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De Nathan à Nath – Chapitre 1

mariée, soumise à ma maitresse - Chapitre 3



Je ne m’attendais pas à vivre une si belle histoire.

J’approche de la cinquantaine, je suis divorcé, je vis seul, j’ai bien sûr quelques aventures, mais elles sont sans lendemain.

Tout a commencé un samedi où je devais repeindre ou plutôt rafraîchir le studio de mon fils qu’il avait vidé et quitté 3 jours avant pour monter à Paris suivre un stage de plusieurs mois, et dont l’état des lieux était la semaine suivante. Pour ne pas trop perdre sur la caution, je m’étais proposé de lui repeindre et de vérifier que tout allait bien.

Ce samedi-là dans le studio, vers 9h alors que je me préparais pour commencer les travaux, l’interphone sonna. Je répondis :

Oui.

Bonjour, c’est Nathan, je peux monter ?

Nathan, mais qu’est-ce qu’il fait là ? Nathan est un copain de mon fils, il a 22 ans, il fait partie d’un noyau de 3 ou 4 copains avec qui mon fils traîne toujours. Nathan est garçon mignon, brun, les cheveux toujours en bataille, 1m70 environ, il est un peu précieux et maniéré son homosexualité est visible, mais pas prononcée, lorsqu’ils sont en bande, il se fait quelques fois charrier par les autres, mais ils l’aiment bien et l’acceptent comme il est.

Nathan entra, il était vêtu d’un pantalon noir serré aux chevilles des poches techniques sur les côtés façon treillis militaire et d’un sweat noir.

Nathan, mais qu’est-ce que tu fais là ?

Je n’avais rien à faire ce Week-end, les potes sont partis faire la fête en Espagne, je n’ai pas trop de sous, je ne peux pas y aller, Seb (mon fils) m’a dit que vous repeigniez son studio alors je suis venu vous donner un coup de main !

C’est gentil, mais tu as vu comment tu es habillé ? Tu vas te salir !

Pas grave, ce sont de vieilles affaires ! me dit-il en entrant dans la pièce.

Après tout, un coup de main ne se refuse pas et les travaux iront plus vite. Nous nous mîmes d’accord sur qui ferait quoi, je lui laissais les plaintes le tour de la fenêtre et de la porte à faire, moi, je m’occuperais du haut des murs et de passer le rouleau.

Lorsqu’il se baissa pour peindre le bas du mur, cela eut pour effet de relever son sweat et de baisser un peu son pantalon et de découvrir ainsi le haut de ses fesses. Je restais interloqué par la vue que j’avais devant moi, Nathan portait un string noir avec un tatouage sur le bas du dos que je devinais être un tatouage maori ou quelque chose comme cela avec une pointe en direction de sa raie ?

Je devinais le reste du tatouage, et me dis c’était véritable invitation ! Quel bonheur, cela devait être que de prendre ce beau petit cul en levrette avec ce tatouage !

Je lui dis bêtement :

Nathan, tu portes des strings ?

Oui me dit-il, j’adore !

Je ne pouvais détacher mon regard de ce spectacle, de plus, Nathan se mettait quelquefois à 4 pattes, ce qui accentuait encore plus l’ouverture du sweat et le pantalon offrant à mon regard pratiquement la moitié de ses fesses. Je commençais à avoir une légère érection.

Nathan ayant commencé d’un côté et moi de l’autre, fatalement, nous nous sommes rencontrés à la moitié de la pièce, lui en bas, moi en haut sur mon mini-escabeau. Nathan se releva, il se trouva ainsi face à moi, le visage à quelques centimètres de mon bassin.

Nous nous regardâmes et en un éclair, sans dire un mot, lui et moi comprîmes ce que nous voulions.

Il déposa son pinceau et tout en me regardant dans les yeux, il entreprit de dégrafer mon pantalon.

Je le laissais faire en respirant profondément, il descendit mon pantalon à mi-cuisse, en fit de même avec mon boxer, toujours en me regardant, il prit de sa main droite mon sexe et le mit dans sa bouche. Il commença à me sucer sa main droite sur ma hampe suivant le mouvement de sa bouche en faisant une légère rotation avec sa main à chaque fois qu’il rentrait mon sexe dans sa bouche.

De sa main gauche, il me caressait les fesses, tantôt le lobe d’une fesse tantôt les fesses entières, sa caresse était douce. Mon sexe était maintenant bien dur dans sa bouche, je sentais sa langue me sucer, cherchant toujours à essayer d’aspirer le plus possible la longueur de ma queue. C’était divin, il enfonçait de plus en plus ma bite dans sa bouche, et alternait la cadence de sa fellation. Quand il sentait mon sexe vibrer dans sa bouche, il ralentissait puis accélérait de nouveau. Je posais ma main libre sur sa tête comme signe de tendresse et lui caressais les cheveux, il gémit de plaisir au contact de ma main. Sans m’en rendre compte et comme si cela était naturel, j’étais au fond de sa gorge, je pouvais sentir lorsqu’il avalait littéralement mon sexe son nez sur mon pubis, et comme pour me montrer qu’il l’avalait entièrement, il mettait ses deux mains sur mes fesses et par une pression de ses mains, il enfonçait le plus profondément mon sexe dans sa bouche.

Il avait des haut-le-cur, mais pour me montrer le plaisir qu’il prenait, il restait mon sexe planté au fond de sa bouche. Sans volonté de ma part, j’étais en train de lui baiser la bouche.

Je sortis mon sexe de sa bouche pour le laisser respirer ! Il me regarda et me dit :

Tu aimes ?

Sans lui répondre, je lui remis mon sexe dans la bouche ! Il me suça de nouveau et au bout de quelques minutes, j’éjaculais avec un râle puissant d’une jouissance retenue au fond de sa gorge. Il avala toute ma semence sans en perdre une goutte ! Ensuite, il me nettoya le sexe.

Je descendis de mon escabeau, déposai mon pinceau, je m’approchais de lui tendrement, je pris sa tête entre mes mains, je l’embrassais sur la bouche ! Immédiatement, nos langues se sont trouvées ! Le baiser fut passionné ! Sa tête entre mes mains lui passa ses bras autour de mon cou ! Je le retournais lentement en essayant de garder le contact avec sa bouche, je le plaçais devant moi ! Mon bras gauche enserrant ses épaules, je me collais à lui, voulant qu’il sente mon sexe contre lui ! Sa tête se posa naturellement au creux de mon épaule, je l’embrassais dans le cou, ma main droite se glissa sous son sweat et parcourait son corps, sa poitrine, son ventre, ses petits tétons, à droite à gauche, je me régalais de la douceur de sa peau. Nathan s’abandonnait complètement à mes caresses. Quand je descendais ma main sur le bas de son ventre, je sentais un léger mouvement de son bassin en avant, je la remontais pour faire durer le plaisir.

Enfin, ma main se posa sur son sexe par-dessus son pantalon, son sexe était tendu, je le caressais, le malaxais, ma main plongeant le plus loin possible entre son entrejambe pour remonter sur son sexe. Nathan bougeait sa tête de droite à gauche, lâchant des « Oh ouiiiii » de temps en temps, il collait sa joue contre la mienne, cherchant un baiser. Avec ma main droite, je dessinais la forme de son sexe tendu sur son pantalon, partant de la base en remontant vers son gland. Je déboutonnais son pantalon, descendis la fermeture éclair de sa braguette, j’ouvris son pantalon, et repris mes caresses sur son sexe par-dessus son string. Une partie de sa queue tendue sortait de son string, je caressais ses bourses au travers le tissu du string et le haut de sa queue à même la peau. Le contraste entre les deux parties de son sexe m’excitait si bien que je commençais à bander de nouveau. Je relevais ma queue pour la coller contre ses fesses pour qu’il sente bien le plaisir qu’il me donnait également.

Je sortis complètement sa queue afin de la libérer et je commençais une lente masturbation m’appliquant à bien sentir son sexe dans ma main. Je le sentais défaillir, aussi j’accélérais le mouvement de ma main je voulais qu’il jouisse. Au moment où il éjacula, Nathan saisit de ses deux mains mon bras qui lui entourait le buste et jetait des mouvements du bassin vers l’avant, je pressais son sexe comme pour en extraire toute la sève.

Il se retourna dans mes bras et de nouveau, nous nous embrassions passionnément, nos mains parcourant le corps de l’autre. Nathan prit alors nos deux sexes dans sa main, le mien encore bandé, le sien plus mou, il les mélangeait comme pour les fusionner l’un à l’autre.

Je l’attrapais par les cheveux pour le décoller de ma bouche et rompis le silence.

Quel moment délicieux !

Oui, me répondit-il merveilleux.

Mais nous avons encore du travail, je te rappelle ! dis-je sur un ton humoristique.

Après avoir nettoyé toute trace de nos ébats, nous reprîmes le travail avec une nouvelle ardeur, en nous embrassant lorsque l’un passait à côté de l’autre.

12h30 sonnait, je lui proposais de faire une pause afin de déjeuner. Il vint vers moi, et de nouveau, se jeta dans mes bras.

Je lui proposais d’aller chercher des sandwichs, car je n’avais rien prévu. Nathan prit mes mains dans les siennes, et en me regardant, me dit :

Je peux te demander quelque chose ?

Oui bien sûr, répondis-je l’air interrogateur.

Je peux dormir chez toi ce soir ? J’avais promis à ma coloc de lui laisser l’appart ce soir, et quand j’ai fait ma promesse, je ne savais pas que tous mes potes ne seraient pas là.

J’étais un peu déçu par son explication, mais la perspective de passer la nuit avec Nathan m’enchantait.

Oui bien sûr, lui dis-je.

Il sauta en l’air de joie et vint m’embrasser en posant sa main sur mon entrejambe et me caresser le sexe.

Ne t’occupe pas de moi ce midi, je vais rentrer chez moi chercher des affaires pour le Week et je reviens après.

Avant de partir, je l’embrassais en le tenant dans mes bras.

Je partis chercher mon sandwich, remontai au studio, je mangeais rapidement mon maigre déjeuner pour me remettre au travail. La peinture était finie (monocouche) il me restait à vérifier les portes des placards, l’électricité, la tuyauterie ainsi que les robinets. Malgré le travail, je surveillais l’heure et le retour de Nathan.

Effectivement, Nathan fut revenu plus d’une heure plus tard ! En entrant avec un sac de sport que j’imaginais être ses affaires pour deux jours ! Il se jeta à mon cou et m’embrassa ! Il me glissa à l’oreille :

A nous le Week !

Mais avant, il faut finir le boulot !

Non, j’ai envie de toi !

Me serrant dans ses bras et s’accrochant à moi, je le repoussais gentiment, loin de m’imaginer la suite.

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