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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 11

De Hervé à Vanessa, chienne soumise - Chapitre 11



Popol joue au périscope, ce qui fait rire Malika. Elle susurre quelque chose à Maria. Elle tourne la tête et me regarde avec envie. Je sens que mon heure est venue.

Elles se mettent à l’eau par les escaliers, à ma gauche. Je les regarde. Leur démarche est chaloupée, sensuelle. Elles ont de l’eau jusqu’aux hanches pour Malika, jusqu’aux seins pour Maria. Elles s’approchent lentement, repoussant irrémédiablement l’issue fatale pour Popol. Malika, en bonne copine, cède le passage à Maria. Elle se place derrière elle en lui palpant les seins.

— Vas-y, fais-toi plaisir. Deux ans de frustration, deux ans d’abstinence. C’est long. Regarde-la bien. Une femme avec un sexe qui palpite que pour toi, c’est pas beau. Regarde-la, elle réclame sa jouissance. Elle perle que pour toi.

— Hum. Fit Maria quand elle lui pinça les tétons.

Je relève mes jambes à fleur d’eau. Maria me les caresse. Elle avance doucement vers l’objet de ses désirs. Mon sexe est à la limite de la rupture, gonflé à bloc. Maria sort sa langue, part de mes couilles jusqu’à mon gland et récupère le miellat qui commence à couler. Elle s’en délecte en soupirant.

— Alors ?

— Hum, que c’est bon…

Elle met mon gland dans sa bouche et joue avec mon frein, mon anneau et mon méat. Elle reprend sa caresse buccale là où elle fut interrompue plus tôt dans la journée. Maria ferme les yeux et se concentre sur sa fellation. En experte, elle bave son mon chibre qui est bientôt gluant. Ses mains nont pas quitté mes cuisses. Celles de Malika s’acharnent sur les tétons dressés de Maria. Elle gémit sur mon sexe.

— Je la veux dans ma chatte, implore la vieille Grecque.

Un petit clin d’il de Malika me fait comprendre de sortir de l’eau. Je m’allonge sur un des transats qui bordent la piscine. Le sexe fier attend la venue du sexe bouillant de Maria. Elle me chevauche et descend lentement, inexorablement vers l’objet de tous ses désirs. Le contact de ses lèvres, la moiteur, la chaleur qui s’en dégage m’irradient. Elle s’est arrêtée comme figée par ce touché tant attendu. Je lève mon bassin et rentre mon pieu jusqu’à la garde. Elle ouvre en grand la bouche, aussitôt envahie par la langue de Malika.

Elle ne bouge pas, c’est moi qui imprime le rythme, lent, tout doucement pour qu’elle accepte la douce caresse de mon membre sur ses parois intimes. Je ne me serais pas imaginé qu’une presque septuagénaire puisse mouiller autant, sa cyprine me dégouline le long de mon sexe, sur mes valseuses, pour finir sur le transat. Une petite tape sur la cuisse de Malika et elle m’enjambe pour me donner son fruit à déguster. Ça y est, la vieille se lâche enfin. Elle me donne tout. Les bruits de pénétrations, de succions résonnent à mes oreilles. Je ne bouge plus. Maria s’empale sur mon dard et Malika joue à se frotter sur tout le visage. Maria exulte. Des mots prononcés en grec, en français, voire en italien, sortent.

— OUIIII, C’EST BON, défonce LA VIEILLE PUTAIN QUE JE SUIS….

— Ouiii, chérie, c’est top bon, bouffe ma chatte…. OUIIIIII

Je me concentre, pense à autre chose pour faire durer le plaisir, mais rien ny fait. Je décharge dans la vieille matrice de Maria qui finit par se coucher sur moi et me téter les seins. Mon flot ne semble pas se tarir. Malika se retire et finit de se branler, assise à même le sol. Maria ondule du bassin sur mon membre qui ne semble pas vouloir débander. Elle m’embrasse goulument en me bouffant la langue. Elle passe une main derrière elle et me cajole les couilles.

— Merci, merci Vanessa…. Piouffff…

Je me relève, me libérant de l’emprise de la vieille. Popol semble en redemander. Je place Malika sur son transat et Maria debout, penchée face à la vulve de ma tendre et douce. Elle comprend vite et se met à l’uvre. Elle lui mange l’abricot. Je fléchis les jambes et plante mon sexe dans celui de Maria. L’excédent de sperme est éjecté par la violence de ma poussée. Elle jouit à nouveau. Des "Han", Des "HUMPH" à chaque pénétration que je fais. C’est avec une violence retenue que je sors ma queue et rentre en Maria. Je lui claque ses grosses fesses. Elle m’inonde, tout comme elle a la gueule engluée par les sécrétions de Malika. La vue de sa rondelle me donne l’idée lubrique d’y introduire un doigt.

— NON… PAS LA… NON…

— Trop tard…

Je la "burine" de plus en plus vite. Mon doigt est rentré à fond. Je le fais tourner. Elle hurle de bonheur. La prochaine fois, je l’encule, promis. Mon jus bouillonne dans mes couilles et sa montée dans ma verge est inéluctable. Dans un râle bestial, je décharge une rasade supplémentaire de mon nectar. Je sors de ce con si accueillant et recul. Erreur. Je tombe dans la piscine.

Quand je refais surface, c’est deux gonzesses pliées de rire que je retrouve. Je les arrose. Elles sautent à l’eau.

— Merci Vanessa…

— Maria, tout le plaisir était pour moi…

— Pour nous… Renchérit Malika.

On s’embrasse, on se touche, on se caresse. Maria est resplendissante. Le sourire de Malika et le regard qu’elle lui lance trahit le bonheur dans lequel elle nage. Posant ses yeux sur moi, elle s’approche et me susurre.

— On n’est pas bien là ?

— Je suis bien, avec toi.

Maria ayant capté notre conversation, elle se sépare et nous laisse nous bécoter. Assise sur les marches de la piscine, elle nous regarde tendrement.

On entend toquer à notre porte. Maria se dévoue pour aller répondre à l’opportun. Elle revient avec Domi. Elle se joint à nous pour des câlins plus ou moins chastes. J’aurais aimé avoir un drone pour immortaliser ce moment. Trois joyeuses femmes et moi, un "shemale", pataugeant dans une eau cristalline.

Le biper de Maria sonne la fin de notre récréation. Émile veut nous voir.

Arrivée devant ses appartements, il est assis, l’air reposé et apprêté. Il nous dit qu’il part à Ibiza faire quelques courses et accueillir Caro et son chirurgien de mari, qu’il sera de retour pour 21 h 00. Il me prend par le bras, comme lors de notre dernière séparation et m’entraine sous le porche d’entrée. Je suis un peu honteux. Une superbe fille attend Monsieur avec la Limousine.

— Je te confis les filles. Faites un truc de léger, pas de chichi. Un apéro dinatoire. Demande à Maria où est la cave et choisi le champagne millésimé, celui qui est au fond à droite, enfin, tu verras. Ce soir est une grande soirée. Ne dis rien à Malika, ce soir vous allez réellement m’appartenir.

— Comment ? Vous appartenir ?

— Je vais vous faire marquer… Oh pas physiquement, mais cela devait te plaire… Et à Malika aussi. Bon j’y vais.

— Émile, qui est cette charmante fille ?

— Mon chauffeur, petite, mon chauffeur… Me répond-il en descendant les marches du perron.

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