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Elise ou la soumission d'une chienne – Chapitre 1

Le routier - Chapitre 4



Il s’agit du premier chapitre d’une série en 6 épisodes. Les 5 premiers ont déjà publiés sur d’autres sites, mais la suite est inédite…

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Partie 1 .

Cela faisait longtemps qu’Elise, la femme de mon meilleur ami, fantasmait sur la soumission. Et comme mon ami n’était vraiment pas porté sur la chose, il me fit comprendre qu’il préférait que je la prenne en main plutôt qu’elle fasse une mauvaise rencontre sur le net (ou ailleurs). Après plusieurs discussions avec lui et sa ravissante épouse, nous avons convenu d’un scénario : j’étais censé la faire chanter et l’obliger à se plier à mes désirs.

Elle devait se présenter devant la porte de sa cave demain à 10 heures. Là, je prendrais les choses en mains. Persuadé qu’elle ne se viendrait pas, j’arrivais en avance au rendez-vous. A 10 heures pile, pourtant, elle descendit les escaliers. Elle me regarda, honteuse et ouvrit la porte de sa cave. Elle avait les larmes aux yeux.

Je m’approchais d’elle et fit glisser mon index sur sa joue. Elle sursauta, mais ne se déroba pas.

— C’est simple, soit vous revenez ici dans quinze minutes, soit je donne ces documents à votre mari. Je ne suis pas certain qu’il apprécie. Alors qu’est-ce que vous choisissez ?

— Qu’est-ce que vous voulez ? dit-elle en essayant de me regarder dans les yeux.

Tout en attendant sa réponse, je laissais tomber ma main au niveau de ses seins que je caressais doucement.

— Pas grand chose, répondis-je en souriant, juste que tu te montres très gentille. (Ma main serra son sein et je regardais son visage grimacer de douleur. Etait-ce la caresse ou le tutoiement ?) C’est toi qui décide…

La bosse dans mon pantalon était énorme. Je savais que si elle ne partait pas à ce moment précis, je pourrai en faire ce que je voulais. Je jouais avec son sein en la regardant dans la yeux, mais elle fixait le sol, honteuse. Je sentais son téton qui durcissait sous la pression de mes doigts. Cette salope avait du répondant et était décidée à aller jusqu’au bout. Au fond de moi, je fis un effort surhumain pour ne pas la violer sur le champ. Je savais qu’elle satisferait au moindre de mes désirs. Brusquement je la lâchais.

— Très bien. Tu vas remonter chez toi et me retrouver ici dans quinze minutes. Je veux que tu viennes ici vêtue de ta petite robe noire… Tu sais, celle que tu mets quant tu vas te faire baiser… sans soutien gorge ni culotte bien sûr. Tu as compris Elise ?

— Oui dit-elle dans un souffle.

— Oui monsieur, repris-je sèchement.

— Oui monsieur, reprit-elle doucement.

Le son de sa voix me fit bander davantage. Je la laissais s’éloigner, chancelante. A peine la porte de la cave était-elle refermée que je me déboutonnai et me masturbai comme un fou : j’allais la violer de toute part, lui baiser la bouche, l’enculer violemment et elle se laissera faire… Mon sperme s’étala sur le mur de sa cave…

Les minutes qui suivirent me semblèrent une éternité. Puis je l’entendis revenir ; elle avait chaussé des bottines. Ce simple détail me faisait déjà rebander. Je la laissais refermer la porte de la cave avant d’appuyer sur l’interrupteur. Elle semblait avoir suivi mes instructions à la lettre.

— Tu as bien obéi, on dirait… dis-je d’un air narquois.

— Avant toute chose, répondit-elle avec un semblant de dureté, que ce soit bien claire. Je vous laisse faire ce que vous voulez pendant une heure, mais à la fin je veux tout récupérer.

Je m’approchais d’elle tandis qu’elle parlait. Sa voix chavira lorsqu’elle sentit ma main se poser sur sa cuisse, relevant sa jupe au fur et à mesure que je m’approchai de sa chatte.

— Qu’est-ce que tu disais Elise, je n’ai pas bien compris petite salope…

— Je disais, fit-elle en murmurant, je disais que je voulais…

J’entrai violemment deux doigts dans sa chatte.

— Tu ne disais rien du tout ! (je faisais aller et venir les doigts dans sa mouille). A partir de maintenant, c’est moi qui dirige. Et si je te dis que je veux ta langue dans mon cul, t’as intérêt à obéir et me la fourrer dans l’anus. C’est compris ?

— … (elle avala sa salive tandis que je titillai son clito) Oui…

— Oui qui ?

— Oui monsieur …

Je la fixai dans les yeux comme mes doigts s’enfonçaient dans sa moiteur.

Brusquement, je sortis ma main de sa chatte et portais les doigts humides à mon nez en la fixant. Mon sourire se fit éclatant lorsque je la vis toute gênée.

Je glissais mon doigt humide sous son nez.

— Qu’est-ce que ça sent, Elise ?

— Je… je ne sais pas, monsieur…

— Ca sent la petite chienne en chaleur… Comme si tu ne le savais pas (elle baissait les yeux encore plus) ! Nettoie mon doigt avec ta langue.

Elle s’exécuta. J’enfonçais lentement mon doigt dans sa bouche en la fixant dans les yeux. Je savourais son humiliation et les petits bruits qu’elle faisait avec ses lèvres en me léchant.

— Tu sais, je crois qu’on pourrait foutre autre chose dans une si belle petite bouche, non ?

J’attendais quelques instants avant de reprendre :

— A ton avis, qu’est-ce qu’on pourrait mettre dans ta bouche ?

Elle restait interdite.

— Je vais y mettre beaucoup de choses ma petite salope. Mais pour l’instant, embrasse moi…

Elle hésita une seconde.

— Tu n’as pas compris ce que je t’ai demandé, fis je en lui caressant de nouveau un sein. Je veux que tu me roules une pelle comme une belle petite salope que tu es.

J’attendis quelques instants avant de lui pincer le mamelon. Elle s’approcha de moi. Mon regard se fit plus dur. Je la vis entrouvrir la bouche et coller ses lèvres aux miennes ; Timidement, sa langue s’enfonça dans ma bouche tandis que je repassai une main sous sa jupe. Je la pris par les fesses, serrant son cul, et la tirai vers moi, lui arrachant un gémissement. Puis j’enfonçai un doigt dans sa chatte humide tout en glissant ma langue dans sa bouche.

— Je vous en prie… dit-elle en essayant de se dégager.

— Suce moi, lui dis je sèchement. Tu entends ! A genoux et lèche moi la bite !…

J’aimais lui parler vulgairement ; L’espace d’un instant, elle hésita puis s’agenouilla devant moi. Elle porta les mains à mon pantalon, mais je l’interrompis…

— Non, baisse la braguette avec ta bouche…

Les larmes aux yeux, je la vis frotter sa bouche contre mon pantalon, à la recherche de la braguette. Je contractais mon membre pour qu’elle sente bien ma bite en érection. N’en pouvant plus, je la pris par les cheveux, descendant ma braguette de l’autre main.

Je réussis à me contrôler : je voulais qu’elle s’humilie.

— Lèche moi Elise.

Elle s’approcha de ma bite, entrouvrit la bouche et lécha le bout de mon sexe. Je ressentis comme une vibration électrique. Je la voyais glisser sa langue le long de ma bite, laissant des traces de salive tout du long.

— Dis moi Elise, fis-je comme elle continuait de me nettoyer. Tu aimes le sperme ?

Elle baissa les yeux.

— Je ne crois pas t’avoir dit de t’arrêter.

La seconde d’après, sa langue était de nouveau sur moi. Je la repris par les cheveux et, de l’autre main, me guidait dans sa bouche.

— Ma petite salope, je vais te faire goûter le sperme marocain. Tu vas voir, il a du goût.

Je commençai à m’enfoncer dans sa bouche. Elle gémissait de douleur, mais sa langue continuait à s’enrouler autour de ma bite. Je la laissai continuer encore quelques instants puis je me retirai de sa bouche, la bite luisante. En souriant, je promenai mon sexe sur son visage, laissant des traînées blanchâtres sur ses lèvres, ses joues son nez.

— Tu dois drôlement sentir la bite maintenant petite salope…

Elle gardait les yeux baissés. Je m’approchais de son visage et le reniflais en souriant.

— Ouais ! tu sens la bite… Ouvre un peu ta petite bouche Elise.

Elle obéit immédiatement. En la regardant durement, je m’enfonçai jusqu’à la garde. Son nez touchait les poils de mon pubis. Elle hoqueta mais je la maintins un moment ainsi. Lorsque je la repoussai, elle s’effondra sur le sol.

— Debout petit pute.

Elle pleurait, sans bouger.

— Mets toi à quatre pattes, que je vois un peu ton gros cul de salope.

Une fois encore, elle obéit. Je m’agenouillai derrière elle, glissant une main dans sa chatte trempée.

— Tu mouilles ?

Elle ne répondit rien. Ma main continuait à lui masser la chatte, s’arrêtant juste avant son clitoris, la faisant soupirer bruyamment.

— De quoi as tu envie maintenant ?

Elle murmura quelque chose qui me fit durcir la bite.

— Plus fort, je n’ai rien entendu…

— Prends-moi…

— Tu as oublié que tu dois me vouvoyer petite salope ? fis je en retirant mes doigts.

— Prenez-moi, reprit elle immédiatement. Prenez moi Monsieur…

Je me redressai, la laissant à quatre pattes. Je la pris sèchement par les cheveux et m’enfonçait dans sa bouche. Comme je le devinais, elle était maintenant bien chaude. Elle enroulait sa langue autour de mon sexe, laissant une bave chaude couler sur mes couilles. En une seconde, elle glissa son menton sous moi et laissa sa langue ramasser la salive. Au bout d’un moment, je décidai d’en finir. Je posai ma main sur son front pour bien la tenir et je commençais à me branler dans sa bouche. Immédiatement, je lui lâchai une première giclée dans la gueule, le reste sur son joli visage. La crème s’écrasait violemment sur elle. Je la laissai à genoux devant moi, les lèvres tuméfiés.

— C’est parfait petite pute. Demain même heure, même endroit… Et cette fois, si tu me supplies bien, je te défoncerai la chatte…

Elle me lança un regard chargé de désir. C’était décidé, demain je la mettrai à genoux. J’allais en faire la plus parfaite des salopes. M’accroupissant près d’elle, je saisis un pan de sa robe pour essuyer mon sperme et l’étaler sur son visage.

— Tu es vraiment une belle petite salope. Je crois que tu as besoin d’être dressée.

— Oui Monsieur, me répondit-elle en souriant doucement.

— Ton mari ignore la chance qu’il a. Je vais te dresser. A demain.

J’allais lui préparer une petite surprise qu’elle ne serait pas prête d’oublier…

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