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De humaine à hucow – Chapitre 2

De humaine à hucow - Chapitre 2



Je n’avais plus de larmes à verser et la salive qui coulait d’abord abondamment de mon bâillon avait fini, elle aussi, par se tarir. Les minutes puis les heures s’égrainaient horriblement lentement. Du moins c’est ce qui me sembla car Vincent, l’homme qui me gardait captive, ne m’avait laissé aucun moyen de me repérer dans le temps. Aucune horloge sur les murs ni aucune fenêtre, j’étais entièrement entourée de ténèbres. La fraîcheur ambiante était ma seule compagne et s’amusait inlassablement à me pincer, me mordre et me rappeler sans faillir que j’étais entièrement nue et sans défense.

La structure de tuyaux d’aciers dont j’étais maintenant prisonnière ainsi que les menottes qui m’y liaient les chevilles et les poignets, tout comme mon collier de cuir, me remémoraient mon idée horrible de céder à mon fantasme de devenir une "véritable productrice laitière". Être à quatre pattes était de plus en plus difficile à supporter malgré le coussin rembourré que j’avais sous mes genoux. Mes bras et mes jambes endoloris n’étant pas habitués à tenir une telle position et commençaient à trembler de plus en plus.

Mon bâillon toujours aussi désagréable que lorsqu’il me l’avait glissé de force dans la bouche n’avait pas bougé malgré mes nombreux efforts de le retirer.

Mais la pire torture, le rappel ultime et cruel de mon impuissance, était impossible à oublier. Le crochet en métal qui avait été inséré dans mon anus puis fixé à la structure qui me gardait prisonnière était toujours en place, impassible. Il me torturait deux fois, la première en m’arrachant une douleur certaine d’une des parties les plus sensibles de mon corps à chaque fois que je tentais vainement de changer, même légèrement, ma position, et la seconde en m’empêchant de me reposer.

La lumière apparut dans l’embrasure de la porte lorsque quelqu’un que je ne connaissais pas entra. La silhouette s’approcha et prit la forme d’un homme grand et fort. Ses muscles saillants parfaitement visibles sous sa chemise de travail et son entrejambe proéminent qui auraient normalement fait saliver d’envie n’importe quelle femme, et d’autant plus moi-même depuis que je prenais des médicaments qui avaient pour but de faire gonfler ma poitrine et de déclencher ma lactation à l’effet secondaire aphrodisiaque, ne présageaient pas une amélioration de ma situation.

— Bonjour, je me nomme Alexandre et je vais prendre le relais à partir de maintenant.

J’aurais voulu répondre, le supplier de me libérer et me laisser partir (même si je savais très bien que c’était inutile), mais mon bâillon me permit uniquement quelques cris étouffés au prix de grands efforts.

— Tout doux ma belle, je vais bientôt te libérer dit-il en s’agenouillant à côté de moi.

Puis une sensation de brûlure intense me fit comprendre qu’il m’avait injecté un produit dans la fesse.

— Ne t’inquiète pas, les injections ne sont faites qu’au début, ça va te donner un petit boost.

Alexandre avança ensuite lentement, glissant sa main sous mon ventre jusqu’à ma forte poitrine. Dès que ses doigts froids touchèrent la peau fine de mes seins un frisson me traversa. Personne ne m’avait traitée depuis la veille et, bien que je ne l’avais pas remarqué tant que personne ne m’avait touchée, ma poitrine était maintenant pleine de lait. Ma peau maintenant tendue au maximum donnait à mes deux globes laiteux une sensibilité extrême et il le comprit aisément dès lors qu’il y toucha.

Il maintint mon sein gauche d’une poigne solide et l’aiguille fit une nouvelle fois son uvre en pénétrant cette fois-ci lentement la chair délicate de ma poitrine. Une brûlure intense s’intensifia rapidement dès lors. Centimètre par centimètre, que dis-je ? Millimètre par millimètre, l’incursion lente du corps étranger avait tout du fer chauffé à blanc que l’on appliquait à l’intérieur même de la partie la plus sensible de mon corps. L’aiguille, aussi petite soit-elle en réalité, prenait, dans mon esprit, une dimension impossible tant sa longue pénétration me donnait la possibilité de prendre conscience de sa douloureuse présence. Elle ne pénétrait plus seulement ma chair, elle l’étirait avant de la déchirer.

Je ne tentai cependant pas de m’échapper de cette souffrance et ne bougeai pas d’un poil, j’étais entièrement entravée et la nuit avait à la fois sapé mes forces et fait comprendre que me défendre n’engendrerait rien de bien en ces lieux. Je comprenais également que tout mouvement de ma part n’engendrerait que plus de douleur.

Elle finit cependant par s’immobiliser juste avant que mon tortionnaire ne m’injecte son infâme produit. La sensation de brûlure s’intensifia encore plus, cette fois accompagnée d’un horrible étirement de mes tissus mammaires qui auraient pu, si seulement la position malsaine de mon corps me l’avait permise, me faire perdre connaissance.

Il retira ensuite d’un seul coup la seringue ce qui me libéra légèrement de l’impression de feu alors que je ressentais de plus en plus mes tissus s’étirer. Puis il me fit subir le même supplice au sein droit, mon appréhension du second traitement ne diminuant en rien ma souffrance. Cette douleur fut même, bien que je ne sache pas comme cela fut possible, plus intense que lors de la première injection.

Après avoir terminé Alexandre me libéra rapidement, détachant mes mains et mes pieds, détachant mon collier de la structure. Il garda le crochet anal pour la fin, empoigna l’objet et me souleva avec celui-ci d’une seule main comme si je n’avais aucun poids et sembla ravit lorsqu’il vit que je n’offrais aucune résistance à ce traitement. Puis, toujours en me tenant par mon crochet, il m’abaissa lentement au sol métallique et gelé où je m’étendis sans résister, les bras et jambes incapables de soutenir mon corps plus longtemps.

— Je suis fier de toi, tout à l’heure nous commencerons les choses sérieuses dit-il avant de sortir.

J’aurais voulu m’échapper par cette porte qu’il venait d’emprunter, fuir cet endroit et ne plus jamais revenir. Retirer ce bâillon et reprendre une vie normale, aussi ennuyante soit-elle. Mais je restai là, étendue sur le flanc, immobile, nue, incapable de penser quoi que ce soit suite à ce traitement alors que mes membres engourdis me refusaient tout mouvement et que mes seins devenaient de plus en plus sensibles sous l’effet de ce produit que je redoutais de plus en plus.

Et au final je fis la seule chose en mon pouvoir, je m’endormis.

Je ne m’éveillai quelques heures plus tard, une désagréable sensation provenant de ma poitrine m’en extirpant. J’avais déjà expérimenté cette sensation désagréable par le passé, la pression de mes seins trop gorgés de lait qui devaient se faire vider. J’ouvris donc les yeux et entrepris de m’asseoir en tailleur afin de commencer moi-même une traite improvisée afin de me soulager.

Je fus cependant surprise de ne pas réussir la manuvre simple, trouvant particulièrement difficile de trouver mon équilibre. Rapidement mes yeux se posèrent sur la cause de mon débalancement, ma poitrine déjà imposante qui avait au minimum doublé de volume. À nouveau je m’étendis donc sur le côté et entrepris la seule chose qui pouvait me libérer momentanément de mon inconfort.

Ma surprise fut totale lorsque je me rendis cependant compte qu’aucun lait n’en sortait. Je n’y comprenais rien, cette tâche n’avait jamais été difficile pour moi et je savais très bien que j’en avais besoin. Aucune autre solution malheureusement. J’avais besoin d’aide avant que l’inconfort ne se change en douleur incontrôlable et la seule disponible était de l’autre côté de cette porte.

Je me redressai donc, me mis à quatre pattes et m’avançai difficilement jusqu’au pied de l’imposante porte avant d’y cogner de toutes mes forces. Les secondes d’attente qui suivirent me parurent interminables, j’avais besoin d’aide, mais craignais autant de revoir Alexandre que j’espérais le revoir.

— Oui ? me demanda Alexandre au travers de la porte.

— J’ai besoin d’aide, répondis-je. J’ai… j’ai… besoin d’être traite.

La porte s’ouvrit aussitôt et l’homme imposant entra dans la pièce me toisant du regard, un sourire malsain envahissant son visage et une laisse à la main.

— Bien, alors tu es prête à être une gentille fille ?

— Quoi ?

— Tu aurais mieux fait de lire ton contrat avant de le signer, tu es notre propriété maintenant. Alors, il faut que tu nous appelles Monsieur ou maître et que tu sois prête à faire ce qu’on te dit.

Il n’y avait pas d’issue, je le savais et m’admis vaincue en acquiescent d’un hochement de tête. Il ne perdit pas de temps et attacha la laisse à mon collier avant de tirer dessus et de me guider dans le couloir. Étant toujours à quatre pattes, le suivre était difficile, mes seins démesurés ballottaient bien malgré moi au rythme de mes pas et se faisaient de plus en plus douloureux, et dès qu’un écart se creusait entre nous deux il me "ramenait à l’ordre" en tirant d’un coup sec sur la laisse.

Il fit attention pour que je n’aperçoive pas le code qu’il entra sur le pavé tactile qui verrouillait la porte au bout du corridor et me fit entrer dans cette nouvelle pièce avant de refermer la lourde porte derrière moi.

Le décor qui s’offrit alors à moi me surprit grandement, alors que je croyais être conduite dans une salle de traite semblable à la première le décor qui s’offrait à moi en était tout autre. Alors que l’endroit précédent était étroit et lugubre, des néons projetaient leur lumière artificielle éblouissante dans une salle haute de plafond. Les murs étaient distancés de plusieurs dizaines de mètres et permettaient d’avoir une vue d’ensemble sur la totalité de l’installation en un seul coup d’il. La porte que nous venions de franchir donnait directement sur une passerelle élevée d’un mètre au-dessus des installations qui se séparaient de façon égale de chaque côté de celle-ci.

Les installations constituées de grands compartiments délimités de barreaux de fer brillant contenaient tous entre dix et vingt femmes, toutes à quatre pattes, nues, munies d’un collier et d’un anneau nasal. Toutes avec une poitrine développée artificiellement grâce aux hormones qu’ils leur avaient données. Toutes comme moi à l’exception d’une chose, ces femmes-animaux étaient munies de sabots.

Le seul qui sortait du décor était un promontoire munit de stalles à grandeur humaine et de tubulures que je devinai immédiatement être la salle de traite. Alexandre me dirigea à l’entrée de la première stalle sur ce promontoire et me guida à l’intérieur face à la passerelle. Il y avait là des ouvertures entre les barreaux suffisamment grandes pour que j’y glisse ma tête qui donnait sur une mangeoire emplie d’une espèce de bouillie. Il m’y fit glisser la tête et attacha ma laisse de l’autre côté. Rapidement d’autres femmes m’imitèrent lorsqu’il ouvrit la clôture d’un compartiment.

Contrairement à ce que j’espérais il ne commença cependant pas en me trayant, il prit plutôt mes mains et y installa une espèce de sabot, chacune de mes mains enserrant une poignée solidement fixée à l’intérieur avant de refermer le dispositif d’une attache autobloquante. Il fit la même chose avec mes genoux qui furent alors impossibles de déplier, prisonniers de sabots artificiels emplis d’une sorte de gelée qui rendit, je dois bien l’avouer, la position agenouillée bien plus confortable.

Je ne pouvais plus attendre, la pression à l’intérieur de ma poitrine déjà tendue avant ma marche forcée était devenue presque intenable. La peau de ma poitrine normalement d’une teinte rosée invitante s’était tendue de telle sorte que le plus petit de mes mouvements m’élançait et l’encrage de ma poitrine souffrait de plus en plus du poids que mon buste devait soutenir.

— Pitié, Maître, il faut me traire, suppliai-je.

Pour toute réponse ses doigts glissèrent sur la pointe érigée de mes tétons et commencèrent à les pincer fermement. Un frisson me parcourut tout entière, j’étais à nouveau totalement soumise à cet homme. Le pincement se répéta et m’arracha à chaque fois une grimace de douleur et finit par en faire sortir quelques gouttes de lait.

Dès que le liquide commença à couler, ses doigts quittèrent le contact de ma peau et il se glissa sous moi. Sa tête était maintenant à quelques centimètres à peine sous mes seins, je sentais son souffle chaud sur ma peau sensible. Ce souffle me caressa avec autant de bienfaits qu’auraient pu le faire les mains d’un amant expérimenté, la chaleur toucha d’abord l’extérieur de mon sein puis glissa lentement sur ma peau jusqu’à mon aréole où il s’attarda.

Mon esprit devenait flou, la chaleur du souffle me donnait des frissons. La fièvre m’envahissait lentement, remontait mon torse avant de me monter à la tête pour embrumer mon jugement avant de redescendre ma colonne pour atteindre mes reins qui se cambrèrent naturellement avant de continuer en amenant mes cuisses à s’écarter d’elles-mêmes pour finalement remonter dans mon entrejambe qui jumelait à cette chaleur bienfaitrice une humidité invitante. Mon souffle se fit plus long, mes yeux se fermèrent alors que ses lèvres touchèrent la chair autour de mon téton en y faisant disparaître mon auréole foncée. Sa langue me massa alors, l’humidité mélangée à la chaleur de sa bouche déclenchant un bienfait contrastant étrangement avec la douleur toujours présente de ma poitrine. Il léchait, tirait, mordillait, alternant nonchalamment mon plaisir avec ma souffrance alors que je gardais ma position, me contentant de lâcher quelques râles au travers de mon souffle de plus en plus bruyant alors que la cyprine coulait le long de mes cuisses.

Le temps semblait s’être arrêté et alors que la douleur se mélangeait à l’excitation je pensai fondre lorsque mon lait se mit à couler. Le flot me semblait sans fin alors que sa bouche ne quittait pas ma poitrine et que ses mains commencèrent à malaxer mes deux globes laiteux. Ses mains rudes contrastaient avec ma peau parfaite et sensible et chaque mouvement de doigts était comme autant de papiers sablés qui caressaient l’une des parties les plus sensibles de mon corps. Mais mon corps avait déjà joint douleur et bonheur, ainsi donc toute la force de sa poigne, toute la rudesse dont il pouvait faire preuve à ce moment se transformait inexorablement en excitation.

Toute la brusquerie dont cette peau calleuse pouvait faire preuve se transférait en autant de chaleur et de désir alors que mes mamelons étaient pétris pas sa langue, déversant à tour de rôle un flot libérateur. La pression diminua lentement dans ma poitrine, la libération se changeait en désir qui ne saurait être assouvi par la seule stimulation de mes seins alors que mes hanches commençaient un va-et-vient instinctif.

Voyant mes mouvements involontaires il délaissa finalement ma poitrine au profit d’une trayeuse automatique. Le tube noir muni d’un embout transparent n’était certes pas doté de la délicieuse langue de cet homme, mais la facilité avec laquelle la machine extrayait le liquide de ma poitrine put me maintenir facilement aux bords de l’extase tout en me promettant un traitement "particulier" de mon partenaire qui pouvait maintenant se concentrer sur le reste de mon corps.

Il glissa ses doigts à la base de mon coup, ses énormes mains puissantes glissant d’abord sur mes épaules qu’elles ne tardèrent pas à quitter, évoluant lentement sur mon dos en direction de mes reins tout en soulignant avec soin chacune de mes courbes. C’était là une merveilleuse façon de souligner qu’il appréciait mon corps sans qu’il n’ait à prononcer la moindre parole. Sa peau rugueuse m’arrachait des frissons de désirs alors que ma concentration allait et venait de son toucher expert à la savoureuse sensation de tiraillement de ma poitrine.

Lorsque ses mains arrivèrent sur mes hanches, ses effleurements cessèrent et il les agrippa fermement, les forçant à cesser mes mouvements instinctifs. La délicatesse se termina là alors qu’il fit pénétrer et sans plus attendre un doigt avec facilité à l’intérieur de ma fente offerte et humide. Il avait la peau froide ce qui contrasta délicieusement avec la chaleur produite par mon entrejambe, exacerbant ma perception de ce qui me pénétrait. Il bougea d’abord lentement, j’avais habitude que mes partenaires cherchent à me donner du plaisir en commença rapidement des allers-retours vifs (ce qui fonctionnait à chaque fois), mais lui me fouillait, semblant toucher chaque recoin de mon intimité, attentif à mes réactions alors qu’il gardait son emprise sur moi avec son autre main.

Mais il savait parfaitement ce qu’il cherchait, non loin de l’entrée de mon mont de plaisir il finit par frôler un endroit qui n’avait jamais été touché. Un endroit d’une sensibilité telle que le reste de mon corps s’effaça l’espace d’un instant et qu’un frisson me traversa jusqu’à la racine des cheveux, m’amenant à rouler le dos sans même m’en rendre compte. Sa recherche avait porté fruit, il avait trouvé exactement ce qu’il cherchait et commença à faire des petits cercles concentriques autour de la zone érogène avec son doigt. Chaque fois qu’il s’en approchait je me raidissais avant même qu’il ne la touche, mon corps espérant, pressentant le plaisir qu’il aurait. Et à chaque fois il n’était pas déçu.

Tout le désir, tout le plaisir que je pouvais avoir connu jusqu’alors n’avaient plus aucune importance, seul cet homme importait pour moi à ce moment précis, il était le seul doté du pouvoir de me donner ce que je voulais vraiment. Peu m’importait de devenir sa chose si seulement il pouvait continuer ses caresses et me délivrer l’extase que cette montée incessante d’excitation me promettait.

Mes prières muettes furent entendues sous forme de râles et de souffles rauques pendant qu’Alexandre commençait à me caresser plus directement, plus intensivement. Les mouvements circulaires alternant désormais avec des va-et-vient soigneusement calculés, ne me laissant aucun répit alors que de son autre main il s’efforçait de retenir mes hanches dont les mouvements empreints d’une animosité qui leur était propre cherchaient à atteindre une libération dont elles avaient besoin.

Mon attente ne fut plus longue car un tel plaisir ne peut être contenu éternellement et ma patience bien involontaire fut récompensée alors que mon corps se libéra de toute cette attente. Un orgasme me traversa, mais pas n’importe lequel. Je n’avais jamais connu cela, tout mon corps se contorsionna, mon dos se cambra à tel point que je crus que ma colonne ne tiendrait pas. Mes jambes et mes bras tremblèrent comme des feuilles mortes en automne alors qu’elles peinaient à me garder en équilibre. Mes orteils et mes doigts s’écarquillèrent, se crispèrent en imitant chaque partie de mon corps en une si délicieuse douleur que j’aurais voulu que ce moment ne se termine jamais, tous mes muscles se tendant, se tordant, puis tremblant à tour de rôle et, me semblait-il, en même temps. Mes sensations étaient contradictoires, mes seins en feu se raffermissaient et mes mamelons pointaient plus que jamais.

Et quand mon cou se raidit en amenant mon regard à se poser sur le plafond de la pièce et que mes yeux se révulsèrent un grognement sortit de ma gorge alors qu’un jet de liquide était expulsé de mon entrejambe. Le jet ne semblait pas vouloir finir et mes convulsions s’aggravèrent dans une danse dégradante que mon maître était le seul à maîtriser.

Il venait de faire de moi une femme fontaine.

Je finis par m’écrouler au sol, mes muscles ne m’obéissant plus alors qu’il me débranchait de la machine de traite et qu’il me détachait ma laisse.

Je n’irais nulle part désormais, je n’en avais en ce moment précis plus la capacité physique.

Et avoir une chance de revivre une telle expérience valait entièrement la peine de sacrifier ma liberté.

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Notez que cette histoire n’a pas pour but de promouvoir le viol ou l’esclavagisme qui ne sont tolérables sous aucun prétexte.

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