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Défis de couple – Chapitre 7

La Muse - Chapitre 2



7ème défi : Un clou à enfoncer

Arnault, encore plus excité que moi par mes photos, les exigences érotiques du vieux et mes récits détaillés, me demandait, si tel était mon choix, de retourner chez le voisin dès le lendemain soir pour enfoncer le clou : belle image, en vérité !

Ce serait là mon 7èmè défi.

Cette fois là, jétais plus réservée, non pas sur le fait dy retourner car, en réalité, je le voulais autant que lui et il le savait, mais sur la proximité de cette échéance.

Je voulais prendre un peu de temps, souffler un peu, reprendre des forces car jétais épuisée nerveusement.

Il a compris ma position et ma laissé le choix de la date.

Pour me faire rire, il ma même dit: « Je te laisse le choix dans la date ».

Bien que troublée, jai réussi à rire de bon cur de cette contrepèterie lamentable.

Jai consulté mon agenda. Demain, cest dimanche. Ok, mais je travaille lundi et le lundi est toujours une rude journée au cabinet, beaucoup de réunions et de dossiers à reprendre.

Mardi ? Pas possible, je travaille très tard ce soir là.

Mercredi soir, ce serait bon car jeudi sera plus calme au niveau du travail ; donc, ok pour le mercredi soir.

Dans la foulée, jai laissé un message à Arnault pour linformer de la date que javais prévu de proposer au vieux et je suis descendue, dans la foulée, pour glisser un petit mot sous la porte de notre voisin.

Le lendemain matin, un petit billet de sa main sous ma porte.

« Je vous attends donc mercredi soir! Léon. S »

Sur mon portable, il avait laissé un message vocal: « Où que vous soyez, caressez-vous, immédiatement ! »

Jétais dans ma voiture et ce petit message ma tellement excitée que je me suis caressée tout en conduisant.

Lorsque je suis arrivée au travail, ma petite culotte était trempée.

Quelques minutes après, un autre message : « Retirez votre string. »

Jétais dans mon bureau et sans réfléchir, je me suis exécutée. Je lai rangé dans mon sac à main.

Le vieux ma téléphoné. « Avez-vous fait ce que je vous ai demandé de faire? » Un silence. Il attendait ma réaction.

Jai répondu : « Oui, monsieur, cest fait ! »

Il a raccroché. Jétais dans un état de nerf indescriptible et javais les joues brûlantes.

Mon niveau dexcitation ne faiblissait pas.

Comme disait ma grand-mère, javais besoin de masseoir dans une cuvette deau froide.

Les jours qui ont suivis, tout ce que javais vécu depuis quelques semaines me revenait en permanence en mémoire.

Mon cerveau et mon corps bouillonnaient dexcitation.

Au moindre instant libre, je revivais dans le détail ce que je venais de vivre ou bien jimaginais tout ce quil allait sans doute exiger de moi et obtenir, bien évidemment, dès lors que jallais me rendre chez lui.

Je me suis même surprise à me caresser lors dune réunion de travail. JE lavais fait sans men rendre compte.

Même si personne ne sest aperçu de quoi que ce soit, jai piqué un fard et eu la honte de ma vie.

Sans cesse, je revoyais laspect physique épouvantable et le visage de notre voisin; son odeur corporelle, sa voix emplissaient ma mémoire.

Chaque nuit, je rêvais dune araignée froide sur ma fente, de ses pattes la parcourant et me pénétrant, du visage du vieux, de son corps immonde et une espèce de crapaud gluant sallongeait sur moi, mécrasait, mécartelait et me pénétrait.

Jétais obsédée, au sens réel du terme.

Seule limite concernant les modalités dexécution du défi : je ne pouvais pas accepter de relations sexuelles, juste des attouchements de sa part, mais là, Arnault avait ajouté : «Tu le toucheras sil te le demande.».

Cela me rassurait un peu car ce que jallais vivre ne pourrait être pire que ce que javais déjà vécu et, finalement, que ce que javais déjà supporté en ressentant du plaisir ; je dois être honnête.

Mes réflexions, en effet, mavaient amenée à admettre que javais ressenti du plaisir à me soumettre aux exigences de ce vieux pervers, à me livrer à lui, à subir sa laideur, ses exigences lubriques et à laisser mon corps répondre à ses attouchements humiliants.

Javais entrepris dexplorer mon arrière-cuisine et mes caves aux murs pas trop nets ; javais pataugé dans les miasmes de mes pires fantasmes et jai frémi en pensant à tout ce que javais été capable de supporter et à tout ce que je serai capable de faire et, finalement, dans mes moments de lucidité, je ne voyais plus trop de limites.

Cétait là lobjet réel de mes angoisses et jen étais parfaitement consciente.

« Et sil te demande de le masturber, de le toucher, de tripoter son sexe de vieux pervers, et pire encore, de le sucer, comment réagiras-tu, ma fille ? »

Jai préféré éluder la réponse tant elle me faisait peur.

Comment devais-je mhabiller pour aller chez lui et me livrer à lui ?

Jai décidé, après réflexion, de mettre une petite robe claire qui ferme avec une fermeture éclair dorsale et des dessous blancs, soyeux et doux au toucher.

Le soir prévu, jétais à lheure au rendez-vous.

Je dois reconnaître que les derniers jours avaient encore fait monter lexcitation en nous.

Parler de Schuller nous amenait chaque fois à un niveau dexcitation érotique inouï.

Avant chaque rendez-vous, Arnault et moi étions aussi excités par mes récits quimpatients de connaître la suite.

Quallait-il exiger de moi, maintenant, ce vieux pervers?

Nous en avons longuement parlé avec Arnault et, à son avis, il allait aller bien plus loin que la dernière fois.

Cétait évident ; pour nous, je devais mattendre au pire.

Jétais aussi effrayée quexcitée à lévocation de ce qui pouvait mattendre.

Le vieux Schuller a ouvert la porte, ma saluée puis ma guidée jusquau salon. Là, il ma fait asseoir et ma offert une coupe de champagne puis il sest installé dans son fauteuil pour boire sa coupe.

Il parlait peu et ne me quittait pas des yeux.

Encore plus tassé que dhabitude, il avait lair taciturne.

Jessayais de garder les yeux baissés, je ne voulais pas croiser son regard ou subir trop violemment le choc de son épouvantable apparence physique.

Je buvais ma coupe pour me donner une contenance.

-« Levez-vous, ma chère ! »

Un ton sec, inhabituel chez lui, et, de nouveau, cette sensation dune coulée de glace au creux de mon dos, comme lorsquon appelle votre nom pour un examen oral ou une visite médicale que tu sais douloureuse.

Il ma fait mettre juste devant lui. Il me fixait.

« Alors, mes petites demandes téléphoniques vous ont excité ? »

« Oui, monsieur ! »

« Bien, alors nous allons pouvoir continuer à jouer un peu tous les deux. Vous êtes daccord ? »

« Oui, monsieur ! »

« Cest très simple ; je suis certain que cela va bien vous plaire. Pour commencer, retirez votre robe, tout de suite, là, devant moi! »

Il voulait que je me dénude devant lui, que je lui fasse un strip-tease !?

Si me faire tripoter par lui sous la table ou sur ses genoux avait été pénible, ce quil exigeait désormais était insoutenable.

Cela navait plus rien à voir avec une séance de photos sexy.

Bien sûr, Arnault avait évoqué cette possibilité comme étant la plus probable et je lavais également envisagée mais là, jétais confrontée à la réalité, et du fantasme à la réalité il y a un fossé que je devais franchir, devant lui, maintenant.

Javais relevé le défi et jétais bel et bien coincée. Je ne pouvais pas refuser, tout juste espérer quaprès, satisfait, il me libérera.

Jai essayé de lattendrir. Après tout, il avait déjà obtenu beaucoup.

« Si je fais ce que vous me demandez là, je pourrai partir ? »

Sa réponse a été parfaitement ambiguë, énoncée dun ton sans aménité, presque agacé : « Vous ferez, ma chère tout ce que vous accepterez de faire, comme depuis notre miraculeuse rencontre, rien de plus et puis, je vous libérerai, bien évidemment. Je nai aucune envie de vous retenir en otage. »

Il a ricané.

Coincée, la fille !

Je devais faire ce quil exigeait de moi. Je navais pas le choix.

En plus, il avait parfaitement raison, jétais là parce que je lavais voulu et je devais assumer mon choix, cette volonté daller plus loin et de vivre mes fantasmes.

Je me suis levée pour venir juste face à lui, à un peu plus dun mètre, sans croiser son regard, ultime possibilité de me protéger encore un peu

Jétais debout, prête à me dénuder devant ce monstre physique qui allait me tourmenter.

Jai essayé dimaginer Arnault dans le fond de la pièce, derrière le fauteuil du vieux, pour me donner du courage, de ce vieux bien calé dans son fauteuil situé à la perpendiculaire du canapé et qui allait fouiller mon corps dénudé de ses gros yeux de crapaud, mais Arnault était loin et jétais désespérément seule pour affronter cette épreuve.

Alors lentement, car cela constituait un véritable supplice pour moi, jai entrepris de faire glisser, sous le regard de ce vieux batracien lubrique et devenu impitoyable, la fermeture éclair de ma petite robe.

Jamais je navais fait ça, de cette façon là, devant un autre homme que mon mari.

Lentement, très lentement, peut-être dans lespoir de gagner un peu de temps, les yeux baissés pour cacher mon désarroi, jai procédé à cette opération douloureuse.

Jentendais son souffle plus marqué et ses raclements de gorge de vieux fumeur.

Le vieux cochon savourait le spectacle.

Jai terminé cette lente descente, puis jai retiré ma robe à sa demande, découvrant ainsi mon corps, le livrant à son regard intense, à son désir, aux exigences qui allaient suivre aussi.

Jai réalisé, à cet instant et en rabattant les pans de ma robe sur mes hanches, que je vivais là, pour de vrai, lun des épisodes de mes aventures fantasmatiques.

Dans ce fantasme que je sollicite souvent pour me masturber, je suis une jolie et naïve jeune femme soumise aux exigences dun ignoble maître chanteur, un homme vieux, effroyablement laid et dénué de pitié qui me réduit en esclavage sexuel pour rembourser nos dettes et sauver mon mari de la ruine et du déshonneur.

Le visage du vieux était écarlate. Il allait éclater ; ses yeux fixaient et fouillaient mon corps.

Ma robe était tombée à mes pieds et mon sexe était presque nu, simplement mis en valeur par symbolique triangle de soie blanche.

Une exigence : -« Retirez ce petit morceau de soie et posez le à mes pieds! »

Il parlait dune voix détachée, sans affects.

Je me suis exécutée et ai déposé, en me penchant vers lui, le tout petit chiffon roulé en boule à ses pieds.

Il la attrapé en se penchant et en a joué de ses énormes doigts de la main gauche.

Il fixait mon sexe lisse et parfaitement épilé, mais cela il le savait déjà car sa « vieille amie » avait pu en savourer le velours à lenvie.

Il ne le quittait pas des yeux et je sentais le poids de son regard lubrique senfoncer en moi.

A la demande du vieux, mes mains sont allées dans mon dos pour dégrafer mon soutien gorge et selon son ordre, je lai lentement laissé glisser au sol, juste devant ses pieds.

Jétais nue devant « mon ignoble maître chanteur », seulement vêtue de mes escarpins et dun collier ras de cou de perles blanches.

Je suis restée quelques secondes dans cette position, les mains sagement croisées dans le dos et les épaules rejetées en arrière, à sa demande, comme une élève bien disciplinée, le regard baissé.

Le vieux a savouré le spectacle ainsi offert, prenant tout son temps pour parcourir mon corps, pour insister lourdement sur certaines zones et je ressentais le poids presque visqueux de ce regard inquisiteur.

De loin en loin, il remontait la monture de ses lunettes aux verres troubles, se raclait la gorge et avalait sa salive. Il jouissait de me voir ainsi réduite à sa merci.

« Maintenant, retournez-vous! » me commanda til dune voix ferme.

Jai fait selon son désir, lentement. Il devait savourer sa victoire et en jouir.

Sa main sétait posée sur son bas-ventre depuis quelques minutes.

Il se branlait sans aucune gène devant moi par-dessus son pantalon et jai frissonné à cette vision, tant javais peur de la suite.

Je me suis retournée puis cambrée, à sa demande, pour mettre mon fessier en valeur puis, abdiquant toute volonté, vaincue, offerte, je me suis attachée à faire ce quil me disait de faire, respectant ainsi la règle première du défi : « laisse le enfoncer le clou. »

Jespérais aussi quen obéissant de mon mieux à ses exigences, cela irait plus vite.

Il transpirait dexcitation et lodeur caractéristique de son désir venait jusquà moi.

Il respirait de plus en plus fortement.

De mon côté, je devais me contrôler pour ne pas me laisser aller aux tremblements qui sannonçaient.

Il sest levé. Jai frémi ! Que va-t-il me faire ?

La boule de chair a bougé et est venue se coller derrière moi, puis une main froide a parcouru mon visage, deux doigts ont ouvert ma bouche et y ont introduit mon string roulé en boule.

Personne ne mavait fait ça.

Jai gémi. Je nen pouvais plus. Deux mains venaient demprisonner les globes de mes seins pour les palper, les parcourir et jouer avec.

Je sentais un ventre énorme et poisseux pousser le creux de mes reins.

Je gémissais sous les pattes du vieux crapaud et les regardais parcourir mon corps, du visage à la fourche de mes jambes.

Son haleine explosait dans mon cou, ses lèvres roulaient sur mes oreilles et ma nuque.

Sa main droite est descendue explorer mon sillon fessier et un doigt interminable sest introduit dans mon anus. Un autre, un peu plus tard, est venu sincruster dans ma fente, profondément. Un deuxième, un autre encore et jai gémi longuement.

Il me fouillait. Il a joué longuement avec mon intimité.

Sa bouche immonde, ses grosses lèvres humides, sa langue épaisse ont exploré ma nuque et mes épaules.

Mon bassin suivait le rythme de ses attouchements précis.

Je livrais mon corps à tous les désirs de ce vieillard lubrique.

Il a introduit lun de ses gros doigts de la main gauche dans mon anus. Il la fait aller et venir.

Il me prenait par devant et par derrière, en pince.

Mes jambes tremblaient. Jétais sur le point de meffondrer.

Quand il en a fini avec moi dans cette position, il est retourné sasseoir et ma fait commander de me mettre à genoux sur le fauteuil situé à deux mètres en face du sien, décarter les jambes et de cambrer mes reins.

Je ne pouvais plus résister.

Ma vulve, mon anus étaient ainsi parfaitement livrés à son regard, je le savais.

Il a pris une première photo ; le déclenchement du flash ma surprise et jai sursauté.

-« Je vais fixer sur la pellicule quelques souvenirs de cette soirée et vous pourrez partir. »

Je nai rien dit, même si de nouveau un sentiment de soulagement mest venu à lesprit.

Quil prenne des photos, je préfère faire ça. « Laisse-le faire tout ce quil veut. »

Cest bien ce que je faisais et dans mon esprit, Arnault était là, derrière le vieux et me contemplait dans cette position doffrande totale.

Je maccrochais à cette image rassurante.

Après avoir pris quelques clichés, il ma demandé de changer de position et de masseoir sur le fauteuil, décarter largement les jambes, de caresser mon sexe selon ses instructions précises, douvrir ma fente de deux doigts en fourche, de la pénétrer de lindex puis de deux doigts.

Dans cette même position, à sa demande, jai sucé mon index de manière suggestive, longuement, à son grand plaisir.

Il ma demandé de me caresser les seins.

Cela a duré longtemps, il ne parvenait pas à se rassasier.

Jétais devenue son jouet obéissant et je faisais tout ce que les autres femmes avaient fait devant son objectif.

Je lavais vu dans ses albums photos.

Une autre exigence, une autre encore : « Continuez ! Ecartez encore vos jambes! Je veux voir votre sexe encore mieux.»

Puis une autre : « Enfoncez votre index ! Allez ! »

Ses ordres navaient dautre objectif que dasseoir sa maîtrise sur moi, de jouer avec ma docilité, je le sentais bien.

De fait, je nétais plus quobéissance, lune de ces filles écartelée sur le papier glacé des magazines pornos.

Comment en étais-je arrivée là et si rapidement ? Et pourquoi avec lui, surtout ?

Il me faisait faire des choses quavec mon mari je navais même jamais envisagées de faire il y a peu encore.

Il sétait rapproché pour prendre des photos en gros plan.

Il transpirait abondamment.

Il sest installé, comme il a pu, à côté de mon fauteuil et sa main droite, glacée, ma longuement explorée. La droite, cette araignée agile, et la gauche, ce battoir de chair boursoufflé et violacé, qui est venu, lui aussi, profiter de mon corps offert et écartelé.

Il prenait son temps et je faisais tout pour le satisfaire et faciliter ses attouchements.

De loin en loin, il se relevait et prenait une photo.

Son index sest posé sur mon sexe, à agacé mon clitoris.

Je nen pouvais plus dexcitation, il fallait en finir.

Un de ses doigts a de nouveau exploré mon anus, un deuxième a suivi pour me dilater. Jattendais le troisième, il na pas osé lintroduire.

Il a poursuivi ses caresses des deux mains et sous ses doigts envahissants et habiles, mon corps a atteint la jouissance. Jai explosé en me cambrant et en gémissant sans retenue.

Javais honte mais le plaisir avait été tellement puissant que je nai pas pu me contrôler.

Il en fût satisfait et pour apprécier mes derniers spasmes et lhumidité révélatrice de mon sexe, il a introduit deux de ses longs doigts crochus en moi, profondément.

Jétais trempée et ils luisaient lorsquil les a retirés et humés.

« Il est très tard et vous devez être épuisée.»

Il sest levé. Jai fait de même et jai remis mes sous vêtements sous ses yeux.

Cétait enfin terminé pour ce soir.

Il a mis ma robe de côté et ma rendue lautre avec interdiction de la revêtir pour monter chez moi.

-« Je vais mettre ces quelques clichés sur votre clé USB pour vous. »

Jétais au comble de létonnement. Comment avais-je pu supporter tout cela, faire tout ce quil a exigé, me soumettre aussi facilement à ses fantasmes de vieux voyeurs et y trouver autant de plaisir ? Pourquoi avait-il enfin décidé de stopper le jeu à cet instant où vaincue, entièrement livrée à ses exigences, il aurait pu assouvir tous ses désirs.

Dans létat qui était le mien, je naurai pu lui refuser quoi que ce soit ! Pourquoi ne pas en avoir profité encore plus.

Il ma raccompagné jusquà la porte de son appartement.

« A demain soir 20h précises, chez moi, après que vous ayez pu téléphoner à votre mari et vous libérer, bien évidemment ! »

Il avait posé ma main sur sa braguette en me fixant du regard. Jai cru sentir son sexe palpiter à travers le tissu.

Il ma finalement congédiée.

Jétais presque nue, épuisée nerveusement et mon ventre était en feu car, je devais ladmettre, je ressentais, de manière inattendue, bien sûr la fatigue née de la tension nerveuse mais aussi, quelque part, une incroyable excitation sexuelle née de ces épreuves vécues ces derniers jour et de lapparence physique hors norme de ce vieux.

Je suis montée jusquà la porte de mon appartement en avalant lescalier.

A cet instant même, libérée pour la soirée, je navais quune seule idée : appeler Arnault pour tout lui raconter, me faire consoler et aussi, savourer sa fierté et son désir. Bien sûr, jétais fière davoir réussi toutes ces épreuves mais je voulais obtenir de lui que cesse ce jeu épuisant nerveusement.

Dès mon retour, jai immédiatement ouvert mon ordinateur.

Arnault nétait pas connecté mais il avait laissé un message : « Impossible, ce soir, dobtenir une connexion internet convenable. Raconte-moi juste comment sest passée ta soirée, ce que tu as ressenti. Ensuite, si tu le veux, tu tournes un deuxième film pour nous. Je compte sur toi ! »

Jai fait comme il me le demandait, y trouvant beaucoup, beaucoup de plaisir et pendant que je me filmais, jai répété à la caméra, notre bonne caméra, ma confidente, ce que javais ressenti pour, finalement et en conclusion, lui avouer mon désir de revenir chez ce vieillard, même si je craignais la suite puisquil avait déjà tant obtenu.

Puis, jai enfoncé lentement un gode épais et noueux en moi pour faire plaisir à mon homme mais aussi et surtout parce quil fallait que je me soulage de tant de tensions accumulées.

Il me fallait, si ce jeu des défis devait continuer, me préparer au pire, le contraire me paraissait impossible.

Je devenais folle. Cétait clair. Il me rendait folle ce vieux pervers qui faisait de moi sa poupée, le jouet de ses fantasmes de dingo.

Il fallait parler à Arnault. Cela devenait urgent.

Relever ces défis ne devenait-il pas dangereux ?

Pour la première fois, javais envie darrêter.

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