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Double amour pour sa maman – Chapitre 8

Double amour pour sa maman - Chapitre 8



Désolé pour le retard, la patience nest-elle pas une vertu !

Nicolas était concentré sur son explication, pendant quil racontait à sa mère comment il avait baisé Nicole la mère de son ami Luc, comment il avait connu pour la première fois lamour, lui qui rêvait de prendre une fille par tous les trous, avec Nicole il avait été aux anges. A aucun moment il navait senti, que sa mère lui versait de la crème chantilly en bombe sur sa grosse et longue queue, pourtant cette crème était relativement fraiche.

De son coté, Laureen écoutait avec attention la narration de son fils, elle mouillait et nhésitait pas à se caresser la chatte dune main et de lautre caresser le sexe de son fils nappé de chantilly. A la fin de lhistoire, Nicolas remarqua une pointe de jalousie dans la voix de sa mère lorsquelle lui demanda sil voulait recommencer avec Nicole, il ne lui en fit pas la remarque, tourna la tête vers son amante et lui dit :

— Je vois mon amour que tu nes pas restée inactive et que tu as bien étalé la crème. Maintenant que je bande bien, je tautorise à venir lécher ma tige sur toute sa longueur et davaler cette crème et ensuite tu vas la prendre dans ta bouche et me faire jouir, le tout mélangé à la chantilly, tu avaleras et tu me diras quel goût ça avait. Aller vient mon amour met-toi en position de sorte que je puisse te caresser le cul et tes seins en même temps.

— Jai une meilleure idée mon chéri ! Je vais me remplir la chatte et le cul de cette chantilly, puis sur ta queue car il en manque et ensuite je me place sur toi en position du 69, comme cela on dégustera ensemble notre mouille avec la crème.

— Lorsque je te dis que tu es une salope, je ne me trompe pas de beaucoup, je vois que tu veux tout essayer, tu as raison maman car moi aussi je veux tout de toi et cest pour cela que je tai dit que dorénavant, on resterait nu dans la maison, je veux pouvoir te baiser nimporte comment lorsque je te vois soit dans la cuisine soit dans le salon, je veux te baiser dans toutes les positions possibles et impossibles, je veux que tu me suces lorsque tu en as envie ou que tu te fourres ma queue dans ta chatte ou dans ton cul.

— Très bien mon fils, jai tout noté car tu me las déjà dit, pour le moment on va se lécher, se sucer et jouir en même temps.

Elle se remplit la chatte et le cul de crème, en remit sur la tige de Nicolas et sallongea sur lui, prenant le sexe à deux mains, lune au-dessus de lautre elle commença à masturber la queue, le gland enduit de crème sortait de cette épaisse couche mousseuse et blanche, puis lenvie tellement forte de prendre en bouche la bite quelle ne résista pas, elle donna quelques coups de langue sur le bout de la queue, avala un peu de crème puis dun trait, elle senfonça la grosse et longue tige dans la bouche, elle avait de la crème sur le bord des lèvres et lorsquelle faisait le va et vient, il sortait de sa bouche comme un bruit bizarre, la salive mélangée à la chantilly coulait sur ses mains entre deux vas et vient, elle léchait ses mains puis revenait au gland.

De son côté, Nicolas activa sa langue entre les lèvres, joua avec le clitoris et en même temps avalait la crème chantilly. Chacune des mains étaient plaquées sur le fessier et deux doigts étaient entrés dans le rectum, la crème avait très facilement servi de lubrifiant.

— Cest bon mon chéri, Une moule à la chantilly ? Pour moi, cest la première fois que je déguste un gros saucisson à la crème, pour moi, cest bon aussi mais je préfère nature !

— Idem pour moi mon amour, je sens moins la douceur et la chaleur de tes lèvres, je sens moins le goût de ta cyprine, je vais attaquer ton puit damour et y enfoncer ma langue et te faire jouir maman ! Cest toi qui a eu cette idée alors pas à dire, tu es une véritable salope et tant mieux car jaime les salopes comme toi.

— Cest ce que je veux être pour toi mon chéri, dans ces moments intimes seulement, je veux être non seulement ta salope, mais je veux être ton vide couille, que ce soit ma bouche ou ma chatte ou mon trou du cul, je taime et je suis toute entière à toi à ta disposition. Fait-moi jouir comme une salope mon ange !

— Moi aussi je taime, et je te ferai jouir par tous les trous et autant de fois que je le pourrai.

Leur jouissance arriva très vite, mais pas aussi forte quils lescomptaient, certainement dû à la chantilly, une fois allongée, dans les bras de lun et lautre, chacun son tour ils léchèrent le pourtour de la bouche afin deffacer toute trace de la crème, puis ils sembrassèrent, leur langue se cherchait, tournicotait dans la bouche, lun et lautre avalait la salive de lautre, les mains de Laureen tenait la tête de Nicolas et ce dernier avait enlacé le haut du corps de sa mère et ses mains jouaient sur la peau du dos. Laureen sécarta un peu, regarda Nicolas dans les yeux et lui dit :

— Je me demande sil est possible daimer quelquun comme je taime ! Cest la première fois de ma vie que je dis à un homme Je taime plus que tout ! Avant jétais trop jeune, ensuite avec ton beau-père ce mariage nétait un fruit de mon amour pour lui, contrairement à lui qui maimait énormément. Pourquoi suis-je venue dans ta chambre lautre jour ? Javais tellement peur, vu la violence des premiers coups quil ma donné. Pourquoi suis-je restée nue dans le lit contre toi ? Pourquoi suis-je restée contre ton corps alors que je sentais ton sexe grossir. Pourquoi lai-je pris en mains et pourquoi je me suis donnée à toi ou plus exactement pourquoi jai eu envie de faire lamour avec toi ? Toutes ces questions qui nont à mon avis quune réponse.

— Laquelle ?

— En faisant les premiers pas vers toi, en me donnant à toi, jai eu limpression que le clapet de la soupape de lamour sétait ouverte, elle libérait tout ce désir sexuel, qui était en moi et qui ne demandait quà sortir, elle libérait lenvie de moffrir à un vrai homme et de laimer comme une folle, enfin elle me retirait de lesprit la pensée que de faire lamour avec son fils était mal, elle me retirait de lesprit que linceste nest quune idée qui peut sévanouir devant la puissance de lamour porté à une autre personne.

— Tu as toujours derrière la tête cette pensée incestueuse ?

— Absolument pas, cette pensée ne ma traversé lesprit que très rarement, bon ! Cest vrai que notre union charnelle est très récente, mais comme je te lai dit, je ne te vois que comme un homme et non pas mon fils, même si parfois je me dis : Cest avec mon fils que je fais lamour, cest lui que jaime et qui mapportera le bonheur alors fait tout ce que tu peux pour réussir. Voilà mon chéri tout ce que je me dis, tout ce que je pense et enfin, voilà pourquoi je me comporte comme une vraie salope dans tes bras. Je te veux quà moi, je te veux dans moi quel que soit lendroit où tu enfonceras ta grosse queue.

— Je serai toujours à toi ma chérie de maman, je te ferai jouir le plus possible, je taimerai le plus possible et le plus longtemps possible, même si jai terriblement aimé faire lamour avec la mère de Luc, rien nest pareil avec toi, te baiser cest formidable, merveilleux dirais-je, car il y a le désir sexuel mais en plus il y a un grand amour venant de mon cur.

— Jai envie de toi mon chéri ! Donne-moi ta tige, enfonce toi en moi et retiens toi le plus longtemps possible, je veux jouir encore et encore.

Nicolas se sépara de sa mère et vint lui brouter la chatte, il avait avant cela, pris une serviette et enleva le reste de chantilly, puis avec sa langue, il chatouilla le clito, ses doigts prirent la relève de la langue et celle-ci lécha les lèvres, vint ensuite titiller lentrée du puit damour, il avait placé ses mains sur chacune des fesses et comme à chaque fois, il incrusta un doigt dans lanus, et comme à chaque fois Laureen sursauta en sentant le doigt pénétrer cet endroit. La langue à son tour pénétra le vagin et Nicolas commença à le branler avec son organe buccal, lentrant le plus loin possible. Il sentait autour de sa langue le délicieux liquide qui commençait à sortir du vagin et venait mouiller ses lèvres et son menton, son doigt faisait des vas et vient dans lanus, Laureen se cabrait, se tortillait, ses seins allaient de gauche à droite, elle jouissait très fort, ses mains plaqués sur chaque côté de la tête de son fils chéri. Nicolas se releva et présenta sa grosse queue devant le sexe tout humide de sa maman, et dun seul trait, il lenfonça jusquà lutérus, ses couilles vinrent taper contre les fesses de sa partenaires et sans attendre, il lima lintérieur du vagin qui serrait sa longue et grosse tige, il accéléra progressivement. Laureen était crispée, tendue à lextrême, son excitation était telle que plus rien ne comptait, elle ne voyait plus rien, mais elle ne sentait que la queue de son fils qui allait la faire jouir.

— Que cest bon mon chéri, tu me fais jouir, je mouille comme une vraie salope, oh ! Oui vas-y je jouis encore, enfonce toi plus loin, je la veux toute entière dans ma chatte, pousse mon chéri, oh oui, que cest bon, vas-y maintenant jouis avec moi, ensemble unissons notre jouissance et notre mouille, jouis mon amant préféré, je taime Nicolas.

— Moi aussi je taime ma petite femme chérie, ça vient chérie, je jouis, je vais tinonder ta chatte.

Les deux amants jouirent en même temps comme le souhaitait Laureen, Nicolas se laissa tomber sur le ventre de sa mère, et ils sembrassèrent très amoureusement, pour eux en cet instant le mélange des deux langues, le mélange de leur salive étaient la continuité de leur union, plus rien nexistait dans la maison ou autour deux. Après un long moment à sembrasser, Nicolas dit :

— Maman, jai faim et toi ?

— Moi aussi, je vais prendre une douche et mhabiller un peu puis je vais préparer quelque chose, tu prendras ta douche après moi.

Une bonne demi-heure après, ils étaient autour de la table pour manger un morceau, ensuite ils sinstallèrent sur le canapé, Nicolas alluma la télé pour avoir les résultats sportifs de la journée. Laureen avait sorti la bouteille de cognac et deux verres. La sonnette de la porte dentrée se fit entendre, les deux amants se regardèrent et dans ce regard une question venait à lesprit « Qui venait à cette heure-ci » ? Nicolas alla ouvrir et se trouva face à monsieur Langlois le sous-directeur.

— Entrez monsieur Langlois ma mère est dans le salon. Que se passe-t-il ?

— Il faut que je vous parle à tous les deux immédiatement !

Arrivé dans le salon, Laureen se leva et fut surprise de voir son bras droit dans sa maison et comme tout le monde dans un cas comme celui-ci posait la question universelle.

— Que se passe-t-il pour venir un samedi soir ici ? Asseyez-vous et vous prendrez bien un petit cognac, nous allions justement nous servir.

— Oui ! Merci, cela me fera du bien aussi. Madame et vous jeune homme, jai une triste nouvelle à vous annoncer. Il y a une heure environ le directeur de lusine du Nord ma informé que la gendarmerie avec retrouvé la voiture de votre mari encastrée contre un arbre et que par malheur, votre mari était dedans sans vie. Cela sest passé en début daprès-midi, le médecin de service a décelé un taux important dalcool dans le sang, il va y avoir une autopsie ce soir. Avant de venir je me suis permis de réserver deux billets de trains pour Lille pour demain matin, un pour vous et lautre pour moi, si votre fils veut venir je ferai le nécessaire en rentrant chez moi.

Laureen avait changé de couleur en apprenant la triste nouvelle, elle se mit à trembler, Nicolas posa une de ses mains sur celles de sa mère afin de la calmer.

— Vous avez bien fait ! Mon fils restera ici, et lundi il se rendra à lusine il commencera à travailler et je veux que Nicolas me remplace pendant notre absence puisque vous serez avec moi. Prévenez votre homologue de Lille pour quil vienne nous chercher à la gare. Mon fils et moi vous remercions pour tout le désagrément que cela vous procure ainsi quà votre épouse. Nicolas me conduira à la gare et on se retrouvera devant le bureau dinformation, bonne nuit et merci encore.

Restés seul, Laureen et Nicolas ne parlaient plus, seul le regard de lun ou de lautre en disait long sur ce quils pensaient. Laureen assise devant le verre de cognac se mit à pleurer.

— Maman ! Ne pleure pas, tu y es pour rien ! Tu vas rester quelques jours sur place ?

— Oui ! Je vais régler les problèmes et faire le nécessaire pour que les pompes funèbres soccupent de faire revenir le corps ici, je vais le faire enterrer dans le caveau familial de ses parents. Mais crois moi Nicolas, je voulais un moment de séparation pour faire le point enfin pour que lui arrête de boire sous la menace dune séparation, mais je ne voulais pas sa mort.

— Tu nas rien à te reprocher et encore moins sa mort, ton verre est fini alors on va se coucher car demain on se lèvera tôt.

— Mon chéri ! Je vais me coucher et toi tu vas dans ta chambre pour ce soir, je veux rester seule et lorsque je rentrerai on avisera sur ce que deviendra notre avenir. Bonne mon chéri, je taime et rassure toi, rien a changé entre nous deux.

— Comme tu veux maman, je taime aussi, je te conseille de prendre un petit somnifère car tu vas en avoir besoin.

Laureen ne prit pas de cachet pour dormir, une fois en nuisette et allongée sur son lit, elle chercha dans sa mémoire tous les bons moments passés avec son mari. Puis ne trouvant pas le sommeil, elle prit un livre, Laureen voulait se concentrer sur tout autre chose que la mort de son mari.

De son coté, Nicolas se coucha tout nu sous le drap, puis il regarda un film sur sa tablette. Et contrairement aux autres jours, il navait pas envie de se masturber. Vers minuit, lorsque le film fut terminé, il ferma les yeux mais il savait quil aurait du mal à dormir, il revoyait le corps magnifique de sa mère, avec ses seins fermes et doux, il revoyait ses fesses bien rondes surtout au moment où il lui pénétra lanus. Il commençait à bander mais il se refusa de se caresser la queue et de se branler. Sur le coup dune heure du matin, ne dormant pas, il entendit la porte de sa chambre souvrir et tournant la tête, il vit sa mère qui venait vers sa couche.

— Que fais-tu dans ma chambre ? Tu narrives pas à dormir ?

— Cest exactement cela mon chéri ! Je narrive pas à dormir et surtout la chaleur de ton corps me manque, mais jai surtout besoin que tu me prennes dans tes bras, ce nétait pas le grand amour avec lui, mais javais malgré tous des sentiments affectifs, jai besoin de réconfort, jai besoin que tu maides à me déculpabiliser de je ne sais quoi.

Nicolas écarta le drap le plus loin possible et dit :

— Viens contre moi maman ! Laisse toi aller et ferme les yeux.

— Comment veux-tu que je me laisse aller lorsque je suis contre toi, moi toute nue et toi de même et en plus étant contre toi, je sens ton sexe tout raide. Tu allais te branler avant de dormir ?

— Non ! Je nen avais pas lintention, mais maintenant que je sens corps tout chaud contre le mien, cela me donne des idées. Jai justement envie de caresser tes merveilleux seins et je dois dire que je moccupe plus de ta chatte et tes fesses que de tes seins. Je vais te faire lamour comme un bon amant qui va consoler la femme quil aime.

— Oui ! Mon chéri, fais-moi lamour doucement avec désire et passion, mais avant que tu me caresses les seins, je vais te sucer ta belle queue et je vais avaler toute ta jute, jen plein la bouche que javalerai doucement pour garder le plus longtemps possible le goût.

Laureen embrassa son fils à pleine bouche sa langue sentortillait autour de celle de son partenaire, elle laspirait, elle aurait voulu pouvoir la garder le plus loin possible dans sa propre bouche, elle avalait la salive mélangée à la sienne, Laureen avait plaqué ses deux mains sur les joues de Nicolas, de temps en temps, elle se retirait et regardait droit dans les yeux son jeune amant puis reprenait la bouche de Nicolas.

— Comme je taime mon amour ! Dit-elle.

Elle vint poser sa tête tout près du gland, sa bouche était à moins de deux centimètres, une main avait pris la tige bien raide et faisait des vas et vient, son autre mains libre elle caressait la fesse la plus proche. Ny tenant plus, elle goba le sexe énorme de son fils, le gland pénétra doucement, elle avait à chaque fois limpression que cette merveilleuse queue nentrerait pas très loin vu la grosseur. Nicolas posa ses mains sur la tête de sa mère et appuya doucement, il sentait sa bite entrer dans cet espace humide et chaud à la fois, il sentait lexcitation monter en lui surtout que Laureen continuait à la branler.

Lorsque la bite bien dure arriva à la limite de la bouche et du gosier, Laureen recula légèrement sa tête et commença à monter et descendre, elle accorda le mouvement de sa tête avec celui de sa main, ce qui lui permettait de masturber avec harmonie la grosse tige de son fils. Ce dernier faisait lui aussi des mouvements avec son bas ventre afin que sa bite aille le plus loin possible dans la gorge de Laureen, dune main il pelotait littéralement un sein, pinçait le téton, le faisait rouler entre deux doigts, ou bien il claquait la fesse la plus proche.

— Oh ! Oui, mon amour, ma chérie, fais-moi jouir, je vais te remplir ta belle bouche, je suis sûr que ça va déborder aux coins de tes lèvres, allez ma salope pompe moi bien à fond et ramène ton cul plus haut pour que je te glisse un doigt dans ton petit trou pendant que tu mastiques le gland. Tu es une vraie salope et jaime que tu le sois lorsquon baise, si tu le veux tu vas devenir ma pute, ma salope de chienne, mais cela ne mempêchera pas de taimer comme un fou, plus vite chérie, je vais décharger dans ta petite gueule damour, dans cette bouche qui te sert de vide couille, je jouis chérie ! Ah ouiiiiiiii !

Nicolas poussa un rugissement énorme lorsquil se vida dans la bouche de sa mère, une partie de sa liqueur damour alla directement dans le gosier et la plus grande partie dans la bouche lorsque Laureen recula sa tête légèrement et en effet du sperme sortait aux deux coins de ses lèvres. Lorsque son fils eut tout donné, et sorti sa queue de la bouche toute pleine de son sperme, Laureen récupéra ce fameux liquide avec ses doigts et les lécha.

— Comme cétait bon mon amour ! Jadore avaler ton sperme, il est très bon, il faudra que tu me le fasses déguster de différente manière, comme dans mon café, ou sur une tarte et bien dautre façon. Si vraiment tu veux que je sois ta chienne, ton vide couille et ta soumise mon chéri, je veux bien être tout ce que tu veux à condition que lorsque je te dirai Stop tu vas trop loin alors tu obéiras à ma demande .

— Ok ! Maman et en dehors de nos baises, je redeviendrai lamant, le mari, lamoureux doux, calme et poli, je te le promets. Maintenant ma chérie, je vais te baiser par le cul pour ce soir, comme cela si tu as un peu mal demain matin cela te permettra de penser encore plus fort à moi lorsque tu seras dans le train.

Les deux amants incestueux étaient enlacés, se regardant droit dans les yeux, plus rien nexistait à ce moment tout comme les autres moments passés à faire lamour, il ny avait plus que eux deux, dans leur regard on pouvait y voir quil ne faisait plus quun, et cest peut-être pour cela que leur jouissance mutuelle était aussi profonde et aussi forte, et cest aussi pour cela quils avaient une telle envie de faire lamour et de jouir. Mais comment ne pas éprouver une telle jouissance lorsquon a une femme aussi belle et aussi désirable ainsi quun tel mec beau, musclé comme il fait pour son âge, et une queue aussi grosse et longue, combien de femme aimerait se faire prendre par tous les trous en voyant une telle bite !

Après un baiser langoureux, Laureen se retourna, se mit à quatre pattes le cul bien en lair et la tête dans loreiller. Nicolas vint se placer derrière elle et regarda ce magnifique cul, il ne pouvait sempêcher de penser que sa mère avait le plus beau cul de la terre.

— Mon amour, tu as un cul magnifique, jaime passer ma langue dans ta raie, sentit chacune de tes fesses sur les côtés de ma langue, jaime regarder ton illet frémir lorsque je le caresse et y enfonce ma langue, jaimerais bander et te baiser pendant des heures sans marrêter, en réfléchissant je comprends pourquoi je taime, pourquoi je dis que tu es une belle salope et pourquoi je vais te baiser jusquà la moelle.

Tout en prononçant la dernière phrase, Nicolas appliqua une forte claque sur la fesse droite du ce cul qui demandait à être caressé, il redoubla la claque, Laureen poussa un cri de surprise, mais la douleur laissa place à de lexcitation, elle sentit sa mouille sécouler un peu plus de sa petite chatte.

— Tu mas fait mal mon chéri, mais cela ma excité encore un peu plus.

— Alors ma salope comme tout texcite, je vais ten recoller une autre et encore une autre, et je pense que jarriverai à te faire jouir rien quen te claquant le cul.

— Ne parle plus mon amant chéri, mais fait de moi ce que tu voudras.

Nicolas recommença à foutre des baffes sur les fesses de sa mère aussi forte les unes que les autres, le cul de Laureen était dun rouge vif, elle se tortillait dans tous les sens sous les coups, puis elle ne sentit plus rien, sauf que la langue de son fils lui chatouillait lanus et une main qui caressait sa chatte baveuse.

— Alors ma petite pute, tu as aimé cette série de claques, tu verrais tu cul, il est tout rouge et je suis sûr que demain tu vas avoir des picotements. Veux-tu que je te baise maintenant ou bien veux-tu encore une tournée ?

— Non mon chéri ! Je veux sentir ta grosse queue dans mon rectum, je veux que tu me défonce le cul au maximum je veux crier de plaisir et de douleur en même temps car cette douleur décuplera ma jouissance. Oh ! Oui mon chéri baise fort car on va être plusieurs jours sans se baiser, alors donne ma une bonne dose et ensuite je veux te finir dans ma bouche, je ne veux pas que tu jouisses dans mon cul, tu es daccord ?

— Comme tu veux mon amour de maman salope, et lorsque tu me demande toutes ces choses, cela confirme bien que tu es une salope et une pute adorée, ma pute à moi et non seulement ta chatte ou ton anus sont mes vides couilles mais également ta belle bouche, je vais te la remplir au maximum.

-Oui ! Comme les autres fois, tu en as une telle quantité quaprès avoir avalé ton sperme je nai plus envie de boire quoique ce soit sauf une nouvelle rasade de ta jute, maintenant je te veux moi mon chéri.

— Ok ! Je vais menfoncer en toi dun seul coup sans ménagement, je vais te faire gueuler de souffrance et si tu gueule trop fort à mon goût je te cogne les fesses de nouveau.

— Je men fou baise-moi espèce de salop de fils !

Nicolas présenta son gland devant cet illet frémissant, sa main gauche agrippa la hanche gauche de sa mère et de sa main droite il serra fort sa queue et dun coup de rein en avant il senfonça dans ce trou du cul, ensuite sagrippant des deux mains, il senfonça toujours plus loin jusquau moment où son ventre et ses couilles cogna contre le haut des cuisses et les fesses de son amante. Laureen poussa un grand cri de douleur, même si son rectum sétait habitué à sélargir rapidement.

— Oh ! Ma salope tu as crié très fort, mais je ne vais pas cogner mais je vais tembrasser le dos et ta nuque pour te remercier de toute cette excitation que tu me procures.

Chose dite, chose faite, il sexécuta puis commença de longs vas et viens en essayant daller encore plus profond à chaque fois, lorsquil revenait en arrière, il voyait la peau du trou du cul glisser sur ce membre si imposant, puis cette peau faisait linverse lorsquil rentrait de nouveau dans le rectum. A chaque fois, Laureen poussait dénormes gémissements de plaisir, elle agrippait le drap, sa tête se soulevait pour retomber à chaque fois que Nicolas se plongeait dans ce cul, Il lima lintérieur du corps de sa mère pendant une bonne dizaine de minutes, alternant, la lenteur avec la vitesse de pénétration, ressortant parfois entièrement pour mieux senfoncer dun trait ce qui procurait à Laureen une excitation encore plus puissante et aussi des cris de plaisir ainsi que des paroles salaces envers son fils.

— Nicolas ! Je vais jouir maintenant, je ny tiens plus, je voudrais que tu me limes doucement pour que je te sente bien en moi, pour que tout mon rectum sente chaque millimètre de ta queue, que je sente ta douceur, ta chaleur, en un mot, que je mimprègne le plus possible de ta grosse bite à lintérieur de moi, le veux-tu mon chéri ?

— Maman, si cest ton désire, alors cest avec amour que je vais te faire jouir, tu peux crier ta jouissance, tu peux me dire ce que tu veux en jouissant, je taime mon amour, tu es toute ma vie !

— Merci Nicolas, continue à te faire branler par mon vagin, mais noublie pas que je veux ta liqueur dans ma bouche.

Nicolas accéléra doucement ses vas et viens, un main vint caresser le vagin et y entra un doigt et pendant quil pénétrait le cul, il branla la grotte damour de sa mère, celle-ci ny tenant plus, elle poussa un long et grand cri, Nicolas sentit son doigt se noyer dans ce doux et chaud liquide de sa mère, en quelques secondes, il en avait plein la main, la retirant, il létala sur le dos de Laureen.

— Comme cétait bon, délicieux mon chéri, jai un peu mal au cul mais cela vaut bien le coup, merci mon chéri, à toi maintenant, je vais te faire une fellation que tu vas ten souvenir longtemps.

Laureen se remit sur le dos une fois que Nicolas soit sorti de cul de sa mère et sallongea à côté delle, sans attendre elle caressa cette grosse bite tout en embrassa à pleine bouche Nicolas, ce baiser dura quelques secondes puis se relevant sur un bras elle dit :

— Je voudrais que tu te mettes debout et moi je vais mallonger en laissant ma tête pendante en dehors du lit, ta queue pourra aller encore plus loin dans ma gorge, cest toi qui te branlera dedans comme si cétait ma chatte, de mes mains je te caresserai tes grosses couilles qui doivent être bien pleine, je voudrais malgré tout que les dernières gouttes soient dans ma bouche pour que ma langue sente bien ta semence.

Nattendant pas la réponse de son fils, elle se plaça immédiatement dans la position quelle avait décrite, ouvrant en grand la bouche et ses mains appelant Nicolas. Ce dernier vint se placer comme il le fallait, puis dune main, il guida son sexe vers la bouche et doucement il senfonça le plus loin que Laureen pouvait accepter, pendant lintrusion, elle se crispa, son corps réclamait de lamour, des sentions nouvelles mais comme pour toute bonne chose, il y a des limites. Nicolas prit son temps pour senfoncer et lorsquil jugea quil ne pourrait aller plus loin, il commença à ressortir puis à rentrer, il sentait les doigts de sa mère qui jouaient avec ses couilles, elle les roulait dans ses doigts sans trop les presser, puis un doigt ségara vers lanus de Nicolas. Lorsquil sentit le doigt le pénétrer, il senfonça un peu plus fort dans la bouche toute chaude et baveuse de sa mère, la salive coulant de chaque côté de la bouche et de temps en temps Laureen essuyait ce quelle pouvait. Nicolas sentit la jouissance monter.

— Mon amour je nen peux plus, que baise ta chatte ou ta bouche dans cette position, la jouissance monte rapidement, je ne vais pas tenir, je me vider rapidement dans toi ma chérie, une grande partie va aller directement dans ton estomac mais je vais ten donner pour que tu sentes bien mon sperme sur ta langue et dans ton palais. Oui ça vient chérie, jen peux plus.

Laureen sentit le sexe de son fils se gonfler encore un peu plus, elle entendit le rugissement de Nicolas et les mains de ce dernier presser très fort ses seins, Il se vidait doucement dans cette gorge, elle sentait ce doux liquide couler jusque dans son estomac cela lui faisait drôle, enfin dune main, Nicolas releva la tête de sa mère et finit de se vider directement dans la bouche de celle-ci. Sans quitter la bite de son fils, elle arriva à se mettre à genoux devant lui et elle continua à le branler afin quil se vide complètement, elle ne voulait pas en perdre une seule goutte. Nicolas nen pouvait plus, il sentait la fatigue arriver progressivement.

— Maman chérie, cétait fabuleux cette gorge profonde, mais la prochaine fois il faudra que je tenfonce quelque chose dans ta chatte pendant que je te ferai cette gorge profonde, tu jouiras en même temps que moi.

— Cétait merveilleux mon fils ! Jamais je naurais pensé que cétait aussi bon ; Tu veux que je te dise une chose mon chéri ?

— Tu as encore des choses à me dire à cette heure et après avoir autant joui ?

— Oui ! Jai des milliers de choses à te dire, mais pour ce soir, je veux te dire que je taime plus tout, que je te veux rien que pour moi car tu es un merveilleux amant et en plus tu maimes. Et si un jour, on veut vivre au grand jour notre amour, il faudra quon y réfléchisse longtemps à lavance afin de ne pas être découvert. Je veux que nous nous aimions comme nous lavons fait ces dernières heures, je suis toute à toi et rien que pour toi. Jai découvert auprès de toi et avec toi le vrai amour de cur et le vrai amour sexuel, je ten remercie mon fils et je taime.

Laureen se blottit dans les bras de Nicolas, elle avait les larmes aux yeux, cétait des larmes de bonheur et comme tout amoureux, la peur de perdre celui ou celle que lon aime envahit progressivement le cur et lâme et dans ce cas précis, cest lamour qui permet de réussir à vaincre cette peur.

— Moi aussi je taime et tout ce que tu veux ou me demande me donne, cest idem pour moi, je te veux pour moi seul et pour toujours maman !

— Je ne veux plus que tu mappelles « Maman » ce sera tous les noms que tu mas donné jusquà maintenant, même au bureau ce sera « Laureen » jexpliquerais pourquoi. Maintenant il faut dormir, je vais avoir une longue et très triste journée.

Les deux amants et amoureux sembrassèrent amoureusement et longuement, puis Laureen blotti dans les bras de son fils, lui avait placé une main sur une fesse de sa mère et ils sendormirent doucement.

Fin de cette histoire.

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