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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 3

De Hervé à Vanessa, chienne soumise - Chapitre 3



— Merci Hervé… Oups pardon, Vanessa. Je suis contente de ta décision. Je ne serai plus seule. Tu vas voir, on va être bien tous les deux.

Rien dans ses mots ne me choque. C’est comme si j’avais accepté ma condition de chienne soumise et puis ce p’tit cul qui se dandine devant mes yeux est un pur régal. J’essaie de la brancher.

— Parle pour toi, tu es une fille…

— Et toi un futur "shemale". Un magnifique spécimen mi-homme, mi-femme, hihihihi.

Je crois que je fais une énorme connerie.

— Mais non. Je vais te faire, enfin Émile et moi allons te faire découvrir des plaisirs insoupçonnés. Tu vas aimer, tu vas voir. Viens avec moi dans ma chambre.

Elle me place face aux miroirs.

— Tu vois, tu es parfaite et demain tu seras irrésistible…

Il est vrai que ce que me renvoie la glace me plaît, un visage, des fesses, des jambes, un ventre bien plat plus féminin que certaines gonzesses que je connais, à part celle vue dans des films X. Elle me tourne autour en agaçant mes tétons, mes fesses et mon sexe. Celui-ci réagit, elle en rigole. Elle me lève les bras et me lèche les aisselles. Sa petite langue rose s’affaire ensuite sur mon cou.

— Laisse-toi aller, j’ai envie de toi et tu as envie de moi…

Je la prends par la taille et la retourne face aux miroirs de sa garde-robe. Une flexion des jambes et mon gland est à l’entrée de son vagin. Je remonte et c’est sans forcer que mon sexe trouve le chemin de son antre brulant. Elle a gardé les yeux ouverts et dans le reflet je peux voir toute l’envie, le désir et la perversion de ma petite africaine. Je la lime, la pourfends, la baise ainsi pendant de longues minutes. Elle ahane sa jouissance. Les deux mains posées sur la porte, elle essaie de fuir cette position.

— Non, lui dis-je. On est bien là.

— Pourquoi es-tu aussi bestiale ?

— Je prends mon pied, pas toi ?

— Hummm, si…. Mais j’ai envie de douceur, de tendresse…

— Pas moi, j’ai envie de prendre comme une chienne, c’est un petit acompte sur ce que vous allez me faire subir…

— Alors !!!! Oh oui, prends-moi… OUIIIII. Enfonce ta queue…. Oui. Oui. Oui…. Encule-moi, s’te plait…

Je la jette sur son lit face au miroir. Qu’elle est belle. Sa chatte rose luisante, dégoulinante et odorante et un appel au sexe. Elle veut que je la sodomise, soit, ce que femme veut… Je présente la tête de Popol sur son petit illet. Pas la peine de forcer, mon gland lubrifié est aspiré, preuve d’un passage souvent usité. Elle miaule. J’y vais de bon cur en lui envoyant des claques, non retenues, sur ses fesses. Elle hurle maintenant. Elle s’affale sur ses avant-bras. Je peux la voir dans le miroir. Putain qu’elle est belle. Je lui donne tout. "Alors Popol, heureux ?". Je ressors ma queue et la reprends d’un coup. Elle pleure de bonheur. Son sphincter reste ouvert. Dieux que c’est beau. J’y retourne plus fort et c’est à la hussarde que je la transperce. Mon jus bout dans mes couilles et remonte dans ma verge. Je n’arrive pas à me retenir, ma jouissance est extrême.

— Ahhh, OUIIIII…. Je viens, je viens….

Je lâche un nombre incalculable de jets de sperme. Elle me sourit en me regardant. Elle s’effondre en m’entraînant. Elle se déboîte et vient me nettoyer mon service trois-pièces.

— Tu n’étais pas obligée…

— J’aime ça c’est la règle ici.

On s’allonge face à face enlacé. Les bisous pleuvent, les mains s’égarent en caresses. La douceur de son grain de peau est inimaginable. C’est de la soie. D’un coup elle se relève et se met à califourchon sur ma tête et écarte ses fesses.

— Allez, à toi de me nettoyer.

— Euh…

— Allez, nettoie-moi. Dit-elle en rapprochant son illet de ma bouche.

Déjà du sperme coule sur mes lèvres. À quoi bon résister. Je plante ma langue dans don anus et récupère mon jus. Elle pousse pour en extraire un maximum. La cyprine qu’elle sécrète me coule sur le menton. L’odeur est forte et remplit la chambre. C’est avec délectation que je m’abreuve de cette soupe, mi-sperme, mi-cyprine.

— Aller, assez rigolé. A la douche et après dodo. Demain, on à une longue journée. Au fait, interdiction de manger. Bises, Vanessa, à demain.

Je n’ai pas le droit d’entrer dans sa salle de bain et me chasse dans ma chambre.

Tout comme elle, je passe sous la douche. Il y a deux tuyaux. Un avec un pommeau classique, un autre avec un pommeau pour lavement anal. Je souris. La douche est bienfaisante, rafraichissante, revigorante. Après m’être séché, je passe par mon frigo. Rien à manger, que des bières et une bouteille d’eau.

— Elle m’a dit de ne rien manger, elle ne m’a pas dit de ne rien boire.

Je m’installe dans le patio.

— Merde !!! Mes clopes !!!

Je tape à la porte de Malika. Elle m’ouvre avec un sourire et me tend mon briquet et mon paquet de cigarettes.

— De la part de Domi, ma dit-elle en refermant la porte.

Quelle bande de salopes, me dis-je.

Je divague dans cet immense patio en fumant une clope et en sirotant ma bière. Tout me plaît ici. Je fais le tour et tombe sur la piscine mais quelle piscine. Elle est magnifique. Elle ressemble plus à une plage polynésienne qu’à un bassin classique. Tout y est. Le sable, les cocotiers et deux grands hamacs. Je vais dans l’eau et y plonge. Putain de merde, elle est salée…. OUF, elle est chaude… J’en fais le tour. Pas de faïence, que du sable sur une profondeur de deux mètres maxi. Je m’amuse à faire le dauphin. Elle est ornée de palmiers sur tout son pourtour. C’est le paradis, le pied.

Je repasse par la douche et finis par rejoindre mon lit. L’odeur de sexe y est encore tenace. Je m’endors en pensant à Malika.

Le réveil est difficile. Je suis dans une pièce que je ne connais pas. Tout y est blanc et un éclairage violent m’aveugle.

— Alors, on émerge, me dit une voix que je ne connais pas.

— Où… Où suis-je, répondis-je.

— Ne vous inquiétez pas, tout sest bien passé. Calmez-vous Vanessa !

Je lève la tête et je vois un homme, la cinquantaine, se laver les mains dans l’évier et une infirmière qui me regarde avec envie.

— Vous voulez vous voir ? Me demande-t-il.

Un hochement de tête et l’infirmière, toute souriante, vient m’aider à me relever. J’ai la tête qui tourne, je titube. Une fois mes yeux habitués à la clarté de la pièce je vois une superbe femme sexy dans ce que me renvoie le miroir de la salle. Une superbe nana avec une jolie poitrine et une queue entre les jambes. Je m’effondre.

Je sors des vapes une seconde fois, mais c’est Dominique qui est là et je suis dans mon lit.

— Alors, chochotte, on se réveille. Il y en a une qui a mieux supporté l’opération, me dit-elle en s’écartant.

Malika est à ma porte, tout sourire. Elle s’avance avec sa démarche féline.

— Chut, mon cur, ne dis rien…

Elle s’allonge à côté de moi et pose sa main sur mon ventre. Je me rendors réconforté. Je suis bien, heureux, je crois qu’à cet instant : je bande.

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