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Dilatator – Chapitre 3

Dilatator - Chapitre 3



Je passai une superbe convalescence, de la montagne à la mer, de palace en bungalow, Dilatator et Perforator aux petits soins pour moi, exauçant mes moindres désirs.

Oh, oh!, je dois revenir un peu en arrière…

Dilatator, le gynécologue fou dans les pattes duquel je me suis précipitée inconsciemment, à décidé de modifier la forme de mon bassin afin de continuer ses expériences de dilatation sans être gêné par mes os.

Il fut assisté pour l’opération par un infirmier plutôt louche.

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Ce lundi, vers 17 heures, je regardais distraitement par la fenêtre, fourrageant à nouveau avec mes doigts dans mes orifices distendus, lorsque je vis l’infirmier sonner à la porte de mon voisin, tenant un gros carton dans ses bras.

C’est à mon tour!

Je me glisse sous la haie, entre par derrière et vais directement à la salle d’opération, comme d’habitude.

Dilatator et l’infirmier sont en train de sortir du matériel du carton et le répartissent dans les tiroirs et sur la table.

Comme d’habitude, je me mets nue et m’installe dans le fauteuil gynécologique, serrant moi même les brides qui m’immobilisent.

Ils ont fini leur rangement.

Dilatator me présente à Peter: -"Tu as déjà vu son visage, maintenant voici ses trous."

Peter me regarde à peine, tripote mes orifices, tire sur les diverses bordures pendantes. Il siffle d’admiration: -" Joli travail, Doc!"

-" Appelle moi Dilatator, s’il te plait."

Peter baisse son pantalon, exhibant une très longue bite, fine et pointue.

-" Ok! Appelle moi Perforator!"

Ils hurlent de rire, se tapent dans le dos. Comme ils n’ont rien pour trinquer, ils décident de se serrer la main dans mon vagin.

Nos destins sont désormais liés!

Perforator s’approche de moi, une seringue à la main et m’en injecte le contenu dans le bras droit. Il installe une perfusion à mon bras gauche, puis ma vision se trouble…

Je reprends conscience dans un palace, les alpes en face de ma fenêtre.

Je suis soudée dans un plâtre, du nombril à mi-cuisses. Des tuyaux en dépassent, reliés à une bassine sous le lit.

Un autre tube est relié à mon bras.

Je plane en voyant ce magnifique panorama, je me prends pour un aigle, je glisse…

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J’apprends, au cours d’un repas que nous prenons tous les trois dans ma chambre, que l’infirmier à une troisième vie.

Il a une douzaine de filles qui travaillent pour lui en ville, et c’est lui qui nous invite dans ce palace, ainsi que pour la suite de ma convalescence.

Il éprouve une totale admiration pour Dilatator, le gynécologue fou et son oeuvre, moi!

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Aujourd’hui, ils ont enfin accepté de dégager un peu mon plâtre afin que je puisse me tripoter.

Il était temps!

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Nous sommes arrivés au palace hier en fin d’après midi.

Mes fenêtres donnent sur l’océan. Splendide!

Ce matin, ils ont scié mon plâtre. Quel bonheur, quelle légèreté!

Je n’ose pas trop bouger, et des douleurs me rappellent vite à l’ordre si je m’oublie.

Ils m’ont fait une grande toilette, puis commandé du homard et du champagne.

Nous avons grignoté et bu tout l’après midi, commençant ma rééducation sans tarder. Ils m’ont massée, manipulée, caressée, dedans comme dehors.

Voyant notre état, Dilatator permit à Perforator de me pénétrer, mais avec mes jambes serrées entre les siennes.

J’étais en manque depuis si longtemps que je jouis tout de suite, mon vagin agité trayant littéralement la longue pine de l’infirmier.

Il ne résista pas à ce massage frénétique et m’offrit son jus en grandes giclées.

Il était aussi en manque!

Sans sortir de moi, après une petite pause, il recommença à bouger. Ça a pris un tout petit peu plus longtemps avant qu’on explose à nouveau.

Dilatator jouit dans ma bouche.

Et ainsi de suite, dix fois avant le repas du soir.

Quelques jours plus tard, de retour à la maison, il me fit entrer dans son petit salon. Sur un socle se tenait une statuette représentant Atlas portant le monde. Il alluma des bougies, me déshabilla et m’emmena vers la statue.

Il enduisit le globe terrestre de lubrifiant et me pria de l’engloutir. Je n’attendais que ça, j’enjambai la statue, me tortillant, forçant au maximum, levant les pieds pour appuyer de tout mon poids, je ne réussis pas à m’empaler, malgré tous mes efforts.

Il fut déçu et s’assit boudeur dans un coin de la pièce.

Enfin il me raconta:

— "Quand j’étais enfant, je n’avais pas le droit de m’approcher de la statue d’Atlas. Je recevais des taloches à chaque fois que ma mère me surprenait près de l’objet.

Quand j’étais en colère contre ma mère, je fantasmais de la voir s’empaler sur ce globe qu’elle m’interdisait de toucher.

Et ce fantasme ne m’a jamais quitté. Tant qu’une femme ne prendra pas ce globe dans son ventre sans en mourir, je continuerai à être hanté par cette obsession."

-" Je veux t’aider! emmène moi au sous-sol et continue ma préparation, je suis sure que j’y parviendrai

L’opération avait réussi au delà de ses espérances, ma contenance était maintenant de 7,3 litres. Il pût rentrer dans mon vagin 2 bouteilles de 1,5 litres, j’avais aussi gagné beaucoup en diamètre.

Mais ça ne suffisait pas.

Il introduisit dans mon vagin une sorte de ballon en caoutchouc épais qu’il brancha sur un compresseur après m’avoir à nouveau sanglée dans le harnais qui devait maintenir le ballon en place.

Il mit en marche le compresseur, et aussitôt, je sentis l’objet gonfler dans mon ventre. C’était ma fois très agréable. Au début.

Je commençais à avoir sérieusement mal. J’avais les larmes aux yeux lorsque je lui demandai d’arrêter. Il fit la sourde oreille et me laissa enfler. Mon ventre acceptait encore a peu près le volume, mais ma chatte était en train de se déchirer.

Enfin il arrêta le compresseur, détacha le tuyau et me laissa là, attachée sur le fauteuil, le trou à la limite de la rupture.

Il ne revint que le soir, m’ayant laissé plus de quatre heures me faire déchirer par le ballon.

Lorsqu’il me demande comment ça va, je ne peux que lui répondre d’un grognement. Je me rends compte que je bave, je suis devenue folle de douleur et de plaisir.

Il ne me libère pas, il me gonfle encore un peu

Je hurle à pleins poumons d’une voix rauque.

Au bout d’un quart d’heure, il ouvre la soupape et laisse l’air s’échapper. Je ne sens plus rien.

Il me masse la chatte avec une crème que lui a donné Perforator. Il masse l’intérieur de mon ventre de toute sa main, comme on nettoie une casserole.

Il a recommencé ce traitement tous les jours pendant une semaine.

Puis après un jour de repos, il m’emmena vers la statuette, la lubrifia et me pria de gober l’énorme globe qu’elle portait.

Après plusieurs minutes d’efforts, j’y parvins enfin.

Dilatator laissa exploser sa joie, puis il passa derrière moi et m’encula sauvagement. Je ne sais pas comment il y parvint, mais lorsque je le sentis jouir dans mon cul, je ne pus me retenir d’exploser.

Il me dit de ne pas bouger et téléphona à Perforator. Celui ci arriva un moment plus tard et s’extasia devant le prodige qu’il voyait. Il fit des photos puis me sodomisa à son tour. Je jouis à nouveau comme une folle.

Il me soulevèrent, me décollant du globe avec un horrible bruit de ventouse. Mes jambes ne me portaient plus. Ils m’installèrent sur le canapé. Pendant que Perforator fouillait mon ventre de ses mains Dilatator amena une bouteille de Whisky pour fêter l’événement.

Je me suis réveillée avant eux, la queue de Perforator au fond de mon cul et la bouteille au fond de ma chatte.

Aujourd’hui, je travaille dans le bordel de Perforator, il me fait tourner des films et il organise des séances spéciales très rentables, ses clients peuvent faire de mes trous tout ce qu’ils imaginent et ce n’est pas rare que je me retrouve avec 4 mains dans ma chatte et 2 dans mon cul.

Je suis heureuse et mon compte en banque grossit de jour en jour.

Je suis vraiment une salope!

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