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Découverte du plaisir avec ma mère – Chapitre 3

Caroline et la famille - Chapitre 4



Chapitre 5

On reste silencieux quelques minutes, nous sommes aux anges, du moins en ce qui me concerne, c’est certain. Je caresse maman, ma main sur une épaule, je masse doucement par des frôlements ses seins. Maman me masse ma nuque, je descends sur son ventre, je trace avec mes doigts son mont de vénus sans atteindre son sexe. Elle gémit lentement au contact de mes doigts sur ses jambes douces. Elle est superbe, étendue sous la lumière tamisée de la chambre.

Cette fois je remonte mon bras vers l’entrecuisse, Son minou gonflé encore de ses orgasmes, mouillé au possible, des écoulements de mon sperme s’y mêlent. Je caresse l’ensemble, maman serre les jambes, emprisonne ma main.

— Mon bébé tu veux me tuer, tu m’as fait jouir deux fois tu sais. Tu as une verge très belle, longue, large, elle m’a comblé mon amour.

— Ton minou me dit le contraire de tes dires maman chérie à moi, elle est demanderesse de ma bite lui dis-je en mettant deux doigts dans sa chatte.

Elle se cabre en gémissant, se relâche, elle remouille à nouveau mes doigts nagent dans sa cyprine, mon sperme. Je la branle avec fougue

Elle vient constater l’état de ma queue en la prenant en main.

— Oh ! tu bandes encore, ta bite est dure, amour tu me rends folle, j’ai envie de te sentir encore en moi, je veux ta bite mon ange ta bite, oui ta bite prends-moi amour

Elle se met sur le ventre puis à quatre pattes

— En levrette amour, que je te sente bien profond, viens bébé, baise maman !!!

— Oui, j’en ai envie aussi, j’adore sentir ma bite en toi, tu ne peux imaginer mon plaisir lui dis-je me mettant derrière maman

J’ai une vue splendide sur son fessier, mère est belle. Je suis émerveillé pas sa chatte offerte ainsi, elle s’écarte les fesses, j’admire son anus étoilé.

Je prends ma bite en main, je m’approche et je fais des allers-retours sur ses lèvres intimes ainsi offertes. J’appuie un peu plus avec ma queue. Je ressens la mouille sur mon gland, le trou de son vagin béat se contractant à mes passages appuyés, j’ose même aller taquiner son anus, elle ne se recule pas, au contraire elle appuie en tournant son fessier sur mon nud.

— Arrête ton supplice de tantale mon bébé. Prends-moi amour donne moi ta bite, ma chatte te veut amour – Oui maman ! je vais te la mettre dis-je en appuyant ma queue devant son trou vaginal et je pousse millimètre par millimètre dans sa chatte.

— Fumier dit-elle en donnant un coup de rein arrière afin de venir absorber ma bite en entier, hum ! c’est mieux je te sens bien là en moi mon amour.

Maman aime le sexe, ma bite c’est certain, elle aime l’amour j’en suis sûr.

— Bourre-moi bébé ! bien au fond met la moi ! amour claque tes couilles sur mes fesses

Je ne suis pas habitué à ce langage avec mère, elle se lâche dans le plaisir, cela m’excite de la voir ainsi libre de toute entrave et tout carcan de bourgeoise, telle que je la connaissais, j’aime mère de toute mon âme.

Aussi je n’y vais pas avec le dos de la cuillère de mes coups de rein, j’essaie d’aller le plus profond en elle, j’entends mes « han » à chaque coup, suivi des « oui » de maman, on est en harmonie

D’ailleurs elle vient se coller à chaque coup de bite, elle vient à l’encontre pour que je la pénètre encore plus profond, je sens mon gland dans l’entrée de son utérus, j’adore cette gaine naturelle à ma verge, je possède mère, enfinelle est mienne maintenant et je suis sien.

Comme je la tiens par les hanches pour nos va et vient, j’écarte parfois ses fesses ce qui me permet de voir son anus, une vision me revient à l’esprit, maman, sous la douche, se mettant deux doigts dans son fondement, Je décide d’y mettre deux doigts, une envie de posséder maman avec mes doigts me vient et m’excite.

Je sors ma queue de son minou, pendant quelques secondes, pour y mettre mes deux doigts, de façon à ce qu’ils soient bien lubrifiés. Maman râle de ma sortie de son vagin, Elle gémit de plaisir quand je la pénètre à nouveau avec mon sexe.

Deux, trois allers retours dans sa chatte. Puis je me décide pour mes doigts, je tourne autour de son anus, d’un coup je les enfonce, surpris de voir que l’introduction se fasse sans aucune résistance. Voilà, je possède le cul de maman avec mes doigts. Je tords mes doigts à l’intérieur puis fait des « va et vient » vigoureux

— Mon bébé que fais-tu ? qu’est ce que tu fais mon ange ?

— Je t’encule avec mes doigts, je t’encule et te baise chérie, j’adore, maman j’adore !

— Je sens que tu m’encules amour mais que mets-tu dans mon cul mon bébé, c’est bon j’aime – Deux doigts maman deux doigts tu aimes ?

— Oui bébé, j’adore te sentir devant et derrière, tu me baises et m’encules amour c’est excitant. J’aime te sentir de partout en moi, mon ange

Je touche ma bite qui défonce maman avec mes doigts. Cette sensation m’envahit de plaisir, je décide de faire un V avec mon index et majeur. Plonge vers le bas dans les entrailles de maman, ma bite va et vient entre mes doigts alors qu’elle se trouve dans le vagin, je serre, desserre l’étau sur ma queue.

Maman gémit, me demande ce que je fais.

— Bébé que me fais-tu ? c’est bon. J’aime, tu ne peux pas savoir la sensation ressentie. Amour oui encule moi bien, oui défonce ma chatte. Comment connais-tu tout cela ? tu me fais vibrer de partout, devant et derrière gémit-elle – Je n’en sais rien maman cela me vient et je fais en donnant un grand coup de queue.

— Bébé tu es un génie de l’amour, je n’ai jamais connu cela, bourre moi bien amour, plus vite, plus vite plus profond, encule ta mère avec tes doigts ! oui sauvagement ! oui fort et vite !

Je m’exécute au mieux, je veux satisfaire mère.

J’accélère, je donne des coups fougueux, j’entends les gémissements qui grandissent, deviennent cris, des insanités inattendus m’arrivent aux oreilles, maman change de visage, elle se cabre, se colle à mon bas-ventre, m’insulte, me dit des mots d’amour puis

— Je jouis amour je jouis, ça vient de profond, je jouis du cul, de la chatte, je jouis amour tu me fais jouir

Je sens ma queue qui se beurre de sa cyprine, les doigts dans son cul coulissent plus facilement comme si une crème d’un coup apparaissait dans son anus, je donne des coups encore plus hargneux en poussant des « han » plus puissant, gesticule mes doigts dans son cul plus violemment, du coup mère se lâche vraiment, des jets de pisse arrive sur ma bite, cela me fait venir moi aussi, je jouis dans la chatte de maman en criant, l’arrose à nouveau.

Mère s’affale sur le lit, ma bite toujours à l’intérieur je m’écroule aussi, je mets mes doigts sur sa bouche, mère les suce.

On reste ainsi un bout de temps dont je ne saurais dire la durée.

On reprend notre respiration et nos esprits tout doucement. Je me soulève quitte le vagin de maman et me couche sur le coté de mère qui ne bouge pas. Nos regards se croisent, elle me sourit, moi aussi je dépose un baiser léger sur ses lèvres.

— Je t’aime Aurélie je t’aime . Je nage dans un bonheur total amour.

— Moi aussi bébé, je n’ai jamais eu autant de plaisirs intenses et si denses que ce soir mon ange. Je suis sur un nuage d’amour, je suis émerveillée par toi, mon trésor.

— Je m’épanoui avec toi mon amour, je suis heureux, je rêve éveillé. C’est immense cette sensation d’enchantement grandiose.

Mère me regarde avec des yeux jamais vus chez maman, ils brillent, ils sont illuminés si j’ose dire. J’ai du mal à soutenir ce regard d’amour émis par maman.

Elle me caresse le visage doucement, j’ai l’impression qu’elle est au bord des larmes. Elle murmure des mots d’amour à mon encontre, je ne les saisis pas tous

Je réponds bêtement des « moi aussi amour ». Je ne comprends pas, en fait, comment j’ai pu procurer tous ces plaisirs et jouissances, alors que je n’ai pas fait grand-chose sinon posséder ce que j’aime le plus au monde

— Je n’en reviens pas des sensations ressenties en te possédant. Ma bite en toi, j’en ai tant rêvé et puis prendre ton anus avec mes doigts cela me donna des émois jamais connus je t’aime follement.

— Je n’ai jamais ressenti cela avant toi amour, même pas avec papaPourtant nous fumes heureux pendant 25 ans, notre famille était une famille bienheureuse. Papa a laissé un grand vide pour moi et pour vous deux, toi et ta sur, mais nous avons surmonté ce drame et nous avons repris le dessus, la vie a fait que nous avançons tous les trois, de façon heureuse. Puis notre histoire merveilleuse qui tombe sur nous, un présent béni des dieux. Je ne me saurais jamais attendu à cela et pourtant c’est nous aujourd’hui et c’est extraordinairement merveilleux

— Oui ! nous deux c’est plus que magique dis-je avec un baiser léger à la clef. Je t’aime !

— Amour, je n’ai pas envie de bouger mais il va falloir aller se laver mon amour, on ne peut rester ainsi on va coller de partout sinon.

Elle se lève, je l’admire de mes yeux pleins d’amour, je la suis vers la salle d’eau.

Le berceau de nos amours

On se lava mutuellement, on s’essuie de même, on se câline, on s’embrasse puis on retourne dans la chambre. Mère s’étend, je me couche aussi – Bébé, veux-tu me reprendre dans tes bras comme hier soir, je suis si bien comme cela.

— Oui ma chérie moi aussi j’aime être ainsi toi dans mes bras, te sentir tout contre moi.

— Oui mon trésor, embrasse-moi et dormons, tu m’as tuée avec toutes ses jouissances si denses – Oui amour bonne nuit à toi, je suis bien là

Dans les bras, l’un de l’autre, on se parle quelques instants, on se dit des mots d’amour puis la fatigue, le relâchement des sens, des nerfs fit que je m’endormis sans m’en apercevoir.

Comme hier, l’odeur du café me ranime, Maman a quitté le lit, sans me réveiller. Je me lève donc moi aussi, d’un pas leste et plein de tonus. J’enfile un boxer et me rend en cuisine, maman est là, toujours en déshabillé sans nuisette. Toujours aussi belle, même sans maquillage, sans coiffure impeccable, sublime de beauté.

J’arrive par derrière, celle-ci s’affairant à dresser notre petit déjeuner, je l’étreins dans mes bras.

Elle se retourne, on se dit bonjour, on se donne un baiser d’amour, maman sourit, je lui embrasse son cou, sa peau est douce et délicate, j’ai son parfum sous mon nez. Je suis aux anges.

On se fait un doux câlin, on se demande si on a bien dormi, on se quitte pour continuer notre petit déjeuner en amoureux – Mon trésor, ce que nous vivons depuis deux jours est fantastique, exceptionnel même, vu l’accord de nos sens et de nos désirs, l’accomplissement de nos plaisirs le démontre

— Aussi on va devoir être sur nos gardes lorsque nous ne serons pas seul, en public, etc. On doit se comporter comme une mère et un fils, dirons-nous classiques, et elle sourit en disant cela. On doit se lâcher dans notre gestuelle amoureuse quand nous serons seuls, à l’abri de regards étrangers.

— Je sais bien, maman que nous devrons nous tenir et nous comporter comme mère/fils en présence de tiers. Pour ma part je ferai attention. Promis – C’est bien mon trésor, si on veut profiter en toute tranquillité de notre nouvelle condition, on doit se protéger de tout commérages, rumeurs etc.

— Bien à part cela, je dois te dire que ce que nous vivons me va à ravir, je me sens libre, jeune et enjouée, amoureuse. Bref, je suis merveilleusement bien.

— Moi aussi maman chérie, je m’épanouis de jour en jour avec toi, tu me fais connaitre des instants merveilleux, et je suis heureux de les vivre ensemble. Nous sommes en couple mère et j’en suis enchanté.

Maman se lève, vient s’asseoir sur mes genoux, m’embrasse. J’ai sa poitrine sur mon torse, je commence à sentir mes sens repartir.

— Je t’aime, mon bébé, tu es si merveilleusement intelligent, un génie amoureux, j’ai constamment envie de toi, de nos délires amoureux, d’être là, assise sur tes cuisses me fait mouiller de désir, je sens ta poitrine contre mes seins, ta bite qui enfle, vient frôler mes cuisses, embrasse-moi.

Je m’exécute, un baiser long, langoureux on se donne. Je caresse sa poitrine, descend vers son pubis, plus bas effectivement maman ayant écarté ses jambes, je peux constater qu’elle est fort humide, je la branle avec délicatesse. Je me raidis, finit par bander outrageusement.

Mère se lève, puis s’agenouille devant moi, assis sur ma chaise, elle tire sur le boxer, ma queue se lève de toute sa vigueur vers le ciel. Mère saisit mon sexe à pleine main, commence les caresses, les vas et vient. Approche délicatement les lèvres de mon gland si dur, fait juste un bisou, puis passe sa langue sur mes couilles, le long de la verge, jusqu’à mon gland, le gobe, enfin, puis fait tourner sa langue sur le méat, le gland la tige, en me gobant en entier, ainsi de suite, mère me suce si bien, c’est si bon, j’apprécie un long moment. Je tire ses cheveux, la relève et l’assois sur le bord de la table. Je m’agenouille à mon tour, mets ma tête entre ses jambes et je commence à jouer avec son clitoris. Je le touche, je le lèche, je le mordille, mère est toute trempée, elle gémit au rythme de mes coups de langues. Je la retourne en position levrette. Je me rapproche de son cul, mon gland à la porte de son vagin. Je pénètre centimètre par centimètre ma verge en elle. Elle gémit plus fort.

J’agrippe ses hanches et mes coups de reins s’accélèrent.

— Oui !!! bébé prend-moi bien profond. Oui mon amour !!! baise ta mère, oui bourre moi, j’aime sentir ta bite en moi oh oui ! continue mon trésor

Ma bite au plus profond de sa chatte, je la sens remplie. Je passe mon index sur son anus. Puis je l’enfonce, mon majeur vient à l’aide du premier pour faire un pieu conséquent. Je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort. Tu gémis de plus en plus fort aussi.

Après l’avoir bien prise en levrette, je la retourne sur le dos. Je viens à sa hauteur et je l’embrasse tout en la pénétrant de nouveau. Cette fois c’est plus doux, plus profond, J’embrasse chaque téton, je les pince, je les mordille également.

Mais tout d’un coup, tu me repousses, tu me dis de m’asseoir sur la chaise.

— Laisse-toi faire mon amour, j’en ai trop envie dis elle en hurlant presque.

A son tour, elle vient sur moi, elle s’empale sur ma grosse queue et se déchaine comme une petite folle. Elle se tient à mes cuisses et remues ses fesses comme elle sait si bien faire. Je sens qu’elle va jouir en regardant son visage. Elle me regarde avec une telle fougue, me prend les cheveux et tire en arrière ma tête, elle s’empale de plus en plus vite et fort. Elle aime cela, je sens que ça monte, je sens ses crispations abdominales. Son visage chavire, ses râles deviennent plaintes aigües. Elle jouit de toutes ses forces dans un gémissement si excitant. J’y vais encore plus fort. Ça arrive. Je la soulève, sors ma queue de son trou, Je la mets de nouveau à genoux. Elle ouvre sa bouche et je jouis sur son visage, elle essaie d’en prendre le plus en bouche, lèche et essuie ma queue avec sa langue. Elle met sa tête sur mes jambes, une fois soulagé je me suis réassis, on est encore immergé, elle et moi, de notre plaisir reçu et donné. Quel petit déjeuner !

Chapitre 6

Cela dura une quinzaine de jours, on a fait l’amour, maman et moi, dans toute la maison, cuisine, chambres, salles de bains, couloir, terrasse, bref de partout on a été rassasié de jouissances et de sexes fous après une quinzaine, on pouvait enfin se voir, sans se mettre de suite à forniquer comme des morts de faim en sexe.

— Tu dois me prendre pour une obsédée sexuelle me dit mère un jour – Non maman, j’en ai autant envie que toi, la preuve : je suis toujours partant et bandant mon amour – Oui, pour ma part cela faisait presque un an que je n’avais de relation avec un homme, en plus d’avoir vu ta bite, cela me perturba réellement. Puis lorsque tu me l’as mise sous le nez, te masturbant devant moi, enfin quand tu me massais mes seins en te branlant cela ne me facilita pas les choses. Je me branlais une fois seule dans ma chambre, je finis mon trésor par m’acheter un godmiché, semblable à ta queue sur le net.

— Je me suis souvent branlé en pensant à toi, ton corps, tu sais maman, tu m’as obsédé, c’est certain tu es ma passion – Cela devenait pour moi, de plus en plus pénible de ne pas franchir la ligne de raison avec toi, J’avais envie de toi mon amour un désir fou de toi.

— Moi je n’attendais que cela, maman que tu acceptes de te donner à moi, j’en rêvais éveiller

— Inconsciemment mon bébé je savais que nous deviendrons amant, toi et moi, car malgré mes réticences à passer la ligne de bonne conduite, j’ai malgré tout de nouveau acheté des sextoys plus petits, de différentes grosseurs et longueurs.

— Ah ! et pourquoi cela maman, dis-moi la raison de ces achats tu attises ma curiosité, mon ange d’amour – J’allais te le dire, mon trésor, tu sais que je ne te cache rien, je suis franche avec toi, même dans les recoins intimes de nos délires, je suis un livre ouvert pour toi mon bébé.

— Alors, j’ai pris ces sextoys pour me faire l’anus, oui pendant mes masturbations en pensant à toi, je me suis dite, je veux lui donner mon cul, à mon fils, Alors vu la grande beauté de ta bite, j’ai pensé me le faire avec des godmichés différents du plus petit au plus gros et enfin le toy qui est ton sosie, ainsi je me suis enculée durant des semaines pour me faire le trou de la porte étroite pour ta queue. Pour te dire mon obsession de toi.

— Tu aimes cela maman ?

— Non ! j’ai dû faire l’amour par derrière deux ou trois fois avec ton père, mais comme il n’y tenait pas, on ne le fit pas.

— Alors pourquoi autant de préparation et frénésie ?

— Je ne sais pas, instinctivement j’ai dû penser que s’il te prenait l’envie de me mettre ta grosse queue dans cette partie-là, de mon anatomie, pratiquement vierge, j’aurais, de prime abord, refusé car même vaselinant l’ensemble, le forçage de mon sphincter aurait été fort douloureux.

— Pourtant depuis quinze jours tu as accepté mes doigts et pas ma queue.

— Parce que tu n’en as pas fait la demande explicite et que moi, je ne dois pas être encore prête mon amour, le moment venu, opportun, et désiré viendra et tout sera apte à la chose pour notre plaisir partagé, c’est ce que je crois.

— Maman ! tu es une merveille de femme, organisé, prévoyante en tout pour ton bébé d’amour

Maman me sourit et m’embrassa goulument, ce fut bon

D’amants insatiables, nous sommes devenus amants tout simplement. En revanche nous devenions des inséparables. En effet il n’y a jamais un sans l’autre, cinéma, restaurant, week-end, expositions, vernissage, balades, à la maison etc

Seulement au travail et moi à l’université nous étions séparés. Lors de nos retrouvailles les soirs de semaine, on se raconte nos journées, puis le premier arrivée prend sa douche, puis l’autre, ensuite on prépare le diner ensemble en discutant, en se câlinant, en se donnant des baisers langoureux, puis une fois fini notre repas , nous choisissons ensemble la façon de finir la soirée, soit salon et canapé dans les bras l’un de l’autre, soit cinéma, soit sortie ludique ou bien promenade bref une vie d’amants heureux de vivre leurs amours et leurs désirs en commun.

On se fait l’amour tous les jours, au moins une fois minimum, ce qui changent ceux sont les moments, les lieux et la façon.

Nous sommes dans un bonheur total maman et moi, une complicité réelle, sincère et pardessus tout la confiance réciproque que nous nous avons l’un vis à vis de l’autre.

Ce qui changea dans notre relation ce fut qu’un soir que nous restions à la maison, nous étions maman et moi sur le canapé regardant les chorégies d’orange à la télévision, on était toujours dans les bras l’un de l’autre maman simplement habillée d’une nuisette aérienne et d’un déshabillé léger, quant à moi pantalon de pyjama et robe de chambre.

L’entracte arrive, maman se penche défait ma robe de chambre et se met à me sucer mon sexe, l’avaler, me pompe. Je passe une main entre ses cuisses pour caresser sa chatte. Elle est humide de désir. Je caresse les seins avec l’autre main, ces tétons durcissent aussitôt. Je sens que maman est en désir de jouissance. Maman salive ma bite, elle est maintenant toute trempée. Elle lâche ma queue se dresse et se met à genoux, le buste sur le canapé à côté de moi et me dit :

— Mon bébé prend moi par derrière, s’il te plait, j’ai envie de te sentir dans mes entrailles avec ton membre fort et puissant.

 Ma queue est bien humectée de salive

Je me lève, à mon tour, me met à genoux derrière ses fesses, je sépare ses jambes, met les miennes entre les siennes, écarte ses fesses. Je vois son anus, mère le contracte et le relâche, je cherche à faire entrer mon immense bite dans son cul.

Elle me parait immense car son trou de balle est fin et petit malgré les godmichés qu’elle a pu se mettre.

Je prends place, commence à forcer le passage doucement, l’anus s’ouvre, je dois forcer, je suis troublé de me sentir si à l’étroit, mon gland ressent de la résistance, je force, heureusement que je bande dur. Puis un relâchement se produit, j’ai l’impression que tout s’ouvre et comme je forçais ma queue entra dans son cul d’un coup. J’ai mon pubis collé à ses fesses. Je viens de la mettre au fond.

Maman dresse la tête, elle ouvre la bouche comme pour hurler mais aucun son ne vient, un cri sans hurlement comme si elle n’avait plus de respiration, plus de voix. Aussi je n’ose plus bouger je reste au fond d’elle.

Je ne sais le temps que mon immobilisme a duré, puis j’entends à nouveau la voix de maman.

— Bébé ! tu m’as écartelée, je sens ta veine gonflée sur les parois de mon sphincter, J’adore mon amour, j’aime sentir ta queue dans mon cul, j’entends battre ton cur par les pulsations qu’émet ta bite mon trésor, c’est merveilleux de ressentir cela.

Maman remue ses fesses et là je sais, par le plaisir d’être dans cette gaine qui comprime ma bite que j’encule à fond maman.

Alors je commence à bouger mon sexe je reviens vers la sortie une fois le gland presque dehors je repousse à fond vers son fondement, tout coulisse avec moins d’effort. J’attrape maman par les hanches pour être arrimer à elle, je vais et je viens de plus en plus vite, tout s’infiltre de mieux en mieux. Maman gémit à chaque coup de butoir.

— Oui bébé ! encule moi fort, bourre moi amour ! bourre-moi bien, je te sens bien, c’est bon.

Alors sans aucune raison, sans doute, je dois avouer que cela doit venir des films porno vus il y a quelques temps déjà, il me vient à l’idée de claquer les fesses de maman. J’ai peur que cela déplaise à mère, mais non elle gémit et remue ses fesses quand je claque, alors je tape plus fort pour voir sa réaction. Des gémissements accentués arrivent à mes oreilles ainsi que ses paroles :

— Oui amour, tape fort, oui c’est bon défonce le cul de maman, bien profond trésor, bien fort encule ta mère mon bébé, frappe son cul de salope. Oh que c’est bon, oui amour laboure mon cul etc.

Maman est partie dans son délire d’onomatopées grossières.

Je me penche alors et mes mains vont sur ses seins pendant que je la sodomise bien profond Je les caresse tout d’abord, ces tétons sont durs ses mamelons sont forts consistants, j’ai envie de les triturer, ce que je fais, je malaxe durement. J’entends maman me dire :

— Oui ! fais-moi mal amour ! tord mes seins ! fais-moi mal, très mal n’aie pas peur amour

J’ai senti la main de maman sur mes couilles, maman se branle sévère, elle gémit de plus en plus fortement

— Amour oui ! vas-y tord mes seins, défonce mon cul amour, je sens que cela vient amour, tu me fais jouir du cul oui je viens amour je viens du cul amour je jouis !!!!!!!

Maman ne crie plus, ne gémit plus, elle hurle son plaisir !!!

Maintenant à chaque coup de bite au fond de son cul m’arrive un jet de pisse, c’est devenu habituel chez mère, elle jouit toujours un orgasme long.

— Trésor je jouis de la chatte aussi, c’est incroyablement bon amour, je jouis de la chatte aussi et elle repart dans ses onomatopéesces gémissements

Là je ne me retiens plus, je lâche mes jets de foutre dans les entrailles de maman, je jouis moi aussi

Quand maman sent mes jets elle crie de plus belle, serre son sphincter, je suis aux anges.

— Oui bébé arrose mon cul, jouis en moi mon trésor, oui encore donne-moi encore de ton jus amour

Je lâche un deuxième jet dans le cul de maman, je suis liquéfié de plaisir, les jambes ne me supporte plus je me laisse glisser à terre. Mère se laisse glisser à terre aussi et une fois étendue elle prend ma bite en main et me suce la queue, je gémis de plaisir et de douce douleur électrisante, elle avale ma bite bandante mollement encore me la suce, me la nettoie pour ne rien perdre, J’adore quand maman me fait cela.

Voilà cela fut mon premier cul de ma vie que j’ai possédé et aimé, un souvenir inoubliable

Une fois nos esprits repris, on s’embrassa, on se câlina, puis comme toujours direction douche pour nous rafraichir de nos ébats.

Je pus ainsi voir de nouveau, entre autre, maman se mettre deux doigts dans l’anus pour le nettoyer, maintenant je sais que c’était pour la bonne cause.

Une fois fait, nous retournâmes dans le salon, nous primes nos affaires et on se rhabillât, le tout en silence.

Maman ne formulât rien pour détendre l’atmosphère, je ne comprenais pas la raison.

Je prie maman dans mes bras pour qu’elle vienne s’y lover.

— Maman je t’aime, tu ne peux savoir combien je t’aime – Moi aussi mon chéri, je t’aime à la folieCela t’a plu mon trésor ?

— Oh oui maman, c’était merveilleux, je n’ai jamais rien ressenti de pareil, tu me diras que c’était la première fois que je sodomisais. Maman tu me permets de m’épanouir chaque jour qui passe.

— Que penses-tu de moi mon bébé ?

— Tu es une femme extraordinaire, je t’admire, je te voue un amour infini, je te trouve éperdument féminine, sensuelle, lascive, amoureuse.

— Merci mon chéri, tu es gentil de me complimenter ainsi, mais que penses-tu de mon comportement de tout à l’heure amour ?

— Magnifique maman tu étais splendidement étonnante, j’ai énormément apprécié ta sensualité et le désir charnel que l’on se procure et partage ensemble.

— C’est vrai on est bien ensemble, je n’avais jamais ressenti ce plaisir quand ton père m’enculât les deux ou trois fois de notre vie de couple, pipi de chat, à côté de ce que tu m’as fait ressentir et connaitre. Je ne m’attendais pas à jouir du cul, c’est nouveau pour moi, tu sais.

— Non ce que je veux te dire et qui me gêne, c’est que j’ai aimé que tu me fasses mal quand tu m’enculas amour. J’ai apprécié cette douleur qui augmenta ma jouissance, indescriptible ce ressenti éprouvé.

— Je ne vois pas où est le problème amour, je n’ai pas appuyé pour te faire trop mal, et si tu as aimé, tant mieux. D’ailleurs quand tu auras envie de ressentir à nouveau ses douleurs, tu me le diras et je m’exécuterais avec plaisir.

Ainsi depuis ce jour, nous avions encore franchi un cap maman et moi et nous ne nous en portions que mieux Maman se libérait de plus en plus, ayant une totale confiance en moi et elle savait que je ne la jugerais jamais dans nos envies et délires sexuels que nous connaissons et vivons. Quant à moi je m’épanouis de jour en jour et je nage dans un bonheur indescriptible.

Si vous continuez à aimer, je vous conterai la suite de notre relation avec mère .

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