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Domestiqué – Chapitre 2

Domestiqué - Chapitre 2



Je repensais souvent à cette émotion que javais ressentie à voir cette femme, et à sentir son autorité. Cétait assez troublant pour moi qui avais lhabitude de diriger. Jen étais encore plus dur et humiliant avec mes deux soumises, jouissant de les voir pleurer sous mes tortures et repartir le corps et lesprit cassés par ma violence, et ce sans remord. Le travail tournait bien ce qui me laissait du temps pour mes désirs et mes rêves. Lorsque mon assistante me passa une conversation personnelle, je pensais à une de mes deux soumises, mais la voix féminine métait inconnue.

« Bonjour. Si vous ne vous souvenez pas de moi, je suis certaine que vous vous souvenez des deux bouteilles deau que vous avez bues sous lil de ma caméra en sous-vêtements féminins ?

— je fus cueilli à froid et ne su quoi répondre. Mélange de panique et de stupéfaction

— Vous êtes toujours là ou bien à vous mettre à genoux à votre place pour me parler ? la voix était moqueuse.

— Comment osez-vous mappeler ? Je me resaisis. Je vous ai dit que je ne voulais pas aller plus loin.

— Ah oui ? Je me souviens, mais vous navez pas du comprendre que vous ne choisissez plus. En plus vous mavez menti sur pas mal de détails et vous allez le regretter.

— Je vous demande de me laisser, ce nétait quun jeu, et si vous insistez je vais déposer plainte à la police.

— Vous me menacez. La voix sétait faite très dure, me faisant frissonner. Vous réalisez que je connais tout de vous, que je sais où vous travaillez, le nom de vos filles, que jai une superbe vidéo de vous quil me tarde de diffuser à toute votre société et vos amis.

— Jamais vous noserez. Si vous faites cela je vous fais jeter en prison.

— Vraiment, là elle riait. Peut-être, mais ce qui est certain cest que votre réputation et votre image seront totalement ruinées.

— Cest du chantage ! Cest ignominieux.

— Mais non, cest juste un engagement que vous avez pris, celui de mobéir, et maintenant vous voulez revenir dessus, ce nest pas possible, vous ne pouvez pas décider de cela, seule moi je le peux.

— Quest-ce que vous voulez ? Cest de largent ? Jétais effondré mais je me disais quen payant un peu, peut être beaucoup je men sortirai et me vengerai sur mes soumises de ce que cette femme me faisait.

— De largent ? Non largent ne mintéresse guère, cest votre âme que je veux, cest tout de vous que je veux et que jaurai, soyez en certain.

— Vous naurez rien, je vais raccrocher.

— Ecoute-moi bien petit merdeux. La voix était à nouveau coupante. Je vais te donner un ordre. Si tu ne lexécute pas, tu auras tout de suite un avertissement de ce que je te réserve. Je veux que ce soir à 19h tu sois sur mon palier, avec de nouveaux sous-vêtements féminins que tu iras acheter avant, de couleur rouge, nu et à genoux, avec un dîner pour 4 personnes de chez le traiteur. Tu nes pas encore formé alors tu ne feras pas le service, mais bientôt cest toi qui le servira. Si à 19h05 tu nes pas là, tu sauras que je ne plaisante pas. »

Et elle raccrocha brutalement me laissant bouche bée devant ce qui marrivait. Je ne pus me concentrer le reste de la journée et annulait mes rendez-vous. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Ce quElle me demandait nétait pas bien compliqué ni couteux, mais en même temps nétait-ce pas continuer sur une pente dangereuse. Je me disais quElle était sublime et que javais aussi de la chance de ce côté-là, tant dhommes soumis ne trouvant jamais de Maîtresse à servir. Mais en même temps je nétais pas du tout soumis. Sans trop réaliser ce que je faisais, je parti à 16h du travail, passait dans un grand magasin acheter des sous-vêtements féminins. Je les prenais un peu au hasard, mais bien rouge, et cet achat mexcita. Jimaginais devoir dire à la vendeuse que cétait pour moi, mais bien sur je nen fis rien. Je découvrais mon goût pour lhumiliation. Je revins chez moi, sans être plus décidé sur la conduite à tenir, mais très excité. Je me caressais et me fis jouir sous des images surprenantes pour moi, rampant à Ses magnifiques pieds.

Une fois le plaisir physique passé, lexcitation retombée, la folie de cette expédition mapparut clairement. Et je prenais enfin la décision de ne rien faire. Je savais que la probabilité quElle ne fasse rien était très élevée, quel intérêt aurait-elle à aller faire des problèmes alors que des soumis étaient si nombreux à vouloir la servir ? Jétais un peu nerveux vers 19h, pensant que je devrais être sur Son paillasson, le doute revint alors, mais il était trop tard. A 20h, nerveux, je pensais que le plus dur était fait, et quElle ne ferait rien, pas même un SMS dénervement. Je ne dormis quà moitié soulagé, encore tout chamboulé par ce rebondissement.

Le lendemain matin en arrivant au bureau jallais comme toujours dans mon bureau, mais je remarquais mon assistante qui ne croisa pas mon regard quand je la saluais. Sans plus faire attention, jallais lire mes emails et mon sang se figea. Sur mon adresse professionnelle, une série de photos de moi à genoux en train de muriner dessus, nu e en sous-vêtements féminins, me sauta au visage. Je devins rouge de confusion et faillis mévanouir quand je vis que mon assistante était aussi en copie de lemail. Tétanisé, je ne sus quoi faire, et cest elle qui me sauva en entrant dans mon bureau et en me disant quelle avait détruit un mail qui avait dut lui arriver par erreur. Elle ressortit avant que je ne réagisse. Jétais effondré, anéanti, alors que je me croyais sorti daffaires. Il fallait que je porte plainte, il ny avait de pas de doute. Mais il me faudrait tout expliquer, tout montrer, sans certitude que le reste de la société ou de mes connaissances napprennent cela. Je ne men remettrais jamais. Jétais foutu, juste pour un amusement de quelques minutes.

Tel un zombie jenchainais alors ma journée de travail. Peu avant le déjeuner, je reçu un SMS de quelques mots : « même chose que ce que je tai demandé hier. ». Rien de plus, pas même de menace. Cela nétait plus la peine, je savais quelle ne reculerait pas. Je me rendais compte que les délais entre ma désobéissance et la punition montrait quElle maîtrisait la situation et nagissant en rien de façon impulsive. Elle maffait ferré et savait ce quElle voulait. Je navais plus le choix, et je décidais de Lui obéir. A 19h jétais sur son palier, nu, avec mes sous-vêtements rouges trop petits, et un repas pour 4 personnes. Au bout de 10 minutes, la porte souvrit, je ne vis que des escarpins noirs, avant quElle ne prenne le sac, referme la porte, sans un mot. Elle savait que je serais là et semblait trouver tout cela naturel. Jattendis, ne sachant pas ce que je devais faire, tandis quun SMS marracha enfin : « Rentre chez toi idiot. A genoux face à la caméra dans ta chambre. Tu attends ainsi le temps que je désirerai. »

Je me dépêchais et rentrais chez moi, à nouveau dans cette position humiliante, à nouveau incapable de réfléchir à cette situation ni de voir comme je menferrais. Il était plus de 23h et moi épuisé quand enfin lécran salluma avec cette Femme qui me souriait avec dédain.

« Bien, qui es-tu alors ?

— Pardon ? je ne comprends pas ?

— Que fais-tu là à genoux à te montrer ainsi et à attendre lus de 3 heures que jarrive ?

— Je Vous obéis

— Cest cela, alors qui es-tu ?

— Je suis Votre soumis

— Tu vois-tu y arrives. Et que désires-tu mon soumis ?

— Je ne sais pas ?

— Ah oui ? lautre jour tu me disais une bien autre histoire. Tu voulais que je te dresse, que tu mappartiennes corps et âme. Tu as oublié ?

— Non, mais je ne sais plus si cest ce que je veux.

— Pas dimportance cest ce que je veux moi. Et tu vas apprendre à mobéir au doigt et à lil. Tu comprends ?

— Oui, mais je crois que cest une erreur de ma part, je mexcuse si je Vous ai contrariée.

— Ce nest aucunement une erreur de ta part. Tu as lâme profonde dun soumis, je sais la reconnaitre. Ce nest pas parce que tu te crois dominateur avec tes deux soumises que cela fait de toi un dominateur, juste un sale con qui abuse de femmes dociles.

— Je ne crois pas. Comment savait-elle donc cela, il était pétrifié.

— Aucune importance, tu le découvriras bien assez vite. Tu vas vite apprendre à obéir tu vas voir. Dabord tu mappelles Madame en toutes circonstances et dans toutes les phrases, est ce que tu comprends cela ?

— Oui Madame

— Cest bien, tu nes pas complètement stupide.

— Merci Madame. Ma réplique la fit sourire, je voulais la contenter pour ne rien risquer.

— Comment te sens-tu dans tes sous-vêtements ?

— Ridicule Madame.

— Oui tu as raison, mais tu vas voir tu vas ty habituer, ainsi quà plein dautres choses. Vas chercher un de tes plugs. Tout de suite.

— Bien Madame, son ton était impérieux, et je ne réfléchis pas, et revint rapidement avec un plug noir.

— Lèche le bien, voilà, bien devant la caméra, sors ta langue, cest super ainsi, maintenant remplis ton cul avec, allez, je veux le voir disparaitre, tourne tes fesses vers la caméra que je vois bien comme tu te lenfonces. »

Je navais jamais été enculé, et la sensation était très étrange. Pas très douloureuse, je dois lavouer, le plug avait la taille dun sexe et je lavais beaucoup mouillé. Jétais très excité, mon sexe tendu comme un arc, tandis que je sentais lobjet rentrer de plus en plus profondément en moi, une sensation inouïe, mélange de douleur, plaisir, humiliation. Lengin trouva enfin sa place, occupant toutes mes pensées, je me sentais aspiré par mon cul.

« Cest une bonne chienne. Je ne cherche pas un soumis, mais un esclave, et je vais te dresser en esclave. Je vais faire de toi le plus parfait des esclaves, que mes copines menvieront.

— Oui Madame. Je ne savais quoi répondre.

— Parfait ma chose. Tu restes ainsi jusquà ce que je tordonne le contraire. Si tu as besoin de pisser, tu sais comment faire. Une chienne comme toi se pisse dessus. »

La conversation sarrêta et je me retrouvais à nouveau seul à genoux, sous lil de la caméra, un plug au fond de moi. Je repensais à ce que jimposais à mes soumises, et la douleur grandissante me fit mieux comprendre leurs réactions, dautant que celui-ci était bien petit par rapport aux plugs que je prenais plaisir à leur infliger. Il était plus dune heure du matin, quand épuisé je vis quElle se reconnectait :

« Bien tu peux aller te libérer. Tu nettoies le plug, puis tu vas te coucher. Demain tu te lèves à 6h, je veux un SMS de ta part tous les ¼ dheure jusquà neuf heures, puis un toutes les demies heures, dans lesquels tu exprimes ton désir de soumission, que tu seras mon esclave, et que je suis ta Reine. Est-ce que je suis claire ?

— Oui Madame, je comprends

— Bien ne réfléchis plus à la situation, cest du passé, maintenant tu mappartiens quoi que tu fasses, tu dois bien en être certain.

— Oui Maîtresse. Le mot mavait échappé, venant de mon subconscient.

— Cest très bien mon esclave. Va vite dormir demain ta journée sera chargée tu verras. »

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