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Drague avec mes fesses – Chapitre 9

Drague avec mes fesses - Chapitre 9



Seule Carole semble un peu dubitative, je n’ai pas l’impression qu’elle est emballée par la perspective de se faire défoncer la rondelle par Farouk.

J’ai déjà essayé la sodomie, mais ça ne me plait pas beaucoup.

Ça en fera plus pour les autres.

Nous éclatons dans un grand rire, je vais dans la chambre de Marie avec Carole, nous trouvons une graisse anale spéciale fist.

C’est la reine du cul ta sur.

Je le pense de plus en plus, ça doit être pour ça qu’elle ne veut pas se marier.

Nous retournons au salon, Carole m’enduit l’anus de graisse. Je sens une chaleur sur ma rondelle, j’espère que ça va faciliter la pénétration de Farouk. Il vient vers moi pour me sentir les fesses, sa bite sort lentement de son fourreau, je comprends qu’il sait ce qu’il doit faire, Marie doit pratiquer souvent. Je me positionne à quatre pattes, il me monte dessus, mais il faut que Sandrine guide sa bite qui prenait le chemin de mon vagin. Il s’enfonce en moi d’un seul coup, une fulgurante douleur me secoue, je suis sur le point de me dégager, mais très vite, sous les coups de butoir de Farouk, cette douleur se transforme progressivement en plaisir. Je sens une bouche sur mon clitoris, c’est Sandrine qui s’est glissée sous moi et s’active sur mon sexe. La langue de Sandrine et le sexe de Farouk finissent par me faire jouir très vite.

Oui mon Farouk, oui ma Sandrine, vous me faites jouir, encore, encore.

Farouk ne faiblit pas pendant deux ou trois minutes puis son rythme ralentit petit à petit. Il finit par s’immobiliser et donner un violent coup de reins. Mon sphincter, assoupli par ses va-et-vient, accepte sans broncher son bulbe qui me remplit entièrement. Sandrine reste sous moi et me lèche le clitoris comme l’aurait fait Farouk. Etre léchée comme ça et avoir cette énorme boule dans l’anus me fait exploser une nouvelle fois dans un orgasme stratosphérique. Mon corps est secoué de violents spasmes, mon ventre se crispe, mon cur est sur le point d’exploser, mon cerveau entre en ébullition. Je ne sais plus ou je suis, qui je suis, ce que je fais, je ne suis plus qu’un cul, un cul qui reçoit une grosse boule de chair et qui me transmet sa joie de la recevoir. Je mets un certain temps à revenir sur terre, être possédée par cette fabuleuse queue qui n’en finit pas de se vider en moi me met dans un état de transe.

Tout va bien ?

Merveilleusement, tu verras, c’est divin.

Je sais.

Au bout d’une petite dizaine de minutes, je sens la boule se réduire et Farouk se dégage pour aller se lécher la bite dans un coin de la pièce. Je suis toujours à quatre pattes, mon anus grand ouvert, une langue se glisse entre mes fesses et me lèche. C’est Sandrine qui récupère le sperme de Farouk. Quand ma petite rondelle s’est entièrement refermée, Sandrine m’aide à me relever et à m’assoir sur le divan. Je dois dire que mes jambes me soutiennent à peine. Nous restons un long moment assises côte à côte sans dire un mot, le spectacle les a un peu abasourdis, et moi, je suis en partie HS. C’est Farouk qui donne le signal des nouvelles réjouissances en venant poser son museau sur les genoux de Carole. Elle écarte les jambes pour lui laisser le passage et finir par jouir une nouvelle fois. Sandrine s’est levée, je lui ai enduit la raie des fesses de graisse en en profitant pour introduire un doigt dans sa rondelle.

Oui, tu as raison, il faut me préparer, je suis sûre que Marie a quelque chose de mieux.

Elle se dirige vers la chambre de Marie et en revient trois minutes plus tard avec un gode d’environ deux centimètres de diamètre et vingt de long.

Baise-moi avec ce bel engin, ça va m’assouplir le sphincter.

Elle se met à quatre pattes devant moi, je lui glisse le gode entre les fesses et commence de va-et-vient lents et profonds pour augmenter le rythme et l’amplitude petit à petit. Au bout d’une minute, le gode glisse librement dans ses entrailles. Après deux orgasmes, Carole referme ses cuisses et Farouk se tourne naturellement vers Sandrine que je libère immédiatement. Voyant sa position, il se met derrière elle et lui monte dessus. Cette fois, son sexe se dirige tout de suite vers le bon endroit et s’enfonce entièrement dans sa rondelle. Sandrine ne semble pas ressentir de douleurs particulières sous les assauts violents de Farouk pourtant violents.

Oui, c’est bon, quel pied, quel pied.

Farouk la pistonne avec un bel entrain, Sandrine semble se concentrer sur cette bite qui la laboure avec un immense plaisir. Le manège dure plusieurs minutes avant que Farouk ne s’immobilise et se vide en elle.

Ça y est, il me remplit de son foutre, il me dilate le fion avec sa boule, quel pied, quel pied.

Carole est à côté de moi à regarder la scène quand la porte d’entrée s’ouvre. Nous sursautons, sauf Sandrine trop concentrée sur la bite qui la possède, et regardons en direction de l’entrée. Marie déboule dans le salon. Elle reste scotchée en voyant la scène qui se déroule devant elle. Sandrine explose dans un énorme orgasme.

AAAAAAAAAHHHHHHHH oui, oui, bourre-moi mon Farouk, bourre-moi, bourre-moi.

Carole se lève et se dirige vers sa sur qui semble se détendre.

Alors les filles, vous avez trouvé le mode d’emploi de Farouk ?

Carole s’arrête devant Marie qui la prend dans ses bras.

Ça n’a pas été très compliqué, c’est lui qui nous a fait comprendre que nos petites chattes l’intéressaient beaucoup, d’abord avec sa langue puis, avec sa magnifique queue, tu ne nous en veux pas j’espère ?

Je vous rassure les filles, vous pouvez continuer, et je peux même dire que je vais moi aussi participer.

Sur ces paroles, elle se dirige vers sa chambre et en revient deux minutes plus tard à poil. Marie est très belle, de petite taille, mais un magnifique corps bien proportionné. Belle poitrine haute, ventre plat, belles cuisses et un petit ticket de métro coupé court sur le pubis. Elle va vers la salle de bain, j’entends la douche couler. Elle revient au salon quelques minutes plus tard. Carole va vers elle.

Tu rentres bien tôt.

Cette cérémonie était chouette, mais je ne comprenais pas très bien ce qui se passait. J’ai prétexté une migraine pour partir un peu plus tôt. Je vois que vous vous amusez bien.

Oui, Farouk est génial, mais je ne suis pas prête à me faire sodomiser par lui, en tout cas, pas encore.

Il t’a baisé ?

Oui, et très bien, je viendrais souvent te voir le week-end, ça te dérange ?

Absolument pas petite sur, et en même temps, je pourrais peut-être m’occuper de toi.

Quand tu veux.

Marie pose un baiser sur le front de sa sur et vient s’installer à côté de moi, me regarde, pose sa main sur ma tête et me fait comprendre qu’elle aimerait bien que je m’occupe d’elle. Je ne me fais pas prier et me jette sur sa chatte qu’elle m’offre les cuisses grandes ouvertes. Elle dégage une odeur agréable vite remplacée par celle de sa cyprine qui commence à couler à flots. Marie s’allonge sur le divan et tend ses bras à Carole. Elle se penche et pose ses lèvres sur ses seins. Marie ferme les yeux, elle se laisse aller à son plaisir. Plaisir d’avoir une langue sur son clitoris, mais aussi d’avoir la bouche de sa sur sur ses seins. Carole embrasse les seins de sa sur puis descend sur son ventre plat. La voyant venir vers moi, je me redresse à regret, mais c’est pour la bonne cause, abandonnant la vulve de Marie vite investie par la bouche de Carole.

Oh oui petite sur, si tu savais depuis combien de temps j’attends ce moment merveilleux.

Marie se cambre pour offrir son sexe à sa sur. Carole s’active jusqu’à ce qu’elle se raidisse et jouisse comme une folle. Quand elle revient à elle, Carole se couche sur elle, pubis contre pubis, ventre contre ventre, seins contre seins, et pose ses lèvres sur celles de sa sur pour un long baiser passionné. Elles finissent par revenir à elles juste au moment ou Sandrine se redresse, libérée par Farouk qui vient voir sa maîtresse.

Alors mon chéri, tu m’as trompé, je dois dire que vu leurs physiques, je te pardonne, mais maintenant, c’est mon tour, jai envie de ta bite dans le fion.

Elle se lève, prend le pot de graisse posé sur la table et s’en enduit une belle couche entre ses fesses. Elle va chercher un petit pouf pas très haut dans un coin du salon, se met à quatre pattes dessus, juste devant Farouk. Sur le pouf, elle est plus haute et passe juste sous le ventre Farouk qui lui monte sur le dos pour s’enfoncer d’un seul coup dans son fion. On voit que c’est une habitude, tout est bien huilé, c’est quelque chose qui se répète souvent, c’est évident. Carole regarde sa sur se faire sodomiser par Hector et n’est pas sans remarquer le plaisir qu’elle en tire, elle se penche sur mon oreille.

Je crois que je vais essayer la sodomie, je vais demander à ma sur de me guider, je serais plus détendue.

Tu as raison, il faut toujours affronter ses peurs avec quelqu’un qu’on aime et en qui on a confiance.

Farouk sodomise toujours Marie qui jouit toutes les deux minutes, elle a l’air très sensible de ce côté-là. Il reste maintenant immobile sur elle en se vidant dans ses entrailles. Au bout d’un quart d’heure, Farouk se retire, je me positionne derrière Marie pour récupérer un maximum du sperme de Farouk qui coule de sa rondelle encore ouverte. L’effet de ma langue sur son fion la fait jouir une nouvelle fois. Quand sa rondelle s’est entièrement refermée, nous allons rejoindre Sandrine et Carole sur le divan.

La soirée à bien commencé, si nous buvions un coup ?

Nous nous installons sur le divan pour nous rafraîchir, Marie se penche sur sa sur.

Tu ne veux pas essayer la sodomie ?

Oui, mais pas aujourd’hui, c’est un peu tôt, et puis, j’ai eu une expérience avec un homme pas très plaisante, il a été assez violent.

Si tu es comme moi, tu devrais beaucoup apprécier, je pense que c’est ma zone la plus érogène, je ne jouis rien que par le fait d’avoir la bite de Farouk dans le cul, c’est génial. J’espère que tu es comme moi.

Je ne sais pas.

Il y a un moyen très simple de le savoir.

Ah oui, comment ?

Mets-toi à quatre pattes.

Carole s’exécute, Marie s’agenouille derrière elle et pose ses lèvres sur sa rondelle. Elle la lèche en démarrant par le périnée pour finir sur sa rondelle et enfoncer un peu sa langue. Carole commence à réagir.

Oh oui, c’est très agréable, continu Marie chérie, continue.

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