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Défis de couple – Chapitre 20

Défis de couple - Chapitre 20



Travaux pratiques, la suite

Il a pris la parole dun ton mielleux.

« Vous connaissez notre voisin du 8ème, M. LARDOIS ? »

« Oui, monsieur, jai croisé ce vieux monsieur une fois ou deux, dans le hall. »

Limage dun vieillard voûté et presque décharné, très discret, qui vit seul, mest effectivement venue en mémoire.

« Eh bien, je vais lui téléphoner pour lui demander de vous recevoir immédiatement. Il sera votre première punition puisque vous allez devoir monter chez lui, dans cette tenue, par lescalier et tout faire pour le satisfaire sexuellement. Cest un ami de très longue date, bien plus vieux que moi, ce qui ne lempêche pas dapprécier les femmes. Je sais même que chaque mois, il fait venir une professionnelle pour se soulager. A partir de ce soir, vous allez remplacer cette professionnelle et vous rendrez régulièrement chez lui pour lui permettre déconomiser le coût de cette prestation mensuelle qui grève son petit budget. Ah oui, il adore explorer le corps dune jolie femme et est très friand de fellation. Vous devrez le satisfaire en tous points ; attendez-moi ici ! Je vais lappeler pour lui faire part de votre visite. Comme il ne doit pas savoir qui vous êtes, vous garderez ce masque jusquà votre retour. »

A lévocation de ce qui mattendait, un long frisson a inondé tout mon corps. Jétais sur le point de défaillir. Il souriait.

Il est parti téléphoner et je lai entendu parler au vieux LARDOIS en rigolant. Il est ensuite revenu devant moi.

« Cette proposition lenchante, bien évidemment, et il vous attend déjà. Je compte sur vous pour ne pas me décevoir. De toute façon, je saurai rapidement comment cela sest passé et il me dira sil a été satisfait ou pas. Si vous me décevez, je vous corrigerai à la hauteur de ma déception. Allez-y ! Et montez les escaliers lentement ! Au fait, pour lui, vous vous appelez Carole. »

Jétai effondrée. Il me livrait à un vieillard dun âge canonique et exigeait, en plus, que je me rende chez celui-ci dans cette tenue en montant lentement lescalier. Jessayais de me rappeler laspect de celui à qui jallais me livrer mais javais les idées en vrac.

Javais peur que mes jambes lâchent sous moi, mon ventre se tordait.Il ma accompagnée vers sa porte, la cravache à la main, la ouverte et ma regardé monter les escaliers, lentement, comme je devais le faire pour lui obéir ; je maccrochais à la rampe. Je navais plus de force.

Cinq minutes après, jétais devant la porte du vieux LARDOIS et immédiatement, dun doigt tremblant, jai sonné. Une voix de vieillard a répondu: « Entrez! » Jai ouvert la porte.

Une forte odeur durine, de graillon et de renfermé emplissait cet appartement mal entretenu. Un long frisson dangoisse a parcouru mon corps et serré mon ventre. Jai vite refermé la porte derrière moi ; au moins, jétais maintenant à labri des regards indiscrets.

« Venez dans ma chambre ; la pièce au fond du couloir.»

Je suis allée vers cette porte et lai poussée doucement. Le vieux LARDOIS mattendait, dans un pyjama en coton avec des rayures aux couleurs délavées, à demi assis sur son lit recouvert dun couvre lit molletonné grisâtre. Il avait le dos calé par des oreillers. Il a commencé à retirer, de sa vieille main tremblante, les boutons de sa veste de pyjama quil a ensuite un peu écartée et jai cru voir limage dun cadavre tellement il était maigre.

Jai vu un corps à la peau plissé, jaunâtre, un corps sec et décharné. Il ma demandé de lui ôter cette veste puis son pantalon. Jai fait comme il le souhaitait. Jétais terrifiée, effondrée, humiliée.

Il avait des jambes dune extrême maigreur quil a péniblement écartées pour mettre son sexe et ses bourses flasques en évidence.

Était-ce fait exprès, cette exhibition ? Voulait-il lui aussi me tester, me choquer, meffrayer ?

Je découvrais un ventre creux, un pubis proéminent recouvert dune toison grise aux poils longs, des bourses flasques qui reposaient maintenant sur le tissu du couvre lit comme sur un présentoir.

Il ma regardé et a tendu la main vers moi.

Il avait un visage gris, des rides et des cernes profonds, des lèvres pâles, un sourire édenté, des sourcils broussailleux, le cheveu rare dun blanc jaunâtre et comme plaqué sur le crâne par de la gomina et des yeux gris qui avaient dû être bleus autrefois ; des poils sortaient de ses oreilles et de ses narines.

Je me suis relevée et écartée pour me mettre en position et attendre ses instructions.

« Approchez-vous que je profite de votre beauté. Léon ne sest pas foutu de moi, vous êtes vraiment très belle ; un morceau de roi ! Comme cela, vous acceptez de venir me voir de temps en temps pour satisfaire mes besoins et me vider les couilles? »

Je me suis avancée vers lui le long de son lit, lentement ; jétais au bord des larmes mais, quand même, jai trouvé la force de répondre. « Oui, monsieur, cest ça ! »

La chambre était dans un état douteux : Il y a avait des vêtements entassés sur une chaise, des piles de journaux, de revues et de livres et il y régnait une odeur épouvantable. Je retenais mon souffle.

Il sest adressé à moi. « Alors, dites-moi, quallez vous faire ? »

Ses yeux parcouraient mon corps et le dévoraient. Cette momie avait un aspect repoussant. Javais presque des sanglots dans la gorge à force de tension accumulée mais je les ai refoulés. « Tout ce que vous voudrez monsieur! »

Il a levé une main osseuse, noueuse, sèche.

« Ah, cest bien, ça ! Alors, vous allez commencer par vous allonger sur le lit que jen profite un ptit peu et après, quand jaurai fini, vous allez me montrer ce que vous savez faire avec la bouche pour faire bander un vieux machin comme moi. Je compte sur vous car ce nest pas évident, à mon âge. »

Il a pris ma main, ma attirée vers lui et son autre main noueuse à la peau ridée et veinée de bleu a palpé mon sein puis ses doigts en ont pressé le téton.

Il a remarqué les pinces posées sur mon sexe. Je me suis allongée à côté de lui, sur le dos, comme il le voulait. Mon cur battait la chamade. Javais du mal à respirer calmement. Ses mains parcouraient déjà mon corps.

« Vous êtes la nouvelle de Léon, nest-ce-pas ? Quand il en aura fini avec vous, je lui demanderai quil vous donne à moi, ça moccupera, cela me fera passer le temps. Tiens, le connaissant bien, je sais que vous portez un plug. Montrez-moi ça, vite ! »

Il a ricané.

« Il faut vous bouger un peu ma jolie, sinon je vais devoir dire à Léon que vous nêtes pas coopérative. »

Ces mots ont immédiatement déclenché un sentiment de panique en moi. « Oui, monsieur, tout de suite. Je vais être obéissante, vous verrez, je vous le promets ! »

Je me suis rapidement mise à quatre pattes pour lui présenter mon cul, jai écarté mes jambes puis jai ouvert mes fesses des deux mains, afin quil voit bien le plug. Jétais anéantie. Je craignais que Léon me corrige encore plus si je nétais pas efficace avec cette momie édentée. Jai donc laissé mes fesses écartées le temps quil a voulu pour quil admire le plug et joue avec lui comme voulait, du bout des doigts.

Après, il la tiré puis repoussé à plusieurs reprises et ses doigts de vieux sont descendus frôler ma fente. Jai frémi dhorreur et un long frisson instinctif, purement animal, ma secoué.

« Retirez le, car si vous me faîtes bien bander, je vais essayer passer par là aujourdhui.» Il a ricané, un ricanement chevrotant.

Jai doucement retiré le plug et lai posé au sol, le plus soigneusement possible en le faisant reposer sur sa base pour quil ne soit pas souillé par la poussière.

Il a saisi les pinces, ma fait écarter les cuisses un peu plus et a joué avec en disant : « Hum ! Dites, elles sont très serrées ! Vous navez donc pas été obéissante ces jours ci ; il vous faut donc vous rattraper avec moi si vous voulez que je dise à Léon que vous avez été gentille. Si je lui dis le contraire, il va vous corriger et vous allez dérouiller. Allez-y, retirez vos gants et puis je vais vous tripoter un peu, jen ai envie !»

Il était parfaitement lucide ce vieux squelette et je savais maintenant quil ne me passerait rien et que je devais démontrer tout mon talent pour lui plaire et le satisfaire. Je navais pas le choix et je me suis lancée.

« Voulez-vous que je prenne des poses excitantes pour vous plaire, monsieur ? »

Je voulais bien sûr lexciter un peu par des poses obscènes, mais aussi gagner du temps. Je guettais sa réponse.

« Non, non, restez ainsi, ça me va. »

Il sest difficilement relevé pour sasseoir sur ses talons puis je me suis retournée sur le dos, à sa demande, et sa bouche est venue se poser sur la mienne. Ce contact ma écuré et donné envie de vomir mais sa langue a forcé le passage de mes lèvres. Il ma embrassée longtemps et jai dû répondre à ce baiser. Il avait une haleine chargée.

Je retenais ma respiration et laissait sa langue jouer avec la mienne.

Sa main droite fouillait ma fente, jouait avec les pinces, avec les lèvres de mon sexe, ses doigts vrillaient en moi et malgré moi, mon corps commençait à réagir.

« Vous mouillez ? »

Il fallait que je lui fasse plaisir : « Oui, monsieur, grâce à vous. »

« Allez, maintenant relève tes jambes ! Vite ! »

Je devais jouer le jeu et tout faire pour le contenter. Ses doigts sont venus entre mes jambes écartées et relevées pour se poser sur mon anneau et y ont pénétré.

Jai gémi et sa bouche est encore venue se poser sur la mienne, longuement. Il voulait encore ma langue. Je la lui ai donnée. Je ne pouvais surtout pas lui refuser quoi que ce soit. Jétais coincée et il a pris tout son temps pour explorer ma chatte et mon cul, mes seins, puis ma bouche, de deux doigts crochus et odorants que jai dû sucer longuement.

Pendant que je faisais ça, il a posé ma main sur sa queue et jai commencé à faire de mon mieux avec mes doigts. Jai effleuré ses bourses, sa tige flasque, le gland que jai doucement roulé entre le pouce et lindex. Il aimait cela et me le faisait comprendre.

Surtout, je répondais de mon mieux à ses baisers et il en était très content.

Il sest finalement relevé.

« Maintenant, viens toccuper de moi avec la bouche et les mains et fais ça bien. La prochaine fois que tu viendras chez moi, je te dirai comment tu dois thabiller pour me plaire et là, tu feras ce quil faut pour bien mexciter en commençant par un bon striptease, mais là, je veux voir comment tu débrouilles avec ta bouche de pipeuse, ma jolie ! »

Il me traitait vraiment comme une pute. Ses yeux brillants scrutaient mon visage. Il essayait de deviner à quoi je ressemblais sous le masque et peut-être aussi ce que je pensais et ressentais. Ou alors peut-être quil sen moquait ?

Pour le satisfaire, je me suis mise à quatre pattes sur le lit, entre ses jambes que jai délicatement repoussées de chaque côté puis redressées pour ouvrir un accès plus aisé à ses parties intimes.

Jai examiné son sexe : une espèce limace blafarde, longue et flasque qui pendait sur des bourses fripées et velues et jai immédiatement senti une odeur durine tenace. Il ne devait pas se laver correctement.

Jai pris ma respiration et plongé et ma langue a léché sa queue molle, délicatement, du bout de peau fripé qui recouvrait le gland jusquau pubis, jusquaux plis de laine. Il a apprécié et ses reins ont bougé.

Jai recommencé à plusieurs reprises et du bout des doigts, jai entrepris de décalotter le bout du gland pour venir le chatouiller avec la pointe de ma langue. Il aimait cela, apparemment, car il ma fait recommencer à plusieurs reprises, puis, il a voulu que de mes doigts, je repousse la peau, que je décalotte le gland et mes lèvres se sont resserrées sur lui pour que le bout de ma langue joue dessus en tournoyant.

Je commençais à ressentir une forme plaisir à faire cela. Je nen étais pas vraiment étonnée car, encore une fois, javais là une occasion de vivre intensément lun de mes fantasmes de prostitution forcée. Je mouillais de plus en plus et mon vieux film porno préféré se déroulait en moi.

Il a donné un léger coup de rein, a appuyé sur ma tête des deux mains et sa bite est venue senfoncer un peu plus dans ma bouche.

« Suce mieux ! Allez !»

Je lui ai obéi en faisant de lents va et vient et sa queue prenait un peu de volume dans ma bouche.

Pendant que je faisais cela, mes doigts jouaient délicatement avec ses couilles plissées, les poils qui soffraient à eux et mon index est venu caresser le périnée jusquà atteindre les poils qui recouvraient lanus du vieux, de celui qui était devenu mon client. Il a soulevé son bassin légèrement et jai bien compris le message. Mon doigt est venu dégager les poils pour atteindre la muqueuse que jai parcourue du bout du doigt. Je lai retiré pour le mouiller de salive, puis de ce doigt humide, jai caressé le trou du cul de ce vieux squelette lubrique.

« Met-le ! Vas-y ! Allez !»

Il fallait que je le fasse, alors mon doigt sest lentement introduit en lui et jai senti le muscle de son anneau qui se dilater puis se resserrer autour de ma phalange. Jai alors réalisé clairement que jadorais cette sensation, ce sentiment de puissance.

Jai relevé ma tête. « Comme cela, monsieur ?»

Je le regardais. Il avait les yeux fermés. Je faisais la pute, je me regardais faire ça : un beau rôle pour moi, finalement !

« Oui ! Allez, continue, mets en un autre et après, tu me feras une petite langue; je suis sûr que tu fais cela très bien !»

Je men doutais bien que je devrais arriver à ça. Plus rien ne métonnait. Le vieux Schuller avait dû lui parler de mes petits talents particuliers en la matière. Jétais devenue la chienne de Schuller et Lardois qui le savait comptait bien en profiter.

Jai sucé mon index et mon majeur et les ai délicatement introduit en lui pour entamer un lent va et vient. Son anneau se desserrait puis se resserrait à chaque passage de mes doigts.

Il bandait un peu plus correctement désormais, et jai sucé sa queue en mappliquant. Je voulais lui démontrer tout mon talent buccal, ne pas le décevoir ou le mécontenter et quand il a demandé sa feuille de rose, jai continué de branler sa queue doucement du bout des doigts.

Il a relevé ses reins et les a soutenus de ses deux mains et ma bouche est venue se coller sur son trou du cul pour que ma langue, oubliant le goût et les odeurs sévères, se faufile autour de son anus puis en lui, le plus profondément possible.

Lorsque ma langue a forcé lentrée de son anneau, il a gémi de plaisir. « Tu es une sacrée suceuse de bite et la meilleure lécheuse de cul que je connaisse ! Je le dirai à Léon, même sil le sait déjà et en profite bien, ce vieux cochon. Continue encore un peu et je vais tenculer ma belle ; enfin, si je peux.»

Jétais enfin soulagée, car il était satisfait de moi et ma langue a fouillé son cul, longuement, toute entière en lui, malgré le goût et les odeurs qui envahissaient ma bouche. Je devais tout faire pour le satisfaire, satisfaire mon celui qui était devenu mon « client ».

Il ma, un peu plus tard, fait mettre à quatre pattes sur son lit, ma demandé de prendre sa queue en bouche pour bien la mouiller, la lubrifier. Il retenait ma tête sur son ventre et je devais avaler sa bite entièrement, puis il ma demandé de me retourner et derrière moi, il a ouvert mon sillon des deux mains avant de mouiller mon anneau de ses doigts enduits de salive, puis il a posé le bout de sa queue et sest enfoncé dun lent coup de rein.

Jai été surprise car je ne mattendais surtout à une telle présence virile de sa part et jai crié sous cette intromission douloureuse, puis il a pris tout son temps pour se soulager en moi. Il allait lentement, mais bien à fond, à chaque coup de rein.

Je gémissais à chaque coup. Il a joui, enfin, et sest retiré. Je suis restée dans cette position un instant, puis il a voulu que je vienne vers lui pour lécher sa queue luisante de sperme et au goût aigre : celui des humeurs de mon cul.

Je me suis exécutée et de la langue, tout en le regardant, jai lavé sa queue redevenue flasque.

Quand jai fini, il ma donné le signal du départ en me disant quil allait dire à Léon quil avait bien dressé sa soumise et fait delle une sacrée suceuse de bite. Je lai remercié. Jai remis le plug en place puis jai enfilé mes longs gants noirs.

Il ma ensuite dit comment je devrais mhabiller pour venir chez lui la prochaine fois : Robe noire courte, guêpière noire, bas à coutures, escarpins, chapeau à voilette, gants noirs en dentelle, maquillage vintage et imperméable en cuir noir. Un ensemble des années quarante, en somme.

« Compris ? »

« Oui, monsieur! »

« Allez, tu retournes voir Léon ! Il attend ton retour pour te corriger, je le sais ! »

« Merci monsieur ! Vous verrez, lorsque je reviendrai vous voir, vous serez content de moi. »

(A suivre)

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