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Elle avait 17 ans – Chapitre 4

Elle avait 17 ans - Chapitre 4



Je n’était pas sûre, mais ma petite culottes se noyait de mouille. Mon papy avait tellement aimé me baiser qu’il cherche d’autre jeune fille me ressemblant parce qu’il a peur des conséquences ? C’est .. bien ce que n’importe qui comprendrait ? Fixant mon grand père je m’approchait de lui, déposa mes mains sur son torse pour les remonter lentement jusqu’à ses épaules, puis sa nuque ou je nouais mes doigts.

" Papy.. Bien où pas bien, toi et moi on s’en fout ! Tu as aimé, j’ai aimé. L’essentiel est là, non ? "

" Ines, je .. je ne peux pas continuer, c’est mal, immorale, tu peux comprendre ça non ? Comment vais je oser regarder ton père en face, mon fils ? "

Relâchant l’étreinte de mes mains, je reculais d’un pas en le regardant.

" Bien. Soit. "

Je lui tournais le dos pour aller m’installer sur le canapé sur salon en posant mes pieds sur le bord du sièges, les jambes écartées. Je remontais ma jupe, montrant à mon grand père l’auréole humide de ma culotte que je pousse sur le côté pour dévoiler ma fente trempée. Papy me regarda d’un air à la fois frustré et fâché.

" Qu’est-ce que tu fais !? "

" Tu ne veux plus me baiser alors je m’amuse toute seule ! Tant pis ! "

Il ouvre la bouche voulant protester, mais j’enfonçais directement un doigts dans ma chatte, ce qui le fît taire. Ressortant mon index, je le menait à ma bouche et le suçotait avant de le replonger dans mes entrailles en poussant un gémissement de plaisir. Je le fixais, insolente, provocante en passant ma langue sur les lèvres. Joignant le majeur à l’index, je me baisais en m’asticotant le clitoris du pouce. Je gémissais, mon corps se tortillant.

" Mhh, c’est trop bon.. J’aime ça. "

Papy est en sueur hypnotisé par mes gestes, mes soupires, mes râles de plaisir. Dans son pantalon, une bosse se forme. Je le voit se mordre la lèvre, je vois sur les traits de son visage le diable se battre avec l’ange. Repliant mes jambes, je me glisse face au siège, me cambre tête contre le confort de l’appuie et le cul en l’air. Je passais ma main entre les cuisse pour reprendre ma baise solitaire, mais cette fois, je remontais jusqu’à mon anus serré. Je l’enduisais de mouille avant de le percer de mes doigts.

" J’ai tant aimé que tu m’encule, papy. C’était si bon, si fort, ta bite au fond de moi ! "

Et je m’enculais de mon index, l’autre main m’aidais à m’agripper sur le canapé. Comme ça, je ne le voyais pas c’est vrai, mais j’étais certaine qu’il craquerait en voyant mon cul ! Et j’avais raison !

" Petite pute ! "

Lâcha t-il alors que j’entendais la boucle de sa ceinture se défaire, la fermeture éclair de son pantalon, descendre. Le fait qu’il me traite de pute à eu un effet .. Excitant. Oh oui, cela m’a plus !

" Baise moi, papy. Vient enculer la pute que je suis ! "

J’ai senti ses mains sur mes fesses, me masser, me serrer la peau à en faire mal, mais je ne me plaignais pas ! Il avait craqué, il allait me sauter ! Il me gifla les fesses avant de m’écarter la main et de se pencher pour me lécher le trou serré. Dieu que c’est bon, cette langue lubrifiant l’anus. Il le perce, me lèche l’intérieur en passant une main entre mes cuisses pour me foutre un doigts dans la chatte. Je gémissais davantage, souffle plus fort. Mes pupilles se révulsant de plaisir. Au bout d’un moment, il se redressa et pressa son gland contre mon fion qu’il perça sans résistance de ma part. Oh sa bite qui m’enfila profondément me faisant pousser un cri douloureux. Mes doigts se crispant sur le canapé. Papy ne prenait pas compte de ma plainte et commença à m’enculer comme un sauvage. Je l’avait rendu fou et j’aimais ça. Sa pine me limant fortement, bientôt je retrouvais le plaisir. Je me mise à gémir, à crier le pied que je prenais.

" Oui, papy, oui. Elle est si bonne ta queue ! "

Mon papy me répondait par des râles, des grognements. je sentais ses couilles taper sur mon clitoris, je sentais sa queue me remplir, me labourait. J’en devenais folle tant c’était bon ! J’en jouissais, la mouille coulant le long de mes cuisses. Papy, lui continuait devenant de plus en plus brut, sauvage, ses ongles s’enfonçant dans la chaire de mes fesses. Au bout d’un moment, il retira sa queue et me zébra les fesses de spermes chaud tandis que je poussais un dernier soupir de plaisir.

Papy posa son front contre mon dos, me caressa les cuisses.

" Je ne veux plus jamais te revoir, Ines.. plus jamais ! "

Pourquoi ? Pourquoi me disait il ça ? Il est hors de question que cela se passe comme ça !

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