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De feu et de glace – Chapitre 2

De feu et de glace - Chapitre 2



Le thème de Dark Vador, cest celui que jai attribué au numéro de Bernard, mon patron et ancien responsable de recherches. Cest lui qui chapeaute la plupart des expéditions scientifiques auxquelles je prends part. Je laisse le téléphone sonner, puisque je conduis, il me laissera un message. Arrivés à destination, je prends cinq minutes pour écouter ma messagerie :

« Teddy, cest Bernard, ça yest, les norvégiens ont débloqués les fonds ! On est pile dans la bonne saison pour aller faire du carottage, tu sautes dans le premier avion pour le Danemark où léquipe se réunit avant mercredi, et de là on taille la route ! »

Cest toujours comme ça, ma vie de scientifique : quelques travaux paisibles à la maison, et dun coup, un gros coup de bourre quand on part sur le terrain. Pas de soucis, mon sac est prêt en permanence. Jen profite pour souhaiter au revoir à mes amis, en promettant à Fred de lui ramener la tête de renne empaillée dont il dit rêver.

Le lendemain, un taxi ma posé à laéroport aux premières lueurs. Mon Easy Jet pour Copenhague me laisse 1h dattente avant lembarquement. Je flâne dans le hall dembarquement quand une des hôtesses de lembarquement des bagages me rejoint et se plante devant moi avec un grand sourire.

« Salut ! Tu es un ami dAmandine pas vrai ? Moi cest Sylvie !

-Oui en effeton sest déjà rencontrés non ?

-A sa soirée de retour de stage le mois dernier, tu faisais le service de la sangria ! »

Nous échangeons quelques banalités, jen profite pour la détailler un peu : une petite brune, aux lèvres pulpeuses, mais dont luniforme ne rehausse pas les courbes de son corps, pourtant, je devine quelle a un cul bien formé. Elle doit surprendre mon regard sur son derrière parce quelle hausse un sourcil.

« En fait je venais te voir parce quil ya un problème avec ton billet, tu veux bien me suivre sil te plaît ? »

Cest à mon tour de lever un sourcil, mais jempoigne mon sac et je la suis : il ne serait pas de bon ton de prendre du retard en cherchant une explication ici. Nous passons un couloir puis elle ouvre une porte estampillée « service uniquement ». Nous pénétrons dans une espèce de cagibi, avec divers produits dentretiens sur une étagère. Elle referme la porte derrière moi (à clé, devrais-je préciser).

« Euh, cest là que tu vas vérifier mon billet ? »

Elle éclate de rire :

« Mais quest ce que tu es con ! »

Elle retire sa chemise, apparaissant seins nus. Muet de surprise, je la vois se pencher sous sa jupe tailleur et faire tomber un petit string noir. Elle mattrape au collet et plaque sa main sur mon entrejambe.

« Je tavais déjà repéré à la soiréemon copain est loin, et vu que tu pars en voyage, je ne sais pas quand te revoir »

Elle est décidément très aventureuse cette demoiselle, et cela me plaît beaucoup ! Je mattrape une érection instantanée, quelle sent sous ses doigts avec un murmure de satisfaction. Ma main se pose sur sa cuisse et remonte en faisant courir mes doigts sur lintérieur, jusquà arriver à son abricot que je sens déjà mouillé. Je me suis penché et jai aspiré ses tétons dans ma bouche, en faisant rouler ma langue sur ses petites pointes tendues. Elle na pas de très gros seins, mais ils sont très fermes. De son côté, elle a sorti ma queue de lemprise de mon caleçon et elle la branle vigoureusement, en soupesant et pressant mes testicules de lautre main. Elle se libère de mon emprise, sallonge à même le sol en remontant sa jupe jusquau ventre, me dévoilant son intimité qui brille de cyprine sous la lueur du néon. Je récupère une capote quelle avait dans sa poche de chemise, lenfile sur ma verge tendue et mallonge sur elle. Elle écarte bien les cuisses et referme ses mollets sur mes fesses. Lembrassant à pleine bouche, je commence mes va et viens, en sentant sa chatte se contracter autour de mon membre. Elle sagrippe à mes épaules, nos langues se mêlent. Mon rythme est un peu soutenu, mais elle dégage sa bouche, membrasse dans le cou et me murmure : « plus fort ». Je donne de grands coups de reins en plaquant mon visage au sien, mais elle en demande encore. Je me redresse, plaque mes mains sur ses épaules en la maintenant au sol et je me mets à la pilonner de toutes mes forces. Ses seins sont parcourus de vagues à chaque impact, mes boules viennent frapper son entrecuisse dans un claquement caractéristique. Ainsi bloquée, elle gémit, les yeux mi-clos, en essayant datteindre mon torse avec ses mains. Peine perdue pour elle, je ne la tiens que trop bien : elle se contente de griffer mes avants bras.

Mon sexe coulisse hyper facilement dans sa chatte désormais trempée, chacun de mes allers et retours saccompagne dun petit clapotis, signe de son plaisir. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, et je sens sa chatte se contracter, ce qui signifie quelle va bientôt avoir son orgasme : mon rythme saccélère au maximum, elle atteint enfin son plaisir ultime et mord sa main pour ne pas crier. Pour ma part, la sensation de son vagin contracté autour de ma bite a raison de moi : je me répands dans un râle de joie dans la capote. Je me retire, elle est déjà en train de se nettoyer lentrecuisse avec un kleenex. Nous nous rhabillons et quittons la petite pièce. Une fois dans le hall dembarquement, elle me glisse son numéro dans la main et me demande avec un clin dil de lappeler à mon retourelle disparaît vers son comptoir pendant que je me dirige vers la passerelle daccès à lavion.

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