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Emma à tout prix. – Chapitre 5

Emma à tout prix. - Chapitre 5



EMMA :

Il est 20h00 lorsque j’entends maman m’appeler pour venir dîner. D’ordinaire je déteste cette façon qu’elle a de simplement crier depuis la cuisine, un étage plus bas, au lieu de se déplacer et de simplement venir frapper à ma porte. J’ai toujours trouvé ça malpoli, mais… mais étant donné qu’en ce moment je passe la moitié de mon temps dans ma chambre, nue et à me masturber je dois avouer que cela m’arrange pas mal. Non pas qu’il ait un quelconque risque de me faire surprendre dans le cas contraire avec ma commode en travers de la porte empêchant toute intrusion inattendue. Mais bon, mieux vaut prévenir que guérir…

Le ridicule de cette réflexion me fait immédiatement sourire, que pourrait-il bien arriver de toute façon ? Pour une jeune fille "normale" être prise en flagrant délit par sa mère en pleine séance de plaisir solitaire doit certainement faire partie des moments les plus gênant possibles, mais être surprise la main dans ma culotte, regardant une vidéo de ma propre mère en train de s’envoyer en l’air avec une autre femme tout en déclarant vouloir coucher avec moi et ma sur…

Le dépucelage de Cindy par la psy et sa secrétaire était incroyablement torride (quoique somme toute assez court), mais ce que Katherine fait à maman dans cette vidéo surpasse tout mes fantasmes les plus délurés. L’angle est toujours le même bien sûr vu que la caméra à l’air d’être posée sur le bureau donc je ne vois pas tout en détail, mais j’en vois et j’en entends tout de même assez pour me passer le film en boucle depuis déjà deux jours à la moindre occasion. Avant d’aller à la douche, en sortant de la douche, le soir dans mon lit avant de dormir et le matin en me levant. Hier soir j’ai même fait sonner mon réveil à 3h00 pour aller le regarder sur le grand écran de la télé du salon.

Cindy serait sûrement la première à me sermonner en sachant que je passe mon temps à me faire jouir en regardant une vidéo alors que la chambre de ma mère est juste à côté…

Seulement j’ai beau savoir qu’elle en a autant envie que moi je n’arrive pas à me lancer. Lorsque je suis toute seule dans ma chambre, jambes écartées et les doigts profondément enfoncés dans mon vagin je suis comme une bête en chaleur, mais une fois l’orgasme passé et face à ma mère je deviens rouge comme une tomate sans pouvoir articuler deux mots correctement. D’ailleurs il va falloir que je réussisse à surmonter ce petit problème d’élocution ou alors totalement cesser de parler à maman de peur qu’elle ne commence à me prendre pour une véritable attardée…

Deuxième appel. J’éteins la télé et j’enfile un jogging sans prendre la peine de remettre ma culotte avant de descendre les marches de l’escalier quatre à quatre. Maman est déjà à table en train de servir l’entrée. Je m’installe à mon tour en face d’elle lorsque d’un air un peu soucieux elle me demande si tout va bien.

Heu je… oui ça va bien, pourquoi cette question ? répliqué-je aussitôt, un peu prise de court par la soudaineté de la question.

Eh bien… commence-t-elle comme si elle cherchait ses mots, eh bien tu ne sors plus beaucoup ces derniers temps, tu es constamment enfermée dans ta chambre. Il s’est passé quelque chose avec Cindy ?

Cin… Cindy ? Non, non pas du tout, qu’est-ce qui te fait croire qu…

Cela fait plusieurs jours qu’elle n’est pas passée à la maison, alors je me demandais…

Zut ! Moi qui pensais manger tranquillement, voilà qu’elle met subitement Cindy sur le tapis. Cette conversation commence à me mettre mal à l’aise, je déteste mentir en règle générale, mais il est aussi hors de question de lui dire que si Cindy se fait rare ces temps-ci, c’est parce qu’elle passe son temps à se faire sauter par cette Katherine et sa secrétaire. La secrétaire que je soupçonne fortement d’être une sorte de dominatrice ou un truc comme ça soit dit en passant…

Oh non du tout ! Cindy est… heu… elle est malade il me semble, c’est tout.

Eh bien, me voici soulagée, me répond-elle d’un drôle d’air, j’avais peur que vous ne vous soyez disputés, pour un garçon ou truc comme ça…

Pour un garçon ?! Aucun risque de ce côté la ! rétorqué-je en rigolant presque.

Gros silence. Maman me regarde un sourcil levé comme en essayant de savoir où je voulais en venir, s’il y avait quelque chose à comprendre. Il faut dire que sa réplique sur les garçons m’a une fois de plus tellement prise au dépourvue que c’est sorti tout seul. Décidément je suis vraiment la dernière des idiotes !!

Je heu… je veux dire que heu… je n’ai pas de copain voyons. Aucun risque donc de heu… de me disputer avec Cindy pour ce genre de choses. m’empressé-je de dire dans l’espoir de me rattraper aux branches.

Ne sois pas aussi gênée mon cur, me répond-elle d’un doux sourire, les garçons c’est de votre âge de toute façon.

Il me semble qu’elle appuie bizarrement le mot "garçon" mais ayant très envie de changer de sujet je ne réponds pas et me concentre sur mon assiette. Après ça elle commence à me rappeler que nous avons été invitées la semaine prochaine à un anniversaire de je ne sais plus quel cousin que nous ne voyons jamais. J’essaye de l’écouter lorsqu’elle parle, mais la seule chose que j’ai en tête c’est la façon dont elle jouit en criant mon nom alors même que le visage de la psy est fourré entres ses cuisses. Je mouille. Je mouille et j’ai une soudaine et pressante envie d’évacuer toute cette pression.

Alors, d’un bond je me lève et avec une brusquerie certainement due au fait que j’ai du mal à penser, je lui dis que me fous totalement de cet anniversaire et je me précipite dans ma chambre comme une furie en la plantant là. Finalement, une fois la porte fermée derrière moi, j’ai tellement honte de mon comportement que je n’ai même plus envie de m’occuper de ma "petite envie" Je passe le reste de la soirée à essayer de me changer les idées en bouquinant et en écoutant de la musique.

Il est un peu plus de minuit lorsque mon ventre me fait comprendre que j’aurais dû un peu plus manger avant de quitter la table. Aussi, je descends pour une petite collation lorsque, passant devant le salon, j’aperçois maman, couchée dans le canapé devant un film. Je reste quelques secondes à réfléchir, puis sans réellement savoir ce que je suis en train de faire, je me précipite dans ma chambre de nouveau, puis me mets à chercher dans ma commode ce que j’ai de plus "sexy". Bon, ça ne casse pas des briques, mais je finis par porter mon choix sur une culotte rouge floquée de petits coeurs. Je change également de haut pour un T-shirt un peu plus moulant et c’est dans cette tenue que je retourne d’un pas décidé en direction du salon.

JEANNE :

Le film vient à peine de commencer et pourtant j’hésite, songeant déjà à rejoindre mon lit douillet… Ça m’arrive souvent de regarder la télévision tard le soir jusqu’à m’endormir devant, le plus souvent en savourant un bon verre de vin ou en m’empiffrant d’un pot entier Häagen-Dazs. Mais, je suis bien trop excité ce soir pour me concentrer sur un film, même un chouïa. J’ai envie de m’enfermer dans ma chambre, de me mettre nue et de…

Qu’est-ce que tu regardes ?

La voix pourtant douce me fait sursauter et pousser un petit cri ridicule ! C’est Emma.

Désolée, fait-elle en riant, je ne voulais pas te faire peur. Tu me fais une petite place ? me demande- t-elle avec un grand sourire.

Qu’est-ce que je regarde ? heu… je… je ne sais pas trop ça vient tout juste de commencer, mais bien sûr installe-toi ma puce. dis-je sous le coup de la surprise.

Merci.

Uniquement vêtu d’une paire de chaussette, d’un T-shirt moulant et d’une petite culotte commençante à devenir quelque peu étroite pour ses formes démentielles, Emma vient me rejoindre sur le canapé. C’est fou, le moindre de ses mouvements est teinté d’une grâce et d’une sensualité incroyable. J’arrête presque de respirer lorsqu’elle se blottit tendrement contre moi en m’enlaçant de ses bras, sa tête appuyée contre mon épaule.

Alors ? C’est quoi comme film ? me redemande-telle.

Heu… Sex Crimes je crois, tu connais ?

Non, jamais vu, mais avec un nom pareil t’es sûr que c’est un film convenable pour une jeune fille ? me lance-t-elle d’un air espiègle.

Je te donne une permission exceptionnelle et si jamais je vois quelque chose susceptible de te choquer je mettrai ma main devant tes yeux, ne t’inquiète pas.

Nous rions de concert comme deux gamines. Ça fait du bien de l’entendre rire, cela faisait longtemps que nous n’avions pas passé un peu de temps ensemble. Et alors que je me penche pour lui donner un baiser tout ce qu’il y a de plus innocent sur le front, elle lève elle aussi la tête et mes lèvres rencontrent les siennes dans un bisous, un ridicule petit bisou de rien du tout qui la fait pourtant rougir immédiatement.

Oups, désolée mon petit coeur.

Non c’est rien, c’est… c’est de ma faute. me répond-elle en détournant les yeux.

Quant à mes yeux à moi ils ne se détournent pas, bien au contraire ils restent fixés sur ses lèvres pulpeuses et désirables. J’ai une telle envie de l’embrasser à nouveau que je ne sais pas si je pourrai tenir très longtemps… Même si c’est de son autre paire de lèvre dont je rêve secrètement depuis tant de nuit maintenant. Bref, elle se blottit de plus belle contre moi et nous regardons le film en silence. Sous ma nuisette en dentelle je me sens devenir de plus en plus humide et au fur à mesure que le temps passe. Je suis tellement obnubiler par Emma que je regarde l’écran, l’air absente sans vraiment enregistrer ce qui s’y déroule, mon esprit uniquement occupé à trouver un moyen pas trop brutal de passer à la vitesse supérieur…

C’est alors que la solution m’apparaît devant les yeux, tel un coup de pouce orchestré par quelque ange gardiens pervers désirant me voir conclure à tout prix. N’ayant absolument pas suivie le film je suis complètement incapable de comprendre le pourquoi du comment, mais lors d’un passage qui s’annonçait somme toute banal, les deux héroïnes se retrouvent subitement toutes les deux dans une piscine et se mettent à s’embrasser langoureusement dans ce qui semble être une torride scène lesbienne. L’occasion est trop belle :

Est-ce que je dois te mettre la main devant les yeux mon coeur ? lui dis-je, amusé.

Pas de réponse, Emma a les yeux rivé sur l’écran, bouche grande ouverte.

Emma ? Allô Emma, ici la terre !

Hein heu… quoi ? Me couvrir les… ah… heu non c’est bon, je… je suis plus une gamine.

Si tu le dis, réponds-je d’un petit sourire.

Je cherche comment mettre le sujet sur le tapis de façon subtile lorsque se manifeste encore un autre coup de pouce du destin… Mon coeur est sur le point de sortir de ma poitrine lorsque l’une des deux filles à l’écran commence à retirer le maillot de bain se l’autre dévoilant ainsi une magnifique et opulente poitrine et se met à lui sucer et lécher sensuellement les seins. Oh et puis merde, au diable la subtilité, c’est juste ce qu’il me fallait.

Elle a vraiment des seins magnifiques tu ne trouves pas ? dis-je du même ton neutre que si j’avais demandé l’heure.

heu je sais pas trop je heu… oui c’est vrai qu’ils sont heu… assez gros.

Cependant, je me demande laquelle a les plus beaux seins, elle… ou toi ?

Maman, sois sérieuse deux minutes, me rétorque-t-elle du tac au tac, voyons… comment peux-tu me compa…

Mais la fin de sa phrase se meure dans sa gorge lorsque je remonte son t-shirt lui dévoilant comme dans le film sa généreuse poitrine d’une taille indécente pour une fille de son âge. Je palpe son énorme paire seins de mes deux mains, ils sont fermes et impeccablement ronds, surmontés de magnifiques mamelons bien rose se terminant par de jolis tétons pointant fièrement vers le ciel..

Ne soit pas sir dur avec toi-même mon coeur, ta poitrine est splendide. C’est comme qui dirait de famille tu sais. dis-je d’un ton maternel, tout en continuant de lui malaxer les seins avec tendresse, mais fermeté.

Eh bien je, heu… me… merci…

Elle n’est plus rouge elle est écarlate, cramoisi même. Je sens qu’elle est sur le point de rajouter quelque chose, mais la sensation de ces gros nichons bien fermes dans le creux de ma main me donne le culot nécessaire pour aller plus loin, aussi, je ne lui laisse pas le temps d’émettre une quelconque réserve et lui demande si on lui a déjà léché les seins, comme dans le film. Encore une fois, sachant pertinemment ce qu’il en est, je n’attends même pas sa réponse et passe délicatement le bout de ma langue sur un de ses tétons, passant très vite au mamelon sur lequel je décris de petits cercles. Sa peau est sucré, douce, délicieuse et parfaite… Sa peau m’enivre, sa peau me fait mouiller. Je suce, je lèche, je mordille, je goûte et je savoure le sein de ma fille avant de passer au suivant, qui subit le même sort.

Je l’entends perceptiblement gémir et respirer bruyamment. Je la sens se tortiller sur place sous l’action de ma langue et de ma bouche. Elle se laisse faire, comme paralysé.

Je me redresse et j’attire alors son visage vers le mien, frottant mon nez contre le siens quelques secondes, puis mes lèvres rencontrent enfin les siennes et j’envahis sa bouche de ma langue. Elle répond presque immédiatement de la même façon, sa langue fusionnant avec la mienne avec une passion que je n’aurais pas soupçonnée.

Son corps encore raide il y a quelques instants devient subitement flasque et malléable, il rend les armes et abandonne. Il est à moi désormais.

Je savoure la moindre milliseconde de ce premier baiser avec ma fille tout en cherchant quels mots pourraient briser une fois pour toutes ses dernières défenses. Quels mots me permettraient d’assouvir enfin mes désirs tabous et de coucher avec Emma. Nos bouches finissent par se séparer, mais contre toute attente je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit. Les quatre mots fatidiques sortent non pas de ma bouche, mais de la sienne.

"Fais-moi l’amour, maman."

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