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Défis de couple – Chapitre 17

Défis de couple - Chapitre 17



(La suite)

« Bien, comment me trouvez-vous ? Suis-je beau et attirant ?» il ricanait.

« Non monsieur ! Mais vous pouvez tout obtenir de moi! »

« Votre goût de lobéissance, nest-ce pas ? »

« Oui, monsieur ! »

« Evidemment, et en plus, je dois en convenir, je suis le personnage parfait pour incarner votre fantasme majeur puisque je suis très vieux et très, très laid, véritablement répugnant, nest-ce pas ? Ne dites pas le contraire ! Je suis lucide, jai tout pour vous permettre de vivre ce fantasme et vous exciter sexuellement, et cela suffit à mon bonheur. Vous nimaginez pas le nombre de femmes qui partagent ce fantasme. »

Jai baissé la tête ; il avait tout compris, tout dit.

Il a ricané en posant laraignée sur mon genou.

« Cest bien ! Écarte tes jambes, ma poule ! »

Il imitait la voix et laccent de linconnu au gros sexe en ricanant à nouveau. Il jouait avec moi, samusait comme un fou. Il me faisait presque peur !

« Oui, monsieur ! »

« Tu veux que je fouille ta chatte de chienne en chaleur, cest ça ? »

Il en rajoutait des tonnes et cette imitation grotesque a ajouté à mon trouble. Ce langage ahurissant issu des délires du vieux mexcitait.

« Oui, monsieur ! »

Avec ostentation, peut-être pour le calmer un peu, ou plutôt par bravade, je ne sais, jai reculé mon siège, ouvert ma jupe et écarté mes jambes autant que je le pouvais. Il a profité de cette petite mise en scène érotique à souhait pour prendre quelques photos.

Jai attendu quil en profite suffisamment puis jai rapproché ma chaise de la table et ses doigts sont directement venus se poser sur ma fente, lont ouverte et fouillée sans ménagements.

Mon sexe était brûlant, un peu douloureux encore mais il le parcourait et le fouillait de haut en bas et sy enfonçait. Il ma servi du champagne. La douce sensation de fraîcheur en bouche ma fait du bien un peu et je suis revenue à la réalité, enfin.

Il a interrompu cette masturbation sans délicatesse puis a sorti de sa poche un nouvel écrin et me la présenté. A lintérieur, il y avait un plug anal de métal assez lourd et serti dun gros morceau de verre de couleur rouge en forme de pierre taille.

« Ce bijou vous ira à ravir, ma chère ; mettez le donc pour moi, là maintenant ! »

Je me suis levée et à sa demande jai relevé ma jupe. Il a exigé que je me penche vers lui puis il a avancé le plug anal vers ma bouche.

« Allez ! Lubrifiez-le de salive, il sera plus aisé de lintroduire en vous !»

Jai pris lobjet et lai bien léché et sucé pour le lubrifier avant de le présenter et de lintroduire aussi délicatement que possible en moi. Il était épais, lourd et glacé, parfaitement inconfortable.

« Lorsque vous viendrez me voir, il faudra le porter ! Vous verrez, vous allez vite vous habituer et bientôt, vous ne pourrez plus vous passer de ce petit bijou. »

Il a exigé de prendre quelques photos de moi à quatre pattes pour prendre le bijou en gros plan. Il commentait chaque cliché, et trouvait ce bijou très joli.

Il ma enfin autorisée à masseoir puis on nous a servi la suite du repas. Sa main logée entre mes cuisses, collée à ma fente, ne sest pas dégagée pendant le service, ce que jusquà présent il navait jamais fait.

Le garçon faisait comme si de rien nétait. Il devait en voir de toutes les couleurs.

« Alors ma chère, ce petit extra avec linconnu vous a plu ? Quen pensez-vous ? »

Il évoquait là la séance avec linconnu. Je ne pouvais plus me contenter dune réponse lapidaire.

« Oui monsieur, cela ma plu et jamais je navais fait cela ni connu une telle sensation de plaisir. La taille du sexe de cet inconnu a joué, mais aussi leffet de surprise, je lavoue. »

« Et la vulgarité du personnage ? »

« Je le reconnais, cela a également joué de manière excitante. Je ne suis pas habituée à ce que lon sadresse à moi de cette façon, dans ce type dendroit. »

« Vous seriez donc disposée à renouveler cette expérience, si je vous le commande, bien sûr ? »

« Oui, monsieur ! Avec le même homme ? »

Pourquoi ai-je répondu ainsi et surtout aussi vite? Le gros sexe me manquait donc déjà tellement?

« Oui, ma belle, mon obéissante, ma chère et ravissante voisine, lui, ou un autre, ou lui et un autre ou lui et plusieurs autres, pourquoi pas, javiserai le moment venu. En tout cas, je vous le garantis, vous serez traitée avec toute la vulgarité et la rudesse qui vous convient. »

Il a encore ricané. Il était décidément dhumeur joyeuse. Sa réponse était logique ; il pouvait tout me demander. Je devais de mon côté éviter de trop en dire, de lexciter avec mes états dâme, de susciter des propositions pouvant savérer calamiteuses.

Pendant quil savourait son poisson, sa main a abandonné mon entrejambe. Son assiette terminée, il essuya ses lèvres trop charnues de langle de la serviette de lin blanc. Je fis de même après avoir un peu mangé et bu une gorgée de champagne. Je ne voulais rien dire mais des questions envahissaient mes pensées : « Comment pourrai-je supporter physiquement les assauts de deux ou plusieurs hommes comme linconnu de ce soir ? Ils pourraient me tuer de plaisir, me défoncer! Un à la limite, mais deux ou plusieurs ? »

Il a a interrompu ma rêverie : « Très chère, vous allez vous lever, vous pencher vers moi et membrasser longuement. »

Jai reçu une douche glacée, de la tête aux pieds! Il minfligeait un supplice ignoble. Bien sûr, javais « roulé des pelles » à Albert mais faire ça avec lui me paraissait impossible. Je nya avais même jamais songé.

Il remarqua mon trouble. Je devais être pâle et mes jambes tremblaient. Il exigeait de moi la preuve éclatante dune totale soumission à ses désirs, cétait clair. Il jouait de moi et de ma sensibilité, de ma lucidité, de mes peurs, de mes répulsions.

« Alors ? »

Il insistait dun ton impérieux en tapotant la fine cravache. Il nappréciait pas que je semble hésiter.

« Oui, monsieur ! »

Je me suis levée, puis je me suis penchée vers lui, les yeux fermés, et ma bouche est venue se coller contre la sienne. Son haleine, comme je my attendais, était chargée : relents de champagne, de poisson, de tabac.

Mes lèvres se sont entrouvertes et ma langue sest avancée à la rencontre de la sienne. Il la engloutie en laspirant puis sest reculé en riant.

« Encore, ma poule ! » de nouveau cette voix en imitation de celle de linconnu.

De sa main araignée, il a attiré ma tête et a longuement assouvi ses désirs, suçant ma langue, enfonçant la sienne dans ma bouche jusquà métouffer, se retirant pour rire et recommencer, rire et recommencer encore, mamener à lui sucer la langue et les lèvres.

Ses mains étaient parties à la conquête de mes seins, avaient ouvert mon corsage. Il jouait à pincer et tordre mes tétons. Il jouait également avec le plug et le faisait aller et venir, le vrillait en moi. A la fin, il ma libérée et ma servi une coupe de champagne.

« Cest très bien ! Vous êtes une vraie soumise, nest- ce pas !»

Il avait parfaitement raison. Quétais-je dautre finalement ?

« Oui monsieur ! »

« Vous aimez être traitée ainsi, nest ce pas ? »

« Oui, monsieur ! »

« Une petite chienne soumise à tous mes fantasmes et à ceux des personnes auxquelles je vais vous prêter, vous confier? »

« Oui, monsieur ! »

« Dites-moi, jusquoù irez-vous dans cette voie? »

Sa main agile et froide a repris possession de mon entrejambe pour à nouveau le fouiller sans ménagements. Je ne bougeais plus, le laissant faire tout en essayant de reprendre le contrôle de mon esprit et de mes émotions.

Mon corsage était parti. Il mavait demandé de le retirer et mon soutien-gorge avait suivi.

« Et si je fais venir un chien pour vous, petite chienne, que ferez-vous ! »

Il riait de cette abominable proposition et de mon air effaré, paniqué.

« Sil vous plaît, monsieur, pas cela ! Je vais être très gentille monsieur, vous verrez ; vous pouvez tout exiger de moi, vous le savez, mais pas cela, sil vous plaît ! »

Je paniquais. Mon air effaré la fait ricaner.

« Votre discours est tout à fait illogique, ma belle ! Si je peux tout exiger de vous et je peux tout exiger, nous le savons vous et moi, je peux exiger cela aussi et je suis sûr, en outre, que vous le feriez et que vous y trouveriez du plaisir. Tenez, je suis même certain que vous suceriez le sexe de ce chien avec gourmandise si je vous le demandais, ai-je tort ?»

Il ne disait là une vérité que je ne me cachais même plus. Oui, sil faisait immédiatement venir un chien, je ferai tout pour obéir au vieux. Cest de moi dont javais peur, en fait, de franchir encore une limite, pas du chien.

Il a ri encore de ma défaite, de ma panique, de ma déconfiture.

« Que préférez-vous donc, la cravache ou le chien ? »

Jétais effondrée. « La cravache, monsieur, la cravache ! »

« Daccord, nous allons donc attendre un peu avant dorganiser cette rencontre intéressante et la filmer, mais il vous faudra être dune disponibilité totale ce soir et manifester votre appétit pour moi. Sinon, je vais devoir vous réprimander, aviser en urgence et commander un ou deux gros chiens en rut pour vous escalader et se faire sucer par votre si jolie bouche. »

Il a éclaté de rire. Jétais tellement paniquée que jai cru entendre à ce moment précis le pas feutré dun chien dans le couloir.

Je devais tout faire pour tenter de le calmer.

« Je ferai tout pour vous satisfaire, monsieur, vous allez voir, je vais être très gentille avec vous et je vais me surpasser pour vous plaire, monsieur. Dites moi ce que je peux faire pour vous plaire et si vous voulez, corrigez-moi avec votre cravache, monsieur ! »

Sa main est allée vérifier entre mes jambes et celles-ci se sont ouvertes autant que possible pour démontrer ma bonne volonté. Elle sest délectée longuement.

Jespérais ainsi le calmer en lui démontrant ma bonne volonté.

Dans la foulée, il a obtenu de moi que je me dénude intégralement devant lui, debout, au milieu de la pièce, en présence du garçon. Je ne portais plus que mon porte jarretelle et mes bas, mes escarpins et mes bijoux. Il ma fait allonger sur le tapis, sur le dos, jambes écartées et remontées et a passé le bout de la cravache sur ma fente puis a pris photos sur photos pendant tout le service. Jétais morte de honte. Le garçon, lui, restait impassible. Je ressentais, je le sentais bien, une forme de plaisir indescriptible à me soumettre ainsi à ses caprices ignobles.

Ma soumission était maintenant totale, absolue.

A la demande du vieux, jai du retirer mes pinces pour les placer sur mes tétons, puis me promener à quatre pattes dans la pièce pendant quil prenait encore des photos. Il adorait que je fasse cela. Il en a bien profité. Pour jouer de mes peurs, il a même aboyé en me fourrant une main entre les fesses pour jouer avec le plug puis ma servi quelques légers coups de cravache pour me rougir les fesses.

En quelques rencontres, en quelques soirées seulement, ce vieux avait réussi à faire de moi son esclave, lesclave absolue de mes sens aussi. Comment cela était-il possible ?

Au bout de quelques minutes et alors que nous étions de retour à table, pour manger le dessert, il sest adressé à moi.

« La soirée se termine ; vous avez beaucoup donné et vous êtes épuisée. Nous allons donc rentrer mais je compte sur vous pour venir chez moi vendredi prochain à 20 h précises me proposer une prestation de haute qualité. Vous maiderez à me mettre entièrement nu, à minstaller comme hier sur le fauteuil et vous me caresserez comme vous le faites si bien, des mains, des doigts, de la bouche et de la langue. Je compte sur vous pour que vous me manifestiez de la passion, réelle ou feinte, peu importe finalement. Vous agirez de manière parfaitement langoureuse. Ah oui, cette prestation sera entièrement filmée ; jai déjà commandé un professionnel à cet effet ! »

Un silence pesant sest installé. Il scrutait mon regard pour recueillir mon acceptation.

« Je compte sur vous ! »

« Oui, monsieur ! »

« Ah oui, vous viendrez lundi soir, pour une petite soirée de dressage. Il faut bien que je moccupe de vous, et que je mamuse un peu, nest ce pas ? Un petit mot de moi vous instruira sur la façon de vous préparer et de vous habiller pour cette séance éducative. »

« Oui monsieur. »

A écouter ce discours et à voir son regard brillant dexcitation, je mattendais au pire. Il a poursuivi : « Un jour, vous frapperez à ma porte chez moi pour me supplier de vous livrer à un chien. Retenez bien ceci, vous ne pourrez vivre cette expérience que lorsque je laurai décidé, cest clair ? »

« Oui, monsieur ! »

Il fallait me ressaisir, reprendre pied, reprendre contenance, faire figure honorable aussi.

« Lundi et vendredi, vous allez voir, je vais tout faire pour vous satisfaire pleinement, je vous le promets. »

Jétais prête à tout pour quil oublie son ignoble idée de me livrer à un chien et sur laquelle il revenait, encore et encore.

Comment pouvait-il imaginer que jallais, un jour, venir le supplier de me faire faire ça ? Il était devenu fou ou quoi ?

« Comment voulez-vous que je vous traite dans ce film que nous allons bientôt tourner ? Comme une femme du monde ou comme une « chienne soumise», ce que vous êtes, pour être clair ? »

« Comme vous le souhaitez, monsieur. »

Ma réponse la fait ricaner.

« Bien, javiserai en temps utile ! Ah oui, pour marquer votre accord avec ce programme, tout ce programme, venez membrasser ma chère, et je souhaite de votre part un langoureux et amoureux baiser, un baiser de passion. »

Je me suis levée. Mes lèvres se sont posées sur celles du vieux et, dépassant la sensation première de répulsion, ma bouche, ma langue lont embrassé le plus amoureusement possible, longuement. Par ce long baiser, je me donnais à lui entièrement et ma soumission était totale. Lorsque je me suis relevée, le vieux est resté sans réaction, un peu surpris.

«Vous pouvez faire de moi selon vos désirs, monsieur, je suis à vous, monsieur.»

Par là, reconnaissant ma défaite, ma soumission aux désirs ignobles de ce vieux, je reprenais finalement un peu le contrôle de mes nerfs.

Il ma regardée dun air pervers. « Pensez-vous avoir été parfaitement obéissante, ce soir ? »

Jétais stupéfaite par sa question. Javais tout fait pour lui complaire. Javais même été au-delà de ce qui est humainement possible. Un instant, jai eu peur et mon vente sest serré.

« Je le crois monsieur ! »

Il me fixait des yeux : « Pourtant, vous avez hésité à obéir à certains ordres et vous avez voulu négocier un point important, ce qui nest pas admissible ! Vous êtes daccord ? »

Javais envie de pleurer. Je nai pas pu répondre. A quoi bon ?

Il a parlé dun ton sec. « Donnez-moi vos pinces ! »

Jai retiré mes pinces en tremblant de peur pour les lui remettre. Il les a prises de sa main droite. Je tremblais et ne parvenais plus à contrôler ce phénomène.

« Je vais devoir les serrer un peu plus pour vous punir. Vous êtes daccord ? »

« Oui monsieur ! »

Je lai regardé serrer le mécanisme de chacune delles puis il me les a tendues.

« Remettez-les en place, devant moi, que je profite du spectacle. »

Je me suis levée et jai écarté mes jambes devant lui pour les placer lune et lautre. Cela faisait encore plus mal quauparavant. Il souriait. La douleur était intense, lancinante.

« Alors, vous serez sage désormais ? »

Je gémissais de douleur.

« Oui, monsieur, je vous le promets»

Il a appelé le service à la fin du repas, à payé la note et nous avons quitté cet établissement. Jétais rhabillée mais jai dû marcher avec le plug introduit en moi, et ces pinces qui écrasaient mes petites lèvres.

Dans le taxi, sa main a pris la mienne et à sa demande, jai totalement ouvert ma jupe, jai écarté et relevé mes jambes autant que je le pouvais. Il voulait voir mes bas, mon sexe et le reste et, plus certainement, réaffirmer son pouvoir sur moi, vérifier mon niveau dobéissance. Il a pris des photos. Pourquoi lui refuser cela ? Le taximan a dû en profiter pour se rincer lil. Quimporte ! La main glacée du vieux a parcouru le paysage ainsi offert, à lenvie.

Nous sommes arrivés devant notre immeuble. Dans lascenseur, il a exigé de moi que jenlève ma robe et il ma fouillé le sillon pour vriller et ajuster le plug. La porte de lascenseur sest ouverte sur le palier de mon appartement. Ma robe est restée avec lui. Il a eu le temps de me donner ses dernières consignes.

« Gardez vos jolis bijoux intimes encore une heure, à la seconde près ! »

Jai gémi en le regardant dun air suppliant : « Oui, monsieur ! »

Il a ajouté en ricanant : « Demain soir, vous irez sur un parking dautoroute et vous vous livrerez à un homme. Choisissez donc le plus laid, cela devrait vous plaire. Vous me raconterez cette expérience érotique mardi soir. »

« Oui, monsieur ! » Jétais anéantie.

Une vague glacée a envahi mon dos des épaules aux reins.

Je suis entrée chez moi. Arnault était connecté, et jai pris le temps de raconter tous les évènements de cette soirée mouvementée et horriblement instructive sur ma personnalité et mon appétence pour la soumission sexuelle absolue.

Jai demandé à Arnault de ne pas laisser le vieux profiter seul de ce goût particulier et den profiter lui aussi et autant quil le veut pour satisfaire mon penchant. Il ma écouté en silence. Il a dû raccrocher rapidement après avoir exigé de moi, déjà et à mon grand soulagement car il répondait ainsi favorablement à mon souhait, une obéissance totale.

Peu après, jai enfin pu retirer les pinces et le plug et je les ai nettoyés soigneusement avant de les ranger. (A suivre)

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