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Denise, la terrible mère apprivoisée – Chapitre 3

Denise, la terrible mère apprivoisée - Chapitre 3



LA GRANDE PEUR :

Oui, mes jambes tremblent et jai très peur. Ma mère et son amant vont me découvrir maintenant, cest sûr. Le pire va marriver aujourdhui. Maman va mattraper par les cheveux, me les tirer et me faire très mal comme dhabitude, et Robert va laider à me corriger !

Comme une préadolescente quun rien effraie, et qui dès ses premiers émois de prépuberté se met à simaginer que tous les hommes de 15 à 75 ans quelle voit dans la rue sont en train de la suivre et ont envie de la violer, jen suis à penser que je vais me faire taper par ma mère et violer par son amant. Robert va menfoncer sa tige dans mon fondement sans me ménager, histoire de me dresser pour ce que je viens de commettre en les espionnant.

Denise, je lai vu se faire sodomiser et arroser le visage du sperme de Robert en quantité abondante, alors cest sûr, elle va lui dire de me faire bouffer son sexe et ils vont me foutre des trucs dans le cul pour me châtier.

Je regrette atrocement davoir fait ce que jai fait. Jaurais aimé navoir jamais été ici en ce moment. Déjà jai les larmes aux yeux, et déjà je fais la moue avec mes lèvres comme une petite pleureuse qui va recevoir sa punition. Je vais pleurer, nu, désemparé, voyeur, pervers, fautif.

SAUVÉ !

Au lieu de tout cela, Robert enfile ses fringues sur place, puis file droit vers la porte de sortie. Ouf, il quitte notre demeure !

Je suis soulagé un peu, car même si elle mattrape, elle est seule maintenant et je sais que je la remettrais à sa place. Nous sommes à égalité.

Cest tant mieux quelle fonce aux WC, pisse bruyamment, puis retourne vite remettre ses habits. Quelques secondes face au miroir du couloir, elle ouvre la porte et sort à son tour.

LA SEXTAPE DE MA MÈRE SUR DVD !

Seul dans lappart à nouveau, je range tout dans sa chambre mais un carton bien fermé avec du scotch large, en haut du placard mintrigue. Scratch : jouvre, et quest-ce que je trouve ? 5 DVD, un vibromasseur à pile et un Plug anal !

Je file au cybercafé, je fais graver la baise torride de ma mère. Ensuite je visionne les 5 DVD que ma mère a cachés : Et là, cest mon deuxième choc de la journée: cest moi, pendant mes masturbations !

La prise de vue de mes branles correspond exactement à lemplacement du bric-à-brac au-dessus de larmoire de ma chambre. Elle a dû donc planquer là cette foutue caméra au milieu du fouillis et je nai rien remarqué.

Je regarde hébété, confus tandis que mes images honteuses défilent, cest que lorsque je me masturbe, quand mon orgasme approche, jai toujours envie de menfoncer un truc dans lanus: Le majeur de ma main gauche, une chandelle, des stylos, létui du thermomètre. Pendant lorgasme, je me tords comme une femelle, et je sors ma langue comme une suceuse. Maman a donc tout vu. Ma honte !

Je comprends pourquoi sa main, savonneuse pendant mes douches, sattardait tant dans la raie entre mes fesses, et pourquoi la pulpe de ses doigts appuyait tellement bien sur mon trou. Jaimais la sensation de cet appui, je lavoue, mais quand il mest fait par maman seulement.

Le soir, on parle peu. La bouffe, la salle de bain, nos chambres. On dort assez tôt ce soir.

MA CONFIANCE RETROUVÉE :

Le lendemain au lycée, la première chose que je fais, cest douvrir mon casier délève, et jy fourgue les DVD de mes branles ainsi que ceux de maman avec Robert.

En classe, jy repense :

Dabord, pourquoi, elle na encore rien dit ? La réponse me parait évidente ! Surement pour me faire chanter, et que jaccepte daller sans histoires en internat.

Ensuite, me filmer nu dans des scènes hard, ça lui en coûterait si je la dénonce ! Cest à elle davoir peur de moi ! BINGO !

Enfin, baiser avec Robert devant moi, cest aussi grave légalement : RE-BINGO !

JE CONTRE-ATTAQUE ET MA MÈRE SUBIT :

Au déjeuner, elle comment la faute de trop, en me parlant sèchement: comme à son habitude:

— Dis-donc toi, tu réfléchis de temps en temps à ton avenir, ou bien ça aussi, il faut que je le fasse à ta place ?

Ma réponse va la mortifier:

— Jai déjà un travail, Denise: Cinéaste ! Attends, je te le montre mon premier film.

Je me lève, et de mon sac à dos je tire un des DVD que jai gravés. Je reviens vers elle en la fusillant du regard:

— Tiens regarde ce disque, cest mon premier film, le titre cest: Denise, linstitutrice sur canapé.

Elle devient blême dun coup ! Je mets en place le disque dans lunité centrale, jallume, et les premières images apparaissent. Elle est sonnée, sarrête de bouger, et même de respirer.

Elle me regarde paniquée, en plein désarroi, se met à pleurnicher. Elle tente de reprendre la situation en main, se lève en larmes, et va en courant vers sa chambre, elle se met à chercher le carton que jai déjà confisqué, et là, elle mentend lui dire:

— Pas la peine, les disques ne sont plus dans notre appartement. Me filmer nu dans des scènes hard ! Tu sais comment ça sappelle ? Tes foutue si je te dénonce ! Foutue !

— Albert…, je…, mais…, je…

— Tu sais que tu as commis un délit très grave ? Tu mespionnes et tu menregistres, cest très grave, tu comprends ? Les disques, je les ai cachés. Cest des preuves, des pièces à conviction. Tu comprends, dis ?

— Albert… Je… Je ten prie non, je suis ta mère…

— Ferme là Denise, ferme-la ou je ménerve !

Jajoute :

— Soit tu tassois gentiment et on regarde tous les deux et jusquau bout ce que tu faisais avec Robert, soit je vais sortir tout de suite te dénoncer avec en main, les enregistrements que tu as faits de moi.

Elle me recarde terrorisée, je la pousse doucement sans la brusquer sur le même fauteuil où Robert la baisée. Je reprends du début la lecture du DVD, et ses images avec Robert reprennent, avec le son bien audible.

Elle regarde, la tête basse, mais elle regarde. Le type lui défonce tous ses trous. Je me suis tiré une chaise toute proche sur laquelle je massois à côté delle. Le pied !

Quel spectacle et quelles émotions. Elle reste muette, tandis que je commente sous lemprise de mon excitation:

— Tu suces bien, tu sais.

— Là, jaime beaucoup ! Comment quil va te sodomiser !

— Tes merveilleuse à 4 pattes, mon cur, tas un très beau cul, tu sais…

— Jadore quand tu te mets à hurler pendant tes orgasmes.

— La quantité de sperme quil te déverse dans la bouche ! Incroyable !

— Cest que tu adores avaler le sperme !

Une fois, le visionnage terminé, elle est complètement KO.

Et je lachève :

— Jai fait 7 autres copies. Tiens la liste des destinataires. Et je lui lis à voix haute avec mes commentaires:

1-João Guimarães, le mari de la concierge.

2-Constance, la directrice de lécole où tu bosses.

3-Marie, ta maman trop fière de toi, comme cest elle qui a poussé papa au divorce et ne ma jamais porté dans son cur.

4-Martine ton amie lesthéticienne du coin, et qui connait toutes les langues de vipère du quartier,

5- Gilbert le charcutier qui en fait toujours trop avec son respect excessif pour toi

6-Mouloud, lépicier, lui cest pour quil montre aux clients qui viennent tard acheter un truc à bouffer, ceux-là aussi ont le droit de voir

7- Le directeur de lAcadémie, pour que Robert et toi, soyez virés et plus jamais ne soyez autorisés à exercer dans toute la France, ni au public ni au privé !

Elle sanglote maintenant, elle me supplie:

— Albert, non ! Je ten supplie, pas ça, jen mourrais ! Tu te retrouveras seul au monde.

— Jirais bosser dans le garage de Papa à Nice, cest mieux que ton foutu lycée de mes deux en Bretagne !

La tête basse et les yeux au sol, elle balbutie encore :

— Tauras tout ce que tu voudras ! Je ferais tout ce que tu voudras.

— Tes une bonne fille Denise

Sans même la regarder, je vais aux toilettes et pour la première fois de ma vie, je laisse exprès la porte des WC ouverte, je pisse bruyamment.

Je retourne vers elle qui est livide et je lui tiens le minois fermement entre mes mains. En la fixant doit dans les yeux à moins de 10 centimètres, je lui ordonne :

— Tu vas me faire le plaisir daller immédiatement tirer sur la chasse deau aux WC, ensuite tu reviens pour que je te dise quoi faire.

Elle se lève la tète basse et fait exactement ce que je lui ai ordonné. A son retour, je lui assène :

— Ramasse toutes mes affaires de ma chambre et mets-les dans larmoire de ta chambre à coucher, et mets toutes tes affaires dans le placard de ma chambre. Denise, on change de place à partir de maintenant ! Une objection ?

— Je vais faire tout ce que tu veux mon chéri. Tu es mon fils que jadore et je ne cherche que ton bonheur et ton confort mon cur.

— Bien ma grande, alors commence à ranger tout de suite.

Après 10 minutes, rien nest transféré, cest que la tache peut prendre une bonne journée et ne peut pas se faire rapidement, alors je lui dis:

— Bon, laisse ça maintenant, tu le feras le soir mais tu dégages tout de suite de ma nouvelle chambre car je veux faire une sieste. Apporte-moi mon pyjama et gare à toi si ti me parles daller au lycée cet après-midi.

Sans un mot, elle apporte mon pyjama que je mets sans me préoccuper de sa présence et je lui dis :

— Je tai assez vu Denise, va à ton école bosser, tes déjà en retard, et à ton retour, apporte-moi un steak et du coca en canettes. File maintenant !

— Daccord mon chéri.

Elle quitte lappartement et moi je reste ! Je me suis étalé en pyjama dans ses draps et elle na pas osé sopposer. Cest le bonheur !

MA MÈRE EN VOIE REÉDUCATION :

Elle revient vers 18 heures chargée de cadeaux et de friandises.

— Coucou ! Albert !

— Je regarde le PSG à la télé. Tas amené le steak ?

— Oui trésor. Et plein de choses aussi que tu aimes.

— Fais gaffe par cette chaleur, tu ne sens pas la rose, va prendre une douche.

— Oui mon chéri. Je te montre ce que jai amené et après je file à la salle de bain.

— Denise ! Tu ne sens vraiment pas la rose ! Va prendre une douche, jai dit !

— A vos ordres, mon Général !

La voilà qui me fait de la lèche quand je linsulte ! Cest bien.

Ça roule parfaitement, elle sort de sa douche assez vite et me tend des confiseries et du chocolat haut de gamme.

— Prends ça mon chéri, cest bon pour le cerveau parait-il, avec tes examens qui approchent.

Elle enchaîne :

— Tas voulu un steak, eh bien jai acheté un grand morceau de Rumsteck que je vais te préparer et cuire au four. Ça va être un régal pour nous deux.

— Et le Coca ?

— Le paquet de 6 canettes pour Messire !

— Ok, file maintenant à la cuisine, je veux dîner tôt ce soir.

— A vos ordres, mon Général.

LA NUIT COMMENCE BIEN…

Ce fut le meilleur dîner de ma vie, putain que cétait bon.

— Noublie pas Denise, dorénavant, tu seras « bien habillée » pour tous les diners. Pigé ?

— Tu as raison, ma garde-robe est pleine à croquer, quelle serve !

— Ok, maintenant va prendre les frocs qui te servent à dormir, tu les mettras dans ta nouvelle chambre au moment de dormir. Après que tu auras tout rendu clean dans la cuisine ! Je vais voir un film à la télé et quand jirais me coucher, je ne veux surtout pas te trouver dans ma nouvelle chambre. Allez !

Les yeux rouges et la tête basse, elle sexécute en silence. Croyait-elle quelle allait mavoir avec un bon gueuleton et du chocolat, et me faire oublier le changement des chambres ?

Le film sur M6 commence ainsi, 36 15 ULLA vous présente le film de la soirée : Lamant de Lady Chatterley. Un film érotique à chier pour les vieux. Mais érotique quand même.

Je nai pas vu ma mère quand elle avait fini sa vaisselle, mais elle sétait assise sur le deuxième fauteuil et regardait avec moi la dernière partie du film. Les scènes de cul me font bander. A la fin du film, jallume la lumière et jéteins la télé. Elle se lève pour aller à la cuisine boire de leau, je regarde ça du coin de lil sans y accorder trop dintérêt. Devant ma nouvelle chambre, je lapostrophe ;

— Tu nas plus besoin de rien ici ? Faudra pas me déranger dans mon sommeil parce que tu auras oublié quelque chose, hein !

— Non cest bon, bonne nuit Albert.

— Bonne nuit Denise, tu verras, tu ty feras avec ta nouvelle chambre.

Sur ce, je ferme la porte de ma nouvelle grande chambre à coucher, jai conquis lEldorado des draps. Et pas besoin de beaucoup de temps pour me retrouver dans les bras de Morphée.

JE ME RÉVEILLE AVEC MAMAN A MES COTES SUR MON NOUVEAU LIT.

Vers 1 heure du matin, je me retourne dans mon nouveau lit et je butte sur… Maman. Ça me réveille et je mets un moment à essayer de comprendre, puis jallume la veilleuse. Denise me regarde allongée et me dit ;

— Jamais je ne pourrais trouver le sommeil ailleurs quici.

— Tes gonflée quand même.

Ma surprise passée, je décide ;

— Bon pour cette nuit uniquement. Maintenant laisse-moi dormir.

Jéteins. Je tente de replonger dans mon merveilleux sommeil mais elle rallume de son côté.

— Quoi encore Denise ? Tu ne vois pas lheure quil est ?

— Tu penses quoi du film quon a vu Albert ?

— Ma parole Denise, tu ne veux pas dormir à la fin ? Cest fini maintenant ? Eteins sil te plait et endors-toi à la fin !

Non seulement sa veilleuse reste allumée mais la voici qui se met à me caresser les cheveux alors que je suis de dos. Je décide de ne pas broncher en espérant quelle se lasse et finit enfin par me laisser dormir. Mais petit à petit, elle senhardit et finit par coller tout son corps plaqué contre le mien. Son buste contre mon dos et son bassin contre mon cul. Comme je suis de côté couché sur mon flanc gauche, son bras droit est par-dessus mon flanc droit et sa main droite sest mise contre mon torse. Je reste immobile. Mais je comprends quelle cherche à me manipuler.

La sensation de son corps chaud et onctueux dans mon dos, ses seins qui appuient sur mon dos, Son souffle sur mon cou, son pubis bombé et plus chaud que le reste quelle a inséré sur ma raie des fesses, tout ça finit par menivrer je lavoue. Je ne trouve rien dintelligent à dire à part :

— Il fait chaud…

Je soupire en disant cela. Cest con bien sûr, mais je trouve rien dautre à dire tellement je suis confus. Et elle comprend que cest le moment dattaquer. Je me laisse faire comme une pute quand elle me saisit le visage, le tourne vers elle et menfonce sa langue dans la bouche et se met à laper du bout de sa langue toute ma cavité buccale longuement. Je finis par en gémir dune façon pathétique, passivement, comme la plus faible créature au monde qui se fait manger sans avoir la force de protester.

Mon excitation est à son comble mais elle a toujours la langue pleinement dans ma bouche et elle se délecte de ma faiblesse et de mes gémissements pitoyables. Décidément elle a le dessus sur moi comme dhabitude.

Elle me tire de lépaule et me fais allonger sur le dos. Cest elle qui monte sur moi et sallonge au-dessus de moi. Elle mécrase sur toute ma longueur. Je nai pas la force de résister. Cest trop délicieux. Moi jai mon pyjama, et elle, sa nuisette et sa culotte. Son pubis écrase mon pénis et ses seins saplatissent contre ma poitrine.

Elle me regarde droit dans les yeux, sentant quelle me domine, elle en rajoute ;

— Albert, tu es une petite salope, tu sais. Cest ici dans ce lit que je dormirais toujours, et si tu nes pas daccord, tu na quà me dire darrêter maintenant, petite frappe, va ! Alors tu veux toujours que je retourne dans ton ancienne chambre ?

Pour toute réponse, je nai que la force de gémir comme une lopette :

— Ennnnn, Ennnnnn !

Comprenez : Non, Non !

Elle me sourit triomphante et dominatrice, et me garde dans cette position en me regardant droit dans les yeux tandis que je rougis et la regarde avec des yeux implorants dune pauvre biche capturée.

Un bon moment et elle desserre létreinte, se dégage un peu, et dressée sur ses deux genoux sur notre lit, elle ôte la nuisette. Je suis au bord de la syncope. Ses deux mains se positionnent derrière ses fesses et elle baisse sa culotte puis se lenlève de la jambe droite puis gauche. Jai toujours mon pyjama, et sa vulve mécrase le pénis, je ne peux mempêcher de sursauter :

— Euuuuuuuuuuuuu.

Elle répond :

— Ma pucelle, tu vas voir.

Puis elle enfonce 3 doigts de sa main droite dans ma bouche. Elle les tournoie sur les parois de ma cavité buccale, les ressort, mappuie avec, sur mes lèvres bien fortement avec des mouvements circulaires rapides comme quand une fille se masturbe sa chatte, puis les replonge dans ma bouche à fond et rebelote.

Je commence par mourir à petit feu dextase et dexcitation, totalement à sa merci. Elle déboutonne la veste de mon pyjama et me lenlève sans ménagement, puis elle se jette sur mes tétons goulument, et je fais

— Aaaaahhh !

Elle sarrête et me regarde, surprise de ma sensibilité à cet endroit et triomphante, même fière et cynique. Ça lamadoue quand même un peu, car elle menlève le pantalon du pyjama moins brutalement, et nous nous retrouvons tous les deux crus et nus. Elle me prévient :

— Je vais être gentille avec toi, mais personne ne devra jamais savoir.

Cest linstant où dun coup, je suis revigoré et je reprends mon attitude de lion dominateur : Je lui prends de ma main droite le visage, et tenant bien son minois en face de moi, je la fixe droit dans les yeux e jet lui assène :

— Tu es libre de dormir où tu voudras, et si tu veux te donner à moi uniquement pour rester dans cette chambre, ce nest pas la pine de te donner tant de mal, reste ici et prends ton aise éternellement si tu le veux. On nen parle plus. Seulement sache aussi que jamais je ne bougerais dici moi non-plus. Quitte à nous acheter 2 lits séparés si tu veux. Pigé?

— Chiche ! Il y a de la place pour deux sur ce lit, gros bêta…

Nous nous regardons dans les yeux un bon moment, malheur au premier qui baissera les yeux. A la fin, nos deux bouches se soudent amoureusement dans un baiser torride et profond. Il ny a ni gagnant ni perdant. Egalité. Nous avons tous les deux faim de sexe et de baise, et tous les deux, voulons notre assouvissement maintenant. Cest un consentement mutuel de 2 gagnants, chacun ayant obtenu ce quil voulait.

Elle me dit :

— Laisse-toi faire, cest tout.

Je réponds :

— Jai toujours eu envie de te sauter le cul Denise, et cest ce que je vais te faire maintenant !

Je lui tiens le visage de mes deux mains et droit dans les yeux, je lui dis :

— A quatre pattes !

Pour toute réponse, elle avance sa vulve contre mon gland qui me fait sursauter.

Elle tente de le faire pénétrer dans son abricot, je recule !

Elle cherche à embrasser mon sein gauche, je recule encore.

— Quas-tu enfin ? Tu veux plus de moi ?

— Eh ben non Denise, je veux plus baiser !

— Et moi je ne te lâcherais pas Albert, et je vais ten faire voir. Ne recule plus, tu mentends ?

— Tu as raison au fond, passé 40 piges, seule la moule reste intéressante. Tes fesses, ça doit plus être tellement ça !

— Sale gosse pervers, tu vas voir ça.

Et elle agrippe ma tige turgescente de la main droite, lavale jusquà la hampe, la ressort toute mouillée de sa salive, se retourne devant moi et mordonne :

— Tu vas me lenfoncer doucement dans le cul, mais dabord le gland et puis arrête.

Loccasion est trop belle, ni une ni deux je pousse mon gland à travers son orifice arrière. Voilà, jencule maman !

Waw, jai gagné ! Je suis devenu son homme !

Elle obéit, consentante, tellement consentante quelle mordonne de lenculer. Je vais pénétrer mon pénis dans son vagin, dans sa bouche, lui éjaculer dans son ventre, dans ses fesses, dans sa gorge et elle avalera mon sperme de jeune garçon.

Son vagin, sa grotte, sa fournaise, son antre de la vie et de lamour, cest à moi dorénavant. Je vais men servir pour me masturber en elle maintenant, sur ce lit, mon nouveau lit, notre lit dAmour.

Son clitoris, son pubis, ses fesses, ses seins, ses lèvres, tout, absolument toutes ses chairs, sont à moi. Son dos, son ventre, toute sa peau chaude et onctueuse, tout est à moi, pour moi

Le moment de la première pénétration de mon gland dans son anus est passé merveilleusement bien, alors je pousse doucement, doucement mon sexe turgescent jusquà la garde. Ma hampe est complètement engloutie dans ses chaudes parois serrées et mon bassin cale ses fesses et les écrase.

La nuit sera longue et délicieuse, et en ce moment, jai cette pensée-là : Quelle bonne sensation de pénétrer lanus dune femme ouverte: Cest chaud, serré, doux, tendre, onctueux. Cest bon denculer sa mère ! Alors on continue !

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