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Domination familiale – Chapitre 3

Domination familiale - Chapitre 3



Le garage..

Maitre Christian Panaris raccrocha son portable en souriant. Il vient de raconter à un de ses anciens clients comment il a soumis cette famille bourgeoise d’origine aristocratique et que désormais il peut les contraindre à lui obéir. Son ancien client, Franck Mascaret, possède un garage à Bordeaux. Il a eu besoin des talents de Maitre Panaris quand la Police a commencé à s’intéresser a lui le soupçonnant, à juste titre, d’être à la tête d’une filière de voitures volées. C’est dans son garage qu’il remaquillait les voitures et les renvoyaient ensuite dans des pays des Balkans. Il avait failli aller en prison mais grâce aux effets de manche du Ténor du Barreau, il y avait échappé pour vice de procédure. Il lui a annoncé qu’il allait venir ce soir dans son garage avec la mère et la fille pour que lui et ses gars s’amusent un peu. Un coup frappé à sa porte le fait de nouveau sourire.Mme de Saint-Hilaire est à l’heure.

— Entrez ! crie-t-il.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire rentre dans le bureau de Maitre Panaris. Elle est vêtue d’une jupe en cuir qui s’arrête à mi-cuisses comme lui a ordonné Panaris hier soir avant de les laisser effondrés après la découverte du contrat que Jean-Yves, bien malgré lui, a été contraint de signer livrant sa femme et sa fille aux lubricités perverses de l’avocat. Sa fille et elle ont été obligées de lui montrer leurs garde-robes et il a sélectionné les vêtements les plus courts qu’il souhaitait qu’elles portent pour lui plaire. Désormais chaque soir, c’est lui qui donnera des instructions à Sophie et Ambre pour leurs tenues. Il a donc contraint Sophie Guillet de Saint-Hilaire à mettre cette jupe un peu courte avec des bas résilles qu’elle a du acheté pour l’occasion n’en n’ayant pas chez elle trouvant que cela fait trop « pute » d’en porter.

— Mais vous êtes ma pute, Mme de Saint-Hilaire lui a répondu Maitre Panaris avec un sourire ignoble.

Elle est perchée sur des talons aiguilles beaucoup trop haut et elle n’a pas l’habitude. Ses collègues, notamment les femmes, ont été stupéfaites de voir Sophie arriver dans cette tenue un peu osée ce matin au bureau. Les commentaires vont bon train, elle s’en doute, surtout venant des ses collègues féminines qui, c’est bien connu, ne rate jamais une occasion pour critiquer la tenue vestimentaire d’une autre fille.Son opulente poitrine moulée dans un top blanc semble crever le tissus ; Elle ne porte aucuns sous-vêtements. Maitre Panaris la détaille un instant.

— Soulevez votre jupe !

Elle obéi avec veulerie. Elle soulève sa jupe en cuir découvrant le haut des bas retenues par le porte-jarretelles et sa toison. Il s’approche et lui ordonne de se retourner. Elle obéit. Dans sa chatte, le gode est profondément enfoncé ne dépassant que de quelques centimètres.

— Vous avez gardé votre jouet.Très bien Mme de Saint-Hilaire.

Il lui tend soudain un paquet cadeau.

— En voici un nouveau, je vais reprendre votre gode. Veuillez me le donner.

Elle retire son gode et elle doit le nettoyez avec sa langue avant de le donner à Maitre Panaris. Il lui demande d’ouvrir le paquet et elle s’exécute, les doigts tremblants appréhendant ce qu’elle va découvrir. Elle reste interloquée en découvrant le petit objet. Il est de forme conique mais la base est plate. Il semble être en latex.

— Savez vous ce que c’est chère Madame ?

— Euh.non.

— Il s’agit d’un Plug, il remplacera votre gode, c’est pour mettre dans votre cul.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire va s’évanouir.Ce n’est pas possible.Pas dans son cul.

— Vous devrez le porter dans votre cul toute la journée, c’est pour l’élargir un peu, il va falloir vous habituez à le donnez.votre cul ! Dit en ricanant Maitre Panaris.

Il l’entraine vers le bureau et la courbe en avant. Elle sent qu’il enfonce le Plug dans son anus et instinctivement, elle ressert son sphincter empêchant l’objet d’entré. La seconde d’après, elle pousse un cri ! Maitre Christian Panaris vient de lui fesser violemment le cul.

— Ne recommencez pas ! gronde-t-il d’une voix menaçante.

Panaris lui enfonce inexorablement le Plug dans son anus. Elle sent l’objet s’engouffrer dans son orifice, son sphincter se relâchant. Elle a le souffle coupée par l’intrusion du Plug. Cela procure une sensation étrange d’être entièrement remplie par cet objet. Elle se relève péniblement et doit marcher dans le bureau pour s’habituer. Maitre Panaris en profite pour lui flatter la croupe chaque fois qu’elle passe a coté de lui. Il la contraint à se mettre à genoux.

— Une petite pipe, Mme de Saint-Hilaire et vous pourrez retourner travailler.

Elle sort la bite de Christian Panaris et se l’enfourne dans sa bouche de bourgeoise, commençant à le pomper en salivant dessus. Il la tient par les oreilles et la guide en faisant coulisser sa queue entre ses lèvres pulpeuses. Il ne tarde pas à éjaculer, lui lâchant un torrent de sperme sur ses lèvres, son nez et ses joues. Un jet plus puissant va même s’écraser dans ses cheveux. Il la relève en se rajustant et lui donne rendez vous pour ce soir.

— Je vous emmène vous et le reste de votre famille.

— Mon mari aussi, balbutie-t-elle surprise.

— Surtout votre mari ! s’écrie Panaris, je veux qu’il soit le témoin de votre déchéance et qu’il vous voie vous comporter comme une pute.

Il lui donne une lettre.

— Ce sont mes instructions pour ce soir, comment vous devez être habillées vous et votre salope de fille.

Il la renvoie en lui donnant une claque sur les fesses et en lui interdisant d’enlever le sperme qui lui reste sur son visage. Sophie Guillet de Saint-Hilaire ressort du bureau, honteuse, se dépêchant de se débarbouiller avec un kleenex, croisant dans le couloir, certaines de ses collègues qui ne se font aucun doute sur Sophie.Elle couche avec le Patron pour garder son poste.

Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire gara sa voiture et se dirigea vers la porte d’entrée de la demeure familiale.Il n’eut pas le temps d’esquisser le moindre geste que la porte s’ouvrit d’elle même et il découvrit Ambre, sa fille. il resta bouche bée en la découvrant.Déguisée en.Soubrette ! Bas noirs, tablier blanc sur une robe noire ultra courte et perchée sur des talons aiguilles. Elle est maquillée outrageusement.Jean-Yves, abasourdi, rentre et aperçoit Panaris en grande conversation avec sa femme qui, elle, est vêtu d’un déshabillée de soie ouvert laissant apparaitre son porte-jarretelles.

— Rentrez, rentrez, cher ami.lui lance Panaris tout en triturant les seins de sa femme. Vous avez remarqué que nous avons une nouvelle bonne pour faire le service.

Ambre avance dans le salon, titubant sur ses talons aiguilles.Il faut dire qu’elle a plus l’habitude de mettre des ballerines que des talons hauts. Il est 18h et la nuit commence à tomber.

— Vous êtes pile à l’heure, j’allais préparer votre femme et votre fille pour notre soirée.Vous venez avec nous, n’est ce pas ?

Jean-Yves ne répond pas.D’ailleurs, on ne lui demande pas son avis.

Il ordonne aux deux femmes d’aller se préparer et elles montent dans leurs chambres, tête baissée.

Pendant ce temps, Christian demande à Jean-Yves de lui servir un verre.Il lui raconte que cette après midi, Sophie lui fait une fellation et que plusieurs fois dans la journée, il l’a convoqué dans son bureau pour abuser d’elle, de sa chatte, de son cul et de sa bouche. Jean-Yves est scandalisé d’entendre cela mais que peut il faire sinon se soumettre ? Des bruits de talons martelant le sol lui font lever la tête. Il découvre sa fille habillée d’un short noir sur des collants opaques de la même couleur.Elle porte les mêmes escarpins et un pull fin moulant sa poitrine. Sophie est habillée plus « sage » si l’on peut dire. Un tailleur avec une jupe courte en satin sur des bas noirs.Panaris lui demande d’ouvrir sa veste de tailleur et Jean-Yves découvre qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Ses seins lourds semblent le narguer.Panaris se lève et s’approche empoignant à pleines mains ses tétons et les tordants ce qui arrache à Sophie un gémissement de douleur. Sur ordre de Christian Panaris, elle doit retrousser sa jupe de satin afin de montrer à son mari son Plug. Ambre doit soulever son pull et Jean-Yves s’aperçoit qu’elle aussi n’a pas de soutien gorges.

— Parfait, allons y. Jean-Yves vous conduisez.

Tout le monde sort et s’installe dans la voiture.Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire au volant. Il prend la direction du centre-ville de Bordeaux. Pendant qu’il conduit, il observe Panaris dans le rétroviseur assis à l’arrière entre Sophie et Ambre qui ne se prive pas de les tripoter. Il sursaute quand il le voit faufiler sa main sous la jupe de sa femme et lui enfoncer deux doigts dans la fente de celle-ci.Pendant qu’elle doit l’embrasser. Puis, il s’occupe d’Ambre qui a complètement soulever son pull afin qu’il puisse lui triturer les seins. Le trajet ne dure pas longtemps mais c’est un véritable calvaire pour Jean-Yves. Il suit les indications de Maitre Christian Panaris et très vite ils arrivent devant un garage qui semble fermer. Il klaxonne à la demande de Panaris et la porte s’ouvre le laissant entrer.

Un homme corpulent vient à leur rencontre et tout le monde sort de la voiture. Panaris s’approche du nouveau venu.

— Salut, Franck, voilà les deux salopes dont je t’ai parlé.

— Et lui, c’est qui ? demande le type.

— C’est le cocu.il est d’accord, ca l’excite de voire sa femme et sa fille se faire baisée devant lui..

Jean-Yves va pour protester mais un regard noir de Panaris lui intime le silence.Le dénommé Franck s’approche de Sophie Guillet de Saint-Hilaire et lui ouvre sa veste de tailleur découvrant sa poitrine nue.

— Sacrée mamelle siffla-t-il.

Il les prit à pleines mains, les malaxant sans douceur.

Des bruits de voix lui firent tourner la tête.

— Eh les gars, venez, elles sont arrivées ces deux bourges en chaleurs !

Horrifiées, Ambre et Sophie découvrirent cinq autres hommes qui s’approchèrent d’elle en ricanant avec des regards lubriques et pleins de convoitises. Ils s’approchent des deux femmes terrorisées.Des mains commencent à les palper. On enlève la veste de tailleur de Sophie découvrant ses seins qui sont aussitôt malaxés. Un des hommes fit le tour et poussa Sophie en avant, la cambrant. Tenue par les poignets, bien campés sur ses talons aiguilles, elle sentit qu’il lui retroussait la jupe découvrant son porte-jarretelles. Il éclate de rire en découvrant le Plug.Qu’il s’amuse à faire coulisser.

— Regarde moi cette chienne ! Ca joue les bourgeoises distinguées mais ca à besoin d’avoir un truc dans le cul pour s’exciter !

Il malaxa les fesses de Sophie. Pendant ce temps, deux des garagistes s’occupèrent d’Ambre lui faisant enlever son short ne lui laissant que son collant qui fut vite déchiré. Son pull fut retroussé et ses seins furent triturés par ces pervers ravis d’avoir de la chair fraiche. Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, impuissant, assiste à la descente aux enfers de sa femme et sa fille.Sophie, toujours cambrée, est explorée par des mains baladeuses qui la palpent sans douceur et s’introduisent dans tous ses orifices. Des bites se présentent à elle.Une puis deux et trois. Elle les pompes une à une, ne sachant plus laquelle appartient à qui.Elle s’étouffe, recrache une queue pour pouvoir respirer, aussitôt remplacé par une autre. On l’empoigne par les cheveux pour l’obliger à accepter un membre épais. Elle est contrainte d’en masturber une autres de ses doigts fins.Un des garagistes s’amuse à lui frapper le visage avec sa bite dressée. Une main s’engouffre dans son vagin, lui pince le clitoris, la branle.Elle pousse un gémissement. Ambre, allongée sur le capot de la voiture de Panaris, se fait sucer la chatte par un des garagistes pendant qu’un autre lui pince le nez pour qu’elle ouvre la bouche afin d’y plonger sa bite. Elle ne peut plus tenir et ouvre la mâchoire pour respirer. La queue lui obstrue la bouche, lui causant un haut le cour.

L’homme qui lui titille le clitoris avec sa langue se relève et, bite fièrement dressée, plonge dans son vagin. Il lui donne de grands coups de reins pendant qu’elle continue de sucer le membre du deuxième garagiste. Toujours prise en levrette, Sophie ne sait plus combien de queues elle a sucé ni combien fois on l’a pénétré. Des mains la saisissent aux hanches et on la défonce a grands coups de bites. Ils alternent, pas un n’a encore éjaculé.On l’a relève et elle doit s’empaler sur le membre d’un des types allongés par terre.Elle pousse un petit cri en s’accroupissant.L’homme lui donne des coups de reins l’empalant sur sa bite. Tout en continuant de sucer toutes les queues à sa porté.ses seins sont caresser sans arrêt.

Ambre subi les assauts de l’homme en gémissant tout en pompant l’autre. On lui relève les jambes à la verticale et l’homme lui donne des coups de reins de plus en plus violents, pendant que l’autre lui lèche les seins. Elle est retournée, poussée en avant, ses seins écrasés sur le capot de la voiture, une bite la pénètre et on la défonce avec brutalité. L’autre garagiste s’allonge sur le capot, la bite dressée à la verticale, il oblige Ambre à le sucer en appuyant sur sa nuque. Ses fesses tressautent sous les coups de boutoirs de son assaillant. Elle veut crier mais la bite qui l’étouffe l’empêche d’émettre le moindre son. Puis, ils s’arrêtent tous les deux et se retirent la laissant haletante.Elle doit également s’empaler sur une bite dressée tout en continuant de faire des pipes.Dans le garage, on entends plus que les plaintes étouffées des deux femmes et les cris des hommes ainsi que leurs commentaires salaces. On force Ambre à se mettre à quatre pattes sur le sol crasseux et on la fait marcher dans le garage jusqu’à sa mère que l’on positionne à quatre pattes également. On leur frappe le cul et elles poussent des cris. On les oblige à s’embrasser et elles manquent de vomir de dégout.Un des hommes s’approche et introduit sa bite dans le cul de Sophie qui pousse un hurlement.Ambre regarde sa mère se faire enculer.Le garagiste lui donne des violents coups de reins en ahanant. Il se retire.Aussitôt remplacé par un autre.Pendant ce temps, Ambre, toujours à quatre pattes, suce un des ses tourmenteurs. Celui qui encule Sophie sort sa bite et lui éjacule sur le dos en poussant un rugissement.Jean-Yves est emmené devant sa femme et elle doit lui sortir sa verge. Tout le monde éclatent de rire en découvrant que Monsieur Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire bande en regardant sa femme et sa fille se faire baisées comme des chiennes devant lui.Sophie, sous la menace, doit sucer son mari puis on oblige Ambre à pomper également la queue de Maitre Guillet de Saint-Hilaire.Elles alternent toutes les deux, mère, fille, suçant le membre de leur mari et père.Très vite, Jean-Yves éjacule.des filament blanchâtres jaillissent de sa queue et s’écrasent sur le visage de Madone de sa fille Ambre.Trois des six hommes se mettent devant le visage de Sophie pendant que les trois autres font de même devant Ambre.Ils se branlent ou demandent à Sophie de les branler de ses doigts manucurées.Ambre, elle, doit les sucer.a tour de rôle.Chacun lui lâche son sperme sur la figure.Elle en a dans les cheveux, sur le nez, les joues, le menton. Elle est entièrement recouverte de sperme.

Sophie subie le même sort quelques temps plus tard…Avec un râle, les trois hommes éjaculent.Leur foutre va s’écraser sur les lèvres rouge sang de Sophie Guillet de Saint-Hilaire. Certains l’obligent à ouvrir la bouche pour éjaculer dedans, la forçant à avaler.

Maitre Christian Panaris se rapproche pendant que Sophie et Ambre se relèvent péniblement.

— Vous avez pris votre pied, mes chiennes, il y en aura d’autres, beaucoup d’autres.

Sophie et Ambre baissent les yeux.Elles sont encore plus humiliées quand elles réalisent que Panaris empochent les gains de cette soirée en se faisant payer devant elles !

Les cinq garagistes partent en demandant à ce qu’elles reviennent bientôt les voir .Panaris fais ses adieux à Franck et lance à Jean-Yves en passant devant lui.

— J’aurais jamais cru que ta femme et ta fille étaient aussi salopes, quand a toi, tu es un sacré vicieux de t’être laisser faire une pipe par ta fille.

Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire regarde sa femme et sa fille qui suivent docilement Maitre Christian Panaris..Cet être démoniaque en a fait ces poupées de chair.

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