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Déchéance d'une belle-soeur…ou salope parisienne en devenir ! – Chapitre 4

Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! - Chapitre 4



Sylvie, à quatre pattes sur le lit, en position de levrette, poignets et chevilles attachées aux pieds du lit, les cuisses bien écartées, et le sexe aux muqueuses roses entrebâillées, attendait, un foulard sur les yeux… des intromissions diverses et variées.

Elle avait compris qu’elle serait copieusement sodomisée… par son maître Paul, et par son mari aussi ? Par la carotte, la bougie, des doigts… voire pire ?

Elle n’en savait rien, mais son imagination s’emballait. La sodomie, elle savait qu’elle n’y couperait pas. Les deux hommes allaient lui ravir ce territoire encore vierge de son intimité. Cela la terrifiait et l’excitait en même temps… et le pire c’est que c’était elle-même, qui avait demandé à devenir l’esclave sexuelle de son beau-frère… par envie de cet homme, qui l’émoustillait comme aucun homme ne l’avait jamais fait avant… et par pur vice de vivre elle aussi, toutes les péripéties sexuelles que Cécile, sa sur cadette avait connues avec son mari !

Un jour, sa sur avait laissé intentionnellement son portable allumé, pendant ses ébats sexuels avec Paul, son mari. Enfin ébats… cela allait quand même un peu plus loin que cela ! Ici, il s’agissait d’une relation purement sadomasochiste !

Et pendant 40 minutes, Sylvie avait pu entendre sa petite sur Cécile subir une séance SM, en totale soumise de son mari. Elle avait entendu les ordres rauques à peine audibles de l’homme, les claquements de martinet et les coups de cravache sur le corps, qu’elle imaginait nu et offert de Cécile, ses cris de douleur et de jouissance, quand il ne faisait que lui effleurer un téton martyrisé, par une pince à linge, ou par les doigts de son mari ? Et quand il lui passait un coup de langue sur la vulve, dont les grandes lèvres avaient, elles aussi, été torturées par les pinces, la petite sur criait sa jouissance !

Le flot de râles de jouissance jusqu’à l’orgasme final, dévastateur, qui envahissait le ventre de la jeune femme, après des séances de godages de vibromasseur, et enfin la bite de son beau-frère, qui labourait sa petite sur.

Les écouteurs de son portable sur les oreilles, coincée dans les toilettes au milieu de la nuit, Sylvie avait le cerveau en ébullition, et une envie irrépressible de sexe hard et dégradant, elle, la bourgeoise quasi frigide. Alors vainquant sa répulsion, mais cédant à l’appel de la luxure, qui était trop fort, elle porta une main hésitante vers son sexe, un doigt entra en contact avec la fente qui était bien humide, et elle se mit à frotter ses grandes lèvres d’abord doucement, puis avec vigueur.

15 secondes de cet usage inaccoutumé de son sexe la propulsèrent dans un abîme de jouissance. Elle se retint de ne pas hurler dans les toilettes, tellement c’était bon. Jamais elle ne s’était masturbée avant cela. Elle recommença 3 fois, pratiquant de nouveaux jeux avec sa chatte. Masturbation du clitoris, limage avec le tranchant de la main, de la vulve qui dégueulait de cyprine, et enfin un, puis deux, puis trois doigts, qui envahirent sa caverne sacrée. Elle était tellement excitée et lubrifiée, qu’elle avait l’impression de pouvoir y rentrer la main. Elle ne pensait pas disposer d’une telle élasticité de son organe !

Et de l’autre côté, sa sur jouissant à n’en plus pouvoir… elle, elle avait un vrai homme viril et sadique dans son lit, pas un ersatz comme le sien !

Alors passant des jours et des jours à ruminer, à mépriser du regard le petit mari qui ne l’excitait plus du tout, qui ne saurait jamais l’emporter dans de tels abîmes de jouissance et de perversité… elle se dit qu’il fallait qu’elle en profite aussi.

Alors un jour, Cécile qui était échangiste et débauchée comme pas deux, après des suppliques de sa grande sur, accepta l’idée de prêter son mari, pour l’éducation de cette dernière… pour le plaisir de toutes les deux. Cécile avait envie d’intervertir les rôles, elle allait être au bout du téléphone, pendant que sa grande sur serait entreprise par son maître de mari. Ainsi se déroula le complot que les deux femmes avaient ourdi… au détriment de l’un des deux maris, mais pour la satisfaction prochaine de l’autre… Cécile se disait que jamais son vicieux de Paul ne laisserait passer une telle aubaine : entreprendre et baiser la grande sur, jolie, attirante et bourgeoise à humilier au possible… devant les yeux effarés du petit mari cocu !

Néanmoins, les choses n’allaient pas se passer ainsi que les deux femmes l’avaient pensé ! Sylvie en avait rêvé et c’était la réalité maintenant. Seulement, elle n’était plus aussi sûre d’elle. N’avait-elle pas commis une erreur, à se placer ainsi dans la soumission de cet homme, après avoir humilié son mari devant lui ? Il semblait que son nouveau maître voulut lui faire payer cette inélégance matrimoniale …

Alors Sylvie, stoïque, guettant chaque bruit autour d’elle, les yeux aveuglés par le bandeau, chaque sensation, attendait avec angoisse et perversité les attaques des deux hommes… qu’allaient-ils bien pouvoir lui faire ? Comment ressent-on le sexe d’un homme dans son rectum ? Est-ce aussi douloureux ou agréable qu’on le disait ?

Sa sur lui avait promis qu’il n’y avait rien de meilleur. Au début, rétive à cet exercice, elle était à présent une volontaire fanatique de l’enculade, par toutes sortes d’objets ou de membres virils. Car un paquet de mecs étaient déjà passés par son conduit secret. Elle n’en avait retiré que du plaisir ! Confiante et inquiète à la fois, Sylvie sentit un souffle chaud contre son oreille et un chuchotement rauque :

Tu aimes ce que tu deviens ? Ma femme m’a tout raconté… oui… je vais te soumettre, mais tu souffriras."

Laissant cette "pauvre Sylvie" à ses pensées intimes, je contemplais la femme mature très désirable, offerte dans cette position de soumission, les bas gainant ses jolies jambes, les jarretelles tendues sur ses fesses blanches, l’abricot bien juteux disponible à volonté, les seins pendant, après la demi-guêpière. Et évidemment les yeux bandés.

Après l’avoir laissé mijoté pendant 10 bonnes minutes, je caressai la vulve et le sillon fessier, puis lui donnai une bonne claque sur la fesse… Sylvie cria.

Alors, ayant trempé mes doigts dans l’huile d’olive, je lui en passai sur la rondelle, et commençai un mouvement de rotation du bout du doigt. Sur le coup, elle gémit, et regimba un peu, bougeant son cul pour échapper à mon doigt. Prenant un torchon de cuisine humidifié, je la fouettai sur les fesses avec. Elle cria durant tout le cinglage, je voyais que son mari jouissait de la situation… il en retirait une forme de plaisir pervers ! Voir sa femme se faire fouetter les fesses par un quasi étranger, à poil, sans défense, attachée, tandis que lui profitait de la situation… il y avait là effectivement une très belle vengeance, pour un mari humilié depuis tant d’années !

Il ne se gênait d’ailleurs pas pour effectuer un mouvement de masturbation sur son sexe distendu, en regardant sa femme en porte-jarretelles, fesses et seins à l’air, ainsi maltraitée ! !

Alors je pris le bloc note, et écrivis des choses ; d’abord, " Arrête de te branler ! Tu pourras la bourrer ta salope de femme et par le cul encore ! Confiance !! "

Puis des mots que Raphaël devait répéter à l’oreille de sa femme :

Il veut que tu arrêtes de bouger, sinon ça fera plus mal. Il va te goder le cul avec la carotte, et il m’a demandé de te mettre des pinces à linge sur les seins, comme tu n’es pas sage. Tu dois te retenir de crier, à peine gémir, sinon il te fouettera partout… il adore fouetter les femmes au niveau de leur chatte et sur leurs seins.

Là encore, il se régala de prononcer le message avec des paroles rauques d’excitation à l’oreille de sa femme, humiliée et asservie !

Sylvie ne dit rien et hocha la tête à l’affirmative. Elle n’avait pas le choix… en attendant, elle ne semblait pas prendre son pied comme sa sur !

Elle sentit son mari lui tordre une pointe de sein, et y placer la pince à linge ; la douleur lui fit monter les larmes aux yeux, surtout qu’après avoir placé 6 pinces à linge sur chaque sein, sur les pointes et autour, martyrisant la chair si sensible… son mari s’amusait à les faire tourner et bouger, ajoutant de la souffrance aux pincements cruels. Jamais elle n’aurait cru laisser son mari l’humilier et la martyriser ainsi…

Obnubilée par le feu qui lui montait des seins, Sylvie en oubliait presque les doigts inquisiteurs de Paul, qui forçaient son intimité la plus profonde. Paul se régalait de forcer le passage pour la première fois : déflorer cette petite bourgeoise impudente et orgueilleuse, lui procurait beaucoup de plaisir. Quand il estima l’anus un peu dilaté, il se plaça derrière la femme offerte, la prit par les hanches et lui pénétra la chatte d’une bonne poussée… Sylvie, qui avait retenu toutes ses plaintes de souffrance, put exprimer un grand cri de plaisir, surprise, et douleur… une véritable libération ! Enfin, cela devenait bon !

Alors, tandis que son maître la bourrait sauvagement par le sexe, elle criait son plaisir à gorge déployée. Jamais son mari ne l’avait entendue s’exprimer ainsi !

Elle jouissait de la pénétration vaginale sauvage, et put ressentir un petit accès de plaisir anal, quand Paul lui introduisit la carotte dans son cul, et qu’il la lima avec. Effectivement, après un peu de chaleur cuisante, cela devenait bon, même très bon ! Sylvie commençait à prendre du plaisir avec son cul, presque autant qu’avec sa chatte, qu’elle se faisait exploser. Elle finit par jouir bruyamment. Alors Raphaël lui dit à l’oreille :

Ah ça y est, il va t’enculer.

Il y avait de la jubilation dans la voix du petit mari, jusque-là toujours humilié par sa salope de femme… les rôles étaient enfin échangés !

Tandis qu’elle sentait la pression du gland de Paul contre sa rondelle, elle savait qu’il serait sous peu dans ses entrailles. Mais son maître se retira.

Ah ? Il m’appelle… c’est moi qui vais avoir le plaisir de t’enculer pour la première fois… qui l’eut crû ?

lui dit un Raphaël aux joues écarlates, le souffle court d’excitation, un grand sourire aux lèvres ! Il allait enfin enculer sa femme… et ceci grâce à son beau-frère !

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