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Dressée par le fermier – Chapitre 1

Dressée par le fermier - Chapitre 1



Je m’appelle ERIC, j’ai 19 ans et vie dans l’est de la France, prés de la Frontière Allemande, à STRASBERG. Ayant rapidement quitté mes études désastreuse en BEP vente, j’ai réussi à obtenir avec beaucoup de mal un CDD en tant que caissier dans un grand supermarché.

Je suis grand, 1.80m, brun aux yeux bleu, j’ai un corps normal a peau mate, avec un gros ventre, je dois peser 79kg. On dit que je suis plutôt mignon. Je vis seul depuis 6 mois dans mon petit studio, dans le quartier étudiant de la ville. Je n’ai pas d’ami, ayant quitté ma ville natale, du sud la France. Je n’ai plus trop de contact avec ma seule famille, ma mère. J’ai donc une vie monotone et solitaire.

J’aimerai tant avoir une copine, car j’ai toujours eu des relations courtes malgré moi. Ces rares demoiselles m’ont à chaque fois quittées après quelques semaines. Sans raison, je n’ai jamais vraiment eu de raison pour moi valable. Peut-être ont-elles détectées une anomalie chez moi, avec leur septiéme sens!? Il est vrai que je suis de nature très timide. Et j’ai peur des les aborder. Du coup les occasions ont été rares de me retrouver accompagné. J’ai toujours été attiré par le corps féminin. Je le trouve très attirant et bien plus beau que le masculin. Surtout leur atouts, seins, bouches, fesses, voix, leur cheveux longs, … Je me rend compte qu’elles me font de plus en plus fantasmer. J’adore la lingerie féminine, et les habits sexy.

De part mon travail, j’ai deux à trois fois par jour de jolies filles qui passent à ma caisse. Je les envie de plus en plus. Je commence à me poser des questions seul le soir, chez moi, sur cette obsession de la femme d’une manière générale.

Le mois prochain nous serons en Décembre, j’aurai ma prime de fin d’Année et je prévois de me rendre dans un FKK en Allemagne. Là bas je pourrais y trouver des prostitués dans une maison close. Un collègue de travail m’en à parlé, du prix des conso et des prestations. On peut y trouver que des belles filles en petite tenue. Ce sera mon cadeau de Noël!

24 DECEMBRE :

Comme dit je n’ai pas envi de passer cette soirée seul. Je me décide donc, je suis excité et j’ai peur à la fois. C’est le grand jour, le jour du FKK! Je n’ai pas fait l’amour à une fille depuis près d’un an. Je ne me suis pas branlé exprès depuis une semaine, je suis donc assez excité. Ayant déjà connu des défaillances avec ma queue cette abstinence devrait être bénéfique.

Le collègue m’avait donné comme bonne adresse l’ "Excabilur" à Offenheim.

Il est 23h00, je prend ma vieille twingo et direction cet établissement réputé. La tension monte, je paye les 60 euros de droit d’entrée. Je m’assoir au bar, histoire mater les nenettes. Celles-ci se promènent, sont assises seules ou avec des hommes.

J’ai l’impression que l’athmosphére et à la cool, et cela me rassure.

Je constate que les filles abordent les mecs qui leur font des sourires, ou lorsque eux engagent la conversation, certain mec y vont plutôt direct. Moi, je veux prendre mon temps pour bien choisir celle qui va le plus me plaire.

Au bout d’une heure et trois pintes de bières (à l’allemande). Je mes sens un peu emmeché.

Cet à ce moment là que je vois arriver dans ce salon une belle petit brune, dans les 1.60m , avec une poitrine assez grosse, je dirai un bon bonnet C, ce qui lui donne un côté très sexy j’adore. Elle est habillé très simplement d’une guêpière noire qui fixe des bas noir presque opaque. Un string en dentelles noir et échancré, comme j’adore. J’admire comment elle marche avec ces hauts talons de 12cm. Cela lui donne une belle croupe. Elle creuse ces reins, je pense naturellement, ce qui met en valeur ces fesses.

A ce moment là, elle se tourne et mon regard est fixée sur son cul. Il est gros comme je les aime et très bien formé. Mes yeux sortent de leur orbites, je commence à bander! Elles se retourne de nouveau et me voit entrain de la regarder de haut en bas. Elle m’intimide, je tourne mon regard.

Je commence à m’insulter moi même, à m’en vouloir de ne pas la regarder, et encore moins de l’aborder.

Quelques instants plus tard, là voilà assise à mes côtés. Elles engagent la conversation, super elle parle français, et au bout de 5 minutes je me sens plutôt à l’aise. Je lui offre un verre. On discute un moment, elle me dit s’appeler KARIN et qu’elle est polonaise, elle me propose les tarifs (40 la pipe, 70 l’amour, 90 la sodomie) et me demande si j’ai envi d’elle. Je lui répond que oui, et nous partons vers sa chambre.

Elle me suce, je bande fort et dur, malgré mon petit sexe de 14cm en érection. Puis, elle s’allonge sur le lit de dos. Je vais la prendre. Et là la panne générale arrive, tout comme avec mes ex. Avec son professionalisme, elle tente de me faire durcir de nouveau en me suçant comme une reine. Je regarde avec intérêt sa manière de procéder. Je bande de nouveau, puis à nouveau panne avec sa même position. Je n’arrive pas à la pénétrer, je me sens nul.

Elle me propose de me mettre un doigt au cul en prétextant que cela aide "certain" mec. J’accepte avec appréhension. Elle me suce je bande de nouveau, elle me met un doigt, puis deux, elle voit à ma réaction que j’aime et que ça me fait beaucoup d’effet. Elle fait rentrer un troisième dans mon petit trou. 2 minutes après je lui gicle à la gueule une quantité impressionnante de sperme. Elle n’en revient pas et à l’air surprise.

Tellement qu’elle commence à m’expliquer que certain homme préfère recevoir que de donner! Je la dévisage un peu. Elle m’explique gentillement qu’il ne faut pas le prendre mal, et me suggère même de m’acheter un gode anal et d’essayer chez moi. J’en suis bouche bé.

Sur ceux, elle se retire dans sa SDB et moi je me rhabille. C’est à ce moment là que je constate que ces sous-vêtements et chaussures sont au sol. Sans vraiment réfléchir je décide de les embarquer avec moi. Je n’ai pas ma veste qui est au vestiaire, je met tout de même la paire de chaussure sous mon gros pull. Avec mon gros ventre on y verra rien. Les reste dans mes poches. Je file aux vestiaires et 5 minutes plus tard, je suis dans ma voiture direction mon chez moi. Tout compter d’avoir embarquer son attirail. Il est 3h30 lorsque je rentre chez moi. Je décide de me coucher exténuer par toutes ces nouvelles émotions.

Le lendemain matin, je vois l’attirail de la pute et décide de le ranger dans une boite dans mon armoire. Je me dit quand même : "mais pourquoi j’ai pris ces affaires??"

Je passe le nouvel an dans une salle des fêtes. Je rentre déçu de n’avoir pas su aborder les quelques filles qui me plaisaient. J’ai donc passer la dernière partie de la soirée à boire!

A mon réveil, je sens quelques chose de bizarre sur moi, comme si j’étais habillée et à la fois nu. Je me touche d’un oeil groggit encore des restes d’alcool et à moitié réveillé. Je sens avec ma main que j’ai sur moi un tissu bizarre, je regarde.

Merde, je me suis mis la tenue de la pute, bordel, qu’est ce qui m’a pris!?

Je passe ma journée à y penser, ne réfléchir qu’a cette action bizarroide que j’ai commis, en sus de celle de la maison close. Mais qu’est ce qui m’arrive pourquoi j’ai fait tout ça. Je me souviens d’un coup que je me sis mis à bander dans cette tenu. J’en conclu donc que j’aime me mettre dans ces tenues, et qu’un gode dans le cul me ferait du bien de temps en temps.

On est malheureusement le 1er Janvier et tout est fermé. Je décide donc de partir au lendemain au sex shop m’acheter un gode.

02 JANVIER :

Je me rend au sex shop du quartier. J’y achète le fameux gode. Un objet que je choisi de taille plutôt modeste, 15cm et de diamètre 3cm selon l’emballage. Je passe devant le rayon des habits. Je trouve les tenues plus sexy les une que les autres. Je vois une jupe plissée courte (30cm) qui me tape à l’oeil. Je décide de la prendre. Ainsi que une perruque brune longue qui devrait arriver dessous les épaules. Un petit top noir et je passe à la caisse un peu honteux et mal à l’aise, merde 70 quand même!

Je décide le soir même de passer la soirée habillée en pute. Avec mon gode dans le cul. Il a du mal à rentrer, mais avec la grosse noisette de salive que j’ai appliqué sur mon auréole, j’arrive à l’enfoncer jusqu’au couille. J’en perd quelques larmes de douleurs, mais je suis aux anges.

Je commence à prendre des postures et marche comme une fille.

Je décide de me donner un petit nom pour parfaire cette mise en scène. J’ai toujours aimé les mises en scènes.

Je me prénommerai dorénavant : LEA, lors de mes séances d’essayage et de soirées avec celle qui sera désormais "mon double féminin".

Je passe toutes mes soirées dans cette tenue. Je me pose beaucoup de question sur moi même et mon orientation sexuelle.

Je comme à me branler devant des vidéo porno gay ou des travesti se font prendre. Mon petit gode ne me suffit pas; j’ai envi d’un plus gros. Le lendemain je m’achète un 20cm par 5cm. + de la vaseline sur les conseils de la vendeuse.

15 JANVIER :

Il m’en faut plus toujours plus. Je décide d’aller dans une forêt pour me divertir de nuit habillée en Salope. Je trouve une forêt bien sombre, j’ai froid avec que 5 degré. Mais le fait de pouvoir me pavaner et apprendre à marcher avec ces talons. Ca m’excite! Je me sens femme et j’aime ça.

17 JANVIER :

Je prend une grande décisions. Celle de sauter le pas, de me faire sauter. Pour pouvoir devenir une femme, une vrai, que l’on baise et qui se soumet à la bite et exigences de l’homme. Je me promène sur internet, les forums, discussions en tout genre, sites de rencontres spécialisés… Pour trouver un endroit propice aux rencontres non loin de ma ville STRASSBERG.

Je ne me sens pas gay mais travesti dans l’âme. Je trouve au bout d’une heure un lieu très prisé par les gays. Il s’agit d’une forêt qui se trouve prés du fleuve qui fait frontière avec l’Allemagne.

Cette forêt fait parti du domaine du château de Poutaleff à 10km au nord de la ville. Des mecs se retrouvent pour soit donner ou se faire prendre, selon les forums. Je décide de poster une annonce des plus explicites. Ca me donnera plus de chances de trouver ces bites qui me font de plus en plus fantasmer. Je précise mon horaire d’arrivée, que ce sera ma première fois, et que je les veux grosses dans mon annonce. J’espère qu’il n’y en aura pas de trop tout de même, il faut bien commencer.

Il est 17 heures, je commence déjà à me préparer. Je me rase tout le corps. Met de l’huile plusieurs fois sur ma peau. Je décide de descendre à la superette m’acheter un rouge à lèvres bien rouge. Le passage en caisse est assez désagréable, heureusement j’ai ajouté d’autres produits pour masquer cet achat. 

22 heure : mise en tenue. Perruque brune, bas noir, guêpière, string noir, top noir, jupette qui arrive 5cm dessous mes fesses, et le rouge. Je file j’ai RDV à 23heure. Je met bien sur d’autres chaussures, un pantalon et une veste par dessus.

5 minutes avant, je trouve au parking. Il n’y a heureusement aucun véhicule de garé. Hormis une petite camionette, mais garée 50 métre plus loin. Je ne sais pas si il y a quelqu"un dedans. Mais je décide de me mettre en condition. Je suis à peine prête que je vois des phares au loin et un bruit de moteur. Je cour me cacher derrière un arbre.

La voiture se gare un jeune homme sort. Dans les 22 ans. Il est tout fin et petit, plutôt beau gosse. Je décide de secouer les branches devant moi. Il entend le frémissement et se rapproche. Il me salue, me fait même la bise. Il à l’air aussi timide que moi. Je décide de me mettre à genou, fermer les yeux et j’ouvre grand ma bouche. Il comprend et sort sa bite. Je reste sans bouger, la langue sortie de sa caverne et toute pendante. Je sens qu’il s’astique. J’en trouve un oeil et voit une petite bite de 15cm. J’ai l’impression d’être toute déçue. J’aimerai qu’il me l’enfonce dans ma petite bouche. 1 minute plus tard il éjacule deux petits filins de sperme. Je suis très déçue. Mais ne lui montre pas. Il s’en va s’en dire un mot.

Je n’ai pas trouvé là un homme, un vrai!!!

5 minutes plus tard. Je vois une silhouette quitter les abords de la camionnette déjà garée, après un claquement fort de porte. La personne à l’air grande et costaud. Plus il s’approche, plus il parait imposant. Je dirais 1m90, pour 120kg quand même. Il est mal habillé, avec une salopette. Plus proche, je le vois avec une barbe de trois semaines au moins, les habits sales et tâchées, les cheveux gras, des bottes crasseuses aux pieds, … Il a un ventre assez proéminent. On dirait qu’il cache quelque chose dans son dos.

Il me dégoute et me fait peur, j’ai envi de partir. Mais, il se trouve entre ma voiture et moi. Je suis également fasciné par sa prestance, il à l’air d’être sur de lui. Il m’appelle :

— Lui : La salope, tu te caches ou? Sort donc de ta cachette. TOUT DE SUITE.

— Moi : je ne répond pas et m’agrippe derrière une fine branche. J’ai trop peur.

— Lui : Ah enfin te voilà toi! Tu crois que je ne vais pas te trouver! Alors comme ça on cherche un homme un vrai. Je vais te montrer qui je suis. ALLEZ DEBOUT.

— Moi : il m’aggripe fortement par le poignet. J’avais constaté une odeur à son arrivée. J’en conclu par un parfum mêlé de bouze de cheval, urine, … Je vois maintenant ce que qu’il tient en main : un fouet, un collier avec une laisse, des menottes et une grosse chaine.

— Lui : il me fixe le collier. Te voilà ma chienne pour cette nuit. Allez suit moi.

Il m’a ensuite fixée à un tronc d’arbre avec la longue chaine, au gros crochet du collier. A une hauteur suffisante pour que je sois obligée de m’étirer sur la pointe des pieds. Ensuite les menottes ont suivi, mains dans le dos, et à fixé la chaine à un autre crochet, celui des menottes. La chaine était un peu courte, de ce fait j’avais malgré moi le cul à la fois en l’air mais surtout penché vers lui en arrière. J’étais à sa merci et ne pouvant plus m’échapper.

Il rigolait en me regardant à sa merci, fier de lui. Moi, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie.

Lui : je m’appelle ROBERT, et je vais te punir pour la chienne que tu est. Et peut-être qu’après je te gâterai avec ma grosse queue.

D’un coup sans prévenir il m’assaille de plusieurs coups de fouet. Je crie, puis le supplie d’arrêter.

Robert : arrête de pleurnicher et ferme ta gueule la salope. Tu l’ouvriras que pour sucer ma bite. Tu as compris?

Moi : un petit oui sort de ma bouche.

Robert : je n’ai pas entendu. OUI QUI?

Moi : OUI.

Là il me remet dix coup très fort.

Robert : On dit "OUI MONSIEUR "

Moi : je sors un petit Oui, monsieur. Qui ne lui suffit pas.

Il recommence jusqu’à ce que je comprenne et articule suffisamment pour lui. Je commence à comprendre son jeu et joue de cette mise en scène. Ca m’excite, et j’en bande fort.

Il m’assène ensuite d’une trentaine de coups. Et je commence à en pleurer. J’en rajoute même histoire de voir s’il est content de lui. A sa réaction, il à l’air satisfait de lui et se remet à rigoler de moi de plus belle.

Robert : Comment t’appelles tu?

Moi : LEA.

Robert : Tu n’as pas finit TA PHRASE SALOPE.

Moi : LEA, MONSIEUR.

Il me détache et me met à genou. Je fais comme avant ; bouche grande ouverte langue pendante.

Il sent fort très fort l’urine. J’en ai presque la nausée. Il sort sa queue, l’odeur augmente, et commence à me faire des bifles de plus en plus fort. Puis, il l’essuie un peu sur mes joues rouges.

Robert : tu as de la chance, je vais t’autoriser à la lécher et la nettoyer avant que je te l’enfonce dans ta trop petite bouche. A la fin tu devras me remercier de te laisser apprécier la dimension de ma queue. Et que tu puisse te lubrifier la bouche avant de la recevoir.

Je notais une odeur supplémentaire, on aurait dit du sperme (surement séché). Me voilà donc en train de lécher une bite qui me parait énorme. Peut-être 24 ou 25cm de long, et de diamètre 5,5cm ou même 6cm ( je saurai plus tard qu’il fait en fait 25/6)

Robert : aller suce ma grosse bite.

Elles est tellement énorme que j’ai du mal à avaler le gland.

Robert: je vais me vidanger dans ta petite bouche de salope. Tu as intérêt à tout avaler.

Moi : je lui répond d’une voie miel-euse; OUI MONSIEUR JE VAIS TOUT AVALER. Merci de me donner l’honneur de boire tout votre foutre. J’avais envie de cet homme.

Après quelques va et vient, il déglutit une quantité énorme de sperme chaud dans ma petite bouche. Je réussie difficilement à tout avaler. Il me félicita et …

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