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De relation mere-fils à amants – Chapitre 5

De relation mere-fils à amants - Chapitre 5



Mais, ce mois de janvier pour ma mère était son mois de déplacement, elle partait toujours environ une semaine et demi au siège de sa société. Mi janvier, je me retrouvai donc seul à la maison. Si les un ou deux premiers jours pouvaient être sympas, rapidement jeus cette sensation de manque que même tous les messages un peu chaud que nous pouvions échanger ne pouvaient changer. Dans cette période je me suis donc vengé sur le rangement, ménage…… pour faire passer le temps.

Finalement ma mère m’annonça son retour pour le mardi soir et «pas de chance», cest le jour que mon père avait choisi pour être là.

Elle arriva vers 19H, toute pimpante, mais sa bonne humeur prit un coup de moins bien lorsquelle vit mon père.

Nous passâmes donc une soirée de plus ordinaires en famille, avec simplement quelques regards entre nous qui semblait traduire la même envie.

A la fin du repas mon père nous annonça quil allait jeter un petit coup dil à ses mails avant daller se coucher. Jattaquais alors le débarrasse de la table. A mon retour dans la salle je tombais bouche à bouche avec maman qui membrassait fougueusement, elle plaqua une main sur mon bas-ventre et commença à malaxer.

Elle se mit à genoux, ouvrit ma braguette et sortit mon sexe pour immédiatement lavaler. Elle commença à me pomper furieusement. Ses mouvements étaient rapides et énergiques et je ne pus résister longtemps à un tel traitement et lui envoyais mon foutre à grands jets dans la gorge. Elle faillit sétouffer mais avala gloutonnement toute ma semence.

Elle se releva, visiblement satisfaite.

-Eh bien javais peur dêtre la seule en manque mais je vois que non, mais espère pas ten sortir à si bon compte. Allez, bonne nuit mon amour et merci pour le repas.

Je remettais, un peu soulagé, ma bite dans mon pantalon, terminai de desservir la table et gagnai mon lit.

Au petit matin jentendis mon père partir vers 6H mais me rendormais instantanément.

Ainsi au son du réveil vers 7H je fis un bon dans mon lit. Après quelques minutes pour remettre mes esprits en place je descendais prendre mon petit déjeuner.

-Bonjour mon cur, bien dormi.

Ma mère était la vêtue dune sorte de robe en tulle totalement transparente sous laquelle elle portait un soutien-gorge rose, porte-jarretelle rose et bas blanc.

Cette vision et accueil matinal étaient des plus agréables.

Elle se retourna et mapporta sur un plateau mon petit déjeuner. Son visage était rayonnant et portait un maquillage léger et discret.

-Merci maman, tu es plus quen beauté ce matin.

-Ca te plait, cest une partie de mes emplettes de la semaine, il fallait bien que je tue le temps.

Je commençais mon petit déjeuner alors quelle continuai ce quelle était en train de faire.

Au bout de quelques minutes, elle revint vers la table de la cuisine et s’arrêta quelques instants devant moi.

Sa poitrine généreuse était littéralement remontée par son soutien-gorge et, cette situation commençait à durcir ma queue.

Soudain, elle recula la chaise de la table, sagenouilla et passa sous la table.

Une fraction de seconde plus tard sa main sempara de ma queue quelle commença à caresser.

Jécartai un petit peu les cuisses et elle sy faufila immédiatement pour enfourner ma queue dans sa bouche et commencer lentement à la pomper.

Ce petit jeu dura jusquà la fin de mon petit déjeuner.

Ma mère, me regarda alors et me dit

-Ca y est tu as fini.

-Oui, cest sans doute lun de plus agréable petit déjeuner de ma vie.

Elle a alors reculé, sest relevée a fait glisser son vêtement au sol et est venue s’asseoir face à moi sur mes genoux. Elle a passé les bras autour de mon cou.

-Et bien maintenant je crois que tu vas devoir toccuper de moi.

Elle avait dans les yeux ce regard si particulier que je connaissais maintenant, elle avait clairement besoin de sexe.

Mes mains se sont posées sur ses seins et ont commencé à les pétrir, petit à petit son souffle était de plus en plus court. Une de mes mains a commencé à descendre sur son ventre pour rejoindre sa vulve. Écartant les lèvres, deux doigts pénétrèrent son intimité et commencèrent à la branler

-hum vas-y mon amour branle moi, donne moi du plaisir.

Mes gestes étaient de plus en plus rapides et puisants, elle commençait à gémir de plaisir et finit par avoir un premier orgasme.

J’attrapais alors ma queue raide de désir et la pointait vers son sexe. Elle sempala alors immédiatement et à fond dessus.

— Vas-y défonce toi sur ma queue.

Elle me regarda à nouveau et commença à se pistonner elle-même avec ma verge. Ses mouvements étaient amples et réguliers histoire de faire durer le plaisir. Lexcitation et le plaisir montaient alors petit à petit dans nos deux corps.

Je lattrapais alors par le cou et commençais à lembrasser à pleine bouche. Elle se plaqua alors immédiatement contre moi et les ondulations de son corps s’accélérèrent.

Soudain, je fûts pris par lorgasme, éjaculai dans son intimité, ce qui eut pour effet de lui déclencher un nouvel orgasme.

Nous restâmes ainsi quelques minutes pour reprendre nos esprits. Elle se dégagea de ma verge qui commençait à perdre de sa vigueur.

-Merci mon cur. Ah au fait, jai contacté ton école ce matin. Je les ai prévenus que tu étais un peu souffrant et que tu resterais à la maison au moins ce matin…..

Puis elle disparut de la pièce.

Le message était assez clair, il était fort probable que ce moment nétait que la mise en bouche de la matinée.

Je suis donc parti dans la salle de bain pour me raser et un petit coup de frais. Un petit retour dans la chambre pour se vêtir un minimum et faire deux ou trois petits rangements.

Une petite demi-heure plus tard je sortais de ma chambre pour me rendre au salon et je vis ma mère en train de trier des fringues dans le couloir.

Elle avait totalement changé de look. Elle portait des cuissardes avec de hauts talons, une petite jupe en skaï qui moulait parfaitement son cul et un soutien-gorge noir pigeonnant. Ses yeux étaient outrageusement maquillés en noir et ses lèvres recouvertes dun rouge à lèvre rouge vif.

Cette tenue lui donnait lair dune vrai pute. Cette vision était plus quaguichante mais comment réagir, quattendait elle.

-Cest la fin de mon shopping, quest ce que cela tinspire.

Que répondre à cela. Je mavançais alors vers elle. Une pulsion me passa alors en tête, je lattrapais brusquement par les cheveux et lui roulais sauvagement une pelle. Je ressortais de sa bouche pour regarder son visage. Je la traînais par les cheveux jusque dans sa chambre et la jetais sur le lit. Elle semblait se laisser faire.

Je retirai alors mon pantalon, magenouillais à califourchon sur ses seins et lui fourrais la bite dans la bouche.

-Allez, pompe moi salope, fait durcir cette queue.

Elle commença à sactiver sur ma bite. Ses joues se creusaient pour pomper ma bite. Je commençais alors à lui claquer les seins. Elle commençait à gémir alors quen même temps je lui pilonnais la bouche. Au bout dun moment je sortais de sa bouche, ma bite était maintenant bien raide.

Je la fixai droit dans les yeux et lui dis:

-Vas-y salope, montre moi ce que tu sais faire pour me faire bander.

Assis sur le lit elle était maintenant face à moi.

-Allez caresse toi.

Elle commença à onduler son corps et caresser son corps langoureusement.

Une main se dirigea vers ses seins et lautre vers ses cuisses. Elle remonta sa jupe et caressa son bas-ventre ainsi que ses seins.

Je mapprochai alors et commençai à en faire le tour. Une fois derrière elle jadmirai son cul bien rebondi. Jouvrai alors largement la main et lui claquai les fesses. Un léger cri sortit de sa bouche.

Je repassai devant elle et me remis sur le lit.

— Vas-y caresse toi, fais-toi plaisir.

Ce spectacle dura encore quelques minutes.

— Vas-y maintenant, retourne-toi et montre-moi ton cul.

Elle sexécuta sans broncher, cambra légèrement les hanches et mexposa son cul.

Je me relevai et mapprochai pour ladmirer. Ses jambes gainées dans les cuissardes mettaient en valeur sa cambrure et son cul rebondi et ferme.

Je me plaçais à côté delle, relevai la main et commençais à la fesser. Chaque coup lui faisait maintenant émettre un cri.

Fessée ainsi cette salope mexcitait et javais maintenant une énorme érection. Je me plaçais alors derrière, je plaçai ma bite à lentrée de sa vulve et lenfilai dun seul coup. Elle cria de douleur, je lattrapai par les cheveux et me mis à la défoncer à grand coup de bite tout en la fessant de lautre main. Ses cris étaient de plus en plus intenses, entre souffrance et plaisir

-Tu jouis salope.

-Vas-y, continue de me défoncer, frappe moi.

Les relations étaient de plus en plus bestiales, lexcitation à son comble et au bout de quelques minutes de ce traitement, je jouissais et de longs jets de foutre partirent lui remplir les ovaires et lui tirèrent de longs orgasmes finissant par faire sortir ma queue de son intimité.

Je quittai alors la chambre, fis un passage rapide par la salle de bain et retournai dans la chambre pour finir la matinée.

Midi approchant, je descendais me préparer un petit encas pour le midi. Ma mère arriva un petit quart dheure après. Elle avait revêtu une tenue beaucoup plus classique pour aller bosser.

-Tu as préparé un petit quelque chose pour moi ?

— Vas-y sers-toi.

Nous avons partagé ce petit encas rapidement et nous sommes préparés à partir bosser ou aller en cours.

-Mon petit cur…

-Oui maman.

-Je ne savais pas que tu étais au moins aussi pervers que ta maman, me dit elle amusée

-Moi non plus mais bon….

-Tu sais je pense que je nai jamais pris autant de plaisir avec toi quavec un autre homme.

-Maman.

-Non cest vrai, nous sommes vraiment en symbiose, je sais que peut être ce nest pas bien ce que nous faisons. Au début je pensai que ce ne serai quune aventure mais maintenant jai besoin de toi, tu mas permis de redevenir femme, et ça mon cur cest un super cadeau, merci.

-De rien, cest peu être pas bien ce que nous faisons mais ça nous rend heureux tous les deux alors……

-Je taime mon cur. Allez, je dois y aller, à ce soir.

-A ce soir maman.

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