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Dans le parc – Chapitre 1

Dans le parc - Chapitre 1



C’était un jour comme tant d’autres… Un jour durant lequel je ne faisait chier personne. Je me promenais allégrement dans ce grand parc, au milieu d’arbres centenaires. Le gazouillis des oiseaux rendaient cette journée plus agréable encore. L’herbe était fraîche, le soleil généreux de ses rayons bienfaisants. Le clapotis hypnotisant de l’eau de la rivière toute proche aidant, je sombrai bientôt dans mes pensées les plus intimes, tout en marchant paisiblement.

Quand je revenais à moi, elle était devant moi. Allongée sur l’herbe humide. Elle portait une de ces jupes courtes et moulantes, son T-shirt ne cachant lui non plus pratiquement rien de l’anatomie de cette charmante créature. Sa chevelure blonde était éparpillée autour d’elle, sur le sol. Apparemment, elle ne m’avait pas entendu arriver – je pense que sinon elle aurai retiré sa main qui explorait délicatement le fond de sa culotte.

Je tient à préciser que je ne suis absolument pas responsable des événements qui suivirent : l’afflux soudain d’hormones qui gonflèrent mon jean à ce moment précis est le vrai coupable. Toujours est-il que, intrigué par cette jeune personne, je m’avançai vers elle – suffisamment doucement toutefois pour ne pas être entendu tout de suite. Arrivé près d’elle, je me couchai à son côté et avançait une main timide vers sa jambe la plus proche. Ce fut son genou que je rencontrai tout d’abord. Elle eut un bref sursaut, ouvrit la bouche comme pour crier, mais le son ne sortit jamais. Comme elle me vit, son sourire s’élargit encore un peu, ses paupières se baissèrent et elle se rallongea.

Je pris alors pour mission de lui retirer sa petite culotte. Je commencai par l’embrasser le long de la jambe, remontant lentement – mais sûrement – vers ma cible. Arrivé à bon port, je refermai mes dents sur l’objet de ma convoitise et tirait doucement en arrière. Agacé par une résistance aussi vaine qu’inutile de la part de ce ridicule morceau de tissu, j’exercai une vive pression, qui força d’ailleurs mon adversaire à se séparer en deux parties distinctes. Peu importe, je n’en aurai nul besoin.

C’est alors que j’allai me rendre au paradis des paradis que je sentis une main – qui ne pouvait être celle de ma partenaire inconnue – sur mon épaule. Je me retournai vivement pour découvrir une seconde demoiselle, rousse, qui nous observait avec envie. D’un geste, je l’invitai aussitôt – généreux que je suis – à se joindre à notre petite sauterie improvisée. Nos langues se mélangèrent dans le pubis de notre hôte, qui commencait à laisser échapper de sourds gémissements.

Alors ma compagne m’abandonna seul dans cette tâche périlleuse. Soucieux de sa disparition, je ne devais pas m’inquiéter bien longtemps. En effet je pus rapidement ressentir une main se glisser entre mes jambes et se débarrasser de ma braguette. Cette même main me caressa en un endroit que je me refuserai à confier à un inconnu, alors que je terminai ma tâche première.

Puis la blonde me saisi aux épaules, pour me rapprocher d’elle : le message était clair. Artiste de mon état, je me mettai aussitôt à l’oeuvre. Mais l’autre n’entendait pas être ainsi délaissée. Elle s’approcha à nouveaux de moi, à quatre pattes, et me présenta ses fesses rondes, dans un mouvement ondulant. Etant déjà occupé, je ne pus que lui prêter main forte, et me mis en quête de sa région pubienne afin d’en établir une cartographie exacte quand aux dimensions de la susnomée.

Mais je ne pus résister longtemps à la tentation, et allai rejoindre l’arrière-train de cette amante imprévue. Elle en fut soulagée, à en juger par ses soudains gémissements aigus. La blonde, qui devait s’ennuyer, glissa sa tête entre les jambes de ma partenaire, et entreprit de prendre en charge une stimulation cadencée du clitoris de la rousse, qui ne s’en plaignit aucunement – bien au contraire. Ses cris s’intensifièrent à chacune de mes impulsions, jusqu’à ce qu’elle se cambre soudain, comme secouée de spasmes. Elle se laissa tomber sur le sol ; un large sourire s’étalait sur son visage.

Ce fut à cet instant que la blonde, toujours allongée à même le sol, m’adressa la parole pour la première fois, d’une voix suppliante : ’à mon tour, maintenant !’. Serviable, je m’éxécutait immédiatement. Je me couchai sur elle et entamai un mouvement périodique d’avant en arrière, doucement, tendrement. Je sentait le plaisir monter au creux de ses reins, quand elle m’attrapa les fesses à deux mains : ’allez !! Encore, oui !!!’. Obéissant, je redoublait d’efforts dans mes aller et retours. L’orgasme arriva doucement, lentement, ce qui me permit de coordonner mon geste à la seconde près. Je me retirai vivement et exposait mon sexe à sa poitrine, en souvenir d’une ancienne amante. Elle fut éclaboussée d’un flot blanc et visqueux, mais elle ne sembla nullement s’en offusquer ; au contraire elle avait même l’air d’apprécier cette attention particulière. Je fus alors pris d’un vertige de bien-être. Une chaleur intense m’envahit, les dernières gouttes fusant de toutes parts.

Quand je rouvris les yeux, elle me regarda : ’tu me termines ?’. Pris d’une soudaine inspiration, je ramassai une branche sur le sol et la lui tendit : ’débrouille-toi toute seule, salope’…

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