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deux couples expérimentent un étalon hors du commun – Chapitre 3

deux couples expérimentent un étalon hors du commun - Chapitre 3



Découverte d’un étalon hors du commun.

Notre rencontre avec Henri. Episode 3

(Le père de Patrick.)

Résumé : Nous sommes un couple aux murs libres et avons fait connaissance dans un lupanar avec un autre couple aux mêmes penchants.

Ils nous ont invités chez eux pour une partie à 4. Une fois la chose faite, Jean, le mari de Sophie, nous a proposé de faire la connaissance d’une vraie bête de sexe, Henri. Il nous en a tant vanté les capacités que nous avons accepté de le rencontrer quelques jours plus tard.

Effectivement, hormis d’être très bien doté par la nature, c’est un amant incroyable et il a fait crier nos 2 femmes et est toujours vaillant. Mais le pire, c’est quand il les sodomise.

Suite et fin

Le gland massif se fraye un passage et efface le sphincter qui l’avale. Elle pousse un hurlement de folie mais Henri n’en a cure. Je ne peux m’empêcher de dire :

-Voilà, il est fiché dedans ma belle enculée.

 L’homme ne bouge plus, le sphincter s’est resserré juste après le passage de son énorme gland en forme de champignon.

Les vingt centimètres restants de son sexe patientent une dizaine de seconde à l’extérieur de ma femme. Ma femme? La sienne plutôt! Digne d’une actrice d’un porno hard.

 La tension sexuelle est forte, Martine les yeux vitreux ne fait aucun cas apparent de nous qui nous branlons devant elle, le regard perdu elle subit.

 L’étalon fait coulisser sa verge en avant, arrachant un long râle à sa partenaire, la femme de ma vie, la bite de cheval lui parcourant les reins, profond, entrant centimètre par centimètre son phénoménal vit.

 Elle reçoit sa longueur en entier, les derniers centimètres, les plus gros, lui dilatent son petit trou au-delà de ce qu’elle peut supporter.

Et il recommence à la besogner, se retirant pour revenir par des coups de reins puissants, claquer ses fesses.

Je ne sais pas comment elle peut l’accepter, mais elle jouit comme jamais, un seul râle aigu, incessant, sort de sa bouche.

L’amant collé à ses fesses la laisse se baiser seule, enfin il se retire avec un bruit de succion, elle reste au sol, le rectum largement dilaté ne se referme plus.

— Ah l’horreur, quelle enculade! s’exclame Martine. Je la pratique parfois, mais je n’en tire pas tellement de plaisir. Et là, vu la taille de l’engin, j’ai cru qu’il m’éclatait le rectum!

Elle se met sur le ventre. Il a comprit et l’enfile à nouveau.

 Il ne débande jamais ce type ???!!!

Il la pose par terre en lui disant qu’il préfère la levrette, que c’est plus bandant et confortable.

Et ni une ni deux, il la reprend par derrière.

 Sophie en profite pour s’agenouiller devant elle et se fait dévorer le minou par une langue experte.

La scène est incroyable. Il s’enfonce plus profond encore que tout à l’heure et l’impression est planante.

Quand il finit de la limer et qu’il sent l’éjaculation proche, il se retire les mains toujours sur ses hanches pour décharger sur son dos. Elle est à bout de souffle.

Son monstrueux tuyau en liberté soubresaute sur les fesses de Martine, une première giclée chaude atterrit sur son dos, suivit d’une autre encore plus violente qui s’élève et macule la poitrine de Sophie à plus d’un mètre, et une autre et encore une autre, il n’en finit pas de se vider, même ça est disproportionné chez lui.

 Il l’arrose des fesses aux cheveux de longues giclées épaisses. Il a déchargé trois fois dans la soirée et sa queue débande à peine.

Sophie arrive aussitôt, elle lèche les gouttes de jute, puis elle le prend en bouche pas dégoutée de l’endroit d’ou il sort, lui suce le gland quelques secondes, et hop c’est reparti.

Il enfile Martine à nouveau qui n’a pas eu le temps de changer de position et la besogne encore quelques minutes avant de ressortir, sa queue débande enfin.

— Tu parles d’un cas!!! Il est satisfait, mais je peux enfin m’occuper de ce phénomène.

Je vais le laver dans la salle de bain.

J’insiste sur son sexe pour le nettoyer un peu, il est allé si profond qu’il a ramené de la merde.

Il bande à nouveau, avec lui il suffit de demander et ça repart illico. Il me demande de le branler encore et il retrouve sa forme olympique. – Je vais te mettre ma grosse verge dans ton cul, mais il faut prévoir des étapes de dilatation. Tu vas aimer, tu verras.

C’est mon tour, il est toujours aussi raide et gros, il cherche l’entrée, j’attrape son membre, le lubrifie abondamment et le guide vers mon cul en lui demandant de me pénétrer lentement, je sens son gland forcer sur mon trou ridé.

— Oh, mais ton cul est aussi serré que celui d’une jeune fille !

Je me dis « merde, il va m’enculer le salaud, pourvu qu’il ne me déchire pas » , les 14cm de Jean ne m’ont pas assez dilaté! Il me fait mal, je lui dis que c’est trop douloureux, il arrête enfin, il bande comme un taureau.

Mais il ne m’écoute plus et, tout en me bloquant, il tente de forcer le passage du sphincter… Mais il n’arrive pas à entrer, il plaque ses deux mains sur mes hanches et sans prévenir d’un coup de reins, il arrive à faire entrer son gland dans le conduit convoité.

Je pousse alors un cri de surprise et de douleur qui aurait fait reculer tout amant inexpérimenté, mais Henri ne se laisse pas démonter et profite de son avantage pour s’enfoncer jusqu’à la garde.

— Arrête. Non de Dieu. Oh j’ai mal, arrête, retire-toi. 

— Désolé, je me suis laissé emporter, ça m’a tellement excité de penser que j’allais prendre ton cul, mais ne t’inquiètes pas je suis tout dedans, le plus dur est fait.

 Après une ultime résistance, il commence ses va et vient doucement sous le regard de mes 3 voyeurs.

— Magnifique ! Eh bien, mon chéri, je suis heureuse que tu te sois livré entièrement à notre étalon et qu’il ait pu te prendre par des chemins nouveaux pour toi. Déclare Martine en se glissant pour prendre ma bite entre ses lèvres.

 Sous ces 2 sensations, je ne résiste pas longtemps et éjacule dans sa bouche. Voir ma queue dans sa gorge est un hymne à la fellation et jamais je n’aurais pensé que mon cul puisse recevoir en entier sans se déchirer ce sexe aussi monstrueux! – Oh, mon chéri, je te remercie de ce beau cadeau que tu m’as fait en te livrant sans retenue à notre ami et j’espère que tu as aimé le spectacle! – Quant à Henri, sa réputation n’est pas usurpée, c’est un étalon hyper membré, endurant et ses couilles fournissent une telle quantité de sperme que je n’aurais jamais cru ça possible. – Dis-moi, as-tu aimé le sucer et avaler son foutre ? As-tu aimé aussi te faire enculer ? Ce n’était pas trop douloureux ? Elle rétorque. – Non, et j’en redemande encore et encore!

Après moi, Henri s’occupe de Jean mais on voit que ce n’est pas la première fois qu’ils font ça ensemble et il lui décharge dans le cul.

Jean et moi ne sommes plus capables de bander après nos nombreuses copulations. Mais Martine décide de reprendre le chibre d’Henri après une petite toilette dans sa bouche et en 5 minutes il retrouve une trique phénoménale.

Mais comment fait-il?

Alors il enserre sa taille et la soulève comme une plume, la ramène vers lui et lorsqu’elle est au dessus de sa colonne de chair il la laisse retomber brusquement dessus !

Son abricot heurte violement le gland qui est inondé immédiatement de sa mouille et la grosse tête pénètre au delà des lèvres vaginales distendues à fond comme ses lèvres buccales tout à l’heure!

Il enfonce son mandrin à moitié dans son con sur presque 15 centimètres et après une minute de répit, il entreprend de soulever ma femme et de la laisser retomber et ainsi de suite si bien que plus ça va et plus sa bite rentre profondément dans son vagin mais il ne peut de toute façon pas tout rentrer quand même! Ma femme couine et gémit, douleur et plaisir à la fois!

Je suis pour ma part dans une excitation folle et j’ai envie de toucher moi aussi cette belle bite immense que j’envie.

Il me fait signe de venir plus près et je m’approche pour peser dans mes paumes les grosses couilles qui ballotent, j’arrive à rebander et voyant le trou du cul de ma femme écarté par ses mains, je fais signe et il comprend très vite. Alors il ralentit son mouvement pour que je puisse prendre le train en marche (ou l’arrière train plutôt!) 

 Je m’enfonce donc d’une seule traite dans l’anus de ma femme encore dilatée et je peux sentir le pénis monstrueux qui est en elle et qui la pilonne comme un marteau piqueur !  

Je décharge assez vite dans son cul et en me reculant je le vois dégager ma femme de son vit pour lui envoyer une giclée de sperme tellement puissante que son visage et ses seins sont aspergés d’impact de foutre qui dégouline! Il débande enfin. La bite ramollie est encore plus impressionnante, elle ressemble à la queue d’un cheval !

Nous partons enfin prendre une douche pour nous laver.

Mais Sylvie veut tirer un dernier tribut d’Henri et s’agenouille devant son tuyau flasque.

— Je parie qu’elle n’y arrivera pas! Jette Martine un peu jalouse.

Il lui faut beaucoup de persévérance mais sous les caresses conjuguées de ses 2 mains et de sa bouche, nous assistons de nouveau à la croissance de cet obélisque.

 Lentement il grossit et grandit forçant la bouche de Sylvie à s’éloigner de son ventre sous la poussée de son monstre.

Il l’attire sur lui et la presse sur son torse. Il la soulève par le dessous de ses cuisses, il va la l’enculer debout !!

Elle se tient à lui comme elle peut, il la soulève pour la faire redescendre sur son pal.

 Il enfonce la totalité de son gourdin, faisant disparaitre entièrement son pénis au fond de ses reins.

 Il la hisse un peu trop haut et son sexe bien droit s’éjecte de son illet et il a du mal à l’introduire à nouveau.

 Martine se précipite, le suce un coup et le guide de sa main pour qu’il embroche à nouveau Sophie. Il la bourre ainsi de longues minutes, la maintenant solidement et toujours emmanchée il l’emporte sur le lit tout proche, son membre en pleine érection enfiché jusqu’aux couilles dans son derrière.

Il continue de l’enculer, sa bite poursuit son chemin dans son antre. Il la transperce, ses couilles maintenant battent sur ses fesses, il ahane et souffle de plus en plus. Ses mains sur les hanches accélèrent le mouvement, les fesses claquent.

 Chaque poussée de sa queue dans ses reins la tord de douleur mais aussi de plaisir. Elle hurle.

— J’ai même plus mal putain ça devient même très bon !!!Vas-y, encule-moi à mort, fais-moi jouir par le cul !!!

Il sort la queue de son cul, et vient plonger dans sa chatte pour se lubrifier correctement le chibre.

Le contraste est saisissant, autant la progression dans son cul était lente, autant sa queue s’enfile jusqu’à la garde dans sa chatte sans résistance.

Il prend les seins dans ses paumes, les pétrit les malaxe. Il se retire brusquement et s’écrie. Martine, Suce-moi maintenant!! Et il enfourne difficilement le mandrin qui est toujours gonflé entre ses lèvres, elle tète sa monstrueuse bite.

Il décharge encore une importante quantité de sperme dans sa bouche. Continuant inlassablement à se vider les couilles.

Son sexe toujours aussi dur et tendu crache sa semence par vagues.

Bon sang, c’est incroyable, il se vide par flots, comment peut-il en avoir encore autant dans les burnes?!

Elle essaie de déglutir mais ne peux suivre le rythme, 2 filets de foutre coulent aux coins de ses lèvres. Il bande toujours, un vrai cas clinique.

Son sperme sort en longues saccades, Henri jouit pleinement, les yeux fermés, il n’arrive plus à débander ce salaud et reprend ses petit va et vient dans sa bouche pendant quelques minutes avant de se retirer et enfin rendre les armes.

Et c’est ainsi que se termina cette mémorable journée. Nous avons eu d’autres occasions de revoir Henri. Cet amant extraordinaire. Cet étalon infatigable.

Jamais nous n’avons pu retrouver d’homme capable de tels exploits.

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