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Drague avec mes fesses – Chapitre 18

Drague avec mes fesses - Chapitre 18



La soirée a été très agréable, Carole est aux petits soins pour moi, je suis aux petits soins pour elle. Après l’apéritif au champagne, nous nous sommes installées autour de la grande table, Carole se met à côté de moi. Cathy s’installe comme d’habitude, les cuisses grandes ouvertes. Carole se penche vers moi.

Pourquoi ouvre-t-elle ses cuisses comme ça ?

Tu vas voir.

Flic vient se mettre entre ses cuisses et s’attaque à sa vulve.

Ok, je comprends.

J’écarte moi aussi les cuisses espérant le voir venir vers moi, mais Elodie et Sandrine en ont fait autant. Seule Carole reste les jambes relativement serrées. C’est le moment que choisit Hector pour passer sous la table, il est obligé de baisser la tête. Je le vois renifler l’air ambiant, il tourne la tête dans tous les sens et finit par se diriger droit sur Carole. Il pose son museau sur ses jambes, elle me regarde étonnée, me sourit et ouvre ses jambes pour le laisser faire. Sa tête se glisse entre ses cuisses, je vois sa langue parcourir sa vulve, elle frissonne. Elle écarte au maximum ses jambes pour laisser le plus d’espace possible à Hector.

De voir Cathy avec Flic et Carole avec Hector se faire brouter le minou m’excite grave. Je suis sur le point de poser ma main sur mon sexe, quand je vois Sandrine à quatre pattes sous la table qui se dirige vers moi. Sa bouche vient se poser sur mon sexe, elle me lèche comme le ferait Flic ou Hector, seule Elodie reste seule, mais je vois sa main droite sous la table caresser son clitoris. Je pars la première, Sandrine, tout en imitant Flic ou Hector, a une technique d’enfer et m’envoie au ciel en un rien de temps, elle insiste, ce qui se fini par un second orgasme, juste en même temps que Carole avec Hector. Cathy nous suit très vite. Flic abandonne Cathy, il se retourne et tombe sur les fesses de Sandrine, il n’hésite pas, lui monte dessus et lui plante son vit dans l’anus bien assoupli par Cartouche, mais pas lubrifié.

Le salaud, il m’encule.

Non seulement il l’encule, mais il fait trembler la table, qui est tout juste assez haute pour les laisser passer. Sandrine avance doucement pour sortir de sous la table. Flic la suit sans interrompre sa saillie. Elle réussit à sortir de sous la table, l’entraine un peu plus loin, pose sa tête sur le sol en pointant bien haut ses fesses et savoure la bite de Flic qui la laboure.

Vas-y mon Flicou, encule-moi, j’adore ta bite bien lubrifiée dans mon cul.

Flic se donne à fond, Carole jouit une seconde fois sous la langue d’Hector, je vois Elodie seule avec sa main sur son sexe, elle n’a pas joui. Je me glisse sous la table pour aller lui brouter le minou. Elle apprécie, pose ses mains sur ma tête, sans appuyer, juste pour me guider. Je lui titille le clitoris mais au bout d’un moment, elle pousse sur ma tête pour que je descende plus bas, je glisse ma langue entre ses lèvres le plus profond possible, elle fait remonter ma tête sur son clitoris, je le titille, le mordille, le suce, je la sens au bord de l’orgasme, c’est à ce moment qu’elle pousse ma tête vers le bas. Je comprends ce qu’elle veut, retarder le plus possible son orgasme pour en augmenter l’intensité. De moi-même, dès que je sens qu’elle va jouir, je redescends sur sa vulve et son périnée. Au bout de dix bonnes minutes, je commence à avoir un peu mal à la langue, elle fatigue. Je continue quand même, mais cette fois, quand je sens qu’elle va jouir je n’ai pas le temps de redescendre, elle me prend la tête et l’immobilise sur son clitoris. Elle explose dans un gigantesque orgasme, son corps est secoué de multiples soubresauts, il glisse sur la chaise, je suis obligée de la retenir pour l’empêcher de passer sous la table. Quand je la sens plus calme, je sors de sous la table, Sandrine est toujours sous le joug de Flic, ce qui ne semble pas la gêner. Elodie m’attire à elle pour m’embrasser tendrement.

Merci, c’était super.

Je me remets à table, Hector est toujours entre les jambes de Carole qui a son énième orgasme. Elle finit par le repousser, se tourne vers moi pour m’embrasser avec amour. Sandrine nous rejoint, libérée par Flic. Les deux chiens retournent dans leurs coins pour se lécher la bite nous laissant continuer notre repas. Le repas est agréable, juste assombri pour moi par le fait que Carole doive repartir demain très tôt pour son travail. Nous décidons, en concertation avec Sandrine et Elodie, de rentrer demain soir à Paris, je ne veux pas forcer Carole à faire la route tous les jours.

Cathy donne une autre chambre pour Elodie et Sandrine, elle comprend que nous préférons rester seules pour la nuit. Nous nous couchons, Carole se plaque contre moi.

Notre première nuit de couple, je t’aime.

Je t’aime.

Nous nous embrassons tendrement, nous n’en sommes pas à l’exubérance, c’est la douceur qui l’emporte, la recherche du plaisir de l’autre avant le nôtre. Faire exulter le corps de l’aimée en se donnant sans arrière-pensée et recevoir la même chose de l’autre. S’aimer. Je me donne de tout mon être, de toutes mes forces à cet amour naissant, je ne pensais pas pouvoir tant donner, juste pour le plaisir de donner, de rendre heureuse cette femme qui occupe de plus en plus de place dans mon cur. La nuit est douce, heureuse, pleine d’amour.

Nous nous levons très tôt le lendemain, Carole doit partir travailler, quand elle est sous la douche, je m’agenouille devant elle pour la faire jouir une dernière fois avant qu’elle ne me quitte jusqu’à ce soir. Elle enfile un corsage et une jupe moulante, sans sous-vêtement. Après un rapide café, je l’accompagne jusqu’à sa voiture, elle s’immobilise.

Je rentre le plus tôt possible, j’espère vers dix-sept heures trente.

Je serais là.

Elle entre dans sa voiture, ouvre sa vitre, m’embrasse une dernière fois et s’éloigne lentement, comme à regret, en me faisant des signes de la main. Je retourne à la maison, Cathy s’est levée, elle prépare le petit déjeuner.

Carole est partie ?

Oui, on se retrouve ce soir chez moi.

Aujourd’hui, c’est pour vous les saillies vaginales, tu es prête ?

En fait, je préfère une saillie anale, je veux essayer de jouir par le cul.

Oui, mais tu sais que ce n’est pas possible, il est trop rapide.

Sauf si je me prépare avant.

Comment ?

Je me mets en position dans le box de Cartouche, tu me sodomises avec ton gros gode, dès que je sens que je vais partir, je te préviens, tu me libères et Elodie amène Cartouche pour qu’il m’enfile.

C’est un peu compliqué, mais on ne sait jamais, on peut essayer, tu vois ce qu’elle veut faire Elodie ?

Parfaitement, je m’occuperais même de sa bite.

Non, c’est toi qui sodomiseras Julie, moi, je m’occuperais de Cartouche, je le connais bien, je pourrais le maintenir prêt à la saillir sans qu’il ne s’énerve.

Ok, on y va ?

Moi, je suis toujours partante pour me le faire mettre dans le con, je n’attends que ça depuis hier.

Oui, mais je pense qu’il faudrait faire en sorte que tu sois sur le point de jouir quand il te le plantera dans le con.

Jouir avec une telle bite, ça doit être irréel.

Allons-y, il est très en forme en général le matin.

Nous enfilons un corsage, un blouson et c’est tout. La température s’est énormément radoucie, il doit faire aux alentours de dix degrés, c’est nettement plus agréable, car cela n’empêche pas de nous exciter, je mouille autant. Arrivées dans le box de Cartouche, nous constatons qu’il est en forme, sa bite est entièrement déployée et pend sous son ventre. Dès que Cathy le touche, elle se redresse pour venir fouetter son ventre.

Je vous l’avais bien dit, le matin il est particulièrement en forme.

Il fait limite bon et j’en profite pour enlever mes fringues que je dépose sur un ballot de paille, immédiatement imitée par Sandrine. Nous installons la table à côté de Cartouche, il comprend ce qui va se passer, il commence à trépigner. Cathy le caresse et le calme pendant que Sandrine se met sur la table, sur le dos. Elodie s’approche d’elle, le gode à la main, et lui plante dans le vagin.

Vas-y, fait monter la pression.

Elodie pistonne Sandrine avec d’amples mouvements qui s’accélèrent de plus en plus. Je me penche sur son clitoris, juste pour le lécher une fois. Je vois sa cyprine blanche lubrifier le gode.

Oui, je ne vais pas tarder à venir, oui, doucement Elodie.

Elodie ralentit un peu, ses gestes sont plus lents et moins amples pour stabiliser l’excitation de Sandrine.

Oui, maintenant, viens Cathy, je vais partir.

Elodie se dégage très vite, Cathy amène Cartouche, se saisi de sa bite et la dirige vers la vulve de Sandrine, mais au moment où le bout de sa bite touche sa vulve, elle explose dans un énorme orgasme pendant que la bite continue de s’enfoncer en elle jusqu’aux mains de Cathy.

AAAAAAHHHHHH, oui, encore, encore, je jouis sur sa bite.

Cartouche donne trois ou quatre coups de reins, mais il se retire sans s’être vidé en elle.

Non, reste, remplis-moi.

Cartouche ne l’écoute pas, il reste à côté d’elle, sa bite entre légèrement sous son ventre. Après quelques secondes pour récupérer un peu, Sandrine se lève, elle vient vers lui pour le caresser.

Merci quand même mon Cartouche, c’est ma faute, j’ai trop attendu pour t’appeler, on fera mieux la prochaine fois. A toi Julie, et n’attends pas le dernier moment pour appeler Cartouche, tu risques de faire comme moi, jouir trop tôt.

Cathy retient Cartouche, Elodie me graisse bien entre les fesses, jusqu’à enfoncer trois doigts dans ma rondelle pour bien la lubrifier. Je m’appuie sur la table et pointe mes fesses en arrière. Elle présente le gode sur mes fesses et pousse. Celles-ci s’écartent pour laisser l’énorme gland se frayer un passage jusqu’au plus profond de mes entrailles. Mon sphincter l’accepte très bien, il est bien souple. Ses va-et-vient sont lents et amples, elle n’accélère pas trop, la tension monte doucement. Quand je sens que ça va être pour bientôt, je me mets en position contre le mur. Je vois Cathy qui caresse le sexe de Cartouche pour le maintenir bien raide.

Oui, maintenant.

Elodie me libère, dans la seconde qui suit, Cartouche me monte dessus en hennissant. Sa bite, guidée par Cathy, me transperce l’anus sans ménagements, elle s’enfonce d’une quinzaine de centimètres, mon excitation monte encore d’un cran, je suis pas loin de l’orgasme, il recule un peu pour s’enfoncer encore plus, recommence et recommence, toujours un peu plus profond à chaque fois, au bout de six fois, une main vient se poser sur mon sexe, je n’en peux plus, j’explose dans un terrible orgasme, Cartouche me donne encore deux coups de bite avant de me remplir de son sperme. Je sens ce liquide chaud et onctueux me remplir les entrailles, je suis sur le point de m’évanouir tant l’intensité de cet orgasme est dévastatrice. Sandrine le comprend et vient me soutenir aidée par Elodie de l’autre côté. Cartouche s’est vidé en moi, sa bite se ramolli et me quitte. Je reste dans cette position un bon moment, soutenue par mes amies. Je me délecte de cette sensation de plénitude tout en ayant un sentiment d’absence dans le cul, j’aurais bien aimé que Cartouche me sodomise plus longtemps. Je finis par me retourner.

Putain, quel pied, je commence à croire que je jouis mieux du cul que de la chatte.

C’est assez courant tu sais, l’anus est un endroit très érogène chez beaucoup de personnes, chez les femmes comme chez les hommes.

Moi, dès qu’on me le touche, je réagis.

Comme moi.

…/…

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