lit. – Repose-toi un peu…. Tu fumeras tout à lheure…. Nous avons écouté de la musique en silence. Les notes tourbillonnaient dans mon crâne et je me sentais très bien. Un sentiment de joie et de plénitude. Jétais bien avec eux. Dommage que Sylvie nétait pas avec moi. Je regardais Mourad danser. Il ondulait lentement entre les deux lits en me regardant. Son corps fin se tordait comme une liane. Le slip noir me fascinait. Javais envie de fumer encore un joint mais je nosais pas le prendre. Khaled sest allongé près de moi. Je sentais son odeur malgré le goût de lherbe dans mes narines. Mélange de sueur, de sable et sel. Le lit était étroit et il sest collé contre moi. Sa peau était chaude. La musique est montée dun cran. Je voyais Mourad danser. Après tout devient flou dans ma tête. Je me souviens de la voix grave de Khaled à mon oreille. Son accent arabe. – On na pas eu de femmes depuis au moins un mois… Toi tu as de la chance tu as Sylvie…. Je ne comprenais pas pourquoi il me disait cela. Il sest collé un peu plus contre moi. Mourad est venu à son tour s’asseoir sur le même lit. Khaled jouait avec mes cheveux longs. – Tas des cheveux de femme… Ils sont beaux…. Dans notre pays on na pas le droit de sortir avec une fille avant le mariage. Il ma recouvert le visage avec mes cheveux. Sa main a caressé ma joue. Je ne comprenais ce qui se passait. – Tas les joues douces. Tu na pas besoin de te raser tous les jours toi…. Hier, sur la plage, on marchait derrière vous. De dos, vous vous ressemblaient Sylvie et toi…. En plus vous avez les deux les cheveux de la même couleur et presque de la même longueur…. Je ne me sentais pas très bien. Jétais très troublé et vaguement inquiet. Je ne devinais pas ou ils voulaient en venir et javais lesprit trop embrumé par lherbe que je venais de fumer. Je tente de m’asseoir sur le lit pour me ressaisir, mais ils men empêchent en posant leurs mains sur mon torse et mes cuisses quils commencent à caresser. – Tu as la peau douce… Une vraie peau de bébé… Pas beaucoup de poils….. Et blonds en plus. On ne les voit presque pas…. Et là, tu nen a pas non plus? Une des mains sest posée sur la bosse de mon slip. Je sursaute. Elle presse et malaxe le tissu. Je narrive pas à men débarrasser… Je bande. Je ne sais pas pourquoi. Impossible de me contrôler. Jai un peu honte. – On dirait quil aime ça…. Il rougit comme une gamine ma parole….. Ils se parlent en arabe et prononcent plusieurs fois le prénom de mon amie. Je les regarde. – Khaled dit quil se ferait bien ta copine….. Mais ce nest pas grave tes mignon aussi…. Tu vas voir tu vas aimer….. Beaucoup de français ne viennent chez nous que pour çà….. Nous sommes les trois couchés sur le même lit. Je suis sur le dos et eux, mencadrent, couchés sur le côté, têtes en appuis sur leurs bras relevés. Ils me regardent. Je tente de me libérer. – Il faut que je men aille – Mais non, On a tout le temps. – Sylvie mattends- Tu nous as dit quelle dormait….. Ce nest pas beau de mentir à tes amis… Nous on vous aime bien… Je narrive pas à articuler deux mots daffilé. Devant mes mouvements pour me libérer, ils deviennent brutaux. Je suis complètement dans le coltard. Jarrive à me lever. Ils bondissent sur moi. Ils sont plus forts et je me débats faiblement…. Je suis couché à plat ventre. Ils mont mis les fesses à lair. Je sens leurs mains sur mon derrière. – Il a un joli cul tout blanc – Regarde, pas un poil… Un vrai cul de femme…. – Tu crois quil en a à l’intérieur? – On va voir. Je tente de me dérober aux mains qui mouvrent les fesses. Ils me donnent des claques. Jai la chair de poule. Ma gorge nouée, m’empêche de parler. Justes des grognements. Ne – Bouge pas… – Putain, il a un joli trou…. Un vrai trou tout neuf… – Laissez-moi…. Laissez-moi…. Un des deux arabes se couche sur mon dos pour me bloquer. – Tinquiète pas Damien tu vas voir….. Je suis sûr que tu vas adorer…. Ils regardent mon anus. Avec leurs jambes, ils écartent et bloquent les miennes. Dans cette position, je me sens complètement à leur merci. Seule ma tête peut encore bouger. Je nai pas assez de force pour refermer mes jambes. – Je ne veux pas…. Non… je ne veux Pas… Ils me flattaient les fesses comme si ils soupesaient de la marchandise. Leurs mains me malaxaient les globes, les claquaient, les écartaient, mettant à nue ma rosette. Je narrive pas à me dérober à leurs doigts inquisiteurs. Et quand je tente de leur échapper en bougeant mon cul, cela les fait rigoler et les excite encore plus. – vas-y Damien, danse du cul… – Oui vas-y comme les putes…. Jai la tête qui va exploser sous leffet de lherbe. Je suis entrain de vivre un mauvais trip. Ce qui marrive est impossible. Pas avec eux. Je les croyais mes amis. Je me rappelle avoir parfaitement sentis de la salive sur mon trou. Ils crachaient à tour de rôle dans ma raie en visant mon anus et la salive coulait sur mes couilles tellement il y en avait. Jai poussé un petit cri qui ma semblait ridicule quand jai sentis des doigts me malaxer lanus. Je tentais de serrer les fesses pour y échapper. Un doigt sest vrillé dans mon fondement me faisant sursauter de surprise et de douleur. Je lai senti senfoncer. – Il est bien serré…. Tu crois quil nique sa copine par derrière? – Çà métonnerai. Ce nest pas le genre …. – Eh Damien tu as déjà niqué ta copine???? Une claque sur les fesses.

Le doigt reste bien planté au fonds de mes reins. Je crois que je pleure de honte et dhumiliations. – Réponds-nous… Je suis sûr que tu la jamais enculée. – Moi je lui mettrai bien mon zob a sa copine…. – On a le temps… Ils sont là longtemps… Le doigt coulisse dans mon trou. Cela mirrite malgré la salive. Je le sens tourner. Un autre le rejoint. Il a des difficultés à entrer et force le passage. Je me débats vainement. Ils glissent dans mon fondement, tournent en mouvrant, vont et vient dans ma corolle qui se desserre lentement…. – Tiens regarde comme çà entre bien… Je me tends sous la douleur. Des milliers de piqûres dans mon cul quand un troisième tente de rentrer. Le type pousse durement. Encore de la salive. Je crie de douleur. – Çà y est… Il en a trois dans le cul…. Cest en train de bien souvrir…. – Mets les lui à fonds Mourad et tourne bien…. Je redresse la tête sous la douleur. Ils me la plaquent sur le lit. Je narrive pas à leur échapper. Lherbe me fait perdre tous mes moyens. Ne – Bouge pas le français. Tu vas voir comme tu vas aimer…. – Ouais… Y-a des mecs et des nanas qui nous payent pour ce quon te fait là…. On est sympa pour toi cest gratos…. – Je crois quil est bien ouverts là… Ça glisse tout seul… A toi lhonneur… Souvenirs dun corps nu et lourd sur le mien. Des jambes poilues et musclées entre les miennes. Souvenir d’étouffement. Souvenir dimpuissance face à ces deux adolescents plus jeunes que moi et pourtant plus fort. La musique couvre les bruits de luttes pour échapper a ce que jai contre mes fesses. Des doigts dacier me serrent douloureusement la nuque. Un truc chaud et très glissant dans ma raie. Un bâton de chair qui se colle contre mon anus. Impossible de me cabrer. Je ne veux pas… Mais je ne peux rien faire à part les supplier de me laisser. Ils rigolent… – Tu vas être ma fatma Damien. Une bonne fatma bien obéissante et dévouée.. Tu peux crier autant que tu veux… Les fatmas crient aussi quand elles perdent leurs virginités…. Tu vas voir on va bien te dépuceler…. Je sens la pointe du sexe qui pousse sur mon anus. Je comprends quil mest impossible de leur échapper. Cest très douloureux. Le type pousse mais rien ny fait. – Vas prendre lhuile, je nai pas envie de m’abîmer le zob…. Quelques secondes de répit qui passent trop vite et bientôt je sens lhuile couler sur ma raie. Il magrippe aux épaules. Je ne sais même pas lesquels des deux et sur moi. Le bout du sexe est bien collé contre mon anus. – Tu ferais mieux de pousser comme si tu voulais chier. Je nai pas le temps de comprendre ce quil vient de me dire. Une douleur terrible. Je me cambre malgré le poids sur moi en criant de douleur. Lhuile fait son effet. Jai limpression quon vient de mexploser le cul. La souffrance monte à mon cerveau. Je manque de m’évanouir. Mon torse retombe sur le lit. – Putain! Elle est entrée toute entière du premier coup…. Je te jure! Il la jusqu’à los…. Je lai embroché comme un poulet… Je ne sens rien, la douleur oblitère toute sensation. Jai du mal à retrouver ma respiration. Jai limpression davoir du feu dans le ventre. Je gobe de lair frénétiquement. Cette barre dans mon ventre casse tout mouvement de rébellion. Je retombe inerte sur les draps. Une bouche contre mon oreille – Cela ne te sert plus à rien de défendre. Maintenant tes une vrai fatma….. Tu ferais mieux de ne pas trop bouger et de me laisser faire…. Sinon tu vas avoir encore plus mal…. Tu vas voir comme cest bon après…. Elles disent toutes çà après…. Il reste immobile en moi. Je nai plus envie de rien comme si, le fait davoir été sodomisé mavait enlevé toute tentative de révolte. Je nai plus la force de crier ou de me soustraire au bâton brûlant qui est enfoncé en moi et que je commence à sentir. Je sens aussi des poils contre mes fesses. La douleur sestompe un peu. Je sens mon anus se tendre autour de cette bitte conquérante et jai peur quil se déchire. Les jambes sécartent plus mobligeant à mouvrir encore plus. – Reste comme çà et tends bien ton cul…. Je vais bien te niquer la rondelle…. Tu vas voir comme je vais bien te casser le cul…. Nous on sait que les français qui te ressemblent adorent se faire enculer….. Le bassin de larabe commence à bouger au-dessus de mes fesses meurtries. Il va très lentement. La douleur revient et me fait gémir. Je sens une barre dure et chaude sortir lentement avant de revenir dans mon ventre. Lhuile quils ont badigeonnait sur ma raie remplie parfaitement son office de lubrifiant. Jai limpression qu’on me vide de l’intérieur puis quon me remplit. Cest une sensation étrange et, ma grande surprise, la douleur dabord violente diminue petit à petit au fur et à mesure des vas et viens. Le gland ouvre le passage et fore mes reins. Mon anus s’assoupli rapidement. Impossible de retenir les pets qui séchappent à chaque coup de reins. Jai honte. Honte d’être là, de ne rien faire pour me révolter. Honte, de subir en silence cette loi du mâle. Honte de la rapidité avec laquelle mon cul sest ouvert. Honte de sentir cette bitte senfoncer sans aucun problème au fond de mon ventre. Je suis un enculé. Un mec est entrain de menculer.

Un type est entrain de me planter sa bitte au fonds de mon ventre. Et je ne fais rien pour me défendre. Je reste inerte sur ce lit, bras et jambes en croix, à la merci de ce sexe qui peu à peu trouve sa place dans mon intimité violée…. La bitte va de plus en plus vite. Je ne tourne même pas la tête pour savoir qui est sur moi. La douleur est toujours là, mais elle reste très supportable malgré laccélération. – Ma parole, il a le cul aussi ouvert que la chatte dune femme…. Jarrive à lui enfiler mon zob jusquaux couilles…. Il va de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je pète sans arrêt et jai envie de faire pipi. Son gland tape régulièrement au fonds de mes entrailles. Quand il retire sa bitte, jai limpression quon maspire de l’intérieur. Quand il la replante au maximum, je tressaute. Il est de plus en plus violent. Je gémis de douleur et de honte. – Arrêtes de pleurer comme une fatma…. Je narrive plus à me contrôler. Leffet de lherbe et entrain de retomber lentement. Il pousse de toutes ses forces sur mes fesses et je hurle. Il reste immobile et ses couilles pressent les miennes. Cela dure quelques secondes – Putain quil est bon!…. Je lui ai rempli le cul à ras bord…. Il reste sur moi encore quelques secondes sans bouger, son sexe toujours fiché dans mon cul avant de me libérer. Je pète très fort et ils rient de bon cur. Une petite tape sur les fesses… – Cest bien Damien. Je tavais dit que tu vas aimer…. Tu as vraiment un super cul de salope…. Je ne bouge pas et reste sur le lit, jambes écartées et visage dans les draps. Je nai plus mal. Plus du tout. Je suis ankylosé. Jai surtout honte. Je ne veux pas les regarder. Je ressens un terrible sentiment de culpabilité. Cest de ma faute ce qui marrive. Je naurais jamais dû venir chez eux. Le deuxième est à son tour couché sur moi. Je ne tente rien pour y échapper. Pourtant, je sais bien que lui aussi va menculer. Mais jai une impression dimpossible révolte. Son sexe est entre mes fesses pour chercher la bonne voie. – Tends bien ton cul…. Lève tes fesses…. vas-y offres toi… Je me suis cambré, en écartant bien mes jambes, lui offrant ainsi mes fesses meurtries. Il a vite trouvé le passage. – Cest bien Damien….. Ne bouge plus…. Laisse toi faire…. Il sest lui aussi enfoncé dune seule poussé, me faisant hurler car la douleur est revenue brutalement pour disparaître aussi brusquement quand son bas ventre sest collé contre mes fesses tendues. – Tu as raison Khaled, maintenant que le passage est ouvert, çà entre tout seul… Il a avalé tout mon zob… Mourad ma sodomisé plus brutalement encore en donnant des coups de reins très puissants, qui propulsaient son gland contre mes intestins. Je criais à chaque coup de boutoir. – vas-y tu peux pleurer… Cest bon une fatma qui pleure Je ne métais même pas aperçu que je pleurais. Il ma enculé de longues minutes en rajoutant de temps en temps de lhuile pour que ça glisse bien. Une odeur de merde flottait dans la chambre. Je sentais mon cul recracher du liquide malgré le sexe qui bouchait mon trou. Il me tenait fermement aux épaules et me bloquait à chacun de ses coups de reins. – Je vais lâcher ma purée… Il est trop bon son cul…. Cette fois-ci, jai sentis mon trou se remplir de liquide. Cest encore plus chaud que le sexe. Tout en jouissant, il continuait à me limer. Cela a encore duré un temps interminable avant quil ne me libère. Je suis resté sur le lit. Je nosais pas les regarder. Javais honte. Un sentiment dhumiliation. Je ne leur en voulais pas. Je men voulais à moi. Ils discutaient en arabe. Mon cul coulait. Les draps étaient sales sous moi. Je navais plus la notion du temps. – Eh Damien. Tu comptes dormir ici…… Allez viens, lève-toi…. On ne dira rien a personnes….. Çà reste un secret entre nous…. Tu veux une cigarette…. Je me suis redressé sans oser les regarder. Cest à ce moment quils ont découvert mon pubis rasé. – Putain ce nest pas vrai! Il se rase la queue…. – Il veut vraiment ressembler à une fatma. – Je suis sûr que cest Sylvie qui le lui a demandé; – Dommage quil a une bitte…. – Allez Damien…. Ne tinquiète pas, chez nous cest courant ces pratiques…. Ce nest pas la fin du monde…. Javais du mal à marcher…. Ils n’arrêtaient de me consoler…. Jai encore fumé deux clops de hasch… Je me suis rhabillé en tremblant sans même me nettoyer. Je lai ai quitté la tête basses. Ils ont remis leur slip avant douvrir la porte. – Si tu veux de lherbe tu peux revenir quand tu veux… – Sylvie aussi si elle en veut. Ils ont refermé la porte en riant. Me laissant seul avec ma honte et mes remords. La nuit noire et les rues vides augmentaient mon sentiment de désespoir. Dans ma tête, le mot enculé tournait sans répit et je sentais mes fesses glissantes et mon trou coulant. Javais limpression quil ne se refermerait plus. Je suis rentré en me tenant le ventre. Sylvie dormait profondément. Jai jeté mes vêtements sales avant de me nettoyer en touchant le moins possible mon anus irrité. Jai pissé et chié dans les W-C à la turc. Je me suis endormi comme une masse à coté de ma copine.

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