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Des vacances bouillantes – Chapitre 1

Des vacances bouillantes - Chapitre 1



Je m’appelle Jérémie, je viens d’avoir 18 ans en ce vingt-deux juin. Comme d’habitude, c’est l’effervescence autour de cet anniversaire. Étant toute l’année en internat, je n’ai pas l’occasion de voir régulièrement les membres de ma famille. C’est donc en ce jour que j’ai fait connaissance de la nouvelle compagne de mon père.

C’est plutôt une belle femme, les cheveux blonds frisés, une paire de fesses légèrement bombées, et surtout une paire de seins assez imposants. Lors de cet évènement, je retrouve aussi des cousins et cousines que je côtoie généralement l’été pendant les vacances. Les festivités se déroulent le plus simplement du monde, puis mon père Rodolphe me gâte, il a décidé de me payer le permis de conduire, puis de m’offrir ma première voiture.

Les autres membres de la famille m’offrent des banalités, parfums, tee-shirt de marque, et des enveloppes contenants certainement de l’argent.

En fin de dîner, mon paternel explique son projet pour les vacances, viendra qui voudra comme il dit souvent. Cette année, il souhaite partir en camping sauvage au bord d’une rivière qui se nomme la Nive au pied des Pyrénées, sans téléphone, ni autres gadgets informatiques en tout genre. Je dois avouer qu’au fond de moi, j’ai un peu de mal avec cette proposition mais pourquoi pas, après tout, c’est très ressourçant de se retrouver en pleine nature.

Karine, la compagne de mon père est plutôt satisfaite de cette idée, je valide à mon tour, ma cousine Louise fait de même ainsi que ma tante et mon oncle qui sont ses parents. Les autres ne sont pas enchantés par cette aventure, préférant le sable de l’océan.

Nous arrivons à la date de départ. Nous sommes le sept juillet deux mille dix-huit. Ayant un monospace contenant sept places, tous les membres de la famille partent dans le même véhicule. Il est aux alentours de neuf heures lorsque nous partons.

Au bout d’un moment, nous arrivons à destination. Rodolphe stationne le véhicule sur une aire prévue à cet effet, puis nous prenons nos tentes et sacs à dos. Nous marchons environ, dix kilomètres, la chaleur est étouffante, puis nous arrivons sur un espace libre donnant sur le bord de la rivière. Le décor est somptueux, nous sommes presque au pied de la montagne.

Nous installons les tentes, nous nous aidons mutuellement, puis très rapidement, j’enfile un short de bain afin de faire une baignade bien méritée. Visiblement, je ne suis pas le seul dans ce cas puisque les membres de ma famille ont fait de même.

Nous nous prélassons dans cette eau, un peu fraîche, mais d’une clarté incroyable. Avec ma cousine, qui a vingt-quatre ans, nous nous amusons comme des enfants, on s’arrose, l’ambiance est vraiment superbe. Étant fils unique, je l’ai souvent considéré comme une grande sur. De ce fait, nous nous sommes toujours bien entendus. Elle n’est pas très grande, un mètre soixante pour cinquante kilos, autant dire qu’il s’agit d’un poids plume. Ses seins sont plutôt agréables à regarder, mais c’est surtout la cambrure de ses reins qui me fait fantasmer.

Les parents quant à eux sont beaucoup plus sages, ils font quelques longueurs, et discutent de tout et de rien.

Lorsque je regarde en leur direction, je ne peux m’empêcher d’admirer le corps de ma belle-mère. La fraîcheur de l’eau fait généreusement pointer ses tétons, ce que ne manque pas de regarder Gérard mon oncle. Sacré coquin, me dis-je dans mes pensées. Je me fais sortir très rapidement de ce moment d’absence, par un pincement de Louise sur les fesses. Aurait-elle vu la direction de mon regard ? Je ne le sais pas, toujours, est-il que je prends ce geste pour de la taquinerie, puis j’arrose de nouveau ma cousine, puis lui coule de temps en temps la tête sous l’eau.

Des vrais gamins, comme le disent souvent les parents. Mon père sort de la rivière, suivi par sa partenaire et les autres. Nous faisons de même. Nous profitons des quelques rayons de soleil pour sécher puis nous partons à la recherche de bout de bois afin de préparer un feu de camp.

Avec Louise, nous nous attelons à cette tâche. Mon paternel a disposé des pierres en rond. À notre retour, nous y mettons le bois, puis le feu jaillit. Cela nous réchauffe un peu, mais avec la lourdeur du temps, cela est presque désagréable.

Rodolphe a dans son sac tout l’équipement du campeur, et distribue des sandwichs à tout le monde. Une fois de plus, nous discutons de tout et de rien. La nuit commence à faire son apparition. Je me couche dans ma tente que je ne ferme pas afin d’avoir de l’air.

Mon père et Karine se retrouvent tous les deux, et les autres membres de la famille font de même. Je tourne, vire, j’ai un peu de mal à m’endormir à vrai dire. La chaleur est étouffante quand soudain le grondement de l’orage fait son apparition. Tant mieux, me dis-je, cela va permettre aux températures de baisser.

Quelques gouttes de pluie commencent à tomber du ciel, puis très rapidement l’averse devient un peu plus violente. Heureusement, que nous sommes sur un sol dur, car sur de la terre nous serions envahis de boue. Malheureusement, les précipitations ne se calment pas, la grêle arrive à son tour. Dans un premier temps, il ne s’agit que de petits grains de glace, puis très rapidement ces derniers grossissent d’une façon improbable.

Ils font quasiment la taille d’un uf de poule. Avec l’intensité, les toiles de tente commencent à être percées. Louise prend peur, et se réfugie dans mes bras, de son côté mon père fait de même avec Karine. Au bout d’un quart d’heure, le déluge s’arrête. Pour ma part, j’ai une légère contusion sur le bras. Soudain, nous voyons des lumières balayant les environs.

Nous crions afin de prévenir de notre présence, les pompiers et gendarmes arrivent accompagnés d’un guide de montagne. Ils nous raccompagnent au parking, effectuent les premiers soins. Par chance, personne n’est blessé sérieusement. Malgré la mésaventure, je ne peux m’empêcher de voir les regards assez vicieux de la gent masculine sur la poitrine de ma belle-mère. Avec sa nuisette, il est bien difficile de cacher quoi que ce soit.

Mathieu, le guide de montagne nous propose de venir dans son corps de ferme afin de nous mettre à l’abri. Cette dernière se situe à proximité de notre lieu de camping. Nous le suivons, entre temps, les gendarmes ont sermonné mon père suite au manque de prudence.

La météo est tellement changeante en montagne qu’effectivement, il aurait dû prendre des précautions. Après tout, cela fait partie des aléas de la vie. Après quelques minutes de marche, nous arrivons à la ferme. Nous sommes accueillis chaleureusement par la femme de Mathieu. Elle se prénomme Catherine, elle est un peu rondouillette, mais sans plus. Elle nous propose un café, puis des serviettes de bain.

Nous buvons ce breuvage qui réchauffe nos corps et curs. Tous les membres de la famille sont partis se doucher, se sont aussi changés. Tout le monde remercie chaleureusement le couple, puis il est temps de dormir. Le seul bémol est que je me retrouve avec Louise dans la même chambre.

Sans gêne, cette dernière se met en sous-vêtement, je reste bouche bée pendant quelques secondes, puis elle me rappelle à l’ordre expliquant qu’elle est ma cousine et non ma petite copine. Je me confonds en excuse, puis me mets, torse nu et en caleçon.

J’essaye tant bien que mal de cacher la bosse qui déforme légèrement mon sous-vêtement. N’ayant jamais eu de relations sexuelles, les hormones ne cessent de travailler à la vue d’un corps légèrement dévêtu.

Nous nous allongeons côte à côte. J’ai subitement une envie pressante. Je retourne dans la pièce de vie, et demande à Catherine où sont les toilettes. À ma grande surprise, j’y croise Karine qui est en peignoir, assise sur une chaise, elle tient une tasse de café d’où sort une légère fumée.

Ne tenant plus en place, je pars faire ma petite affaire. Je repasse devant la porte qui est désormais à demi-fermée. Je ne peux m’empêcher d’y jeter un coup d’il. Ce que je vois à présent est totalement inédit.

La femme de Mathieu tient dans sa main un pot, sans doute une crème qu’elle applique avec délicatesse sur les épaules de Karine. Plutôt, que de retourner dans ma chambre, je reste là, statique. Ma belle-mère penche la tête en arrière et se fait masser.

Catherine semble douer dans cet exercice puis ses mains descendent petit à petit sur les clavicules de la compagne à mon père. La scène est d’une sensualité incroyable, je suis déjà en érection.

Soudain, Karine ouvre les yeux afin de plonger ses lèvres sur la tasse de café. Elle ne se doute de rien, par chance, le couloir dans lequel je me trouve est totalement sombre, je suis invisible.

Le massage se poursuit, ma belle-mère referme les yeux, puis se laisse guider par cette sensation agréable. Les mains de Catherine continuent de descendre petit à petit. Elles sont désormais sur le haut de la poitrine de Karine. De mon côté, l’érection est totale. Je ne peux m’empêcher de mettre ma main sur ma bosse.

Tout à coup, la compagne de mon père défait le nud de son peignoir. Apparaît alors cette fameuse poitrine. Les seins de cette dernière sont bien ronds, semblent fermes, et tiennent bien en place. Par manque d’expérience, je ne pourrais dire la taille de ces derniers, mais ils sont assez imposants. La femme de Mathieu ne se fait pas prier pour continuer son massage.

De là où je suis, je comprends très vite qu’il s’agit maintenant de caresse, cette dernière prend les seins de Karine à pleines mains, les malaxe, titille même les tétons qui se dressent fièrement.

Catherine guide maintenant la compagne de mon père. Elles ont légèrement reculé la chaise, puis s’embrassent. Les attouchements sont beaucoup plus précis. La femme de Mathieu tète la poitrine de ma belle-mère, aspire les tétons, puis se redresse afin d’enlever le haut de sa robe.

Malgré son embonpoint, je la trouve plutôt jolie, et ses seins semblent bien lourds. Ils tombent légèrement, mais rien de déstabilisant. Karine profite de cet instant pour la caresser. Les soupirs expriment leurs émotions réciproques.

La femme de Mathieu déplace la tasse de café, puis s’assoit sur la table. Elle soulève le bas de sa robe, baisse sa culotte puis prend la tête de la compagne à mon père entre ses mains. Elle la dirige en direction de son puits d’amour. D’où je suis, je ne peux voir la scène. Les bruits de succion ne me sont pas inconnus, je suis peut-être puceau, mais j’ai déjà regardé des films à caractère pornographique donc j’imagine très bien ce qui se passe.

Les deux femmes échangent leur place, j’ai aperçu Karine complètement nue, et je comprends désormais la passion de mon père à son égard. Quand soudain, une main caresse mon épaule, je sursaute, puis cette même main se pose sur ma bouche. Je reste bien entendu silencieux, et vois Louise.

Elle me pousse légèrement, observe la scène que j’étais en train de voir. Dans la pénombre, je peux voir ses yeux gros comme des billes. Je ne peux plus rester ici, je ne sais pas ce qu’elle pense de mon acte, et file dans la chambre, à pas de loup.

Elle me suit, puis entreprend une conversation. Elle est tout d’abord surprise par le comportement de Karine, puis m’accuse de gros pervers. J’interviens aussitôt en lui disant que je ne pratique pas ce genre de choses régulièrement. Elle hausse les épaules, puis comme nous nous sommes toujours tout dit, je lui avoue une vérité embarrassante. Je lui explique que je n’ai jamais eu de rapports sexuels et que forcément à la vue de ces deux femmes, je ne pouvais m’empêcher de regarder.

Dans un premier temps, elle affiche un sourire moqueur. Je lui demande de respecter cet aveu. Elle semble un peu plus conciliante. Il est vrai que notre entente et nos petits secrets de jeunes adultes n’avaient jamais passé le cap de la sexualité.

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