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Deux petites punaises – Chapitre 2

Deux petites punaises - Chapitre 2



Arrivé à la maison, je reprends mon rôle de papa parfait, j’embrasse ma femme et mes enfants. Alors, je sens une vibration dans ma poche. Chloé m’a envoyé un SMS.

[SMS]

< Coucou tu fé koi ?

Je m’isole dans les chiottes pour répondre.

[SMS]

> Rien je suis chez moi.

< Avec ta petite fem, S kel suce aussi bien ke moi ?

> Merci, c’était bien, j’ai beaucoup aimé, mais après tu es partie un peu vite.

< Xcuz, gé envi de toi.

> Moi aussi, tu me plais, j’ai envie de prendre le temps avec toi, de te faire l’amour.

< Té tro chou vien me faire un calin.

> Quand ?

< Ce soir ?

> Non, je suis en famille, mais demain soir, je peux m’arranger.

Hé voilà, en bon esclave de ma queue, je me suis soumis à une petite punaise décérébrée, je ne pense qu’à elle, à la retrouver et je passe ma soirée et la journée suivantes dans un grand état de nervosité.

Le soir suivant, j’ai prétexté à ma femme une soirée entre collègues, un pot de départ bidon pour retourner à Lyon, j’ai réservé une chambre dans un hôtel dans laquelle je compte bien sauter Chloé.

Elle m’a donné rendez-vous dans un bar branché. Et là surprise, je la retrouve flanquée de Kenza. On se fait la bise, on discute, on boit un verre. Chloé fait la gueule, on sent une tension avec sa copine Kenza. Je comprends qu’en fait, cette dernière s’est un peu imposée et compromet le plan cul de Chloé. On est un peu embarrassé, mais bon…

Au bout d’une heure, je glisse à l’oreille de Chloé si elle est OK pour qu’on aille à l’hôtel. Chloé fait la moue, finalement on va en boîte, au "dance floor" comme on dit aujourd’hui. Moi je fais un peu la tronche, j’ai envie de baiser, pas de me faire une soirée en boîte de nuit.

Sur le chemin, on s’isole dans une ruelle tranquille, j’échange 2 ou 3 baisers à Chloé, Kenza fait un peu la gueule, mais sort un pétard. Ca fait des années que je n’ai pas fumé, au bout de deux taffes, je plane à 20 000.

On arrive à la boîte. Je suis assommé, le joint m’a tapé sur la tête. La musique que je ne connais pas, tous ces jeunes gens, je ne suis pas à mon aise, pas du tout. Chloé et Kenza me lâchent sans un mot, elles vont s’amuser, dans la foule, je les perds de vue. Jerre dans la boîte à la recherche de l’une ou de l’autre. Je retrouve enfin Chloé, mais elle est très occupée, elle roule de gros patins à un jeune homme qui la tripote… Je suis dégoûté, marre d’être pris pour un con. J’ai envie de taper, j’ai envie de crier, j’ai envie de rentrer chez moi, mais je ne suis pas en état, à chaque pas, je risque de tomber. Je me fous au bar, je commande un whisky. Cela n’arrange pas mon état, je sombre dans la déprime…

Au bout d’une éternité, Kenza me retrouve,

Ou tu étais ? Qu’est-ce que tu fais tout seul ?

Vous m’avez lâchée, Chloé c’est une salope, elle est avec un autre mec… !

Oh mon loulou, mais je suis là moi.

J’enlace la petite Kenza, on s’échange des baisers, on s’enlace, ma queue se durcit fort dans mon pantalon. Elle attrape ma main et la place entre ses jambes, je lui caresse sa chatte au travers son jean.

Je me lève, je l’attrape par la main, je veux l’emmener hors de la boîte pour aller la sauter tranquille…

Kenza résiste, d’un geste brusque, elle me tire et me propulse sur le dance floor…

Je me retrouve comme un con à essayer de danser sur de la techno, le bruit assommant des basses, les lumières, les stroboscopes, les corps qui s’agitent, je suis en mode Zombie qui essaie de danser, je dois être ridicule…

Je ne suis toujours pas redescendu du joint de tout à l’heure, jai la gerbe qui monte, je sens que je vais bientôt tomber dans les pommes, pourtant j’ai toujours ma grosse érection et je reluque le corps superbe de la petite Kenza qui se déhanche, celle-ci virevolte autour de moi, elle me donne de petits baisers, se frotte contre mon pantalon…

Une copine de Kenza nous rejoint sur la piste de danse, une grande black. Une très belle silhouette, mais pas une poitrine très fournie, très fine, un peu maigre, habillée très léger, une robe courte brillante type année folle, montrant ses longues jambes rehaussées par des escarpins démesurés. Des cheveux courts, un beau visage très fin, de grands yeux de biches et des lèvres charnues. Elle fait la bise à Kenza, qui nous présente.

Salut, moi c’est Sandi, me hurle-t-elle à l’oreille en prenant par l’épaule.

Salut, moi c’est Félix, je lui donne mon nom en la prenant par la taille.

On se regarde, on se sourit, et plutôt que de lui faire la bise, on s’échange direct un smack sur les lèvres.

On danse, je ne lâche pas des yeux Sandi qui se déhanche devant moi, me prend par la taille et se frotte contre moi…

Franchement, les filles, moi toute cette musique, ça me saoule un peu, vous voulez pas qu’on se trouve un coin tranquille pour discuter ?

OK, dit Sandi, on a qu’à aller chez, moi c’est juste à côté "

Et je me retrouve dans les rues de Lyon avec une grande black sous mon bras…

Et Kenza ? Elle a disparu… Jalouse ou elle a préféré continuer à s’amuser en boîte, je ne sais pas, dans l’état où je suis, j’ai du mal à tout calculer…

Un tout petit appartement, au milieu d’une traboule dans le vieux Lyon, super fun. La déco est mignonne, pleine de bibelots et de tentures africaines, chaleureuses, sensuelles.

Je me vautre sur son canapé. Sandi est cool, elle s’allume un joint, met la musique à fond, du r’nB et se met à danser frénétiquement. De temps en temps, elle s’approche de moi, me donne un petit baiser, me fait tirer une taffe et reprend sa danse…

Je regarde son superbe corps onduler au rythme, tout devient flou autour d’elle, les lumières de sa chambre, les décors, le son de sa musique, tout se mélange dans un maelstrom de couleur, je ne vois plus qu’elle… Dans mon pantalon, je ressens une puissante érection, machinalement, je déboutonne et je mets ma queue à l’air et je fais signe à Sandi de s’occuper de moi.

Sandi s’approche, elle pince le bout de ma bite en me faisant un petit sourire coquin, elle s’assoit sur moi, elle soulève sa robe et frotte sa chatte épilée contre mon gland violacé, on s’embrasse langoureusement…

Je caresse longtemps la chatte de Sandi et je renifle mes doigts pleins de son jus.

Elle redescend accroupie devant moi et me retire culotte et pantalon, elle commence à me sucer doucement. C’est trop bon, je me laissais complètement aller, assez vite, la bouche et les doigts de Sandi me font jouir. Sandi retire sa bouche juste à temps, elle n’avale pas et regarde d’un sourire triomphant mon sucre d’orge s’écouler minablement le long de ma bite.

Elle se remet à danser et moi j’en profite pour me reposer un peu…

Je reçois un SMS :

C’est Chloé : « Tes ou ? Tu fé koi ? »

Tu m’as laissé tombé alors je suis parti et je me suis fait sucer par quelqu’un d’autre.

T 1 Salo !

Non c’est toi, tu étais avec un autre mec, alors je me suis barré »

… (pas de réponse, je m’en fous)

Pendant ce temps, Sandi me caresse doucement le corps, au bout d’un petit moment, mon sexe reprend de la vigueur. J’entreprends alors de sauter Sandi.

Non, me dit-elle, je dois rester vierge, mais si tu veux tu peux me sodo.

Sandi se relève et se met à 4 pattes devant moi en faisant bouger ses petites fesses toutes rondes comme une invitation. Je ne me fais pas prier, je caresse sa croupe. J’aime bien son cul. Sandi est très grande, très fine, mais musclée, ses fesses sont bien rebondies et très fermes, un vrai délice. Je les embrasse, je les mordille.

Avant d’aller plus loin, je vais chercher ce qui pourrait servir de lubrifiant. Dans le frigo de sa kitchenette, je trouve un peu de beurre qui fera l’affaire. Je reviens. Je lui lèche avidement son trou du cul. J’introduis mes doigts, je lui badigeonne généreusement la matière grasse, j’en mets aussi abondamment sur ma bite. Quand le trou et le pieu sont bien lubrifiés, je m’introduis. D’abord doucement, son petit anus est bien étroit et je dois forcer pour bien la pénétrer, elle gémit de douleur autant que de plaisir.

Cela dure longtemps, j’accélère de plus en plus vite, Sandi est immobile, à la merci de ma queue et de mes mains. A chacun de mes assauts, on entend le claquement de mes cuisses sur ses fesses, elle pousse de petits gémissements et moi je grogne comme un cochon. Je finis par lâcher une deuxième fois mon foutre, mais cette fois, c’est bien profond dans le cul de Sandi. Je m’écroule inanimé dans le sol et je m’endors aussitôt.

Au bout d’une heure, je suis réveillée par la sonnerie, j’ouvre un il, je vois Sandi en robe de chambre ouvrir la porte. Merde, Chloé et Kenza entrent, alors que je suis à poil étalé à côté du canapé.

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