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Découverte du plaisir avec ma mère – Chapitre 8

Découverte du plaisir avec ma mère - Chapitre 8



Après avoir regardé partir dans le ciel l’avion emportant Marie au loin, Thomas revient vers la maison familiale. Il ne peut pas s’empêcher de repenser au séjour de Marie, par séquences aléatoires. Il reconnaît avoir un sentiment amoureux envers elle. Une tristesse s’abat peu à peu sur ses épaules. En même temps il prend conscience du dilemme entre Aurélie, Marie et lui. Malgré l’optimisme d’Aurélie, il ne voit pas comment tout cela pourra finir en apothéose.

Une fois à la maison sa tristesse induite en lui, il voit Aurélie qui s’affaire dans toute la maison, avec une grande dépense d’énergie.

— Mais que fais-tu ? Il n’y a pas urgence de tout ranger dans la maison. Questionnais-je

— Oui je sais, mais je m’occupe sinon je vais finir en pleurs. Marie me manque déjà. Un vide s’installe dans la maison. Répond-elle.

— Oui, je le ressens aussi, autant lorsqu’elle partit il y a treize mois nous fûmes heureux de pouvoir vivre sans sa présence, aujourd’hui redevenue notre Marie d’antan, et mon amante, un vide se propage seulement après quelques heures de son départ. Remarquais-je

— Oui, j’aime Marie, tu le sais. Ce que tu dis est exact, aujourd’hui bien qu’elle soit ta maîtresse, je ne peux que pleurer son absence tellement elle me manque. S’épanche-t-elle

— Ces neuf mois vont être longs. Répliquais-je.

Aurélie continue ses domesticités acharnées. Quant à moi je me suis réfugié dans ma chambre avec un livre, mais je ne peux me concentrer sur la lecture. J’abandonne celle-ci et me laisse aller dans mes diaporamas de la vision de Marie, pendant son court séjour, allongé sur mon lit.

La soirée arrive, Aurélie nous a fait un dîner léger. Nous mangeons quasiment en silence. On regarde ensuite la télévision dans le salon. On zappe beaucoup, rien ne nous intéresse. Finalement on décide d’aller se coucher. Instinctivement, on se dirige dans la chambre d’Aurélie, celle-ci se déshabille en silence, je regarde la découverte de son corps magnifique, mais ne tente rien, ni en parole ni en geste. Elle va dans la salle de bains prendre une douche et s’apprêter pour la nuit cela prendra un certain temps. Je n’éprouve pas le besoin d’aller taquiner Aurélie, comme d’habitude. Aussi je me dévêts et file dans la salle de bains de ma chambre. Je reviens dans la pièce d’Aurélie, elle n’a pas encore terminé. Je me glisse sous la couette, tout nu comme à l’accoutumée, et attends la venue de mon amour.

Elle arrive, la tête ailleurs, je le ressens fortement. Elle vint se mettre sous la couette, en silence, elle aussi nue, comme d’habitude. Elle prend sa position en ftus et vient se blottir contre moi, je me mis sur le flanc pour qu’elle puisse bien se blottir contre moi.

— Mon chéri, éteins la lumière. Je n’ai pas envie de batifoler ce soir. Me dit-elle.

— Je suis dans le même cas, mon amour, déclarais-je.

— Bonne nuit mon chéri.

— A toi aussi mon amour.

Ainsi se passa cette nuit-là.

Le matin, la première chose que l’on fait, est de se précipiter vers nos téléphones pour voir si un texto de Marie s’y trouve.

Sur le mien il est écrit : mon amour je suis bien arrivée, tu me manques fort. Je t’aime. Tu ne quittes pas mes pensées. Gros bisous d’amour.

Aurélie me montre le sien tandis que je lui passe le mien. Il est écrit sur celui d’Aurélie : Maman chérie, je suis bien arrivée, vous me manquez énormément, je ne cesse de penser à vous. Ta fille qui t’aime. Gros bisous.

Nous sommes tout de suite rassurés, Marie est bien arrivée.

— Bon, il va falloir se reprendre et vivre sans Marie pendant ces neuf mois. Tu vas avoir une discussion skype, sans doute, aujourd’hui avec elle. Alors cessons de pleurer sur son absence. On va devoir vivre avec cela. Je vais préparer le petit-déjeuner. Toi prépare-toi pour aller en fac, Tu as cours à quelle heure ?

— J’ai le temps, cet après-midi deux heures de cours seulement.

— Moi en revanche, je commence à neuf heures, mon trésor. Alors ne traînons pas.

— OK je viens t’aider.

La journée se passe sans anicroche.

J’attends avec impatience 22 heures pour avoir ma rencontre skype avec Marie aux States.

Il sera 13 heures chez elle.

Aurélie retrouve son entrain, elle me fait savoir que si la discussion avec Marie m’excitait, elle serait là pour calmer mes ardeurs. Je lui réponds, avec plaisir mon amour.

Mon impatience se fait grande. Des questions se posent à mon esprit, cette discussion sera-t-elle chaude ? Marie sera-t-elle nue ? Mon esprit bouillonne.

Les 22 heures arrivent, l’image de Marie paraît à l’écran, souriante. Elle m’envoie un baiser. Je lui rends avec plaisir, je luis souris.

— Bonjour amour, tu me manques énormément. Comment vas-tu ?

— Je vais bien ma chérie, un peu triste dû à ton absence. Et toi ton voyage s’est-il bien passé ?

— Oui, toujours aussi long. J’ai dormi cela m’a aidé. De te voir mon cur chavire.

— Il en est de même pour moi, de te voir cela m’émeut et me démontre que tu es loin de moi. C’est dur à vivre.

— Je suis d’accord mon amour, mais heureusement que nous pouvons nous voir et discuter, cela atténue notre séparation.

— Oui bien sûr, n’empêche que cette séparation me chagrine.

La discussion se poursuit ainsi sur des banalités quotidiennes, sur des mots d’amour de la part de l’un envers l’autre. On se sépare en nous envoyant des baisers en se disant à demain.

De retour dans le salon Aurélie me regarde et demande :

— Alors comment va Marie ?

— Bien, elle avoue que le manque de nous la rend triste, nous en sommes au même point.

— Avez-vous eu des rapports chauds ?

— Non ! Rien de cela. Pas la tête aux extras sexuels.

— Tant mieux cela va m’éviter de te soulager, mon chéri.

On change de conversation, la vie quotidienne reprend le dessus. Une fois terminé, j’annonce que je vais faire un jogging pour me détendre.

Le lendemain est là. Les 22 heures approchent.

Je suis devant mon écran, Marie s’annonce, mon cur bat la chamade, J’ai un plaisir immense de la voir. Voilà, son visage et son sourire magnifique se montrent. Je la salue, lui envoie un baiser qu’elle me retourne aussitôt. Elle est radieuse.

— Bonjour amour, tu me manques beaucoup. Je t’embrasse.

— Moi aussi ma chérie, je t’embrasse et crois-moi tu me manques aussi. Je bande pour toi mon amour, tout le temps.

— C’est vrai ? Montre-moi alors !

— Si tu le veux, pourquoi pas.

Je me dresse, défais la ceinture de mon jean, descends la fermeture à glissière, baisse l’ensemble, pantalon et boxer, ma bite bandante apparaît dans sa splendeur.

— Tes désirs étant des ordres, voilà mon amour regarde.

— O mon Dieu ! Elle est toujours aussi belle même en vidéo, tu me fais mouiller mon amour.

Je vois ma bite en petit carré sur le bas à droite, je peux voir Marie s’avancer et faire semblant de sucer ma bite en ouvrant sa bouche avec un « O » magnifique. Ces yeux brillent d’envie et de concupiscence.

— Tu m’excites mon amour, je mouille fort là. Attends regarde mon chéri !

Je la vois se dresser, enlever son top et montre ses seins épanouis que je devine durs, ses tétons rigides pointent vers moi. Elle règle la cam pour que je puisse les voir avec un peu de recul. Elle les masse, les triture, pince ses tétons, je la vois pincer sa lèvre inférieure, signe d’excitation sexuelle chez Marie. Je ne peux résister à l’envie de prendre ma bite en main et de commencer une masturbation douce.

— Mon amour tes seins me manquent, ils sont si beaux et si doux à mon souvenir.

— Mon amour, oui branle-toi devant moi, je ne t’ai jamais vu te branler, cela me remue les entrailles, j’adore voir ta main sur la bite.

— Montre-moi ta chatte amour, j’en meurs de convoitise.

— Oui amour ! Je vais le faire, tu verras ainsi ma chatte mouillée et ouverte pour toi.

Elle se lève, relève sa jupe et sa chatte se montre à moi, elle n’a pas de culotte, je l’adore ma Marie. Tenant sa jupe avec ses coudes, elle étire ses lèvres intimes je peux ainsi voir sa chatte rose ouverte et ruisselante, la brillance de sa peau. Son trou vaginal ouvert et son clito montrant le bout de son nez. Elle lâcha un côté afin que ses doigts puissent commencer un branle de sa chatte.

— Amour je t’aime, ta chatte demande mes lèvres sur elle.

— Oui amour, tes lèvres lui manquent.

Je vois Marie s’asseoir, seul son visage se montre, elle recule son siège, se déshabille. Nue en deux secondes, elle se rassit règle sa position avec son assise reculée pour que je puisse la voir en majesté. Elle entame une masturbation en regardant ma bite branlée.

Je la regarde faire, elle admire ma branlette, on se masturbe ensemble.

— Mon amour, j’ai envie de ta bite en moi, je veux être baisée par ton pieu magnifique. Prends-moi amour !

— Ma chérie, ta chatte me manque, je la veux comme fourreau à ma bite, j’adore être en toi te posséder, mon amour.

Marie s’enfile deux doigts dans son vagin et s’active ardemment. Je me masturbe plus vite et grogne. Marie gémit, enfilant trois doigts en ce moment, elle remue sa tête de droite à gauche, je sens que sa jouissance se construit. J’active ma branlette afin d’être en concert avec mon amour.

Voilà, Marie s’arc-boute enfile quatre doigts, geint avec force, crie. Marie jouit ! Je sens mes couilles enflées, mon foutre s’emballe, je le sens couler le long de mon manche, il jaillit par des jets puissants, je ne contrôle rien, il y en a partout. Cela dure, mon foutre coule sur l’écran. Marie voyant cela part sur un second orgasme.

— OUI mon amour ! Asperge-moi ! Couvre-moi de ton foutre !

Marie continue de se branler farouchement, frappe ses lèvres et finit après un relâchement par se pisser dessus.

Je suis épuisé, Marie reprend lentement son souffle.

— Merci mon amour, j’en avais tellement besoin, tu me manques trop. C’était grandiose.

— Merci à toi mon amour, moi aussi j’en éprouvais une grande envie de jouir de toi, oui c’était merveilleux.

On récupère doucement tous les deux, on se sourit comme deux gamins pris en faute, on se sent bien, on s’aime.

On reprend une conversation sur notre quotidien et on finit par se quitter avec regret, Le manque s’accentue.

Je reste un moment sans bouger, une fois skype fermé. Je remets de l’ordre, nettoie mon sperme répandu.

Puis je me dirige vers le salon pour rejoindre Aurélie.

Aurélie me voit,

— As-tu besoin de moi ?

— Non je me suis vidé, merci mon amour.

— Et Marie ?

— Aussi, elle s’est même pissée dessus.

— Mon amour vous m’excitez tous les deux, cette nuit je vais te faire l’amour, viens ici que je commence, donne-moi ta bite, je vais te sucer.

Je ne lui donne rien, elle se sert.

Maman se laisse tomber à genoux et donne quelques bons coups à ma bite avant de passer ses lèvres autour de sa tête. Je ne ressentirai jamais rien de mieux dans le monde que ce qu’elle me fait maintenant. Sa bouche chaude et mouillée glisse le long de ma longueur me prenant aussi profondément que possible dans sa gorge. Je me retrouve en train de mettre une main sur sa tête et de passer mes doigts dans ses cheveux alors qu’elle se balance de haut en bas avec un rythme incroyable. Elle tient ma bite à la base avec une main et l’autre berce mes couilles. Je peux sentir sa langue tourbillonner autour de la tête, stimulant le dessous très sensible.

Maman est une merveilleuse suceuse.

Au bout de quelques minutes, elle se lève enlève son haut, seins à l’air. Elle m’affole, j’adore son corps splendide. Elle met à terre sa jupe, je peux voir sa chatte magnifique, pas de culotte comme je lui impose. Elle tire mon pantalon et me l’ôte rapidement. Je me soulève pour l’aider. Elle lève mon t-shirt, nous voilà nus. Elle prend ses seins en main, s’agenouille et enferme mon gland dans la vallée de ses seins et commence une branlette espagnole.

Après quelques minutes de ce traitement, je me dégage de l’emprise d’Aurélie. Je me glisse sur le côté, Aurélie reste à genoux face au canapé. Une fois debout, je me pose derrière Aurélie la plie en deux, sa face sur les coussins du canapé. Je me colle à ses fesses, et ma bite pénètre sa chatte humide de désirs. Aurélie gémit lors de ma pénétration, remuant ses fesses de droite à gauche m’invitant à la défoncer. Je ne m’en prive pas. Voyant son anus, une envie de lui mettre deux doigts à l’intérieur m’habite. Je me lèche l’index et le majeur puis j’enfonce les deux dans son cul aisément, son anus est relâché par le désir d’être sodomisée. Aurélie augmente en volume et densité ses gémissements. Tout cela m’invite à faire plus, je me lèche l’index et le majeur de l’autre main et les enfonce de concert avec les deux autres dans l’anus dilaté de maman. Un cri de douleur ? Non c’est une lamentation de bonheur d’Aurélie.

— Oui Mon bébé ! Déchire mon cul et baise-moi fort, je suis bien ! Geint-elle.

Je m’active, j’adore prendre Aurélie de cette manière, je suis dans ses deux trous d’amour et de plaisirs, je savoure mes ressentis de la chatte et de son cul. Je possède maman, à cet instant je suis le maître de son corps, maman est mienne. Je l’aime à la folie. Sa chatte serre ma bite par ses contractions vaginales. Je pose mes quatre doigts sur ma bite baisant Aurélie, son point G est ainsi branlé Cela finit par faire parvenir Aurélie vers un orgasme violent. Elle se contracte, puis tremble de tout son corps, hurle des insanités incroyables, se tétanise dans un cri violent, elle jouit ! Jouit avec des orgasmes répétés, Aurélie n’est plus de ce monde. Elle nage dans sa jouissance.

Son point G est ainsi branlé. Cela finit.

Je sens ma bite compressée par ses muscles vaginaux en deux, trois allers retours cela m’amène à l’explosion de mon plaisir, Des jets de foutre fulgurants inondent sa chatte, cela redonne un orgasme à Aurélie, elle crie de nouveau comme une chatte prise par son mâle.

Je m’abats sur son dos, Aurélie s’affaisse sur le canapé, on reprend notre respiration peu à peu. Une fois nos curs calmés, on s’affale chacun de son côté sur le canapé.

— Merci Mon amour, tu es l’homme de ma vie, sans toi je vivrai plus. Toi seul sais m’amener ailleurs ainsi. Je t’aime mon bébé, murmura-t-elle.

— Moi aussi, je t’aime. Et seulement avec toi, j’éprouve cette densité jouissive. Tu es la femme de ma vie et le demeureras toujours. Même, si j’aime faire l’amour avec Marie, le rayonnement entre nous deux est mille fois supérieur.

— Je te partage avec Marie, mon amour, parce que Marie est ma fille et je l’aime en tant que telle. Je veux la voir heureuse en amour avec toi. Et te remercie de l’aimer comme elle le désire.

— Comment allons-nous faire, pour nous aimer ainsi sans rien faire savoir à Marie lorsqu’elle sera de retour définitivement, sans briser nos vies ?

— Pour l’instant je n’en sais franchement rien, mais laissons le temps nous aider pour avoir une ouverture. Sinon bonjour le malheur et la catastrophe.

Nous nous levons pour nous rendre dans la salle de bains pour nous laver. Ensuite on se met au lit, nous nous endormons repus d’amour dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain soir arrive, les 22 heures sont là, Marie fidèle au poste,

Ce soir, Aurélie parle en premier avec Marie, elles sont heureuses de cette entrevue, les larmes brillent dans les yeux de l’une comme de l’autre.

Elles finissent l’entretien en se donnant des baisers. Je prends le relais, comme, à l’accoutumée après avoir fait le tour de notre quotidienneté, Marie m’expose ses seins, le départ de notre moment de luxure, je lui montre ma bite en érection, elle me montre sa chatte ouverte et humide, on commence à se branler, en regardant l’autre le faire jusqu’à ce que jouissance s’ensuive. Une fois, tous les deux ayant joui, on se quitte avec regret et en se donnant de multiples baisers.

Un mois passa ainsi.

Aujourd’hui, j’annonce à Aurélie à 21 heures 30 que je sors faire un jogging.

— Tu es fou ou quoi ? Marie va appeler, et que vais-je lui dire si tu n’es pas là ?

— Ecoute, j’en ai marre de me branler tous les soirs, cela devient récurrent et mon envie s’amenuise. J’ai du mal à bander. Alors que dira Marie si elle me voit mou devant sa nudité. Tu en as une idée ?

— Merde ! Excuse-moi. Ne peux-tu pas activer ton sexe en pensées érotiques pour faire bonne figure.

— Tu me demandes de tricher avec Marie tous les jours ?

— Oui je sais c’est idiot ! Que vais-je lui dire pour ne pas l’inquiéter, tu me mets dans un embarras une demi-heure avant notre entretien. Et en sus tu te défiles.

— Débrouille-toi, je suis certain que tu trouveras quelque chose pour nous sortir de cette situation merdique.

Là-dessus, je sors pour mes deux heures de jogging nocturne exceptionnel.

Je suis de retour à minuit environ, Aurélie m’attend dans le salon, en voyant sa figure, je vois que cela ne fut pas de tout repos pour elle.

Elle ne me salue pas pour mon retour.

Je m’assis en sueur près d’elle.

— Alors comment cela s’est passé entre toi et Marie ?

— D’après toi ? Tu crois qu’elle fut enchantée de ton absence.

— Je m’en doute. Qu’as-tu dit pour excuser mon absence ?

— La vérité tient ! Que veux-tu que je puisse lui dire ?

— Ah ! Alors que fut sa réaction ?

— Horrible ! Tu t’attendais à quoi ?

— Ouais, c’est certain. Tu n’as rien trouvé pour atténuer la chose.

— Je vois que tu as une opinion de moi effrayante. Tu es certain que je trouverais à dire n’importe quoi pour sauver la situation.

— Je sais que tu ne manques jamais de ressort pour sortir d’un embarras.

— Tu ne manques pas d’air.

— OK ! Dis-moi comment cela s’est passé veux-tu ? Je ferai mon mea culpa ensuite.

— Eh bien ce fut simple, je lui ai dit la vérité, que tu ne pouvais plus supporter de te branler tous les soirs devant elle. Que cela t’ennuyait.

— Tu penses bien qu’elle s’affola tout de suite, elle pensait que tu étais parti voir une autre fille, Je la rassurai au mieux et lui dis que tu étais parti faire un jogging.

— A cette heure-ci ? Me demanda-t-elle, Je lui dis que c’était la meilleure des manières pour atténuer tes sens exacerbés. Mais que trouve-t-il de fastidieux dans nos jeux ? Alors je fus sans voix, je me suis mise à dire n’importe quoi. Il en a marre de sentir sur son sexe, il voudrait ta main à la place de la tienne, une autre main que la sienne pour se branler avec toi. Mais que dit-il ? Il devient fou comment puis-je faire ? Ma main est à 10 000 kilomètres. Me dit-elle. Ma réponse fut : oui je sais.

— Et alors comment cela se termina. Questionne Thomas.

— Marie m’appela au secours. Aide-moi maman je ne veux pas perdre l’amour de ma vie. Comment veux-tu que je puisse faire quelque chose pour t’aider sinon dire à Thomas qu’il se comporte comme un idiot. Maman si tu m’aimes aide-moi, je n’ai que toi pour me garder Thomas. Je ne vois pas comment ma chérie ?

— Tu dis qu’il veut une autre main sur sa queue pendant nos ébats virtuels, me dit-elle

— Oui et alors, que veux-tu que je fasse pour y remédier ? Lui demandais-je.

— La tienne maman la tienne ! Il n’y a qu’en toi que j’ai confiance. Continua-t-elle

— Attends là ! Si je comprends bien ce que tu dis, tu aimerais que je le branle pendant vos ébats ? Tu deviens folle ou quoi ? Thomas est mon fils !

— Maman si je perds Thomas je ne survivrai pas à sa perte. Aide-moi ! S’il te plaît par amour pour moi. Supplia-t-elle

— As-tu conscience de ce que tu me demandes ? Rétorquais-je.

— Oui, je sais c’est énorme, mais je ne vois rien d’autre. Je ne t’en aimerai que davantage maman, tu es mon seul recours. Pleurnicha-t-elle.

Devant ce désarroi et la tristesse de Marie, je ne sus que répondre : OK je vais voir ce que je peux faire et voir si Thomas est d’accord sur le principe, elle me remercia chaudement et me quitta les larmes aux yeux.

— Es-tu content de toi ? Tu m’as carrément brisé Marie avec tes bêtises de vanité.

— OK. Je me suis mal comporté, je le reconnais, mais bon on va pouvoir continuer, je suis d’accord pour que tu me branles à sa place. Fais-lui savoir et je vais lui dire que je l’aime, je vais lui envoyer un texto.

Je vais me doucher pour évacuer mes sueurs.

Les textos fusent, celui d’Aurélie annonçant que Thomas accepte, non s’en rechigner, il opposa qu’elle était sa mère, mais je lui ai dit que cela venait de toi et que tu y tenais particulièrement. Il a fini par accepter.

Thomas envoya Mon amour j’accepte ta demande par amour pour toi. Nous continuerons nos relations amoureuses sur skype avec l’aide maman. Je t’aime mon amour.

Le soir arrive, Thomas est nu comme un ver. Il prend des marques pour savoir où reculer son siège afin que Marie puisse le voir nu et se faire branler par Aurélie. Il positionne une chaise à la bonne distance.

Aurélie arrive dans la pièce.

— Que fais-tu mon bébé ?

— Je prends des marques pour la transmission de ce soir, tu t’assiéras sur cette chaise et tu me branleras, je serai assis sur mon siège à ton côté. Marie aura une vision intégrale de la scène.

— Je pensais qu’elle ne verrait que ma main te masturbant.

— Si on faisait cela, elle ne verrait qu’une partie de ma bite et rien de ma personne.

— Oui d’accord ! Mais je vais être témoin de votre conversation intime, cela devient extrêmement gênant.

— Ah ! Parce que si on ne voyait que ta main, tu n’entendrais pas la conversation ?

— Oui, mais cela aurait été moins inconfortable.

— Je te rappelle que ce n’est pas moi qui eus cette fumeuse idée.

— Bien ! On fera un essai ce soir, on verra bien la réaction de Marie lorsqu’elle me verra te branlant en entendant votre conversation.

— On verra et on avisera au besoin.

— Pourquoi nu ?

— Parce que Marie et moi sommes toujours nus lorsqu’on se branle face à face.

— OK, cela est complètement surréaliste. Au fait ! Dois-tu jouir à chaque séance de branlette ?

— Oui, Marie serait désappointée si cela ne produisait pas, elle adore me voir éjaculer cela lui donne, en général, un autre orgasme.

— Dans quoi me suis-je fourvoyée, c’est incroyable. Quand tu jouis, tu jouis sur quoi, une main, un mouchoir, à terre ?

— Marie veut voir mes jets, cela tombe où ils chutent.

— Un vrai feu d’artifice quoi !

— Voilà, es-tu toujours d’accord ?

— Evidemment, j’ai donné mon accord à Marie. Je veux l’aider.

— Très bien, l’heure approche.

L’heure fatidique arrive.

Les deux protagonistes apparaissent à l’écran. Marie radieuse, heureuse que Thomas soit là.

— Bonjour mon amour, tu m’as manqué hier soir. Mais sache que je te comprends, en ce qui concerne ta lassitude. Aussi j’ai demandé à maman de me prêter sa main pour te branler afin que tu imagines que ce soit moi qui le fasse. Elle a accepté parce que son amour pour nous deux et grand. Tu me vois ravie de savoir que cela te convienne et accepte cela.

— Oui, J’ai admis car de ne pas te voir et de ne plus pouvoir jouir de toi en ta présence m’était insupportable.

— J’ai tenu, moi aussi, améliorer ma masturbation. Je me suis acheté un godemiché pour me pénétrer lors de ma masturbation. Tu apprécieras de voir ma chatte prise par ta bite mon amour.

— Hum ! Tu me mets l’eau à la bouche amour.

— Je ne te dis pas la honte lorsque je suis entrée dans le sex-shop demandant où se trouvaient les sex-toys. Le vendeur m’accompagna, en me déshabillant de son regard lubrique. Il me conseilla sur les textures, me mit des tas de bites en plastique dans les mains, me disait de toucher, de palper. Ensuite vint l’instant où il me demanda la longueur et la grosseur. Extrêmement gênant, mais je l’avoue excitant. Je lui donnai tes mensurations, il alla chercher la chose en me disant « Je vois, Madame, aime les beaux sexes, pas beaucoup de ses dames ne l’avouent, je vous félicite pour votre sincérité. Voilà le phénomène, je vous souhaite de bons plaisirs, amusez-vous bien avec et nous serons toujours à votre service pour des conseils et tous autres sujets.» Je le remerciai et je partis, avec mon jouet, le rouge aux joues et la chatte humide.

— J’eusse aimé être une mouche pour te voir dans le négoce. Je t’adore mon amour. Ce jouet tu l’as près de toi, montre-le-moi ma chérie.

— Oui il est là, je compte m’en servir dès ce soir amour. Le voilà !

Elle me le présente, on s’y perdrait on aurait dit une vraie bite.

— Magnifique, on va se régaler tous les deux, toi ayant ma bite dans ta chatte et moi te voir te faire baiser.

— Oui amour ! Mais c’est toi qui me baises, mon chéri, tu es le seul homme de ma vie.

— Oui amour c’est ce que je voulais dire. Tu te baises mais c’est moi qui suis dans toi.

— Mon chéri, tu veux voir ma chatte, elle balbutie toute seule, elle mouille de savoir que ce soir tu vas la baiser.

— Oui mon amour, je vais reculer pour que tu puisses me voir en entier et ta main me branler pendant que je te baise.

— Oui mon amour je vais reculer aussi pour que tu puisses admirer ta baise de ma chatte.

On recule de concert, je me positionne près d’Aurélie, Marie se place comme d’habitude.

Notre amour par distance commence…

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