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De l'ennui à l'orgasme – Chapitre 1

De l'ennui à l'orgasme - Chapitre 1



En cette nuit du réveillon de Noël, je me retrouve à suivre ma mère chez une amie qui prépare les festivités de ce jour que je maudis. Depuis le divorce de mes parents et les galères qui ont suivi, ce jour est plus un supplice qu’une bonne chose. Je souris tout de même afin de faire un effort pour mes deux autres surs qui sont beaucoup plus jeunes que moi.

Moi, c’est Cassandra, je viens de faire mes dix-huit ans en cette année deux mille dix-huit, au mois de juillet pour être plus précise. Je commence à avoir des formes qui attirent sans cesse les regards de mes camarades masculins de fac, mais les plus vieux aussi.

Il est vingt heures, lorsque nous partons chez Catherine. Elle n’habite pas très loin, un peu moins de dix kilomètres. Nous montons les marches de l’escalier. Nous nous saluons, puis la propriétaire des lieux nous présente les convives. Il y a son ancien compagnon avec qui elle a eu un enfant, son frère et sa belle-sur, puis un autre homme qui doit avoir une trentaine d’années.

L’ambiance est un peu monotone, ce dernier propose à Catherine de mettre un fond sonore afin de détendre l’ambiance. L’apéritif se déroule correctement, entre les petits fours, le champagne et autres, les discussions vont bon train. Les hommes se disputent même sur le sujet qui domine l’actualité, les gilets jaunes.

L’électricité s’empare alors de la salle à manger. De mon côté, je joue un peu avec mes surs, mais je m’ennuie comme jamais. Je surfe sur internet via mon smartphone. Le trentenaire explique à ses amis qu’il a un travail de dernière minute à faire et qu’il reviendra pour le repas.

Il s’appelle Antoine, pendant les discussions houleuses, il essayait de temporiser, mais rien n’y faisait. Ce sang-froid me plaît beaucoup. Au bout d’une heure, il est de retour. Pendant ce laps de temps, Catherine a débarrassé la table basse, puis nous a installés sur la table de la salle à manger. Et moi, pendant ce temps-là, je reste de côté, ayant l’impression d’être de trop dans cette soirée.

Au bout d’une heure, le trentenaire est de retour. Catherine en profite pour lui donner un verre de vin blanc. J’en profite pour trinquer avec lui malgré le refus de ma mère sur la consommation d’alcool. C’est par une boutade qu’Antoine réplique, en lui disant qu’à dix-huit ans, normalement, on est majeur et vacciné. Cette phrase électrise un peu l’ambiance, et moi je me retrouve avec un sourire en coin de bouche, car pour une fois quelqu’un prend ma défense.

La suite du dîner se déroule correctement, malgré la discussion lassante du début de soirée. Je me retrouve par chance, en face d’Antoine. Nous bavardons, je lui explique mon parcours scolaire, il me parle de son travail, puis, il se lève pour monter légèrement le son de la télévision sur laquelle des musiques sont diffusées. Visiblement, dans sa tête, il veut faire un peu la fête.

Catherine danse avec son ex, ma mère avec mes surs, du coup, je me retrouve dans les bras de ce garçon. Je suis assez heureuse, car il est plutôt doué en la matière. J’ai comme l’impression de suivre un cours.

La propriétaire des lieux apporte les bûches glacées. Avec un dîner aussi important, je me sens lourde. J’ai bien envie de faire une petite marche. Antoine souhaite m’accompagner. J’en suis toute contente, pour une fois que quelqu’un m’apporte de l’attention, je ne vais pas m’en plaindre.

Nous marchons sur un chemin de terre, par chance, il n’y a pas eu de pluie donc pas de boue. Nous sommes à présent au bord de la rivière. Je demande au trentenaire s’il a une cigarette. Je ne fume jamais devant ma mère sinon elle crierait au scandale. Il m’en donne une, nous nous asseyons sur un banc en bois. Nous sommes bercés par le bruit de l’eau.

Nous bavardons, puis une légère brise me provoque des frissons. Antoine me prend par les épaules. Je suis contre lui, dans la nuit noire, il ne peut voir le sourire qui s’affiche sur mon visage. Je saisis sa main, dans un premier temps, il effectue un geste de recul. Me rappelant, notre différence d’âge. Je lui réponds audacieusement que tout à l’heure, lors du repas, il n’a pas hésité à prendre ma défense face à ma mère.

Je ne sais pas si je viens de marquer un point, toujours est-il que je ne lui lâche plus la main. Je me sens rassurée en sa présence. Il dégage quelque chose, comme on dit. Au bout d’un certain temps, nous retournons au domicile de Catherine. Les convives dansent, puis le beau-frère de cette dernière vient questionner Antoine sur notre absence. Ce dernier lui répond qu’après un lourd repas, les gens ont besoin de marcher pour digérer. Ce qui vient donc de se passer. La soirée continue, je danse avec le trentenaire, je bois quelques verres d’alcool et de soda.

Il est pratiquement une heure du matin, lorsque la plupart des invités partent au lit. Certains sont simplement fatigués, mais d’autres assez alcoolisés. Catherine dort avec son ex, de mon côté, je me retrouve avec mes surs et ma mère dans une chambre d’amis. Antoine a droit au canapé du salon.

Je n’arrive pas à dormir, il fait une chaleur d’enfer dans la pièce. Je me lève pour aller boire un verre d’eau. Je transpire presque. Je touche les murs pour ne pas tomber puis une lumière bleue attire mon attention. Antoine ne dort pas, il est sur son téléphone. Lorsque je passe à proximité de lui, il éclaire en ma direction. Me fait un coucou discret avec sa main.

Dans la cuisine, j’ouvre le réfrigérateur, prends une bouteille d’eau et me désaltère. J’ai envie de fumer, le trentenaire est ma seule solution en cette nuit. Il accepte de m’en offrir une. Je m’assois à côté de lui pour le coup. Elle me fait du bien cette blonde, elle me détend. Comme tout à l’heure, je veux me blottir contre son épaule. Il accepte. Je lui caresse le bras, je sens rapidement qu’il en a des frissons. Il tourne la tête en ma direction, et répète comme tout à l’heure qu’il y a une différence d’âge et que ce n’est pas correct. Il n’a pas le temps de finir sa phrase que je l’embrasse. Il se recule dans un premier temps, je le saisis par le cou, puis recommence.

Cette fois-ci, il est beaucoup plus réceptif. Nos langues jouent ensemble, sa main droite s’aventure sur mes jambes dénudées. A noter que je porte une robe noire qui m’arrive au-dessus du genou. Ses caresses provoquent en moi des frissons d’un délice extrême. Ses doigts remontent jusqu’à mes épaules, il joue avec les bretelles de mon vêtement. Petit à petit, il fait glisser ses dernières. Je relève les bras pour l’aider.

Petit à petit, il fait glisser ses dernières. Je relève les bras pour l’aider.

Il fait de même avec mon soutien-gorge. Il découvre alors un joli quatre-vingt-cinq B. Il embrasse ma jeune poitrine avec délice. Il titille mes tétons, et je commence déjà à soupirer. Je n’ai pas l’habitude de recevoir ce genre d’attention, les garçons de ma génération ne prennent pas assez le temps. Enfin, c’est mon avis.

Il continue de jouer avec mes seins puis je prends un peu plus d’initiative. Je lui enlève son tee-shirt, son pantalon, puis son caleçon. J’y découvre un membre d’une taille correcte, mais un peu large. Je le prends en bouche. Je monte et descends sur ce pieu. Il a plutôt bon goût d’ailleurs malgré le fait qu’il soit un peu poilu. Je glisse ma langue entre son prépuce et son gland. Cela lui provoque des mouvements saccadés au niveau du bassin.

Il me saisit par les épaules, m’allonge sur le dos, puis passe ses mains sous ma robe. Il fait glisser mon string noir. Il écarte mes compas, et plonge sa tête en direction de mon puits d’amour. Il m’offre un cunnilingus, c’est la première fois que j’en ai un. Il lèche ma chatte de haut en bas, titille mon clitoris, ce qui ne manque pas de me créer des sursauts à chaque fois qu’il y touche. Il continue en faisant pénétrer sa langue dans mon vagin.

Je prends tellement de plaisir que je suis obligée de prendre un coussin pour étouffer mes cris de plaisir. Au bout de quelques instants, je grogne, je viens de jouir dans sa bouche. Je me morfonds en excuse, mais il me rassure en me disant que c’est normal. Il se redresse, puis frotte son sexe contre le mien.

Il harcèle mon clitoris, ça me donne de nouveau des frissons. Il s’arrête quelques instants, me demande si j’ai un préservatif, mais ce n’est pas le cas, et lui non plus. L’envie est bien trop forte, je lui dis que je prends la pilule et qu’il n’y a aucun risque.

Excitée comme jamais, j’ai qu’une seule envie, qu’il me pénètre, je l’incite à poursuivre notre ébat amoureux. Sans doute pris par le désir, il écarte mes compas, se frotte de nouveau à moi, puis me donne son premier coup de reins. Nous restons brièvement immobiles, je l’ai en moi. Il imprime un rythme d’une douceur incroyable.

Rapidement, il accélère et me prend avec un peu plus de vigueur. Il me positionne à quatre pattes sur le canapé, je lui indique que je ne veux pas être sodomisée, mais je me trompe totalement. Il me prend en levrette, ce sont ses mots. Dans cette position, je le sens beaucoup mieux. Le plaisir est immense, il me claque quelques fois le cul. J’étouffe toujours mes cris avec un coussin pour ne pas éveiller les soupçons puis nous changeons de nouveau.

Faire l’amour avec Antoine est très sportif, je suis en chandelier au-dessus de lui. Une fois de plus, je le sens très bien en moi. Je monte et descends sur son pieu comme une déchaînée. Je grogne de plaisir, puis jouis une deuxième fois. Je suis complètement essoufflée. Je m’écroule à côté de lui. Je me positionne sur le côté, la cuillère, me dit-il.

Cette dernière est délicieuse, il me prend les seins à pleines mains et me pénètre dans le même temps. J’adore !

Son pieu commence à grossir, je lui demande de jouir en moi, ses gestes sont saccadés. En un éclair, je sens son sexe exploser dans mes entrailles. J’étouffe de nouveau un cri lors de ce moment de plaisir partagé.

Je me retourne afin de le câliner, et l’embrasser. Je me rhabille puis par me faire un brin de toilette avant d’aller au lit. Je ne vous cache pas que j’ai bien dormi, et que j’avais un sourire qui en dit long. Le matin, lorsque je me suis réveillé, nous nous sommes croisés au petit-déjeuner. Dès que nous étions seuls, nous échangions bisous furtifs et câlins. Vers onze heures, ma mère me signale que nous devons partir.

Sur le chemin du retour, je repense à cette nuit formidable. Une chanson d’amour est même diffusée via l’autoradio. Le destin peut-être. En tout cas, je ne me suis pas ennuyée. Et j’ai reçu un merveilleux cadeau de Noël.

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