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Emma et les chiens, elle réalise son fantasme – Chapitre 5

Emma et les chiens, elle réalise son fantasme - Chapitre 5



Moi, Eric, 60 ans, blanc. Elle, Emma, 20 ans, black.

A peine quarante-huit heures qu’elle a quitté son grand-père pour me rejoindre le temps de ses vacances, et on s’est déjà fait plusieurs plans baise de folie. Il est vingt-et-une heures, et on rejoint Stéphanie et tous ses chiens de traineaux.

On est devant le chenil, à poil, et Steph revient avec un chien. La veille on avait commencé par sucer chacun un chien, mais là on va sucer le même à tour de rôle. Chacun pompe environ une minute, le temps de recevoir une bonne giclée de foutre et de l’avaler. Pendant ce temps les deux autres mâtent, commentent en parlant de lui (ou elle) à la troisième personne, avec des mots orduriers et des injures. Ca dure un quart d’heure et on boit cinq ou six doses chacun.

Le chien est vidé et la patronne en emmène trois autres. On se met à quatre pattes et on se fait prendre, moi par le fion, elles par la chatte. Les chiens sont très bien dressés, très bien montés, ils sont habitués à ce sport avec leur chienne de maitresse, et ils savent ce qu’ils ont à faire.

Au début, Emma, ma petite salope black, voulait juste sucer un chien. Et puis on a eu cette opportunité, et tout naturellement on s’est offert comme des femelles en chaleur. Mon amant me bourre le cul sans ménagement, sa grosse boule envahit mon tube et je sais qu’il va rester tant qu’il n’aura pas débandé. Il se vide les couilles, avec des éjaculations sans cesse répétées, et je prends mon pied à me faire remplir de sa grosse queue et de son sperme abondant. Je gémis comme la bonne salope que je suis et, à entendre mes copines de jeu, je sais qu’elles s’envoient en l’air elles aussi. Nos baiseurs sont épuisés, ils regagnent leurs niches tandis que notre hôtesse appelle un autre chien qui vient tout seul, rien qu’à la voix.

Je suis toujours à quatre pattes et il me monte sans perdre une seconde. Quelques coups à côté de la cible puis il me la plante en plein dans le mille. Mes deux copines sont debout devant mois, dans les bras l’une de l’autre, et me regardent me faire mettre en même temps qu’elles s’exhibent à moi. Elles se caressent la chatte, récupère un peu de semence, se sucent les doigts, ou se badigeonnent les seins, se les lèchent, se roulent des pelles. Je bande comme âne, doublement excité par le spectacle et la bonne sodomie dont je suis l’heureux bénéficiaire.

Le chien a terminé son affaire et me libère pour aller se coucher. Je me tiens une trique d’enfer et je me branle pour me soulager les couilles. Elles s’agenouillent devant moi, et s’embrassent à pleines bouches. Les salopes, elles ont envie de mon jus en pleine gueule. Je m’astique le manche de toutes mes forces, et jouis rapidement, plusieurs fois, en bonnes quantités. Elles se lèchent la poire, se font des patins voraces, dévorent tout.

Stéphanie va chercher trois autres chiens, et on se remet en position. Ils nous montent comme les précédents, moi par le cul et elles par la chatte. On se fait matraquer durant de longues minutes, et mon trou d’enculé mouille autant que leurs putains de chounes. Il est bien membré mon copain à quatre pattes, mieux que les autres; c’est vrai que Stéphanie les appellent dans l’ordre de grosseur de leurs bites qu’elle connait par cur, et qu’il nous reste le meilleur à venir.

Une fois encore les chiens ont accompli leur boulot de leur mieux, on est ravi de leurs performances, et ils se retirent. Steph et Emma s’assoient sur un banc et se font lécher chacune par son amant, comme pour les remercier de les avoir si bien baisées. Mon chien s’en va, et la patronne en appelle deux autres et donne un ordre.

Aussitôt l’un des deux chiens monte sur l’autre qui se laisse faire. Je suis excité de les voir faire, et m’installe pour passer ma tête sous le ventre de celui qui se fait enfiler. Je prends sa bite dans ma bouche et je le pompe avec la ferme intention de le traire jusqu’à la dernière goutte. Il bande à mort ce salaud, il doit aimer se faire enculer autant que moi; c’est vrai que c’est bon une belle bite de chien dans le cul. Il décharge de nombreuses fois et je me délecte de son foutre chaud et savoureux. Je lui ai vidé les couilles et apparemment celui qui le monte a aussi vidé les siennes. Il se dégage et s’en va.

Pendant ce temps les filles continuent de se faire brouter le minou. Les chiens ont bouffé tout leur sperme et se goinfre maintenant de la mouille de ces salopes qui dégoulinent non stop. Je me suis relevé, la queue bien dressée, et le chien que je viens de sucer me lèche le gland. Je le laisse faire et apprécie sa grosse langue râpeuse et baveuse. Stéphanie s’adresse à moi:

— Encule le.

— Tu es folle, je ne peux pas!

— Mais oui tu peux, tu es un vieux salopard qui peux tout faire. Encule le, il n’attend que ça, c’est le plus pédé de tous mes chiens, il se fait monter par tous.

Ma tête hésite encore, mais ma queue me dit d’y aller. Je lui fait faire un demi tour et cherche son trou avec mes doigts. Je le trouve rapidement, tellement il est encore ouvert du passage de son copain. Je retire mes doigts pour enfourner ma queue. Oh putain! Le pied! Je m’enfonce entièrement dans son cul et mon gland beigne dans la sauce bien chaude que lui a offert son pote. Je le lime, le ramone, et il ne bouge pas, signe qu’il apprécie mes coups de queue. Les filles se font toujours lécher mais ne ratent rien du spectacle. Elles m’encouragent à bien défoncer mon partenaire, à lui donner autant de plaisir que lui en donnent tous les autres chiens. Je m’efforce de les satisfaire, de le satisfaire, et après une longue chevauchée je finis par tout lâcher, de bonnes giclées qui le remplissent.

Je me retire et m’agenouille pour lui bouffer le cul, l’aspirer pour avaler mon sperme et celui du chien qui m’a précédé. Les filles sont sidérées du spectacle que je leur offre, mais surtout très excitées. Elles commentent vulgairement et me traitent des pires mots, sachant que j’aime ça. Je l’ai bien nettoyé, je me relève, il s’en va ainsi que les deux autres chiens.

Steph ramène encore trois chien. Rien de nouveau, on se fait baiser, bien baiser. J’ai compté les chiens, on en est à treize, et il en reste encore six, de quoi me faire sauter encore deux fois, du moins c’est ce que je pensais.

Les chiens s’en vont et trois autres les remplacent. On se fait monter une nouvelle fois, moi par le cul, normal, mais elles aussi ces putes, elles se font enculer. On jouis tous les trois, on gueule, on encourage nos montures à nous défoncer. Ils nous matraquent du feu de dieu, se vidangent à fonds dans nos vides couilles, débandent et s’en vont. On s’installe en triangle pour un 69 à trois, et on se bouffe le cul en même temps que l’on se masturbe; je m’occupe de ma petite noire, elle de la patronne, et celle-ci de moi. On a le conduit anal tout propre, elles ont la chatte qui dégouline et je bande. On se relève et on va profiter des trois derniers chiens.

Les voilà avec nous, mais il n’y a que deux mâles, le troisième est une troisième et sa patronne a sa petite idée:

— Baise la cette salope, elle est en chaleur.

— Tu plaisantes, je ne sais même pas à quoi ressemble son sexe.

— Un trou à bites, comme pour les femmes. Tu n’es pas plus con qu’un chien, tu tapes et ça va finir par entrer.

— Facile à dire! Viens m’aider si tu veux que je la féconde.

— Ok, ça t’excite salaud!

Elle nous rejoint, s’empare de ma queue d’une main, et du bas ventre de la chienne de l’autre. Elle fait tourner ses chairs chaudes et mouillées autour de mon gland, et je sens sa fente s’ouvrir de plus en plus jusqu’à gober mon gland tout entier:

— Vas-y, pousse, elle ne demande que ça cette putain.

Je m’introduis à fonds, je plaque mes mains sur ses hanches pour la tenir contre moi, et je la lime avec un plaisir inouï. Pour être en chaleur sûr qu’elle l’est, et j’ai mon sexe en surchauffe. Heureusement elle mouille tout ce qu’elle peut, et je peux coulisser sans risque de m’abîmer la queue.

Les filles ne perdent pas de temps et se font baiser la chatte pour la quatrième fois. Ils les remplissent de giclées de foutre répétées, puis se retirent. Elles restent à quatre pattes et se laissent lécher par ces chiens friands de sperme et de mouille. Je décharge à mon tour, me dégage, et Stéphanie me demande de nettoyer la chienne. Je m’exécute sans hésiter. Sa chatte ressemble à un énorme berlingot que je gobe goulument et que je suce délicatement pour le faire fondre dans ma bouche. Hum quel délice! Je récupère toute ma semence, mais surtout le jus de cette femelle qui n’en finit pas de jouir sous les assauts de ma langue qui la pénètre.

Les filles mouillent à flots elles aussi, mais ça ne leur coupe pas la parole:

— Oui, c’est bon de se faire lécher par mes chiens Emma, mais le plus chien de tous je crois que c’est ton putain de vieux. Entends le se goinfrer ce porc, regarde comme il se régale.

— Et ta chienne aussi doit se régaler, il lèche trop bien mon faux papy cochon; dommage qu’il ne le soit pas en vrai, et qu’il n’ait pas un longue et grosse langue comme tes chiens. Oh que c’est bon se faire bouffer par tes chiens, j’ai la chatte qui pisse de la mouille et le clito bandé comme une bite.

— Moi aussi petite salope, on est des chiennes pour des chiens, et ton papy est un chien pour ma chienne.

Je continue à fouiller et pomper la vulve de ma maîtresse, aussi longtemps que mes copines se font brouter par leurs amants. Elles se relèvent, j’en fait autant, Stéphanie remmène les chiens et revient avec le dix-neuvième mâle, le dernier.

Le fantasme initial de ma fausse petite fille était de sucer un chien, et elle va pouvoir conclure en le réalisant une fois encore. On la laisse s’occuper de la grosse queue du clebs, lui dégorger le poireau à sa guise.

Pour ce qui est de notre hôtesse, elle est encore excitée de la séance précédente, et s’installe sur un banc, cuisses largement écartées, sa chatte ouverte et mouillée totalement offerte. Elle m’invite à m’agenouiller entre ses jambes pour lui montrer ce que je vaux. Je plonge ma gueule dans son huître alléchante et je donne du meilleur de moi. Elle est trempe de plein de liqueurs, des restes de sperme de chien, de la bave de chien, et bien sûr de son jus de femelle jouissante. Je plaque mes lèvres contre les siennes et lui prodigue le meilleur cunnilingus qu’aucun humain ne lui ait offert, homme ou femme. Elle s’abandonne, s’offre, et je m’abreuve à sa source inaltérable. Je m’y abreuve d’autant plus qu’elle se met à pisser et que je reste soudé à elle pour tout boire.

Durant ce temps ma petite black se désaltère au biberon de son chien qu’elle tête à fonds, gorgée après gorgée. Elle lui a tout pris, lui a siphonné les couilles, et le laisse, satisfaite de cette pite super juteuse. Stéphanie lui demande de nous rejoindre et de lui pisser sur le ventre, le bas ventre. Elle le fait et j’ai une nouvelle liqueur à engloutir, aussi savoureuse que les autres. Stéphanie me saisit par les cheveux, me repousse, et elles pissent toutes les deux dans ma gueule grande ouverte. Ouverte, leur chatte aussi le sont, et je n’ai d’yeux que pour celle de ma black, de sa vulve noire, de son vagin rose, et de son urine dorée. Je suis fasciné, mais ne suis pas le seul; notre partenaire l’est tout autant:

— Oh putain, que tu es belle ma chérie. Qu’est-ce que tu fous avec ce salopard d’enculé, tu ne veux pas rester avec moi, je ferais tout ce que tu veux?

— Non, merci, j’aime bien les femmes mais je préfère les hommes avec de grosses queues bien juteuses.

— Mais tu auras toutes les queues que tu veux avec mes chiens!

— Je sais, mais tes chiens ils ne parlent pas, ils n’ordonnent pas. Mon papy il a des plans obscènes, il me traite comme la dernière des trainées, et j’aime ça.

— Je comprends mais j’espère que tu en fais autant pour lui. C’est une grosse salope ton chien de papy, comme tu dis, et tu peux tout lui demander, ne t’en prive pas.

— Je sais, et encore plus salope que tu ne l’imagines. C’est pour cela que je veux rester avec lui.

Tout en discutant elles ont vidé leurs vessies et j’ai bu tout ce que j’ai pu. Je me lève et c’est à mon tour d’uriner. Elles n’attendaient que ça ces putes et elles s’agenouillent devant ma grosse bite molle, joue contre joue, bouche ouverte. Je me soulage longuement, d’un jet retenu pour prolonger ma vidange, et elles engloutissent tout, se roulent des pelles salaces.

La séance est fini et on se prépare pour partir.

A suivre…………………………….

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