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En lisant les histoires de Candice… – Chapitre 1

En lisant les histoires de Candice... - Chapitre 1



Salut ! Désolé de la longue absence… mais finalement nous avons eu le temps de lire tes histoires de Candice d’un bloc, les enfants chez les grands-parents.

Je dois avouer que cela s’est achevé dans une bonne baise scato-uro dans la salle de bain et ma compagne est accro… On s’était installés à mon bureau devant l’écran. Elle avait mis des dessous largement ouverts, style culotte ouverte en V et soutien avec lanières qui mettaient bien en valeur sa belle poitrine. J’avais aussi voulu mettre des dessous car je pressentais que tes histoires de cul allaient faire monter la température mais elle m’a dit qu’elle me voulait « au naturel ».

Donc, on a commencé par le $premier chapitre, très calme. Mais j’avais pris soin de sortir quelques canettes de bière pour bien préparer la suite. Et très vite mon majeur s’est retrouvé dans son trou de balle, pendant qu’elle me malaxait la bite et les couilles. Elle commençait à faire des va-et-vient sur mon doigt bientôt rejoint par l’index. Sa main aussi a fait le tour pour s’installer entre mes fesses.

Cela devenait un peu inconfortable et au milieu du deuxième chapitre, elle a ouvert un tiroir pour en sortir deux plugs ventouses.

Le premier s’est retrouvé dans mon cul qui l’a quasi avalé et le deuxième dans la chatte de ma belle, mes deux doigts reprenant leur travail dans son arrière-cour. On commençait tout doucement à monter en régime, d’autant que tes histoires prenaient un tour un peu plus dégueu. Les deux premières canettes étaient vides et je savais qu’il y aurait assez de pisse pour nos ébats. Malheureusement, mes doigts ne trouvaient pas grand-chose dans son fion qui me semblait bien vide (elle avait dû faire une escale sanitaire chez ses parents pendant l’après-midi). Cela ne l’empêchait pas de se pencher en avant pour bien caler son plug dans sa moule dégoulinante et me permettre de mettre un troisième doigt dans l’oignon !

On a continué ainsi jusqu’au dernier chapitre. Je sentais mon rectum lâcher prise sous la poussée du plug et ma bite semblait vouloir exploser tant sa main jouait entre mes cuisses. De son côté, prise des deux côtés, elle gémissait de plus en plus fort et sa main libre passait de sa chatte à ses seins qui se couvraient de sa mouille. A la fin, elle m’a demandé de poursuivre la séance avec un bon film bien scato. Je lui ai proposé le choix entre un film allemand (Veronica Moser et sa bande) ou français (Nelly Preston et ses potes). Elle a choisi le deuxième qui est plus « baise dans la merde » que « merde avec un peu de baise ».

Je dois dire que là, on s’est un peu laissé aller en solo. Avec chromecast, on a mis le film sur le grand écran et on a pris nos aises. Elle a gardé le plug qui était dans son cul et a remplacé l’autre par sa main, assise les jambes bien écartées dans son fauteuil préféré.

De mon côté, j’ai retiré le plug de mon cul sinon j’allais faire à même le sol du salon et je me suis assis à côté d’elle pour profiter de son spectacle son et lumière tout en gardant un il sur Nelly qui se faisait pisser dessus. La deuxième canette et le spectacle pisseux ont eu raison de ma vessie et, ma bite bien droite entre mes doigts, j’ai commencé à me pisser dessus, jusque dans ma bouche. On recycle dans la famille !

A cette vue, ma belle cochonne m’a traité d’égoïste ! Sa main a quitté sa moule qui a lancé un somptueux jet de pisse. Cela m’a donné envie de boire à sa fontaine, et j’étais déjà en train de me glisser sous son fauteuil quand elle m’a rappelé à la raison « on continue dans la salle de douche, mon cochon ! ». Elle avait raison, comme on était partis, il y aurait à boire et à manger.

On a abandonné Nelly qui se faisait chier dessus et nous sommes retrouvés dans la douche italienne. Très vite, elle a réussi à me faire pisser debout et elle se penchant par-dessus comme pour une fontaine de bureau. Elle en profitait pour arroser ses seins et, en jouant avec ses doigts à la base de ma queue pour augmenter la pression, à faire monter le jet bien haut pour que j’en profite aussi.

Ensuite, je me suis accroupi devant elle, la bouche grande ouverte comme un oisillon et elle a commencé à me pisser dessus et dedans. J’ai toujours adoré le goût de son Sancerre personnel, un peu acide, un peu salé… Cette fois ne faisait pas exception, quel divin élixir aphrodisiaque !

J’étais couvert de sa chaude urine quand elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Sitôt fait, elle a pissé sur mes fesses puis a commencé à jouer avec son gros orteil dans mon trou de balle. Il était encore bien dilaté et elle aurait pu y mettre tout son pied si elle l’avait voulu !

Elle m’a dit d’attendre à quatre pattes, remis le plug dans mon cul et s’est éloignée dans le dressing. Je savais bien ce qu’elle avait en tête et m’en réjouissait…

Elle est revenue bien rapidement armée d’un beau gode ceinture noir de belle taille. À sa vue, mon anus a eu des contractions de plaisir.

Elle a pris une serviette de bain pour protéger ses genoux et s’est placée derrière moi. Après avoir retiré le plug, elle a posé sa « bite » à l’entrée de mon illet, me lançant « t’as intérêt à être bien chargé mon salaud, je veux voir ta merde sortir et t’en pommader tout le cul… et plus si affinités ! ». Je lui ai répondu « des promesses, toujours des promesses… ! », avant qu’elle me pénètre d’un seul coup quasi jusqu’à la garde…

J’adore me faire saillir comme un porc dans la pisse et la merde, et elle sait y faire ! Elle a lancé de gros coups de bite dans mon trou du cul et j’ai senti que j’allais exploser. Elle aussi car elle s’est retirée rapidement, a mis ses mains en coupe sous mon cul… et c’est parti ! J’ai essayé de contrôler la vague merdeuse qui sortait de mon rectum mais le torrent "chieux" était trop fort. J’ai tellement expulsé que je suis tombé sur les coudes.

Je ne perdais rien car je sentais ses mains courir sur mon cul, ma queue et mes couilles. Elle pommadait le tout sans retenue. Puis, elle est revenue dans mon trou, encore un peu plus profond. Trois ou quatre coups et elle s’est retirée pour laisser couler ma merde chaude ! Elle a pris cette offrande pour la disposer sur mon dos et s’est assise dessus pour bien l’étaler. Je devinais qu’elle se couvrait les loches de ma crème brune ou qu’elle branlait sa « bite » dans mes excréments.

Je n’en pouvais plus quand elle m’a ordonné de me relever. Je me suis retourné et j’ai pu contempler ce spectacle inouï de ma belle couverte de caca et de pisse en extase.

Elle s’est dirigée vers moi pour le show final, la branlette espagnole merdeuse ! J’ai vite envoyé un jet de foutre blanc sur son visage et ses nichons. 300 grammes comme on disait à l’armée ! Elle m’a demandé de lui pisser dessus pour la touche finale.

Nous nous sommes étreints trois minutes, conscients d’être de grands dépravés mais heureux de pouvoir faire cela ensemble, sans tabou et pour notre plaisir mutuel.

Ensuite une douche de 30’ avec un bon savon de Marseille et des huiles pour éliminer les traces de notre débauche chieuse. Heureusement, nous sommes tous deux des « smoothies », cela aide au décrassage !

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