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Déchéance d'une belle-soeur…ou salope parisienne en devenir ! – Chapitre 6

Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! - Chapitre 6



Sylvie poussa la porte du sex-shop, après un temps d’hésitation. Ce qui l’étonna en premier, c’était la température très chaude, au moins 27 degrés, les effluves de parfum discrets et vaporeux… des aphrodisiaques, et l’atmosphère feutrée, très intime. Ici, pas de bruits, pas de conversations, ou alors très discrètes, pas d’exclamations…

Elle tomba immédiatement devant un mannequin féminin, revêtu d’une tenue de soubrette. A sa droite, une femme assez maquillée, avec un décolleté pigeonnant tenait la caisse. Le temps qu’elle se décide à entrer, le type était parti…

" Bonjour Madame, que puis-je faire pour vous ?

Heu bonjour, je suis Sylvie Martin, on a dû laissé un message pour moi.

Ah oui, je suis au courant. C’est votre maître qui m’a expliqué le jeu de rôle. Alors voilà ce que vous avez à faire. D’abord, gardez votre pardessus, vous ne vous en séparerez que dans la salle du Peepshow. Vous allez respirer cela… vous pouvez l’emmener avec vous. L’effet est rapide, mais bref. Cela vous mettra en condition…

(Une bouffée… Sylvie se sentit déjà un peu mieux !) Heu merci… je vais faire de mon mieux… je suis… un peu novice. Tout cela est tellement nouveau pour moi !

Ne vous inquiétez pas… nous avons toutes connu un moment comme celui-ci… Soyez vous-même, érotique et sensuelle, et tout se passera bien !

Les hommes qui seront dans les cabines savent que vous êtes une novice. Une mère au foyer et femme distinguée dans la vraie vie, qui va se dévergonder en public pour la première fois. C’est justement cela qui les excite.

Une femme bien comme il faut, bourgeoise, inaccessible au boulot ou dans le métro, qui va se foutre à poil devant eux, faire un grand numéro de salope. Ils en ont marre des " professionnelles".

Ce qu’ils veulent, c’est de la nouveauté, de l’innocence. Vos erreurs de débutante les exciteront encore plus !

Vous en êtes sûre ? J’ai peur de mal faire, d’être ridicule et que mon maître m’en veuille après !

Vous avez peur de la punition éventuelle… du fouet ? Si c’est cela, arrêtez tout de suite. Vous n’êtes peut-être pas faite pour ce genre de jeux ?

Non, non. J’ai simplement peur d’avoir l’air bête et de décevoir mon maître… j’ai signé le contrat ce matin !

Ah… le contrat ! Dans ce cas, vous savez où vous avez mis les pieds !"

Et Sylvie repensa à la petite surprise qui l’avait attendue devant sa tasse de café. Les deux hommes étaient déjà partis… elle était seule dans l’appartement. Elle s’était empressée de lire le document qui était rédigé ainsi :

" Je, soussignée, Sylvie Martin, entièrement maîtresse de mes facultés intellectuelles et mentales, libre de toute contrainte physique ou mentale, fais le vu de devenir la soumise, l’esclave sexuelle de mon Maître, Paul V.

Je m’engage à accepter tous ses ordres, tous ses caprices, à devenir son objet de plaisir, son jouet sexuel… et accepter toute punition et peine qu’il voudra bien m’infliger, par le cuir, le fer, ou le feu, en cas de manquement ou désobéissance.

J’accepte avec enthousiasme toute sorte de caresses, gestes sexuels, flagellations, pénétrations diverses… tout ce que pourra me faire mon maître, dans l’unique projet d’assurer son plaisir personnel et le mien ensuite.

Mon maître pourra m’exhiber dans la tenue qu’il souhaitera me voir porter, me fera prendre sexuellement, par toute personne ou groupe de personnes qu’il lui siéra, de la façon qu’il m’aura imposé…

J’accepte avec jouissance toute intromission d’objets divers et variés dans tous mes orifices… y compris le sexe danimaux.

Je signe et accepte toutes les clauses du contrat dans sa globalité, en pleine possession de mes moyens.

Il sera déterminé un mot d’urgence pour un arrêt provisoire de la séance.

En cas de trois utilisations de ce mot, ou bien si je refuse un ordre de mon maître lors d’une séance, le jeu s’arrête là… je cesse d’être la soumise de Maître Paul, sans regret ni discorde de la part des deux parties…

signé : la soumise

Le Maître "

Sylvie était restée plus quindécise devant ce texte. Son maître lui proposait vraiment des choses particulières…

Elle comprit alors que les choses pouvaient aller très loin !

Elle pouvait être fouettée, battue, brûlée !? Mise à disposition de groupes d’hommes et de femmes… recevoir toute sorte d’objets dans son sexe et son rectum… le sexe d’animaux !?

Cela voulait donc dire qu’il lui demanderait de s’accoupler…

Avec des chiens !? Tu as écrit ça dans ton contrat… que ma femme serait obligée de se faire prendre par un clébard !?

Non pas obligée ! Elle pourra toujours refuser ! Les obligations, c’est elle qui se les fait !

Allons, Paul, d’abord, tu sais très bien qu’elle a envie de tester plein de trucs plus ou moins bizarres ! Et qu’après, elle fera tout pour ne pas te décevoir ! Surtout si je suis en face d’elle… elle aura trop honte de se dégonfler devant son mari minable, qu’elle méprise tant !

C’est justement ça qui fait la beauté de la chose ! Elle va sinfliger elle même des trucs aberrants, juste pour cause d’ego surdimensionné !

Putain ma femme qui se ferait baiser par un clébard en rut ! Trop bon ! Tu imagines ma vengeance !? Putain, je dirigerai moi-même le sexe du bestiau dans sa petite chatte si fragile ! Je vais bander comme un âne !

Si tu veux, je la placerai sous tes ordres, elle devra t’obéir… mets-toi en situation ! Qu’exigeras-tu de ta petite femme si douce avec ce gros chien ?

Hummmm… d’abord, je lui dirai de se désaper devant le chien, d’approcher son pubis de la truffe du chien, d’écarter ses lèvres pour que l’animal y rentre sa langue… et puis…

Les deux hommes discutaient avec effervescence de la soumission, qui de sa femme, qui de sa belle-sur… et tout semblait marcher comme sur des roulettes. Ils étaient partis tôt de l’appartement, en laissant le contrat de Soumission et les instructions à Sylvie pour la journée. A 10h00 précises, Paul avait reçu le SMS avec photo, de la signature de cette dernière. Un grand creux se fit dans son estomac, pendant que son excitation grimpait en flèche : il avait une nouvelle soumise, encore plus docile que sa femme… et il savait qu’il pourrait l’emmener très loin, celle-là… beaucoup plus loin que sa propre femme Cécile !

En effet, Sylvie, implicitement, venait d’accepter de se prêter à la zoophilie, chose que Cécile avait toujours refusée !

Les deux compères attendaient dans un box du Peepshow avec un micro à disposition… ils attendaient que la nouvelle slave star fasse son entrée !

Putain, il veut que je me fasse prendre par un chien… ou autre chose ? Sylvie, quoique pas au fait des modes de la pornographie, avait eu de faibles échos de femmes le faisant avec un cheval ?!

Un cheval ? Mais comment une femme pouvait-elle rentrer son, sa… dans sa propre …"

Le sujet était tellement particulier pour elle, qu’elle n’osait même pas évoquer les mots et les images dans son propre esprit !

Elle s’était obnubilée sur le Peepshow : faire un striptease, se foutre à poil et faire un petit numéro trash, devant des hommes qu’elle ne verrait même pas, mais qui n’en perdraient pas une miette, en se masturbant, depuis qu’elle avait ouvert la lettre déposée à côté du contrat.

Merde, mais comment vais-je arriver à jouer le rôle d’une pute qui se fout à poil, et qui se caresse devant de parfaits étrangers ?

Enfin étrangers, elle l’espérait !

Il ne faudrait pas qu’il y ait quelqu’un qui la connaisse ! Sinon quelle honte ! Mais de toute façon, elle était liée à son maître, elle savait qu’elle accepterait tout ! Tout !

Et puis, en reparlant du contrat avec l’hôtesse d’accueil, la scène de zoophilie lui était revenue à l’esprit. Et depuis 10 minutes, alors qu’elle se baladait dans les rayons, il était 11h00 et sa prestation était prévue pour 11h45, son esprit était rongé par cette image : elle, à poil devant un berger allemand en rut, qui allait faire d’elle sa femelle. Alors que faire ? Comment gérer la situation ?

Si cela la dégoûtait carrément, au début, quand elle avait lu le contrat chez elle, cela ne l’avait néanmoins pas empêchée de signer le contrat, et donc par extension, de se soumettre à cette pratique sexuelle pour le moins dégradante, selon la gentille petite bourgeoise parisienne, bien comme il faut, qu’elle pensait être ! Alors à force d’y penser, elle éprouva d’abord de la curiosité malsaine, puis enfin une franche excitation pour ce jeu sexuel incongru !

Mille questions lui venaient à l’esprit, entre dégoût et commencement d’excitation !

Alors qu’elle regardait les titres des DVD, elle tomba sur le rayon zoophilie.

Un titre attira son attention : catégorie amateur, " belle blonde se fait défoncer par son chien.

S’il y avait bien un endroit où elle pourrait trouver des réponses à ses questions, c’était bien ici. Alors timidement, elle alla revoir l’hôtesse et lui demanda, le rouge aux joues, si elle pouvait visionner le DVD. Celle-ci lui indiqua une cabine privative, et Sylvie s’y rendit. Elle lança le DVD.

*

La scène se situait dans une pièce quelconque, tout était dans la pénombre, à part un lit éclairé de façon très vive par des pots. Sur le lit, une jeune femme blonde complètement nue, très jolie, avec un corps splendide. Les pointes de ses seins étaient tendues, son pubis décoré d’une bande de poils blonds… elle semblait attendre quelque chose. Puis il y eut un jappement et un superbe berger allemand surgit dans la pièce. La femme se leva comme un ressort du lit, une vive émotion sur le visage et se dirigeant vers le chien, lui prit le museau qu’elle dirigea instantanément vers son sexe. L’animal commença à s’exciter, et forçant le passage entre les cuisses de la jeune femme, y plaça une langue avide qui se mit à lécher les nymphes de la femme. Celle-ci commença à gémir sous la caresse et se laissa faire en caressant la tête du chien.

Sylvie, partagée entre le dégoût et une excitation qui commençait à lui brûler le ventre, avait les yeux fixés sur la scène. Machinalement, elle se mit à défaire le lien de son pardessus qui s’écarta sur son corps. Elle ouvrit le compas de ses cuisses, et tout en fixant la scène avec avidité, elle commença à effleurer son pubis d’une main hésitante, puis son sexe, faisant coulisser ses doigts sur ses grandes lèvres. Elle aussi, comme la fille dans la vidéo, commençait à gémir devant le spectacle bestial !

Puis la fille s’étendit sur le lit, cuisses grandes ouvertes, abricot à disposition du chien.

Celui-ci prit appui, les deux pattes sur le lit, puis commença à baratter dans le vide, de son sexe turgescent, en direction de la vulve de la fille. Il voulait la pénétrer, mais sans une main pour diriger son gland conique, il n’y parvint pas.

Alors la fille changea sa position, et en levrette, elle offrit son cul et sa chatte dégoulinante de cyprine à son amant canin.

Sylvie n’en croyait pas ses yeux : voir cette fille super jolie s’offrir à cet accouplement bestial !?

Soit la fille était complètement folle, soit il y avait un truc que Sylvie n’avait pas compris !

En attendant, nue dans la cabine, le pardessus à terre, les cuisses grandes ouvertes, elle fouillait sa chatte de sa main avide, tandis que de l’autre, elle, se caressait ses seins aux pointes dures !

Ses doigts clapotaient dans sa chatte humide comme jamais… elle avait l’impression de pisser.

Quand la fille aida la bite du chien à pénétrer sa chatte, et qu’il y eut un gros plan, montrant le sexe canin aux dimensions énormes, écarter les muqueuses rouges de la vulve de la fille, et que ce dernier défonça la femme, qui poussa un grand cri rauque, Sylvie se laissa aller à son plaisir. Son orgasme fut colossal, elle jouit à gorge déployée pendant une minute, sans se soucier si on pouvait l’entendre du couloir.

C’est alors que la porte s’ouvrit, elle avait oublié d’y mettre le verrou, et qu’un jeune homme de 25 ans environ, passa sa tête.

Ça va Madame ? On vous a entendue crier ?

Heu… oui… oui… c’est que…

Et elle désigna l’écran où la fille se faisait besogner par le chien…

Excusez-le, madame, il a encore jamais vu une femme jouir comme ça !

dit le gars plus âgé, tandis que lui et son jeune collègue avaient le regard rivé sur cette femme nue, en porte-jarretelles, qui se donnait du plaisir en solo…

Pourriez-vous laisser Madame en paix, s’il vous plaît ? intervint l’hôtesse d’accueil, qui pensait que Sylvie était importunée par les deux hommes…

Ne vous inquiétez pas, on s’en va, le "petit" pensait que Madame avait un problème, il l’avait entendue crier !

Oui… c’est vrai… je suis désolée pour toute cette agitation. Je me suis un peu laissé aller !

Pas de problème, c’est l’endroit idoine pour ce genre de choses. Ah au fait, Sylvie, il va falloir vous préparer, et votre maître vous demande de revêtir string et soutien-gorge. Il ne vous reste que 15 minutes à présent.

15 minutes pour quoi ? demanda le vieux type.

Madame est notre "Playmate" du jour, il reste encore deux cabines vides pour le Peepshow ! Si le cur vous en dit !

Houlla, après ce que nous avons vu et entendu. On prend !

Et les deux hommes suivirent le couloir jusqu’au sous-sol, pour y voir la future "Pornstar" à l’uvre.

Dans leur cabine, Paul et Raphaël attendaient la venue de la diva ; Paul reçut un SMS de l’hôtesse :

Sylvie est chaude comme la braise. Elle vient de visionner un DVD zoo et ça l’a outrageusement excitée !

Ouah, mon petit Raphaël, lis ça !

Incroyable ! Tu crois vraiment que cela lui a plu ?

D’après ce que dit l’hôtesse ! On va se régaler. Ça t’excite de voir ta petite femme se foutre à poil et se branler, devant une dizaine d’inconnus derrière leur vitre ?

Oh oui ! Tu as vraiment d’excellentes idées ! Surtout qu’elle y prend goût, la salope ! Mais j’attends qu’elle nous fasse un petit numéro zoo !

Chaque chose en son temps… Tiens, la voici !

Et Sylvie fit son entrée dans la petite rotonde, d’environ 5 mètres de diamètre, avec une paroi circulaire close d’un volet d’acier, environ tous les 1,50 mètre. Seule la cabine de contrôle, où étaient Paul et son acolyte, possédait un judas pour observer directement.

Sylvie avait littéralement le feu au cul. Son visionnage l’avait vraiment fait beaucoup jouir, et elle était décidée à s’abandonner à sa lubricité naturelle. Jamais elle n’aurait cru jouir ainsi, du fait de voir une femme se faire saillir par un animal. Au début, elle trouvait ça très limite, voire dégoûtant et puis ensuite… elle n’avait pu résister au désir qui montait en elle. Elle se disait que s’il y avait eu un chien dans le Peepshow, elle aurait eu un comportement dérangeant les bonnes murs ! Elle aurait été prête à se faillir par n’importe quoi, du moment que la taille était avantageuse… un chien, des mecs bien montés… mais la seule chose qu’elle vit sur la petite table, à côté du fauteuil sis au milieu de la pièce, était un godemiché de belle facture néanmoins… elle devrait s’en contenter !

En attendant, elle était prête à se donner entièrement, avec la dernière vigueur et sensualité. Elle avait envie de faire bander les mecs derrière leurs vitres teintées, et leur faire cracher des torrents de sperme… dommage qu’elle ne puisse être près d’eux, pour assouvir leur fringale sexuelle, mais elle savait que son maître y pourvoirait un autre jour… en attendant, elle se demandait quand son maître allait lui proposer laccouplement… avec un amant à quatre pattes !

Ce fut donc une Sylvie plus du tout angoissée par le petit spectacle auquel elle allait se livrer, qui s’assit dans le fauteuil au centre. Pour se donner du courage quand même, elle sniffa un bon coup le Popper… cela lui tourna légèrement la tête, mais elle ressentit une vague de chaleur lui remonter dans le ventre, les seins, son sexe ! Cette fois-ci, elle avait vraiment la chatte en feu… elle sentait qu’elle allait assurer !

La lumière verte indiquait que tous les clients étaient en attente, et qu’il lui restait 3 minutes. Puis l’orange… une minute.

Et enfin, la rouge ! Les volets commencèrent à s’ouvrir vers le haut, tandis qu’une musique lascive résonnait dans la pièce, Sylvie se leva du fauteuil, débutant des pas de danse très lents, tournant sur elle-même, ses mains caressant son corps sur le pardessus !

Plus que les autres, un homme, bien à l’abri dans son alcôve, vêtu d’un costume sombre, regardait la scène avec une intensité malsaine…

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