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Danielle – épisodes sexuels de ma vie – Chapitre 2

Danielle - épisodes sexuels de ma vie - Chapitre 2



Note : afin que les lecteurs et lectrices ne soient pas trop désarçonnées, jai choisi de leur livrer mes histoires selon la construction suivante : la première partie explique les moments importants de mon début de vie lorsque jai découvert la sexualité, lorsque jai connu bonheur et déception. Ces moments introduisent la seconde partie, les 10 dernières années passées, années où je découvre à nouveau plaisir, passion, extase, amour, etc.

Ma mère est anglaise, mon père belge, mais jai vécu ma petite enfance en Angleterre, où je suis allée à lécole en uniforme ! Depuis mon enfance, je suis habituée à porter des collants et de la lingerie, merci maman. Mes parents ne sont pas exhibitionnistes, mais ne se gênent pas beaucoup pour se tripoter. Mon père aime caresser maman sous sa jupe, se faire sucer (surtout le dimanche matin) et il la baise quand il en a envie, cest-à-dire tout le temps.

Je suis la petite dernière et vu la différence dâge avec mes aînés, je me débrouille toute seule car mon frère et ma sur ne veulent pas trop soccuper de moi. Dès ladolescence, je suis très curieuse, jépie la famille, je regarde les "grands" agir, je les écoute, j’écoute surtout derrière les portes (particulièrement celle de la chambre des parents) car je suis très curieuse en matière de sexe. Je vois mes parents saimer, je veux voir et comprendre.

Jai vite compris que les "siestes" des parents ne sont pas faites pour se reposer, ni que le dimanche matin ils restent au lit pour "se reposer" et donc je regarde mon père sauter ma mère (je les épie plus exactement bien qu’ils se montrent discrets, mais jai quelques astuces pour voir sans être vue). Je la vois le sucer et je suis excitée de les regarder, de les entendre. Vu qu’il lui jute dans la bouche et pas sur le visage, je n’ai jamais vu déjaculation, mais je la vois parfois faire une grimace, j’entends des drôles de bruits, je la vois s’essuyer la bouche, se passer la langue sur les lèvres, parfois même déglutir, mais je me demande ce qu’elle peut bien avaler !!! Mon père lui demande de temps en temps s’il n’y en a pas de trop, à quoi ma mère de répondre qu’il n’y en a jamais assez pour elle. Je sais (maman l’a expliqué comme cela il y a des années) que le papa dépose une petite graine dans le ventre de la maman et qu’ensuite bébé arrive, mais de là à comprendre que la petite graine est une giclée de sperme et qu’elle peut être avalée, je dois attendre un certain temps pour comprendre et lexpérimenter.

Je remarque également que maman ne porte pas de collant comme moi mais deux "longues chaussettes" qui ressemblent à un collant. Un jour je lui demande de pouvoir moi aussi essayer cette pièce de lingerie, mais elle refuse car je suis trop jeune ! Pas très convaincue, surtout que le père napprécie pas fortement que maman porte un collant, je décide de demander à ma grand-mère, jy passe de temps en temps le week-end. Un peu étonnée de ma demande, elle me prête quand même une paire de bas noirs en nylon et bien sûr trop grands. Elle porte une gaine et ne possède plus depuis bien longtemps de porte-jarretelles, car à son âge, ce nest plus dusage et plus très pratique bien qu’elle soit encore très coquette. Jenfile donc les bas qui évidemment retombent. Jai beau "chercher" (fouiller serait plus exact) avec mamy un vieux porte-jarretelles ou même des jarretières, rien, nous ne trouvons rien. Cest donc un échec ! De retour à la maison, il me faut cet accessoire à tous prix, mais je ne peux me permettre de le voler à maman. Mes amies de classe nen sont pas encore à penser lingerie "sexy" et personne à qui demander un porte-jarretelles en prêt. En acheter un, même adolescente, je nose pas encore! Que faire ? La solution va venir de façon toute à fait inattendue un mois plus tard.

Entre temps, j’épie toujours de plus en plus mes parents jusqu’au jour où ma mère me surprend en flagrant délit "d’espionnage" alors qu’elle suce le père. Elle vient me trouver ensuite dans ma chambre :

— Cela fait longtemps que tu nous espionnes ?

— Comment cela ?

— Oui, quand ton père et moi faisons l’amour, tu regardes depuis quand ?

— Mais non !

— Ne mens pas, je ne suis pas fâchée, juste un peu surprise mais sois honnête, assume ta conduite, depuis quand fais-tu cela ?

— Depuis 3 ans

— Ah bon, depuis 3 ans, dit-elle en regardant dans le vide ! Tu es vraiment une petite futée toi, je n’ai jamais rien vu, ni entendu. Qu’as-tu vu au juste ? Pourquoi depuis tout ce temps et encore maintenant ?

Je ne peux rien répondre. A mon tour de regarder dans le vide et surtout par terre. Que puis-je répondre ? Que je suis attirée par les choses du sexe ?

— Je suis curieuse, dis-je enfin.

— Curieuse ? C’est tout ? Depuis le temps que tu regardes, enfin que tu espionnes, qu’est-ce qui te pousse encore à faire cela ?

— J’aime vous regarder ! Voilà, c’était dit. Mais je suis rouge comme une pivoine.

— Tu aimes nous regarder !!!!!!! Tu ai-mes nous re-gar-der, dit-elle en articulant chaque syllabe ! Elle penche la tête, elle doit essayer de comprendre, en vain, mon comportement.

— Toi, surtout. dis-je, toute gênée, n’osant pas la regarder, jouant nerveusement avec mes mains comme si je devais les laver.

— Moi ? Pourquoi ?

— Parce que tu ………………….. je ne sais pas quoi dire.

En fait ma mère est très féminine et mon père aime surtout la voir en lingerie, sexy évidemment. J’ai découvert les trésors de maman dans ses tiroirs : que de la belle lingerie, des dessous sexy (dentelle, tulle, body, guêpière, soutien remonte seins, slips ouverts découvert lors de mes opérations d’espionnage) et provocants et jai aussi vu qu’elle était rarement nue pour se faire sauter.

— Je t’écoute, parce que quoi ?

— Parce que tu …………………………….. cela ne sort pas, je suis bien trop gênée de dire ce que je pense.

Elle s’approche de moi, mais doit écarter un peu les jambes. Comme elle porte une jupe assez courte, le haut de ses bas est partiellement visible, ainsi qu’une jarretelle. Je suis hypnotisée, même tétanisée, je regarde sous la jupe de ma mère ! Mais quelle est belle, elle a de superbes jambes. En fait, je suis jalouse de ce qu’elle porte (jen fais une véritable fixation, pourquoi, je ne lai jamais su, mais je veux porter des bas) alors que j’en suis encore et toujours aux collants. Elle suit mon regard et comprend que je regarde sous sa jupe.

— Qu’est-ce que tu regardes ?

— Rien.

— Arrête, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu nous épies, tu regardes sous ma jupe ? Que fais-tu d’autre ? Tu te masturbes ? Tu as déjà couché ?

— Ça veut dire quoi ?

— Quest-ce que tu ne comprends pas ? dit-elle alors un peu hors delle.

— Ne joue pas à lidiote, ne me dis pas que tes copines et toi navez jamais parlé de sexe, continue-t-elle.

— Alors, tu te caresses uniquement ? As-tu déjà eu des relations sexuelles ? A force de nous regarder, tu dois en avoir envie, non ? dit-elle vraiment plus contente du tout.

— … je n’ose rien dire

— Tu ne dis rien, donc je dois penser que oui, mais oui à quoi ? Tu me déçois ma fille, fortement ! Si tu veux que je te considère comme une grande fille, tu dois te comporter comme telle et ne pas me mentir. Raconte.

— Oui, je me caresse après vous avoir vu, je me sens bizarre quand je vous regarde mais je nai jamais couché, je te jure, dis-je presquavec les larmes aux yeux.

— Bon, cest déjà une bonne chose, tu es vierge, dit-elle un peu calmée.

Et de continuer

— Tu te sens "bizarre", tu veux dire excitée ? Tu as des picotements, ton minou se mouille, tu as la bouche sèche, ton coeur accélère ?

— Oui. Dis-je, sans plus, sans encore oser la regarder de face.

— Regardes-moi. C’est normal, tu deviens une jeune fille, tu découvres le sexe, mais tu aurais dû m’en parler et pas espionner. J’aurai pu t’expliquer ce que ton père et moi faisons. Tu aurais pu voir des choses qui auraient pu te faire peur, mal les comprendre, tu comprends ?

— Oui, mais je n’ai pas eu peur.

— Qu’as-tu vu depuis tout ce temps qui te pousse à continuer ? Quest-ce qui te rend "excitée" ?, dis-moi tout.

— Ce qui me donne le plus de sensation, c’est quand tu suces papa (mon autre fixation). Je ne peux pas m’empêcher de te regarder faire, c’est plus fort que moi. J’ai vite compris que le dimanche matin, quand vous traîniez au lit, et qu’on ne pouvait pas vous déranger, c’était pour que tu lui fasses cela.

— Tu aimes me regarder quand je suce ton père ?

— Oui.

— Qu’est-ce que tu ressens ? Tu n’es pas choquée ? Tu ne trouves pas cela bizarre ?

— Je ne suis pas choquée, si tu le fais souvent, c’est que tu aimes le faire, cest que cest normal. Papa a l’air d’aimer très fort, il dit que tu le suces bien. Parfois je voudrais faire comme toi.

— J’ai aussi envie d’autre chose, dis-je rapidement, mais dun ton plus bas.

— Quoi ? Quest-ce que tu vas encore minventer ? Décidément, tu as bien caché ton jeu, je suis complètement sidérée.

— Pouvoir m’habiller comme toi ?

— Comment ? Comme moi ? Des jupes, des robes ? Mais tu en portes aussi, mais quest-ce qui te passe par la tête ?

— Je voudrais mettre ce que tu as.

Je vois que maman ne comprends pas de quoi je parle..

— Oui, je précise, mettre ce que tu as là et je lui montre ses jambes.

— Des bas ????? Encore, cest une obsession, décidément ! Je tai déjà dit que tu es un peu jeune pour en porter et en plus, quand veux-tu les porter ? Tu ne veux quand même pas aller à lécole en bas, non ? La tenue prévue est de porter un collant ou être jambes nues ? Alors quand ?

— J’ai envie d’essayer, tu en mets tout le temps et moi je dois mettre des collants, pourquoi ? Et pourquoi pas à la maison ou le week-end ? Je sais que papa aime, il dit toujours que tu es bandante en lingerie.

— Ah bon, tu écoutes vraiment tout ma parole !!! Toi, quand tu as une idée en tête, tu ne las pas ailleurs, mon dieu, mais quest-ce qui te prend ?

Elle réfléchit un peu et me regarde à nouveau.

— Je vais voir ce que je peux faire pour toi.

Elle sort et regagne sa chambre. Je m’étends sur mon lit et ferme les yeux. Qu’est-ce que maman va penser de moi ? Je panique un peu et m’attends au pire.

— Danielle, viens, s’il te plaît, crie maman.

— J’arrive maman, dis-je, le cur battant.

J’entre dans sa chambre, elle a ôté sa robe et mapparaît en dessous, de très beaux dessous : un ensemble bleu et noir, en dentelle. Sur son lit je vois d’autres dessous.

— Déshabille-toi.

Ce que je fais pour me retrouver complètement nue. Lorsque je retire mon slip, je remarque qu’il est un rien humide et le plie vite pour que maman ne le voie pas.

— Tiens, essaye ceci.

Elle me présente un ensemble noir tulle dentelle, très transparent : slip, soutien et porte-jarretelles. Elle m’aide à fermer le soutien dans mon dos ainsi que le porte-jarretelles.

— Tu enfiles le porte-jarretelles, ensuite le slip, cest plus pratique.

Puis viennent les bas. Maman me montre comment les enfiler sans les flécher. Je retourne dans ma chambre chercher une jupe et une blouse, mes souliers sont au rez.

— Bon, dit-elle, maintenant nous allons faire un tour.

Nous partons et lorsque je passe le pas de la porte, j’ai une impression très désagréable au niveau des fesses, je sens l’air circuler sous ma jupe, c’est vraiment surprenant.

— Tu voulais porter des bas, me dit-elle, voilà, ça surprend, nest-ce pas ?

— Oui, je sens le vent sur mes fesses.

— Et ? continue-t-elle

— Est-ce qu’on voit mes bas ?

Ma jupe n’est pas mini, mais assez courte et je réalise qu’avec des collants, je ne me suis jamais souciée quon puisse voir sous ma jupe, bien que certains garçons aient voulu essayer.

— Tu n’as pas encore fait 100m dehors et tu paniques déjà ? Si tes bas sont d’une grande taille, qu’ils sont bien en haut de tes cuisses et que tu ne penches pas trop, on ne peut rien voir, sauf si tu veux qu’on les voie. Cela aussi, je te l’apprendrai, mais un peu plus tard, chaque chose en son temps, allez, viens, nous allons faire quelques achats.

Jallais apprendre à devenir une femme, grâce aux conseils dune experte.

Résumé de lépisode précédent : Danielle, divorcée, secrétaire de direction, se fait draguer par un client important de sa société. Sans amant et sexe depuis (trop) longtemps, et trouvant charmant cet homme qui lui déclare sa passion en plein centre commercial, elle décide de se laisser aller et accepte de lécouter. Après un baiser passionné à la cafétéria du centre commercial, ils décident de sen aller et cest dans sa voiture quelle lui fait une pipe denfer avant de terminer la journée au restaurant, et ensuite, de passer leur première nuit ensemble.

Tout à coup je réalise que le temps passe et que jai deux filles qui mattendent à la maison. Je téléphone vite à maman et lui demande de soccuper de filles. Elle en devine vite la raison et me souhaite une bonne soirée mais de la tenir au courant si je compte ou pas rentrer ce soir.

Nous nous rendons donc au restaurant de la ville, où nous parlons, mangeons et buvons. J’aime les mets proposés, très raffinés, comme le vin de qualité, ce qui me rend amoureuse. Tout en parlant, nos mains se touchent, nos yeux se dévorent. Je joue avec ma langue, je me sens excitée, chaude, en manque et je veux le mâle devant moi. Je veux son sexe, sa puissance, ses assauts, sa force et sa semence.

Depuis longtemps mes pieds le taquinent, jai déjà plus dune fois vérifier létat de son membre par un jeu habille de pieds et il bande, le salaud. Mon sexe ruisselle, mon collant est trempé et je crains que ma jupe nen subisse les conséquences.

Après le restaurant, il m’emmène dans un des plus beaux hôtels de la ville et me fait l’amour merveilleusement. Pour une fois un homme s’intéresse à moi, me caresse, s’occupe de mon corps, est aux petits soins pour moi et me fait jouir plusieurs fois cette nuit là.

A peine arrivés dans la chambre, ce sont baisers et caresses, debout, à perdre haleine. Jeux de mains, exploration de nos corps, baisers passionnés, bouches humides, langues agiles. Avant de tomber sur le lit, je maperçois que ses mains sont sages, il me caresse les fesses, de temps en temps les seins, mais ne il sest pas encore aventuré sous ma jupe. Or jen meure denvie !

Je me relève et entreprends de me déshabiller mais il marrête, me demande dattendre encore un peu, que rien ne presse. Désarçonnée, je pense quil a un problème, a-t-il changé davais, va-t-il se défiler ? Il comprend mon désarroi et membrasse de plus belle en me disant quil est très excité, même un peu de trop et quil risque de « partir » trop vite et trop tôt ! Rassurée, jaccepte son baiser, un véritable « French Kiss » en écartant les jambes pour lui donner accès, il nen fait rien ! Je suis contrariée. Quest-ce quil attend pour me caresser et me prendre la chatte.

Tout à coup, je sens ses doigts me caresser le cou, très délicatement, très sensuellement, ce qui me fait frissonner. Je découvre une nouvelle caresse, mon corps réagit sous ses doigts agiles, mes yeux se brouillent, à nouveau mes seins durcissent, mes lèvres vaginales souvrent, mon rythme cardiaque saccélère et ce ne sont que ses doigts qui me caressent le cou ! Dément, mais cruellement efficace.

Je ne peux plus attendre, je veux du sexe, du vrai, du hard. Je veux être pénétrée, je veux sentir sa bitte dans ma chatte. Assez de caresses, assez de douceur, maintenant, on passe à laction.

— Arrête, déshabille-toi, je veux ta queue

— Déjà ? Tu naimes pas mes caresses ?

— Jadore, mais je veux ta queue, baise-moi, baise-moi, jai trop envie

— Et bien dis donc, mais rien dautre ne sort, sauf sa queue de son pantalon.

Je me couche sur le dos, les jambes relevées, mon collant descendu à hauteur des genoux en essayant décarter les cuisses un maximum. Il vient se placer devant moi, un beau sexe bien dur et me pénètre dun seul coup, profondément, sans douleur, tellement je mouille.

— Ah ah ah ah ah ah, fais-je pendant quil me pénètre, les yeux révulsés,

— Oh oh oh o h oh oh, quand il arrive au fond de mon vagin. Jen vois des étoiles, je suis tellement en manque que je jouis presque.

Jai les genoux à hauteur de mes épaules, la pénétration est profonde, très profonde, mon sexe est comblé. Enfin une bonne bitte ! Il na pas encore bougé, il reste au fond, me remplissant la chatte de son membre. Mes bras linvitent à se baisser pour que nos bouches ne fassent plus quune. Il se tient sur ses bras pour ne pas mécraser, mais je men moque, je le veux sur moi, dans moi. Enfin il se met à bouger, de petits mouvements, en douceur.

Il se retire entièrement, le gland à lextérieur, sur mes lèvres, pour redescendre ensuite tout en douceur jusquau fond et ainsi de suite. Limpression est fantastique. Jamais je nai été pénétrée de cette façon, tout en douceur, cette queue qui entre et sort au ralenti, pas le piston déchaîné qui fait mal, quoique parfois .

— Oh oh oh o h oh oh

— Ah ah ah ah ah ah

— Oui oh oui oh oui oh oui oh oui

— Cest bon oui vas-y continue plus fort oh oui oh oui

— Continueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Ma bouche a abandonné la sienne, ma tête roule à gauche et à droite, je ne sais plus où je suis, je sens juste cette queue qui me pénètre, qui prend possession de ma chatte.

— Stop, arrête !

— .. sa tête, lenfant pris en flagrant délit

— Tu tu tu naimes pas ? Je te fais mal ?

— Mais non idiot, cest génial, merveilleux, je veux juste me déshabiller, mes vêtements me gênent, allez, à poil.

Rapidement; nos vêtements volent à droite et à gauche, je me recouche, reprends la position que je viens dabandonner. Nue, je suis offerte, jattends sa bitte, je la veux.

— Alleeeeeeez, viennnnnnnnnnnnnns quest-ce que tu attends ?

— Prends-moi, alleeeez viennnnns, dépêche-toi, jhurle presque

Il se place entre mes jambes largement écartées, positionne son gland devant mes lèvres et senfonce tout entier.

— Ah ah ah ah ah ah, fais-je, encore une fois, jen perds la tête.

Mes mains agrippent ses fesses et lui imposent un rythme plus fort, plus viril. Il bouge entre mes jambes, sa queue me pénètre dans des mouvements puissants, enfin je suis baisée, que cest bon. Je lattire vers moi, nos lèvres se touchent et un baiser passionné nous unit, nos corps se serrent lun contre lautre, je sens sa peau sur la mienne, quelle sensation ! Ce contact me donne la chair de poule, je ne comprends pas pourquoi, mais cest agréable.

Enfin ses mains partent à la découverte de mon corps, il me caresse les seins dont les bouts sont déjà bien durs, il les pince légèrement ensuite se penche et les embrasse. Je sens son autre main qui se dirige vers mon sexe, ses doigts atteignent ma toison, il saventure plus loin et découvre mon clitoris gorgé de sang. A peine leffleure-t-il que des étincelles éclatent dans ma tête, un frisson menvahit et je me raidis. Que marrive-t-il ? Comment fait-il pour déclencher en moi tant de sensations ? Mais cest bon. Je me décontracte et le laisse continuer. Ses doigts continuent leurs mouvements sur mon clitoris, il le touche par petits coups rapides, je gémis de plaisir. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Que vont penser les autres clients de lhôtel ?

Je sens son membre devenir de plus en plus dur, presque prêt à jouir, mais non, il se contrôle, moi pas, quel pied.

— Viens défonce-moi comme jamais, j’ai envie de toi, lui dis-je en le regardant bien droit dans les yeux.

Il s’exécute, reprend sa position sur moi et introduit sa bonne queue dans ma chatte. C’était tellement bon que je manque de crier mais je ne peux pas, nous sommes à lhôtel. Sous chaque coup de son membre, je manque de suffoquer, mes seins sont durs, mes tétons pointent arrogants, mon ventre est noyé, ma moule saccroche à ce morceau de chair envahissant, mais tellement bon. Je veux changer de position.

— Prends moi en levrette, jai envie

Il se retire doucement, je me mets en position, il sintroduit, puis je me penche pour une pénétration beaucoup plus profonde. Il manque de jouir, je sens son membre qui gonfle et me redresse, ma chatte se fait moins ventouse. Il me prend pendant un long moment, par des mouvements longs et doux puis de façon beaucoup plus virile, des petits mouvements secs et rapides, pas trop profonds. Mes bras ne me soutiennent plus, je meffondre la tête dans loreiller, juste à temps pour assourdir mon cri rauque, je jouis, je jouis.

— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh,

— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh,

— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Je ne peux rien dire dautre, je suis vaincue.

Il se retire, je mécroule, me roule sur le dos, les jambes tantôt écartées, tantôt fermées. Je nose toucher ma chatte, mon clito est en ébullition. Je respire vite, jai les yeux fermés, je respire fortement, des étincelles plein la tête, un frisson me parcourt le corps en entier, jen ai la chaire de poule.

— Wouahhhhhhhhhhhhhhhh, quel pied, fais-je.

Il me regarde, me sourit, sa queue bien dressée, il na pas encore joui.

Il se couche à côté de moi et veut caresser mes seins, je repousse sa main, je ne peux supporter ses caresses, je suis trop excitée, il me faut un peu de calme alors je lembrasse tendrement.

Son baiser est sensuel, doux, sa langue se fait de plus en plus inquisitrice. Il membrasse comme un dieu, quel homme ! Décidément, il me plaît, je suis bien dans ses bras, je nage dans le bonheur, il est doux et quel plaisir il me donne, pas égoïste du tout.

Après un temps indéfinissable, je reprends la direction des opérations !

— Couche-toi, lui dis-je doucement.

Son membre est toujours au garde à vous, mais jai envie de le sucer. Son petit bedon va maider. Jy dépose la tête, attrape son sexe et le porte à la bouche. Ma cyprine a eu le temps de sécher, mais quimporte, je le prends en bouche et le suce.

— Doucement, pas trop fort. Dit-il.

— Tu vas jouir ?

— Non, mais cest encore très sensible.

Délicatement je lèche le gland puis je le couvre de baiser, jusquaux bourses. Délicatement je le branle, pas trop fort, cest une fellation, pas une branlette ! Puis, dun coup, je lenfonce dans ma bouche tout en faisant attention de ne pas métrangler; je ne suis pas une adepte des gorges profondes. En revanche, je mets toute mon énergie et tout mon savoir-faire pour lui prodiguer une pipe denfer. Ses soupirs me signalent qu’il apprécie, surtout que jutilise mes lèvres, ma langue, ma bouche et pas mes mains. Je laisse s’écouler les filets de salive sur ses testicules que je masse en même temps. Tout en le suçant, je ne peux mempêcher de gémir, pour mon propre plaisir mais aussi pour le stimuler, lui aussi, dailleurs ! Son membre a désormais atteint sa taille maximum, belle pièce. Je ne veux pas le faire jouir, jai dautres plans, jarrête, à son grand regret, cette fellation quil apprécie tant.

Je luis fais face, je le chevauche et dun mouvement sec, je viens mempaler sur cette merveilleuse queue.

— Ohhhhhhhhhhhhhhhh oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, fais-je.

Jai décidé de le chevaucher, il a lair dapprécier. Je suis bien empalée, son sexe me remplit complètement la chatte, même un peu trop, tellement il est profond. Doucement, je bouge mon bassin, je monte et descends, je lui impose ma cadence, il est trop long. Je veux du plaisir, pas de la douleur. Non, décidément, je ne peux pas rester sur lui à la verticale, je me penche et lembrasse à pleine bouche. Oui, cest plus agréable, il est moins profond et en plus mon clito est stimulé. Que du plaisir, jadore.

Ses deux mains enserrent mes fesses et cest lui maintenant qui mimpose sa cadence. Son bassin monte et descend à la rencontre de ma chatte, mouvements tantôt lents, tantôt rapides, mais moins profonds également. Jaime ! Jaccompagne ses mouvements de mon bassin. Je le sens en moi, sensation merveilleuse. Il entreprend de me prendre de plus en plus fort, je jouis de plus en plus. Il me caresse les seins, enfin ! Je lembrasse passionnément, je fouille sa bouche, ma langue sagite, à la rencontre de la sienne. La passion monte dun cran, je suis sur le point de jouir, une fois de plus, lui na pas lair ! Est-il long à venir ?

— Ahhhhhhhhhhhhhhhh, je vais jouir, ohhhhhhhhhhhhhh oui, cest bon, dis-je les yeux fermés, savourant mon plaisir.

— Et toi, tu ne pars pas ? Je lui demande alors, mes yeux dans les siens.

— Oh oui, je vais venir, je ne peux plus me retenir plus longtemps.

— Allez, laisse-toi aller, jouis avec moi.

Jenfonce ma chatte sur sa bite dressée par de petits vas et viens, puis je menfonce de plus en plus profondément et de plus en plus vite, tout en tournoyant du bassin. Il ne devrait plus tenir longtemps, ses yeux sont déjà dans le vague, sa respiration est saccadée et son corps se raidit.

— Ohhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je vais jouir, fait-il en me serrant la taille fortement

Un dernier mouvement du bassin et voilà, il part, sa semence envahit mon vagin. Je me penche et nous nous embrassons. Il débande mais peu et reste en moi. En voilà un qui ne se retire pas directement et court se laver. Décidément, il est bien ce mec. Il me serre dans ses bras et me dit des mots damour. Je nen reviens pas, ce nest pas que de la baise, il est vraiment amoureux de moi. Nous restons ainsi un certain temps, puis, nous nous séparons.

Je suis trop bien, je ne veux pas rentrer à la maison, pas maintenant, merci maman de maider. Un peu curieuse, elle me demande au téléphone si cela en vaut vraiment la peine, décidément, elle ne changera jamais, mais je suis sa préférée et elle sinquiète de me voir seule depuis trop dannées. Je la rassure en lui disant que cest le pied, je lui raconterai plus tard.

Après une douche très sage, je nai pas envie de ma coucher ni de coucher, jai plutôt faim ! Nous décidons de sortir à nouveau et de chercher un snack. Mon collant est trop humide pour que je le porte et je nai pas de slip, tant pis, ce sera une sortie, la chatte libre. Evidemment, il en profite, mais sagement. Un petit tour de ville, une taverne daspect convenable est encore ouverte et la cuisine na pas encore fermé. Durant le repas, mon amant se déchausse, ôte sa chaussette et cest son gros orteil qui vient taquiner ma chatte. Ouvrant les cuisses, je le guide dans ma chatte. Je suis décidément déchaînée, je ne me reconnais plus ! Après quelques baisers passionnés, nous rentrons, mais pas sagement. Il veut que je le suce, je refuse.

— Non, tu nas pas honte, on ne demande pas une telle chose à une dame, je ne suis pas un fille facile ! dis-je, lair faussement sérieux.

Il nest pas dupe.

— Ah bon ! Ce nétait pas toi qui ma sucé sur un parking de centre commercial ?

— Non, je ne sais pas de qui tu parles, dis-je.

Le salaud, dun coup de frein il sarrête, se penche, ouvre ma portière et me demande de descendre.

— Désolé Madame, je me suis trompé de femme, je vous embarquée par erreur, je dois vous demander de sortir, je vais aller chercher celle que jai rencontrée cet après-midi, elle est trop bonne, ce qui nest pas votre cas, daprès ce que jentends.

Et il me pousse vers lextérieur !

Pour le prendre au jeu, je sors de la voiture en lui tournant le dos et mavance sur le trottoir. A mon avis il en est resté coi car la voiture na pas bougé et il ne ma même pas interpellée. Javance denviron 50 mètres, me retourne et lève le pouce.

La voiture savance, il est tout sourire. Il sarrête à ma hauteur et avant quil ne demande quoi que ce soit je lance :

— Alors chéri, on cherche une pute ? On vient se chercher une femme de petite vertu ?

— Euhhhhhhhhhhhhh, et cest tout ce quil sait dire, les yeux ronds, étonné.

— Tu vois quoi ? Baiser ? Tu veux que je te suce ?

— Oh oui, je cherche une bonne bouche pour ma queue, fait-il tout content.

— Si tu es généreux, et je dis gé-né-reux, javale ! Ca te dit ?

— Montez, vite.

— Dis donc mon joli, jai dit généreux, alors allonge les billets !

— Combien, fait-il plus du tout rassuré, ne sachant pas si je joue ou je veux être payée.

— 10.000 (francs belges, à lépoque ! et oui, je suis belge), léquivalent de 250 euros (ben oui, un pipe complète cela se paie, cash !)

— OK, fait-il en ouvrant la portière.

Nous démarrons et il veut que je le suce.

— Non, pas en voiture, à lhôtel, dis-je fermement, tout en écartant sa main baladeuse.

Nous montons, il essaie de me tripoter, je larrête, il nest pas heureux. Arrivés, je me rends dans la salle de bain pour me rafraîchir. Jy trouve un joli paquet cadeau que je déballe. Je découvre des bas noirs avec une large bande élastique en dentelle, un string noir, un serre-taille et un bustier, le tout en belle dentelle de Calais. Je mhabille et retourne dans la chambre. Il est derrière le lit, sa bouche souvre, ses yeux sécartent, mais nest pas capable démettre un son.

Je mavance et tourne sur moi-même. Je m’immobilise alors et attends, puis me dirige vers lui. Il vient à ma rencontre et me caresse les fesses, le dos, et passe sa main entre mes cuisses sur mon sexe.

— Assieds-toi au bord du lit, mordonne-t-il enfin

— Ecarte les jambes, continue-t-il.

— Caresse-toi !

— Ecarte ton string et montre-moi ta chatte, les ordres continuent de pleuvoir

— Enfonce un doigt dans ta chatte.

— Sors tes seins de ton bustier.

— Ouvre la bouche, continue-t-il en venant se placer devant moi.

— Suce-moi maintenant, donne-moi du plaisir, montre-moi que tu es une bonne suceuse.

Japproche ma bouche et viens déposer un baiser sur le gland. Puis jouvre grande la bouche et le suce en le faisant entrer doucement. Dabord juste le gland, puis je prends son sexe dans la bouche. Je lenfonce toujours un peu plus.

— Oui comme ça ! ! Referme les lèvres dessus. Oui, utilise ta langue, gémit-il

Je salive abondamment, je gémis de plus en plus fort alors que je mactive sur sa queue. Dune main je le masturbe et de lautre, je lui caresse les bourses. De son côté, mon amant donne des coups de reins pour senfoncer de plus en plus et pour faire lamour à ma bouche; je dois le freiner, il va trop loin.

— Je vais jouir, fait-il

— Ahhhhhhhhhhhhhhhhh

— Hummmmmmm ! fais-je, la bouche pleine.

Un long jet de sperme chaud, épais et visqueux se répand sur ma langue et me remplit la bouche. Il ne bouge plus, seule sa queue tressaille, ensuite viennent un deuxième jet, puis un troisième. Cest fini, il sest vidé dans ma bouche. Je mécarte, ouvre la bouche, la lui montre remplie de sa semence et le regarde droit dans les yeux, puis javale.

— Wouaaaahhhhhh, cest du fameux, quel goût !

Repus et heureux, nous nous déshabillons et nous nous couchons entièrement nus. Après un long baiser profond et passionné nous nous endormons.

Le lendemain matin, je me réveille et me dirige vers la salle de bain, besoin urgent. Lorsque je me dirige vers le lit, mon amant est sur le dos, le drap ne le couvre plus et il bande. Je ne bouge plus et lobserve. Fait-il semblant ou dort-il vraiment ? Sa respiration a lair normale, ses yeux ne clignent pas, pas de sourire, il a vraiment lair de dormir. Je veux en être certaine alors je continue de lobserver. Oui, il dort mais il bande ! Quelle belle pièce, jai même limpression quelle est plus grosse que la nuit passée.

Je mavance tout doucement, sans bruit et me penche pour embrasser son gland. Il doit dormir profondément car pas de réaction ! Je continue et enfonce son sexe davantage dans ma bouche, il est vraiment gros ! Il a bougé, il doit ressentir ma bouche, mais ne bouge plus. Coquin, tu fais semblant maintenant, je le sais, je vais te sucer, tu vas aimer. Ma bouche est avide de cette queue, je salive et le masturbe, autant le réveiller. Je sens ses mains qui mattrapent et il se positionne entre mes jambes pour un 69 endiablé. Sa langue sagite dans ma chatte, il aspire mes lèvres, mâchouille mon bouton et lape ma fente. Je ne peux plus le sucer, jen tremble, sa langue est partout, ma respiration saffole, mes seins durcissent à nouveau, jen attrape des chaleurs. Je meffondre sur son corps en écartant au maximum les jambes pour un maximum de plaisir. Je sens ma chatte se liquéfier et je lentends boire ma liqueur. Jai abandonné sa queue, je ne peux men occuper, je ne tiens plus sur mes bras, sa langue fait des merveilles, jen vois des étoiles.

Dun cou, il me renverse sur le dos et se positionne entre mes jambes et me pénètre dun seul coup, profond et viril. Je suis estomaquée, jen perds le souffle, tellement cest rapide. Jécarte les jambes au maximum, il me tient par les chevilles et je le laisse me pénétrer alors quil entame des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides et profonds. Je ferme les yeux mais le plaisir est très rapidement visible sur mon visage et je respire de plus en plus fort. Quelle différence par rapport à hier soir ! Je gémis de plus en plus fort et ma respiration s’accélère au même rythme que sa queue qui entre et sort de mon vagin. Il abandonne mes chevilles et se penche sur ses avant-bras. Sa queue senfonce davantage ! Dune main il me caresse les seins, puis il retire sa queue de mon sexe et la remplace par ses doigts. Il me masturbe d’abord délicatement, puis il accélère le mouvement. Je suffoque, la tête me tourne, mon corps est pris de convulsions, jen tremble tellement le plaisir est puissant.

Après avoir été doigtée avec beaucoup de plaisir, il me pénètre à nouveau. Il change de rythme très souvent, et régulièrement il me pénètre plus profondément et plus fortement. Jen pousse des petits cris de plaisir mais je les étouffe vite dans loreiller, tant que jen ai encore la force. Il sarrête à nouveau, plonge entre mes jambes et vient me lécher le sexe à pleine bouche en passant sa langue sur mon clitoris et les lèvres de ma chatte. Je suis vaincue, une terrible boule de plaisir sest formée dans mon ventre, elle va exploser dun moment à lautre. Je nen peux plus, je veux jouir, jouir et jouir.

Il est maintenant face à moi, je remonte les jambes à la verticale. Il me pénètre, fort, profond et de toutes ses forces. Je me laisse complètement aller en gémissant toujours plus fort, enfin en mordant loreiller. Il simmobilise, sa queue grossit, grossit et cest la délivrance ! Il jouit dans ma chatte par de puissants jets qui viennent tapisser ma matrice de sa semence. On dirait quil ne va pas sarrêter tellement il jouit. Il manque de sécrouler sur moi, lui aussi est vaincu et à bout de forces.

Nous nous séparons. Ma chatte remplie de son sperme est comblée mais a besoin dun peu de repos.

Il est temps de se quitter, mais nous allons nous revoir bientôt, très bientôt. Un dernier baiser passionné, je retiens mes larmes, difficilement, puis nous rejoignons nos voitures respectives. Je ne peux démarrer, jéclate en sanglots, tellement heureuse et malheureuse de devoir attendre notre prochain rendez-vous . Je rentre finalement à la maison où 2 jeunes filles mattendent pour me questionner ! Elles veulent savoir qui il est, sil est beau, grand, gentil et sil va venir vivre à la maison. Les réponses sont un peu évasives, jai la tête dans les nuages, je suis amoureuse, je crois même que je vais le garder.

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