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Eli pour une première fois – Chapitre 2

Eli pour une première fois - Chapitre 2



L’histoire se déroule un an après le second chapitre. Suite à un déménagement je n’ai pas pu revoir Éli depuis tout ce temps. Nous avons gardé contact et n’attendions que de nous revoir.

Les vacances scolaires sont enfin arrivées, l’été est revenu. C’est agréable de marcher dans les rues de Bordeaux, surtout lorsque je sais que c’est pour y rejoindre Éli. Un an que je ne l’ai pas revue, ma tête bouillonne de rêves et de fantasmes à son image. J’ai eu le temps de côtoyer deux autres filles durant cette année, mais aucune ne m’a fait vibrer comme elle. Je deviens fou rien qu’à penser à la revoir, et justement : je vais la revoir !

Un rendez-vous classique, au cinéma. Nous avons choisi un film assez court, d’aventure, pour passer un bon moment, bien rigoler et frissonner un peu. Pour la suite, rien n’est prévu, si ce n’est que nous avons toute la nuit devant nous.

J’arrive enfin au cinéma, elle est là m’attendant toujours aussi splendide. Je m’arrête à sa vue, comme surpris de la voir, tout en la contemplant de haut en bas. Elle porte un pantalon en toile noir assez ample et léger, et un haut noir lui aussi, mais plus transparent. Je m’approche d’elle et lui fais la bise, me retenant de l’embrasser fougueusement. Elle se jette contre moi, m’enlaçant dans ses bras et s’écriant :

— Ça fait super longtemps qu’on ne s’est pas vu !

— Trop longtemps… lui murmurais-je dans l’oreille

Elle me regarda dans les yeux, le regard pétillant, avant de me resserrer contre elle. À peine quelques minutes que nous venons de nous retrouver, et je sens déjà une bosse se former au niveau de mon pantalon. Je me recule pour essayer de la cacher, bien que sûrement trop tard, et fais mine d’aller acheter les places en la prenant pas le bras.

Une fois nos places achetées, nous nous mettons dans la file d’attente et papotons de tout et de rien. Je ne peux m’empêcher de la contempler, son regard envoûtant, ses lèvres délicieuses. Un coup d’il et je devine son soutien-gorge en dentelle sous son t-shirt, j’ai déjà hâte de le lui enlever.

Nous nous installons dans la salle, un coin au calme. La salle est loin d’être comble, il faut dire que le film est sorti depuis longtemps, et ne fait pas partie de ceux qui attendent le plus de spectateurs. La lumière s’éteint, The Rock fait son apparition, et nous rigolons bien devant le grand écran. Entre deux scènes d’actions, Éli vient poser sa tête sur mon épaule et prend ma main. Nous nous caressons tendrement le bras.

Une scène d’action et ma main gauche vient glisser sur sa cuisse. Nous continuons nos caresses tout en regardant le film. Ma main remonte sur son t-shirt, et passe sur sa poitrine. L’action redescend, le héros ayant fini de cogner les quelques méchants présents.

Je sens quelques baisers dans mon cou. Sa main gauche vient prendre la mienne, et l’emmène se faufiler sous son t-shirt. Je sens sa peau si douce et chaude, les dentelles de son soutien-gorge sous mes doigts indiscrets. Bien que je regarde l’écran, j’ai beaucoup de mal à me concentrer sur le film. Ses mains me détournent du film, et mènent mes lèvres aux siennes, nous nous embrassons enfin. Nous jetons quelques regards au film entre deux baisers.

J’aventure ma main baladeuse plus bas, et essaie de la glisser sous son pantalon. Éli s’empresse de défaire le nud de sa ceinture en toile pour que ma main puisse se balader à son aise. Au toucher de mes doigts, sa culotte me semble assortie à son soutien-gorge, en dentelles elle aussi. Je ne suis définitivement pas le seul à être excité, sa culotte me le montre bien.

Elle pose sa main droite sur la bosse de mon pantalon, et la caresse doucement. Je ne peux m’empêcher de continuer, je serai même prêt à lui faire l’amour ici, dans cette salle noire, aux yeux de tous. Mes doigts aventureux passent sous sa culotte, et vont chercher leur trésor. Des caresses autour, je sens ses frissons, et ses baisers qui se font de plus en plus intenses. Mes doigts entrent en contact et trouvent son clitoris, ses jambes s’entrouvrent un peu plus. Sa main droite s’active elle aussi, me caressant plus intensément, mon excitation est à son comble. Sa respiration s’intensifie.

Soudain Éli retire ma main, le film arrive à sa fin. Elle se blottit contre moi, les yeux rivés sur l’écran, mais toujours avec une respiration intense. Je porte mes doigts à ma bouche, et les lèche pour sentir son goût. Je la vois me jeter un coup d’il discret, et avoir un petit sourire de satisfaction. Nous regardons la fin du film : les héros battre les méchants.

Les lumières se rallument, Éli remet discrètement sa ceinture puis revient se blottir contre moi. Nous attendons quelques instants, nous câlinant et nous embrassant bien installés l’un contre l’autre. Puis nous nous levons pour partir, Éli me prend la main et me regarde complice. En sortant elle me dit : "C’est un film très bon, j’ai hâte d’en voir la suite", se mordillant la lèvre. Je ne peux m’empêcher de la plaquer contre l’un des murs du couloir, et de l’y embrasser langoureusement.

— Allons boire, j’ai soif ! Me lance-t-elle ;

— Ça tombe bien, je connais un pub avec une scène ouverte ce soir.

Nous arrivons au pub, les musiciens se succèdent sur une petite scène. De la country, du rock’n’roll, du blues, tout y passe. Éli prend une bière ambrée, moi une Guinness. Nous discutons assis l’un à côté de l’autre, main dans la main. Une fois nos bières finies, nous décidons de sortir du bar. Éli me propose de me raccompagner chez moi en voiture, j’accepte volontiers.

Nous nous rendons à sa voiture en tramway, en discutant et nous dévorant mutuellement du regard. Sa voiture ressemble à une sorte de cube, jaune, pas spécialement discrète. A peine rentrés à l’intérieur, je ne peux m’empêcher de lui sauter dessus et de l’embrasser à nouveau. Mes mains s’empressent de revenir là où nous en étions. Je les glisse sous son t-shirt, elle passe les siennes sur mon torse et mon jean.

— Allons ailleurs, dans un endroit plus agréable !

— En effet, dans une ruelle sombre en plein milieu de Bordeaux, avec un groupe de jeunes à côté, ce n’est pas le meilleur endroit.

Nous tournons un peu avant de nous poser, nous nous dirigeons vers la base sous-marine. Arrivé au port de plaisance, Éli se gare. Les bateaux font un paysage plus romantique, et le bruit de fond n’est plus celui des passants, mais des mats s’entrechoquant.

Nous nous lançons une nouvelle fois, mes mains sous son t-shirt, je commence à le lui retirer. Je peux enfin voir son soutien-gorge directement. Je me jette sur ses seins, et les couvre de baisers, pendant que ses mains passent dans mes cheveux. À son tour elle m’enlève mon t-shirt et embrasse mon torse avant de revenir à mes lèvres.

Nous décidons de nous installer plus confortablement. Je rabats les sites arrières et installe une couverture. Nous glissons à l’arrière de la voiture, profitant de l’espace que nous laissent les fauteuils repliés et le coffre vide. Je la contemple assise à côté de moi, avant de l’allonger et de reprendre mes baisers. Deux doigts derrière son dos, et je dégrafe son soutien-gorge pour mieux me replonger dans ses seins. J’embrasse ses tétons, les lèche, fais tourner ma langue, puis les suce et les mordille. Je la sens bouillante contre moi. Elle reprend les choses en main en me retournant, elle se place au-dessus de moi. M’embrassant une dernière fois, il ne lui faut que quelques secondes pour retirer mon pantalon et mon caleçon, laissant mon sexe en érection à l’air libre, mais pas pour longtemps.

Les vitres de la voiture sont complètement embuées. Éli prend mon sexe entre ses mains, et ne peut se retenir plus longtemps de le lécher de tout son long. Elle me prend en bouche, petit à petit, me laissant glisser jusqu’au fond de sa gorge. Elle me suce royalement, massant mes testicules avec sa main droite, faisant de grands mouvements de haut en bas, jouant avec sa langue.

Elle me reprend au fond de sa gorge, puis remonte lentement, exerçant une forte pression avec ses lèvres, je sens un dernier coup de langue sur mon gland. Éli me regarde, mourant d’envie de se faire prendre. Je défais son nud de ceinture, lui ôte son pantalon et sa culotte. Elle s’empresse de me remettre à ma place en me rallongeant, et se plaçant au-dessus de moi. Ses mains guident mon sexe vers le sien. Je glisse lentement en elle, elle laisse échapper un long râle de plaisir. Elle s’active sur mon moi, bouge de tout son corps de fière amazone. Éli varie les rythmes et les mouvements, lâchant de petits cris de plaisirs. Je la sens perdre le contrôle, alors je la fais redescendre et l’allonge à ma place. Cette fois c’est moi qui mène la danse. Je la pénètre à nouveau, langoureusement, puis intensifie mes mouvements et augmente le rythme. Éli commence à crier de plaisir, je lâche des râles de plaisir moi aussi. Ses jambes viennent m’enlacer et accompagner mes mouvements. Je la sens finir et moi aussi, je ralentis le rythme.

— Je veux te prendre en levrette !

— Oh oui !

Je me retire, elle se positionne aussitôt à quatre pattes. Mais dans la voiture, difficile de trouver une position confortable pour moi. J’ouvre le coffre, et la tire hors de la voiture. Je l’amène face au capot, elle prend tout de suite appui dessus, m’offrant le plus beau des spectacles. Je contemple ses petites fesses et son sexe trempé, avant de revenir en elle. Cette fois je ne prends pas mon temps, et reprends aussi rapidement que tout à l’heure. Éli se met à haleter, lâche des cris de plus en plus longs. Elle se raidit d’un coup, dans un dernier cri de plaisir plus puissant que tous les autres. Je jouis à l’intérieur d’elle, mon sperme se répandant à l’intérieur de son sexe.

Je me retire. Éli reprend son souffle avant de venir m’enlacer. Nous nous serrons fort, nus, devant la voiture. Elle glisse une main sur son sexe, et recueille un peu de sperme.

— Ah mince, tu n’avais pas de préservatif !

— Dans le feu de l’action…

— Avec toi ce n’est pas grave, mais tu sais que je ne le fais sans qu’avec des partenaires très réguliers…

Elle remonte sa main, lèche ses doigts et me regarde souriante, puis m’embrasse tendrement. Nous retournons dans la voiture, et nous endormons l’un contre l’autre enroulés dans la couverture.

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