Histoires de sexe Histoires de sexe français

Descente aux enfers – Chapitre 1

Descente aux enfers - Chapitre 1



DIDIER ou le bonheur dêtre esclave

Jai découvert ma vraie nature dhomme soumis grâce à une amie de mon épouse et dans des circonstances où je dois bien

lavouer je nétais pas exempt de tout reproche.

Ma femme Florence avait son cours déquitation tous les mercredi après-midi et attendait que son amie Corinne vienne la chercher.

Lappartement était dans un désordre indescriptible, mes affaires traînaient ici et là, les cendriers regorgeaient de mégots et

lévier de la cuisine débordait de la vaisselle de la veille. Depuis que nous vivons ensemble, Florence tente en vain de lutter

contre mon côté bohème, râle contre le foutoir, me fait remarquer que jai été mal éduqué, que je suis un sale égoïste mais

abandonne toujours la partie, semble se résigner

Corinne na pas le même caractère que Florence. Elle ne manque jamais une occasion pour lui faire remarquer quelle est trop

faible avec moi et que si elle était à sa place les choses se passeraient autrement Mais en usant de mon charme, jarrive toujours à faire ce que je veux avec Florence

On sonne à la porte. Corinne est sur le palier en tenue de cavalière et Florence qui est également prête vient lui ouvrir. Avant de partir, Florence me demande de ranger le salon pour quà leur retour elles puissent prendre le café, et si je pouvais aussi faire la vaisselle je serai un chou

Corinne est une jolie brune plantureuse au regard dur qui a une piètre opinion des hommes en général et on ne lui a jamais

connu de liaison régulière. Quand elle me regarde dans les yeux avec arrogance comme pour me défier, je baisse instinctivement la tête comme si je me sentais coupable de quelque chose à son égard. Elle lavait remarqué et cela semblait

lamuser

A leur retour lappartement était toujours dans le même état et cest seulement vêtu dune sortie de bain que jallai ouvrir aux deux cavalières qui étaient toujours en tenue car elles aimaient prendre leur douche ensemble chez nous. Florence était contrariée par mon attitude et mon manque de savoir vivre. Elle avait honte de recevoir son amie dans un désordre pareil. Elle sétait mise à pleurer. Cest alors que Corinne prit les devants. "Çà ne va pas se passer comme ça cette fois, ton Didier nest quun sale gosse qui a besoin quon lui apprenne les bonnes manières une fois pour toutes"

Tout est allé très vite. Dune main ferme et vigoureuse Corinne me prend par les cheveux, me force à me mettre à genoux, me coince la tête entre ses bottes et utilisant la ceinture de mon peignoir me noue les poignets dans le dos. Elle me met ensuite les fesses à lair. "Tu mérites une bonne correction dont tu te souviendras."

Florence est impressionnée par laudace de son amie mais elle nose rien dire. Elle a toujours envié son autorité et sa rigueur mais naurait jamais imaginé quelle mettrait ses principes en pratique de cette manière !

Immobilisé, ligoté dans une posture humiliante, je nen éprouve pas moins un trouble indéfinissable, une étrange excitation.

Est-ce Sa voix sèche et sensuelle à la fois, le parfum poivré de sa peau, sa tenue damazone qui me font tout à coup désirer ce quelle va minfliger ?

Elle madministre une fessée bien appuyée et mes fesses sont en feu. Je réclame sa clémence en demandant pardon, "je ne recommencerai plus, cest promis , je vous en supplie" Elle continue, insensible à ma supplique : "Si tu crois que je vais me contenter de tes remords, ce serait trop facile".

Puis elle marque une pause, se dégage et mordonne de garder la pause car elle nen a pas fini avec moi. A genoux, les mains liés derrière le dos et les fesses écarlates, jattends docilement son retour sous le regard attendri de Florence. Quand elle réapparaît, cest pour me lier les chevilles. Elle sempare ensuite de la cravache. "Tu croyais ten tirer à si bon compte ? Tu

vas finir par comprendre ce que lon attends de toi"

"Tu vas recevoir 40 coups de cet assouplisseur que jutilise dordinaire pour dresser mes étalons. Je veux tentendre compter

les coups à haute voix. Si tu en oublie un jen rajoute cinq. Cest compris, connard ?"

" Oui Corinne. "

" Dorénavant ce sera Maîtresse Corinne ". Tu apprendra à mobéir au doigt et à loeil. Je vais te dresser. "

" Oui, Maîtresse Corinne ". Je prononçai ces mots comme si cétait un autre qui répondait à ma place. Je nétais plus le même.

Je lui appartenais totalement. Javais envie dêtre à elle, dêtre son esclave La cravache siffla dans lair et je commençai le compte dune voix tremblante. Quand ce fut fini elle contempla son oeuvre, trouvant que jétais joliment marqué.

2/2

Puis sadressant à Florence : " Tu vois comment il faut sy prendre avec ton mari. Si tu nes pas capable de le dresser comme une vraie femme doit dresser son homme, je men chargerai moi-même. En quelques jours jen ferai un gentil toutou bien

docile ".

Florence était embarrassée. Elle navait pas le profil dune dominatrice. " Si tu penses que cest la seule manière pour quil saméliore, je veux bien te le confier mais seulement sil est daccord ".

Javais envie de crier " oui, je le veux. Je le veux de toute mon âme ", mais je ne pus que répondre hypocritement : " Si ma femme est daccord, moi aussi "

Voilà maintenant trois ans quune fois les taches ménagères du couple terminées, je cours faire le ménage et la vaisselle chez Maîtresse Corinne qui de temps à autre pour son plaisir et pour le mien, mexhibe nu et me fesse devant ses copines de travail.

DIDIER ou le bonheur dêtre esclave.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire