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De l'initiation à la finalité – Chapitre 15

De l'initiation à la finalité - Chapitre 15



L’abattage Une semaine après être rentré de Cote d’Ivoire je me rendis à l’adresse que Lamine m’avait donnée.

L’immeuble délabré se trouvait dans le 17ème arrondissement de Paris.

Dans le hall il y avait quelques noirs qui semblaient attendre.

Je montais au 5ème étage et frappait à la porte où était marqué sur une étiquette ?M. A. Diouf’.

Un grand noir d’environ 40 ans ouvrit la porte, il était vêtu à la mode africaine, c’est à dire d’un grand boubou bleu, il me regarda et me demanda ’Que voulez-vous?

– Bonjour je m’appelle Damien, je viens voir Monsieur Diouf de la part de Lamine.

– Ah c’est toi le pédé qui veut travailler pour moi.

– Oui.

– Entre et appelle-moi Abdou’.

J’arrivai dans un hall propre, Abdou me demanda de le suivre jusqu’à une pièce où il y avait un bureau.

Abdou s’installa derrière son bureau et me dit ’Alors c’est bien vrai tu veux travailler ici.

– Oui.

– Tu es sur de ce que tu dis ?

– Oui tout à fait.

– Tu te rends compte qu’ici ce n’est pas le Hilton.

– Bien sur.

– Depuis combien de temps te fais-tu enculer ?

– Depuis que je suis adolescent.

– Tu t’es fait enculé par combien de mecs ?

– Je ne sais pas, des dizaines c’est sur mais je n’ai pas compté.

– As-tu déjà fait des partouzes ?

– Oui.

– Combien de fois ?

– Je ne sais pas plusieurs fois et surtout depuis que j’ai fait la connaissance de Lamine.

– Combien de temps es-tu resté en Cote d’Ivoire ?

– deux mois.

– Est-ce que là bas tu t’es fait enculé par des blancs ?

– Non j’ai justement été là bas pour baiser avec des noirs, les bites des blancs et même des arabes ne me suffisent plus, elles ne sont pas assez grosses.

– Bien, combien de fois est-ce que tu t’es fait enculer là bas ?

– Tous les jours.

– Combien de partouzes ?

– Je ne sais plus environ deux fois par semaine.

– Combien de mecs t’ont enculé au maximum pendant que tu étais là bas.

– Quinze.

– Combien de fois ?

– Deux fois.

– Est-ce qu’il faut s’occuper de ta bite ?

– Non je ne bande pas.

– Bien, qu’est-ce que tu n’aimes pas faire ?

– Rien.

– Tu es sur ?

– Oui.

– Est-ce que tu as déjà sucé une bite qui était sorti de ton cul pleine de merde.

– Oui.

– Ca t’a plu ?

– Oui.

– As-tu déjà pris plusieurs bites dans ton cul en même temps ?

– Une fois.

– Et alors ?

– rien je ne peux pas dire que j’ai aimé mais les deux bites sont rentrées mais ce n’était pas des noirs, c’était deux blancs.

– C’est bien d’être franc, tu parles de plaisir, que veux-tu dire par-là ?

– Quand je baise avec un mec je jouis comme une femme, je crie, je hurle mon plaisir, j’adore sentir une bite ente mes lèvres ou coulisser dans mon cul.

– Tu sais ici tu ne baiseras pas avec des mecs, tu te feras enculer par eux, tu seras leur chose, ton plaisir ils s’en foutent, la seule chose qui compte c’est de tirer leur coup dans un cul c’est tout.

– Je l’avais compris.

– Enlève ton pantalon et ton slip’.

J’obéis, une fois cul nu, Abdou me dit ’Penches-toi en avant, écarte tes fesses et montre-moi ton trou du cul’.

Je m’exécutai, Abdou se leva il palpa mes fesses pour en mesurer l’élasticité et me dit ’Tu as un joli petit cul blanc bien rebondi et élastique, ça va plaire.

– Merci.

– Mais de rien par contre ton trou est tout petit.

– C’est normal, il y a une semaine que je n’ai pas baisé.

– Que tu ne t’ai pas fait baiser tu veux dire.

– Oui.

– Bien d’ailleurs je me suis rendu compte car dès que j’ai touché tes miches tu as eu un frisson.

– C’est vrai.

– Bon rhabille-toi et après je vais te montrer quelque chose.

– Vous me prenez.

– Patience, chaque chose en son temps, te prendre là maintenant dans ce bureau oui tu vas y avoir droit tout à l’heure, il faut que je me fasse cette rondelle mais pour ce qui est de te prendre pour travailler on va voir.

– Voir quoi ?

– Ce que je vais te montrer et après ce que toi tu vas me montrer avec ton cul et ta bouche de pute.

– D’accord’.

Abdou se rassit pendant que je remettais mes affaires puis il me dit ’Assis-toi’.

Je m’exécutai, Abdou ouvrit un tiroir de son bureau, en sortit une enveloppe d’où il extirpa des photos.

Après avoir posés les photos sur le bureau il me dit ’Chaque fois que j’embauche quelqu’un je fais toujours ça, je le prends en photo avant qu’il commence à travailler puis au bout de quelque temps, ça me sert pour les nouveaux. Voilà j’ai choisi deux photos d’un pédé qui est parti il y a quelque temps, il avait un cul à peu près comme le tien. Regarde voici la photo que j’ai prise de son trou du cul le jour où comme toi il est venu me voir et voici la photo du même cul après une semaine de travail chez moi’.

ce que je vis était édifiant, effectivement le trou du cul sur la première photo était tout à fait normal, petit, ferme et absolument pas ouvert alors que sur la deuxième photo on voyait un trou complètement boursouflé et ouvert comme si la personne venait de subir une enculade dans la minute précédente.

Abdou vit mon regard et me dit ’La deuxième a été prise un vendredi soir enfin dans la nuit du vendredi au samedi après une semaine de travail, mais maintenant regarde aussi cette photo prise le lundi avant la reprise du travail après donc deux jours de calme, je m’en étais assuré en gardant la personne chez moi pour être sur qu’elle ne se ferait pas baiser pendant le week-end, certains pédés le font à leur compte pour gagner un peu plus d’argent et ce n’est pas interdit, du samedi matin au lundi après-midi les gens font ce qu’ils veulent’.

La photo que me tendit Abdou montrait un trou du cul à peine moins enflé et ouvert que sur la précédente, c’était fou en deux jours le trou de balle du type ne s’était pas refermé.

Abdou me dit ’Et cela ce n’est qu’après une semaine de travail, maintenant regarde au bout d’un mois’.

C’était impressionnant, l’anus du type n’était plus qu’un cratère béant, il était tellement ouvert que ce n’était pas la peine d’écarter les fesses pour le voir.

Abdou me dit ’Alors qu’en penses-tu ?

– Je ne sais pas.

– Tu veux toujours travailler pour moi ?, Je te signale que cette photo a aussi été prise après deux jours de repos.

– Oui je veux toujours travailler pour vous.

– Je vais te dire une dernière chose, tu peux dès maintenant à commencer à manger du sans résidus car crois-moi avec un trou du cul comme ça tu ne peux pas te retenir de chier, un trou du cul dans cet état est plus mou qu’une chatte qui vient de se faire fourrer. Voilà tu sais tout, Lamine t’a donné les tarifs, réfléchis tu peux encore refuser, la seule chose qu’il faudra faire c’est de me laisser te baiser et je te laisserai partir mais je sais que pour ça il n’y a pas de problème, depuis que j’ai touché ton cul je sais que tu as envie de te faire trouer.

    A oui encore autre chose, tu prends peut-être du plaisir maintenant quand tu te fais enculer par un mec mais quand tu seras à l’abattage tu ne prendras plus de plaisir car les queues se succéderont dans ton fion sans arrêt sans te laisser le temps de prendre ton pied. Si tu veux prendre ton pied il faudra le faire pendant tes heures de repos mais je ne crois pas qu’un baiseur comme Lamine ou moi ou tous ceux que tu as connus voudront se taper un trou du cul éclaté comme ça.

– c’est vrai vous avez raison mais néanmoins j’accepte la proposition, baisez-moi et mettez-moi au travail.

– Attends ce n’est pas si simple, je vais d’abord te baiser ici puis ce soir chez toi pour que demain tu ais déjà le cul ouvert, il n’est pas question que j’ai une plainte parce que tu as crié quand l’un des clients t’a enfoncé sa bite dans le cul.

– Je comprends.

– Bon il reste encore une chose que tu dois savoir.

– C’est quoi ?

– Les conditions de travail.

– ..

– Je vais te montrer comment bossent les pédés chez moi, suis moi’.

Abdou m’amena au 2ème étage, il ouvrit une porte et me dit ’ce sera ici que tu travailleras chaque jour’ La pièce était vide à part une chaise, une cuvette de WC et un lit de deux places au milieu sur lequel était posé un matelas crasseux, il y avait sur le lit un étrange appareillage métallique dont je ne compris pas l’usage, Abdou me dit ’La chaise c’est pour poser tes affaires quand tu arrives, les chiottes c’est pour toi quand tu as envie de pisser, de dégueuler, ou éventuellement de chier, le reste du temps tu dois te tenir en position sur le lit c’est à dire à quatre pattes.

– Mais à quoi sert ce truc.

– C’est simple quand tu as deux clients en même temps, un qui veut t’enculer et l’autre qui veut que tu lui fasses une pipe, tu te mets à quatre pattes sur le lit, tu poses ton menton sur le haut, c’est juste à la bonne hauteur pour sucer et un peu plus bas c’est pour poser tes bras, comme ça tu restes en équilibre. Quand tu as un seul client si il veut que tu le suces vous faites comme il veut, à genoux, sur lui, sur toi.

    Quand tu as un client qui vient pour t’enculer tu dois avoir la gueule sur le matelas le cul en l’air bien tendu. Quand tu n’as pas de client tu dois être à quatre pattes comme si tu avais deux clients en même temps, ça permet aux clients de voir la marchandise.

– Mais comment je sais si il y a deux clients ou un et pourquoi viennent-ils.

– Bonne question, dès qu’un client t’a choisi il paye à un receveur qui t’indique le besoin et alors tu te mets dans la bonne position. Ah oui j’oubliais c’est interdit de fumer, la seule chose que tu as droit et qui est fourni c’est une bouteille d’eau, on te fournit aussi une bouteille d’huile pour te lubrifier le cul.

– Que peuvent demander les clients ?

– Tout enfin presque, ici il n’y a pas de violence, donc pas de raclée, mais un client peut vouloir une pipe, enculer, les deux, deux clients peuvent vouloir enculer le même pédé en même temps ou se faire sucer en même temps mais c’est rare les noirs n’aiment pas se toucher la bite, la seule chose qui est aussi permise c’est qu’un client te pisse dans la bouche mais pas dessus.

– Mais comment peut-on faire – vous êtes surveillés, si les pédés ne font pas ce qu’il faut ils sont foutus à la porte sans salaire, si le client fout la merde il se fait sortir.

– D’accord.

– Une dernière chose, il y a 4 personnes qui surveillent, ils ont le droit à un coup, pipe ou enculade, chaque jour gratuit, c’est clair qu’au début c’est toi qu’ils vont choisir car tu es nouveau, mais ne t’inquiète tu le sais quand tu arrives, eux ils passent après les derniers clients, c’est à dire après 2 heure du matin, tu sais ça dure entre 10 et 15 minutes pas plus.

– Et un client ?

– c’est 10 minutes, il paye pour ça, mais ça aussi c’est annoncé, un client qui a les couilles bien pleines peut demander 1 heure voire 2 ou 3 heures ou même toute la nuit, il paye en conséquence.

– D’accord.

– Ah oui il y a aussi ça que tu dois savoir, ici pas de maquillage, pas de perruque et pas de cache sexe, ou autres talons hauts ou bas ou porte-jarretelles les clients ne viennent pas pour enculer des gonzesses, il viennent pour enculer des mecs blancs, alors pas besoin de faire du travestis.

– Je comprends.

– Dernier truc, les clients baisent sans capote, ce qui les intéressent c’est de tirer leurs jus dans un cul ou une bouche de petite pédale blanche, c’est d’ailleurs pour cela qu’il y a des kleenex, c’est pour t’essuyer le cul entre deux coups, un conseil quand tu t’essuies le fion garde le sperme du client qui vient de passer, ça te lubrifiera.

– D’accord.

– Voilà je crois que tu sais tout, toujours d’accord ?.

– Oui – Très bien remontons dans mon bureau’.

Je suivis l’homme et nous remontâmes au 5ème étage, une fois entré dans la pièce Abdou me demanda ’Tu es propre ?

– Oui j’ai pris une douche il y a une heure.

– Alors déshabille toi que je puisse profiter de ta bouche de pute et de ta rondelle encore bien ferme’.

Abdou verrouilla sa porte, il prit son interphone et appela en disant ’Qu’on ne me dérange sous aucun prétexte, je suis avec un nouveau pédé que je vais tester’.

Il passa derrière son bureau et mit en route sa chaîne Hi fi, aussitôt une musique langoureuse de type oriental envahit la pièce, Abdou se tourna vers moi et me dit ’Tourne toi et fais-moi un strip-tease en me montrant toujours ton cul’.

Avec des mouvements lascifs je commençai à me dévêtir, je défis tout d’abord mes lacets en enlevai mes chaussures puis je me débarrassai de mes chaussettes.

Tout en ondulant j’ôtai mon tee-shirt puis descendis mon pantalon et je me retrouvai avec mon string ficelle comme seul vêtement.

Je me déhanchai de manière sensuelle, tendant mon postérieur vers celui qui allait me sauter puis mettant mes pouces dans l’élastique de mon slip je le fis glisser lentement le long de mes cuisses fuselées.

Quand le sous-vêtement fut sur mes chevilles, je m’en séparai en le lançant d’un coup de talon vers Abdou.

Je posai mes mains sur mes hanches et entamai une danse lubrique tout en ondoyant.

Tout le temps que dura la musique je me caressai les fesses en passant de temps en temps un doigt dans mon sillon intime.

Quand la musique se termina Abdou applaudit et me dit ’Tu m’as l’air d’être vraiment une sacrée salope, approche-toi de moi maintenant’.

Je me retournai et ce que je vis me laissa sans voix.

Pendant la musique Abdou avait ôté son boubou et était complètement nu.

Cet homme était très athlétique, il avait des bras musclés et un torse impressionnant, son ventre plat montrait des abdominaux bien au-dessus de la moyenne.

Il avait des cuisses puissantes mais ce qui me laissa sans voix, c’était son bas ventre.

D’un forêt de poils noirs émergeait une verge épaisse et longue, je ne me souvenais pas avoir connu un tel braquemart.

Ce sexe devait dépasser les 30 centimètres de long et 7 de diamètre sans compter le gland qui était aussi gros qu’une mandarine.

Sous ce phénoménal phallus pendaient deux grosses bourses duveteuses que je savais gorgées de sève.

Le pénis de Abdou était en érection et une goutte de sperme translucide perlait du méat.

Je devais avoir l’air idiot car Abdou me dit ’Qu’est ce que tu as, tu n’as jamais vu une bite en l’air ?

– Si des quantités mais jamais une aussi grosse et longue.

– Tu as peur petit pédé ?

– Non au contraire j’ai très envie de faire connaissance avec elle.

– Bien, pendant quelques temps, j’ai cru que tu avais peur.

– Pas du tout.

– C’est parfait alors montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche de pute, viens me sucer et applique-toi.

– Tu ne seras pas déçu.

– Je l’espère bien mais je suis sur que tu as une vraie bouche à pipe.

– C’est ce qu’on a toujours dit.

– Allez viens me le prouver’.

Abdou appuya sur un bouton et un lit bascula du mur et les lumières diminuèrent pour devenir tamisées.

Abdou resta debout devant le lit les mains posées sur les hanches, je compris ce qu’il voulait.

Je m’avançai vers lui, il me prit par la nuque et écrasa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris la bouche, nos dents s’entre choquèrent, nos langue se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné qui me laissa pantelant.

Quand mon amant abandonna ma bouche, j’avais le souffle court et le rouge aux joues, il me dit ’Allez fais ton devoir’.

Je m’agenouillai devant mon homme et commençai à flatter les testicules poilus d’une main tandis que de l’autre je caressai le monstrueux membre qui sous mes cajoleries n’en finissait pas de s’allonger et de grossir.

Pendant quelque temps je pratiquai sur mon mec de légers attouchements.

Abdou avait toujours les mains sur les hanches et me laissait faire mais sa respiration s’était accélérée.

Je portai un coup de langue sur le bout durci recueillant au passage la liqueur qui suintait de l’orifice de la hampe dressée.

Trouvant que les prémisses avaient assez durés mon amant posa une de ses mains sur ma tête et appuya dessus, je compris qu’il voulait que je commence à le sucer.

J’ouvris tout grand la bouche et enfournai la fabuleuse tête de la pine d’ébène tout en excitant le frein de ma langue.

Mon homme soupira et tendit son ventre vers moi.

Petit à petit j’embouchai l’énorme priape jusqu’à ce qu’il bute contre le fond de ma gorge.

Je gardai quelques instants le pieu de chair frémissant immobile dans ma bouche puis lentement j’entamai une douce fellation sur toute la longueur de la bite turgescente.

Mon mec semblait apprécier le traitement que je lui appliquai, il poussait de lourds soupirs de contentement chaque fois que j’engloutissais son phallus raide.

Cette virilité était tellement démesurée que je devais garder la bouche grande ouverte, deux filets de salive coulait à la commissure de mes lèvres.

Longtemps je pompais lentement Abdou enduisant son splendide pénis de salive tout en caressant ses couilles qui commençaient à devenir dures comme de la pierre.

Mon amant posa une de ses main sur ma tête et imposa le rythme auquel il voulait être sucé tout en me disant ’C’est très bien petit pédé, tu as une vraie bouche à pipe, tu es une superbe suceuse, continue ma petite pute, suce bien mon sucre d’orge’.

Pendant de longues minutes j’appliquai une savante fellation à mon homme qui commençait à pousser de petits gémissements de plaisir quand soudain il bloqua mon visage entre ses mains et se mit à me piner la bouche en de grands coups de reins.

Je comprimai mes lèvres contre le splendide membre tout en le mordillant de en enroulant ma langue autour.

Au bout de quelques instants de ce traitement, je sentis la queue palpiter en moi, il me sembla que le gland doublait de volume, mon mec plaqua ma figure contre son pubis et éjacula en feulant.

Je reçus une formidable giclée de semence qui fusa contre mes amygdales et je l’avalai avec délice.

Je continuai de longs instants à cajoler la verge qui continuait de se vider dans ma gorge.

Quand le calme fut revenu Abdou me lâcha et je me reculai, le sexe n’avait pas débandé, il était encore plus gros que tout à l’heure.

Mon amant me prit par les aisselles et me releva, il me dit ’Tu suces comme une déesse, tu es une vraie salope.

– Je suis une folle de bite.

– Je le sais pute, allez maintenant on va s’occuper de ton petit trou du cul de pute, mets-toi sur le lit à plat ventre.

– Mais..

– Quoi ?

– Ce n’est pas comme ça que tu m’as montré tout à l’heure.

– AH AH AH !! Non en ce moment je fais l’amour avec toi, je vais te donner du plaisir et en prendre aussi mais tout à l’heure quand on sera chez toi là je vais te baiser comme on baise en bas.

– D’accord.

– C’est normal, si je te baise maintenant comme tu seras baisé à partir de demain je vais te déchirer le trou du cul et ce n’est pas ce que je veux car je perdrais de l’argent, allez mets-toi comme je te l’ai dit et prépare toi à prendre ma grosse bite dans ton petit trou du cul de salope folle de bite noire.

– J’ai vraiment envie de la sentir me casser le cul.

– T’inquiètes pas ça va arriver, je vais te défoncer, tu verras demain matin tu auras le trou du cul complètement cassé, tu sera prête à travailler pour moi salope’.

Je pris la position demandée, Abdou m’écarta les jambes puis il glissa un coussin sous mon ventre afin de faire ressortir ma croupe rebondie.

Mon amant posa ses mains sur mes fesses bouillantes et les ouvrit en me disant ’Tu as vraiment un joli petit trou du cul de pute’.

Aussitôt sa langue râpeuse investit la raie de mon derrière, salivant abondamment dedans tout en s’attardant sur mon oeillet.

Sous cette caresse buccale je sentis mon tunnel s’entrouvrir et je ne pus m’empêcher de pousser un lourd soupir.

Pendant quelques minutes mon homme s’appliqua à me bouffer le cul, sous ces attouchements lingués je sentis une vague de chaleur enflammer mon corps et je me cambrais pour m’offrir encore plus.

Mon mec pratiqua ses doux baisers tout en ma malaxant les miches qui devinrent brûlantes.

Au bout de quelques instants, quand Abdou abandonna mon arrière train, j’étais complètement en feu et je gémissais, il me dit ’On voit que tu aimes ça te faire enculer, tu es une véritable salope’.

Soudain sans prévenir mon amant m’enfonça son majeur dans l’anus, cette intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rire mon homme qui me dit ’Tu vas voir ce que tu vas gueuler quand je vais te mettre ma grosse bite dans le cul’.

Mon mec se mit à faire aller et venir son doigt en moi sans ménagement.

Je sentis mon canal de décontracter puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier.

Au bout de quelques instants, j’avais quatre doigts qui coulissait en moi.

Abdou faisait tourner sa main dans mon rectum pour l’ouvrir tout en faisant un mouvement de piston, sous ces caresses je sentis mon être s’embraser et je ne pus retenir de lourds râles de bien-être.

Jugeant que le préliminaires avaient assez durés, mon amant ôta ses doigts et se mit à me fesser avec son majestueux sexe.

Il me dit ’Maintenant on va passer aux choses sérieuses, je vais te défoncer la rondelle’.

Je sentis quelque de chose d’énorme, de chaud et de doux que je reconnus comme le gland de mon homme glisser dans le sillon de ma croupe.

Bien que je sois très ouvert et habitué à me faire enculer, je fus pris de panique quand je réalisais la taille de ce qui allait forcer mon anneau, jamais je n’avais senti quelque chose d’aussi gros contre mon petit trou.

Mon mec s’aperçut de mon trouble et me dit ’N’aie pas peur, ton beau petit trou du cul de pédé va avaler ma grosse saucisse, je sais je vais te casser le cul mais ça va rentrer et puis que veux-tu faire, tu es là couché devant moi, le cul offert à ma bite, tu n’as plus qu’à accepter.

– Je le sais mais c’est énorme.

– Tu ne diras plus ça la semaine prochaine, il y en aura de bien plus gros qui casseront ton cul de pédé.

– Je sais mais là il est encore fermé.

– C’est vrai mais ce n’est pas grave, il va s’ouvrir’.

Abdou positionna son colossal bout durci à l’orée de mon trou de balle, il resta immobile sans forcer tout en continuant à me masser les fesses.

Alors que je commençais à me détendre, mon amant commença à peser sur ma pastille.

Quand la monstrueuse tête écarta mes chairs, j’eus l’impression qu’on m’ouvrait le cul en deux, un brûlure intense s’insinua en moi et je poussai un hurlement de douleur tentant de me dérober.

Mon homme les mains posées sur mes fesses suspendit son mouvement et me dit ’Où veux-tu aller petite salope, je suis en train de rentrer dans ton trou du cul de pédé et rien de ce que tu peux faire m’empêchera de te défoncer la rondelle, laisse-toi faire, ce n’est pas la première fois que tu te fais enculer, tu sais bien que c’est un mauvais moment à passer mais qu’après c’est toi qui va demander que je t’encule encore plus’.

D’un violent coup de reins qui m’arracha braillement de souffrance, mon mec introduit son fabuleux gland.

J’avais l’impression d’être coupé en deux tant j’avais mal au cul, de gros sanglots s’échappaient de mes yeux.

Abdou fit entrer en sortir plusieurs fois son gigantesque bout durci pour m’assouplir l’anneau m’arrachant à chaque fois des cris de douleur.

J’endurai un véritable supplice, jamais je n’ai eu aussi mal au cours d’une enculade, même pas la première fois.

Décidant que j’étais suffisamment préparé mon amant poussa et s’enfonça en moi jusqu’à la garde.

Quand je sentis les poils follets de son pubis contre mes miches bouillonnantes je sus qu’il était en moi entièrement.

J’avais tellement mal que je pleurais à chaudes larmes, le corps secoué de frissons.

Mon homme s’immobilisa me laissant m’habituer à la phénoménale présence qui m’obstruait le fondement et me dit ’Arrête de pleurer, ça y est ton trou du cul a pris toute ma grosse bite.

– J’ai mal.

– Je le sais mais ce n’est pas grave, après quelques coups de reins ton trou de salope va céder et je vais pouvoir t’enculer.

– Je le sais.

– Alors arrête de pleurer’.

Pendant ce temps là, le mal s’était quelque peu dissipé, je sentais mon anus se détendre.

Mon mec s’en aperçut et me dit ’je suis sur que maintenant tu as déjà moins mal, je me sens moins serré par ta rondelle, bientôt je vais t’enculer comme jamais tu n’as été enculé ma petite salope blanche’.

Petit à petit mon antre se relâcha et je sentis une douce langueur prendre possession de mon corps, j’avais envie que Abdou me baise afin de me faire prendre mon pied et je lui dis ’Vas-y baise-moi fais-moi du bien, défonce-moi.

– Tu vois on y est arrivé, je vais bien t’enculer ma petite pédale, je vais bien casser ton trou du cul’.

Posant ses mains sur mes épaules mon amant commença à aller et venir en moi lentement de toute la longueur de sa sensationnelle verge érigé m’arrachant à chaque passage de petits cris de douleur.

Au bout de quelques instants, mon sphincter céda complètement et le volumineux membre pu coulisser en moi sans aucune gène.

Le mal fit place à une douce volupté et je sentis mon être s’embraser.

Chaque fois que mon homme plongeait son formidable phallus au tréfonds de mes entrailles, m’ouvrant un peu plus la grotte, je sombrais dans un univers de plaisir et je me mis à pousser de petits gémissements.

Mon mec me possédait en de lents mais virils coup de reins me faisant monter au septième ciel.

Mon oeillet était maintenant complètement dilaté et je savourais les vagues de félicité qui prenaient naissance dans mon bas-ventre pour venir éclater vers mon visage en de multiples bulles de couleur.

Sentir cette formidable hampe me forer les reins me procurait un bonheur intense.

Abdou me besognait de toute la longueur de son fabuleux pénis, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger jusqu’à la garde la seconde suivante.

Je commençais à perdre pied sous les coups de boutoirs que je recevais et mes gémissements s’étaient transformés en lourds râles de délectation.

Mon amant me pilonnait le cul, je sentais l’extraordinaire priape me défoncer le rectum comme jamais on ne me l’avait fait.

A chaque assaut je sentais mon orifice s’ouvrir encore plus, et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon derrière pour m’offrir encore plus.

J’avais le fion complètement éclaté et la superbe queue me rendait fou de désir.

Pendant de longues minutes mon homme me travailla le cul de cette manière, de ma bouche grande ouverte ne sortait plus que des cris de plaisir.

Tout mon être n’était plus qu’un immense brasier, je ne vivais plus que pour et par la gigantesque pine qui me bourrait.

Chaque fois que l’imposant membre s’enfonçait au fond de mes entrailles en fusion je glissais un peu plus dans le plaisir.

J’étais tellement excité que je tremblais comme une feuille sous les coups de bite que mon mec m’assénait.

J’avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts de ce splendide sexe qui m’éclatait un peu plus le cul chaque fois.

J’étais en plein extase, je me sentais partir, pour moi rien ne comptait que cette énorme bite qui me possédait.

J’étais dans un tel état que j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait dans mes entrailles, j’avais l’impression de mouiller du cul tant j’étais en nage.

Abdou me baisait comme jamais on ne m’avait baisé, ce n’était pas seulement du à la longueur et la grosseur de sa pine mais plutôt de la manière dont il se servait de son sexe.

Mon amant alternait les violent coups de reins et les lents va et viens, me faisant chaque fois grimper aux rideaux, il sortait parfois complètement sa verge de mon antre la faisant glisser le long de ma raie pour me la ré enfoncer d’un brutal coup de reins.

J’avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.

Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon homme pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrai dans l’inconscience.

Quand je repris le sens des réalités, j’étais toujours allongé sur le ventre et mon mec était toujours fiché dans mon anus.

Abdou s’apercevant que j’étais revenu à moi me demanda ’Alors ma petite salope, tu aimes bien ce que je te fais ?

– Oui c’est bon.

– Mais ne t’inquiète, si toi tu as pris un fade, moi je ne t’ai as encore tiré.

– Tu m’as fait jouir follement.

– Je le sais petite pute, tu es vraiment de la chair à bite.

– Merci.

– ce n’est pas la peine, c’est la vérité, je n’ai jamais vu une pédale qui baise comme toi, quand on t’encule on a l’impression de baiser une pute, mais enfin c’est vrai tu es une petite pute.

– Oui je suis une pute et j’ai encore très envie que tu me baises.

– Ne t’inquiète pas, tu vas être bien enculée ma salope, tu sais Abdou n’est pas un petit baiseur.

– Non tu es un baiseur formidable, jamais on ne m’a baisé comme toi.

– Et tu n’as encore rien vu ma salope, tu vas en prendre toute la nuit.

– Miam !!

– Eh oui.

– Tu sais avec toi j’ai l’impression de mouiller du cul.

– Mais tu mouilles du cul ma salope, tu transpires et je t’encule tellement loin que ta merde fait office de lubrifiant.

– En tout cas je ne me souviens pas avoir joui comme ça.

– Ce n’est que le début, je vais tellement t’enculer que tu vas prendre fade sur fade’.

Sans sortir de mon cul mon amant me prit par la taille et me souleva, il me dit ’Plie les jambes et mets-toi à genoux, fais reposer ta tête sur le matelas et tends bien ton cul’.

J’obéis et je me retrouvais le cul en l’air, les fesses écartées donnant un angle de pénétration plus grand à mon homme.

Celui-ci me dit ’Bien ma petite pute, prépare-toi à prendre un autre fade, comme ça je vais complètement te casser le cul, tu vas encaisser ma salope, tu vas voir ce que c’est qu’un vrai baiseur, salope comme tu es je sais que tu vas adorer te faire enculer comme ça’.

Posant ses mains sur mes hanches, mon mec commença à me besogner en de virils coups de boutoir.

Le désir un peu retombé par le plaisir que je venais de prendre remonta en moi comme une flèche.

Abdou me baisait violemment, son ventre musclé claquait sur mes fesses portées au rouge à me faire mal.

Chaque fois qu’il m’enfilait jusqu’à la garde je sentais les volumineux testicules dures de mon amant taper contre le bas de mon cul.

J’étais entièrement en feu, j’écartais les cuisses au maximum pour accentuer la pénétration tout en me cambrant le plus possible pour m’offrir totalement.

Mon mec ponctuait ses fougueux coups de reins par des ’Tiens salope encaisse ça, prends ça dans ton cul de pute’.

Je n’étais plus qu’un cul, un immense incendie couvait en moi et je savais que seul le formidable phallus qui me forait les reins, m’ouvrant encore plus à chaque fois le trou de balles, pouvait l’éteindre.

J’avais fermé les yeux et mordais les draps pour ne pas hurler le bien que Abdou me faisait.

Je jouissais sans discontinuer tandis que mon amant me pilonnait la pastille avec des ’HANS’ de bûcherons.

Mon homme se ruait dans mon fondement avec rudesse, chaque fois qu’il plantait son pieu raide au fond de mon rectum en fusion j’avançais sur la couche.

J’avais l’impression que si il continuait comme ça il allait me déchirer complètement mais c’était si bon que je voulais qu’il continue éternellement.

Bien que les coups de boutoir que mon mec m’assénait étaient puissants, ils n’étaient pas désordonnés, Abdou était un baiseur exceptionnel, je savais qu’il gardait la maîtrise de lui et qu’il n’était pas prêt d’éjaculer.

Je commençais à perdre le sens des réalités, les assauts répétés que je subissais me faisait sombrer dans le plaisir où seul comptait le priape roide qui me ramonait le prose jusqu’à plus jouir.

La bite démesurée me défonçait comme jamais je n’avais été défoncé et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant encore plus mon cul vers celui qui me chevauchait.

Mon amant s’en aperçut et dans le brouillard où je me trouvais j’entendis sa voix qui disait ’Ah salope, tu aimes te faire enculer par Abdou, je le vois bien de la manière dont tu tournes ton cul blanc de pute, tu vas encore en avoir, je vais le casser complètement ton petit trou du cul de salope’.

Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me baisait, j’étais dans un état second, tout mon corps était en feu et le moindre contact contre ma peau me faisait frissonner.

Mon mec s’était immobilisé et, m’ayant attrapé aux solidement hanches, me faisait aller et venir sur son énorme verge turgescente.

J’avais le trou du cul complètement éclaté et la monumentale hampe coulissait en moi de plus en plus vite.

La bouche grande ouverte je bramais sous les vigoureux coups de bite que je recevais.

Abdou me prit aux épaules et se mit à me posséder à une vitesse effrayante, chaque fois que son ventre musclé claquait contre mon fessier enflammé, j’avais l’impression qu’on me giflait les miches.

En dehors de mes hurlements on entendait dans la pièce les bruits de succion que faisait mon anus béant chaque fois qu’il avalait le gigantesque membre érigé.

Je me sentais partir de plus en plus, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir, j’avais l’impression que cet homme était inépuisable.

Les mains crispées sur mes épaules mon amant me baisait comme un dément, ses coups de reins redoutables me fendaient un peu plus le fion à chaque poussée me faisant perdre complètement contact avec la réalité.

Mon homme était une vraie bête de sexe, il me besognait m’amenant au paroxysme de la jouissance.

J’avais atteint le point de non-retour, je griffais les draps ondulant des hanches comme un damné et je me mis à délirer.

Soudain un spasme vertigineux m’emporta, je hurlai à plein poumons, je tendis ma croupe vers celui qui m’enfilait puis je perdis connaissance.

Quand je revins à moi, j’étais allongé à plat ventre sur le lit cuisses écartées et mon mec me sodomisait toujours, ses mouvements étaient toujours aussi violents.

Voyant que j’étais de nouveau éveillé Abdou me dit ’Ca y est réveillée ma petite pute, tu aimes ça te faire enculer, allez remets toi à quatre pattes ma petite salope on continue.

– Mais toi..

– Non pute je ne t’ai pas encore tiré et je n’ai pas l’intention de te tirer tout de suite, il faut que je profite encore longtemps de ce cul de rêve de petite pute, tu sais que tu es une salope, une vraie salope qui ne veut que se faire enculer et bien moi je vais t’enculer toute la nuit, tu vas encore prendre un fade avant qu’on aille chez toi pour finir la nuit et là tu vas voir je ne vais plus sortir de ton cul de petite pute avant demain matin, tu auras ton trou du cul complètement démoli, j’espère que chez toi tu as de l’huile.

– Oui pourquoi.

– parce que à un moment tu n’auras plus de merde pour lubrifier et si tu ne veux pas que je te brûle le cul tu as intérêt à avoir de l’huile.

– J’ai aussi du lubrifiant, du KY.

– Très bien ma petite salope, allez mets-toi en position pour en prendre encore plein le cul’.

Aussitôt mon homme recommença à me posséder avec une violence inouïe de toute la longueur de son fantastique sexe.

Le désir un instant retombé après ce que je venais de vivre se mit aussitôt à renaître en moi et je recommençai à rouler des hanches en cadence, mon mec me dit ’Ah salope, à peine revenu des vapes que déjà tu tournes ton cul sur ma bite, quelle putain tu es, une affamée de la bite, ah tu en veux et bien tu vas en avoir petite pute’.

Ces paroles m’aiguillonnèrent et la volupté s’empara de mon être embrasé.

Les poussées que je recevais me faisaient avancer sur la couche, la manière dont Abdou me baisait était bestiale mais ce que je ressentais était immense, je jouissais de tous les pores de la peau.

Chaque fois que le pal s’enfonçait au plus profond de mes entrailles dévastées je sentais le plaisir monter d’un cran, j’avais le cul complètement éclaté et la pine roide de mon amant entrait dedans comme dans du beurre.

Sous les rudes assauts répétés je tombai la tête sur la couche et le cul en l’air, mon homme me prit par la taille et continua à me posséder brutalité.

Je me dis que s’il continuait de la sorte il allait me déchirer mais ce que je ressentais était tellement fort que je voulais que jamais il ne s’arrête et je commençai à pousser de lourds râles de félicité.

Sans que nos corps ne se disjoignent mon homme me fit tourner sur son membre démesuré et me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia jusqu’à ce qu’elles touchent mon visage.

Dans cette position j’avais l’anus complètement ressorti et mon mec se remit à me besogner de toute la longueur de sa bite turgescente.

Chaque fois que son pubis tapait contre mes fesses enflammées je poussai de petits cris qui firent dire à mon mec ’Ah salope tu aimes ça la baise, tiens prends donc ça dans ton cul pute, je vais t’enculer jusqu’à ce que je te démolisse complètement le derche petite pédale avaleuse de bite, quand je vais te lâcher tu ne reconnaîtras plus ton trou du cul de salope, jamais plus il ne se fermera, ce sera un tunnel ouvert pour bites noires’.

Tout à mon plaisir j’avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourai l’intense volupté qui montait en moi avec fureur et je me mis à venir à la rencontre du monstrueux phallus qui me forait pour accentuer la pénétration.

Abdou me pilonnait l’arrière train avec une frénésie incommensurable, chaque fois que son formidable pénis d’ébène se plantait au plus profond de mon cul en ébullition je hurlai de bonheur.

Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me baisait, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir au cours d’une enculade, mon homme contrôlait parfaitement son priape et je sentais qu’il n’était pas prêt d’exploser alors que j’avais pris déjà deux fois mon pied et que je montais encore au septième ciel, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum.

J’étais tel un pantin désarticulé sous mon homme, j’avais saisi mes jambes de mes mains et les écartai le plus possible tout en me cambrant pour m’offrir au maximum à celui qui me montait.

Mon mec me dit ’Quelle putain tu es, regarde moi ça comment tu m’ouvres ton fion, vas-y écarte-toi encore plus que je démolisse ton trou du cul de petite pute, ah salope, cul à bite’.

J’avais atteint la plénitude rectale, seul comptait pour moi cette fabuleuse pine noire qui m’ouvrait un peu plus la corolle chaque fois qu’elle se fichait au tréfonds de mes entrailles.

J’avais perdu tout sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par cette phénoménale queue raide qui me ramonait le prose jusqu’à plus jouir.

J’ouvris les yeux et vis le visage de Abdou qui grimaçait de plaisir, on voyait à son apparence que lui aussi prenait un bonheur extrême à me sodomiser.

Mon amant avait posé ses mains de chaque côté de mon corps et m’envoyait de redoutables coups de reins, ses couilles frappaient mes fesses en feu chaque fois que l’imposante pine se plantait au fond de ma fournaise tuméfiée.

Je voyais l’extraordinaire membre turgescent entrer et sortir à toute vitesse d’entre mes miches calcinées, j’ondulais fou de désir tendant au maximum mon arrière-train vers cette fabuleuse hampe qui m’emportait au summum de la délectation.

Jamais je n’avais ressenti autant de plaisir sous un homme, cela faisait au moins une heure que mon homme m’enculait sans sortir de mon antre béante et affamée et mon corps n’était plus qu’un braise incandescente.

Dans la pièce, en dehors de mes halètements et de mes hurlement de bonheur, on entendait le bruit de succion que faisait mon anneau chaque fois qu’il avalait la superbe bite d’ébène.

Je me tordais comme un damné sous les terribles coups de boutoir que je recevais, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles Je passais.

Un orgasme fulgurant me balaya, mes jambes battirent l’air, je plantai mes ongles dans les épaules musclés de mon mec, mon corps se tendit comme un arc, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je sombrai dans l’inconscience.

Quand je revins à moi, Abdou n’était plus en moi il était assis sur le lit me regardant.

Sa gigantesque virilité était toujours aussi tendu, il n’avait pas joui en moi, il me dit ’Alors salope tu viens encore de prendre un superbe fade.

– Oui j’ai joui comme jamais.

– Je le sais et mes épaules aussi.

– Excuse-moi.

– Mais non au contraire j’ai bien vu le pied que tu as pris ma petite pute, tu aimes bien la bite d’Abdou, tu aimes te faire enculer par elle.

– Oh oui, jamais on ne m’a baisé comme toi.

– Rassure-toi, j’en ai pas encore fini avec ton cul ma salope, tu vas encore en prendre toute la nuit.

– Mais tu ne jouis jamais ?

– Si mais je ne suis pas arrivé au point de te tirer, tu vas voir quand je vais t’inonder le cul, ça va te faire tout drôle, tu vas prendre des litres de jute dans ton trou.

– Humm !!

– Bon maintenant on va continuer chez toi.

– D’accord.

– Avant que je me rhabille, suce-moi pour rendre ma queue propre’.

Je baissais les yeux vers l’énorme phallus en érection, il était maculé de traînées brunes, reste de mes sécrétions anales.

Je compris que Abdou me testait, sans hésitation je me mis à genoux et commençai à lécher le colossal pénis pestilentiel.

Au bout de quelques instants le sexe de mon amant était complètement nettoyé, j’avais la bouche qui puait la merde et mon homme me dit ’Ce sera comme ça souvent quand tu travailleras, les clients ne sont pas toujours très propre et des fois ils payent pour un coup et une pipe pour se faire décrasser la bite.

– Ce n’est pas grave, ça ne me gène pas.

– Je le sais tu me l’as dit et je viens de le voir, seulement pour ce soir, je ne veux pas que tu pues tout de suite, on verra tout à l’heure, vas donc te laver la bouche dans la salle d’eau et profites-en pour te laver le cul pendant que je me passe la queue au gant de toilette.

– D’accord’.

Quand je ressortis de la salle de bains, Abdou avait remis son boubou et m’attendait.

Je m’habillai et évitant de mettre mon string qui ne servait à rien étant donné la manière dont mon oeillet était ouvert.

Nous descendîmes au parking où une luxueuse BMW attendait, une fois montés dedans mon amant me demanda ’Où habites-tu ?’.

Je lui donnai mon adresse.

Nous sortîmes du parking et au bout de quelques instants mon homme me dit ’Comme tu n’as rien à faire jusqu’à chez toi, profites-en pour t’amuser avec ma bite, tu vas me sucer jusqu’à qu’on arrive chez toi.

– Si tu veux.

– Oui je le veux, ne t’inquiète je ne vais pas te tirer dans la gueule, le premier coup que je vais te mettre je le réserve à ton trou du cul’.

Mon mec releva son boubou et la splendide verge toujours érigée pointa vers le plafond, je penchai la tête vers l’entre jambe de Abdou et me mit à porter de petits coups de langue sur le gland turgescent.

Pendant tout le temps que dura la trajet, je suçai et léchai la hampe démesuré, mon amant semblait les gâteries que je lui faisais en me disant de temps en temps ’C’est bien ma petite pute, suce bien mon gros sucre d’orge, prends le entier dans ta bouche de salope, allez suce petite pédale, fais ce pourquoi tu existes’.

La lente fellation que j’appliquai à mon homme commençait à me faire bouillir, c’est vrai que j’avais été bien baisé et même merveilleusement mais je n’avais pas encore reçu le flot de semence qui manquait pour apaiser un peu mes sens et je sentis une douce chaleur s’emparer de tout mon bas-ventre.

Quand nous arrivâmes devant chez moi, mon mec me repoussa gentiment et descendit son boubou sur sa monstrueuse pine luisante de salive.

Nous descendîmes de voiture et nous prîmes l’ascenseur pour monter chez moi, une fois dans la cabine je dis ’Tu sais J’aimerais que tu me tires, je suis complètement en feu.

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