Histoires de sexe travesti Histoires érotiques au travail

Doctorante – Chapitre 2

Doctorante - Chapitre 2



Jai pris note dun commentaire qui disait que le chapitre précédent était trop court, alors je vais essayer de rallonger la sauce…

Malik était entré dans les toilettes en prenant soin de bien refermer et verrouiller la porte. Il me prit dans ses bras et commença à membrasser partout : le cou, les cheveux. Il caressait doucement mes épaules, mais nentreprenait rien. Il fallait le rappeler à lordre:

Rappelle-toi : pas damour, mais seulement du sexe, de la baise, alors bourre-moi !

Il ne lui en fallut pas plus pour se ressaisir. Il attrapa vigoureusement ma taille pour me soulever et masseoir au niveau du lavabo. Il était déjà en caleçon, il le baissa et laissa apparaître un beau chibre, bien long, bien épais, mais surtout bien dur. Si javais pu, je me serais agenouillée devant lui, je laurais pris en bouche et je laurais sucé jusquà ce quil me donne tout son jus. Mais pour lheure, le temps était compté, je ne voulais pas quon se fasse choper… Je lui tendis la capote quil enfila en me regardant pendant que je jouais avec mes seins que javais sortis de mon soutien-gorge pour lexciter.

Il avait les dents serrées par lenvie de me baiser, je lentendais murmurer : "petite pute, tu vas voir ce que tu vas prendre". Ce qui aurait pu passer pour des menaces pour certaines sonnait comme des promesses à mon oreille. Je voulais le sentir en moi, le sentir me prendre, le sentir gicler au fond de ma chatte rendue brûlante par le désir.

Une fois la capote installée, Malik savança entre mes cuisses largement ouvertes pour laccueillir dans mon puits de désir, aussi largement que ma jupe le permettait. Il porta la main à sa bouche et cracha dessus avant denduire sa bite de salive. Il la saisit et senfonça dun coup, dun seul, en moi. Il marracha un cri et sempressa de me fourrer sa langue dans la bouche pour me faire taire. On allait nous entendre. Mais putain que cétait bon, après trois semaines de privation, enfin on me nourrissait ! J’étais affamée, j’avais prié, j’avais été entendue.

Malik installa ses deux mains en bas de mon dos et commença à me donner des coups de boutoir. Ainsi, il limitait mes mouvements de recul sur le lavabo et assurait l’efficacité de sa baise.

Il arrêta de m’embrasser, commença à me regarder et à me parler:

Alors ma cochonne, elle est bonne ma machette d’amour ? Tu aimes ce que je te fais ? Montre-moi comme tu aimes !

Je ne pouvais pas lui répondre, je suffoquais presque avec le plaisir. Si j’avais pu parler, voilà ce qu’il aurait entendu:

Baise-moi ! Baise-moi mon salop ! Plus fort ! Plus fort !

Mais je n’arrivais qu’à dire "Continue ! Continue ! ".

Je gémissais, je geignais de plus en plus fort. Le bruit des réacteurs me couvrait. De son côté, Malik grognait de plus en plus, comme un animal. Mais c’est ce que j’aime dans le sexe : lorsque cela devient bestial, lorsqu’on ne peut s’empêcher de mordre l’autre au moment de l’orgasme, quand on a envie de lui enfoncer ses ongles dans son cul bien ferme et rebondi, quand on finit en sueur, collé l’un contre l’autre.

Malik semblait s’approcher de plus en plus de l’orgasme, car il ne disait plus que "Petite pute ! Petite pute ! Petite pute ! »

Soudain, il arrêta de me pénétrer, retira sa bite de mon con. Il ne voulait pas finir en jouissant dans une capote alors qu’il avait une petite Française à disposition. Il me fit descendre de mon perchoir. Je n’avais pas encore joui, mais j’avais tout de même eu du plaisir.

Je me mis à genoux devant lui, j’ouvris la bouche, et sortit ma langue. Alors qu’il commençait à se branler, je pris mon air de petite collégienne qui excite tellement les hommes: mi-cochonne, mi-innocente. Il se branlait de plus en plus vite en me regardant de son air féroce. Soudain, il m’envoya sa sauce, son sperme épais en gueulant "Tiens ! Prends ça ! » Je m’empressais de récolter son précieux nectar entre mes lèvres de velours et de tout nettoyer. De plus, histoire de passer pour une bonne hôtesse, je suçais sa bite, la léchant de haut en bas afin de la rendre aussi propre que je l’avais eue.

Une fois les opérations de nettoyage terminé, Malik se rhabilla et sortit des toilettes. Je restais un peu plus longtemps, histoire de ne pas être trop suspecte. J’en profitais pour remettre de l’ordre dans ma tenue : mes seins reprirent leur place dans mon soutien-gorge en dentelle, je redescendis ma jupe qui avait une ou deux taches, je mettais de l’ordre dans mes cheveux. On voyait que j’avais bien transpiré, certains comprendraient sans doute pourquoi… Quand je sortis, j’avais de nouveau l’apparence d’une sage étudiante…

Qui aurait cru que j’avais connu l’extase. Qui ? Beaucoup plus de gens que je ne le pensais. De toute évidence, nous n’avons pas été aussi discrets que ce que j’espérais. En effet, alors que j’avais regagné ma place, un steward nous offrit à boire, il échangea avec Malik et moi un regard entendu suivi d’un petit clin d’il. Dans l’état de manque dans lequel j’étais, je me mis à imaginer que j’aurai pu l’embarquer lui aussi dans notre aventure… À votre avis, il y a assez de place dans les toilettes d’un avion pour être prise en double pénétration ? C’est possible: le steward se serait assis sur les toilettes, je me serai empalée sur lui en lui mettant le nez dans mes seins, Malik aurait alors pu m’enculer… Mais cela aurait été difficile à mettre en uvre sans rameuter tout l’avion passager et équipage compris. Celles qui ont déjà testé cette position savent que c’est tellement bon qu’on a du mal à se retenir de crier tout le plaisir que l’on ressent…

Mais cette partie de jambe en l’air improvisée avec Malik m’avait épuisée. Bientôt, je tombais dans un profond sommeil peuplé de rêves où j’avais toutes les bites que je voulais…

La suite si cela vous plaît…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire