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En motorisé classe C partie 1 – Chapitre 2

En motorisé classe C partie 1 - Chapitre 2



Chapitre 2

L’homme replace son pénis dans son caleçon, remonte la braguette de son pantalon et s’installe en position de conduire.

Il démarre son véhicule: nous quittons le stationnement et nous nous dirigeons à l’endroit convenu.

Pendant les cinq minutes de déplacement entre le stationnement et l’endroit où nous nous dirigeons pour atteindre la longue et étroite entrée boisée menant à la vieille maison abandonnée du parc de Rivières-aux-Prairies, je jette un coup d’il vers l’arrière de mon siège pour constater qu’une tenture cache la vue entre les sièges avant du motorisé et la partie habitable arrière.

Nous nous engageons dans l’entrée et nous nous stationnons à l’arrière de la maison.

Nous nous trouvons à l’abri de tout regard indiscret.

« Si nous passions à l’arrière de mon motorisé? »

« Je te suis. »

« Non, tu vas me procéder. »

« Comme tu veux. »

L’homme tire sur la tenture derrière laquelle se dissimule une porte coulissante qui est barrée et qui isole la partie avant de la partie habitable arrière.

L’homme débarre la porte, la fait glisser de gauche à droite et libère ainsi l’accès donnant à l’intérieur de la partie habitable du motorisé.

« Pénètre dans le repère que je réserve aux quelques hommes qui acceptent de se soumettre à mes fantasmes. »

Je me lève de mon siège et j’entre dans la partie habitable du motorisé.

L’homme me suit en me touchant les fesses.

Je me cambre.

« Elles sont fermes: je vais m’occuper d’elles. »

Rendu à l’intérieur de la partie habitable, l’homme refait glisser la tenture puis il referme la porte coulissante et la barre.

« A partir de maintenant, ton corps m’appartient. »

« J’accepte de me soumettre à tous tes fantasmes quels qu’ils soient. »

« Pour le moment, assied-toi confortablement dans ce fauteuil. »

Je m’assied.

L’homme s’assied sur le devant d’un autre fauteuil situé en face du mien.

Tout en m’examinant, il pose ses mains sur mes genoux.

« J’ai rarement rencontré un homme qui ait une tendance masochiste aussi forte que tu me sembles avoir? »

« Oui, j’ai une très forte tendance au masochisme. »

« Depuis longtemps? »

« Depuis mon enfance. »

« Si je te comprend bien, tu souhaites avoir des relations sexuelles indifféremment avec un partenaire homme ou femme en autant que cette personne te fasse souffrir? »

« Si on veut. »

« Tu dois avoir un seuil de tolérance à la douleur très élevé? »

« Oui! »

« Sais-tu que je peux te faire souffrir à un point tel que tu perdes connaissance? »

« Je m’en doute et je l’assume. »

« Tu es en bonne forme physique? »

« Oui! »

« Tu n’as jamais eu de défaillance cardiaque? »

« Jamais! »

« Tu es un bel homme et ton corps m’excite. »

« Merci! »

« Tu dois faire beaucoup de vélo car tes mollets semblent fermes et bien galbés. »

« Oui, je fais environ 3500 kilomètres de vélo par année. »

« Tu veux te dévêtir que je puisse examiner ton corps? »

« J’ai eu chaud! »

« J’aime l’odeur d’un homme en action. »

« J’aimerais tout de même rafraichir mes parties intimes? »

« Tu en auras l’occasion quand je l’aurai décidé. »

« Comme tu veux! »

« Retire ton gilet de vélo. »

Je m’exécute.

« Dépose-le sur la table. »

J’obéis.

« Tu as un beau thorax. »

« Merci! »

« Tes pectoraux sont sensibles? »

« Pourquoi cette question quand je me doute de tes intentions? »

« Tu penses que je vais les pincer? »

« Oui? »

« Je ne vais pas les pincer, je vais les mordre. »

« Si c’est ce que tu désires. »

« Approche-toi du bord du fauteuil et place tes épaules contre le dossier. »

Je prend la position demandée.

« Écarte tes jambes que je puisse me placer entre elles. »

J’écarte mes jambes.

L’homme se lève du bord de son fauteuil: il enlève sa chemise et la dépose sur son fauteuil, il se penche et enlève ses sandales, il baisse son pantalon, le retire de ses pieds et le dépose sur son fauteuil.

L’homme ne porte plus que son caleçon.

Il s’agenouille et il s’approche de moi.

Il baisse le devant de mon cuissard jusqu’à ce que mon pénis soit totalement dégagé, dressé à la verticale, en pleine érection.

«Ça te fait bander de savoir que tu vas souffrir? »

« Oui! »

L’homme approche sa tête du gland de mon pénis.

Il passe sa langue sur le bout.

C’est bonnnnnnn! »

Je bande comme jamais je n’ai bandé.

« Ce ne sera pas bon très longtemps. »

L’homme s’écarte un peu de moi et d’une main, saisit une sandale.

Il se rapproche, se tourne vers moi et assène un violent coup du talon de sa sandale sur le gland de mon pénis.

« Haaaaaa! »

« Ça t’a fait mal ou tu jouis, mon vicieux? »

« Les deux! »

L’homme passe une main autour de mon pénis en le pressant et en prenant soin de laisser mon gland dégagé.

Une montée de sang le fait gonfler.

L’homme m’assène un second violent coup de talon directement sur le méat du gland.

Un léger filet de liquide séminale en jaillit.

L’homme le récolte sur le bout d’un doigt.

Il le porte à ma bouche.

« Lèche mon doigt et avale ton liquide. »

Je lèche le bout du doigt de l’homme.

« Tu as déjà goûter à ton sperme.? »

« Non! »

« Tu ne partiras pas d’ici sans que je te fasse connaître cette humiliation. »

« Tu vas ma masturber? »

« Non, C’est toi qui vas te masturber pendant que je vais t’enculer. »

L’homme se repositionne entre mes jambes: son pénis se colle fermement contre le mien.

« Tu rebandes mon cochon? »

« J’aime sentir ton pénis contre le mien. »

« C’est le seul bien-être que mon corps va te procurer. »

Il approche ensuite son visage de mes pectoraux et les sent.

« Tu sent bon! »

« Merci! »

Sa bouche s’approche de mon oreille gauche: il me murmure:

« Tu m’excites mon cochon et je te désire au point de vouloir te faire mal. »

« Oui! Fais-moi mal. »

« Agrippe-toi fermement aux bras du fauteuil. »

« Puis-je te demander une chose? »

« Quoi? »

« De ne pas me mutiler. »

« C’est une décision que je me réserve. »

« Je m’abandonne à tes pulsions sadiques. »

L’homme se penche sur mon thorax et je sens le souffle de sa bouche s’approcher de mon mamelon droit.

« Relève tes jambes et pose les sur mes épaules. »

Je m’exécute.

Je sens un souffle chaud rayonner sur mon mamelon et sur mon pectoral.

Je sens sa bouche ouverte se poser sur mon pectoral: il l’aspire et l’embouche avec force.

Je sens ses dents qui se positionnent sur les chairs de mon pectoral.

« Laisse-moi le temps de bomber mon torse et de prendre une profonde respiration. »

Comme réponse, il me pince légèrement le mamelon gauche.

Je comprends son geste: je bombe mon torse et je prend une profonde respiration.

Il place une main sur ma bouche pour étouffer un éventuel cri de douleur.

Ses dents se referment sur ma peau et mordent mes chairs avec force.

« Aiiiiieeeeee! »

Une forte pression de sa main sur ma bouche étouffe mon cri.

Tous les muscles de mon corps se crispent.

Mes jambes, mes pieds et mes orteils se raidissent

Cet homme me fait souffrir comme jamais je n’ai souffert.

Je relâche ma respiration.

L’étau se desserre.

La douleur s’estompe quelque peu.

L’homme déplace son visage vis à vis mon pectoral gauche

Il l’aspire et l’embouche avec force.

Je sens ses dents se positionner sur les chairs de mon pectoral.

« Attend quelques secondes que je reprenne une profonde respiration. »

Il attend que mon thorax se gonfle à nouveau.

Il replace une main contre ma bouche.

C’est avec encore plus de force que ses dents mordent les chairs de mon pectoral gauche.

Cette fois, même une forte pression de sa main ne peut complètement étouffé mon crie de douleur.

« Aiiiiiiieeeeeeee! »

Tous les muscles de mon corps se crispent à nouveau.

Mes jambes, mes pieds et mes orteils se raidissent.

Cette nouvelle morsure me fait souffrir encore beaucoup plus que la première.

Cette fois, je suis certain que ses dents ont pénétrées dans mes chairs.

Je m’affaisse au fond du fauteuil sans toutefois perdre complètement connaissance.

L’homme relève sa tête: du sang perle sur ses dents.

Il me regarde avec un sourire sadique.

« J’aime quand tu te tords de douleur. »

« Tu m’as fait terriblement mal. »

« Je sais et ce n’est qu’un début. »

Je passe une main sur mes pectoraux et je la regarde: il y a des traces de sang.

« Je vais passer de l’alcool sur tes plaies. Ça va être très douloureux mais le sang va s’arrêter de couler et les traces de dents vont s’estomper. »

L’homme se relève et se rend dans la salle de toilette. Il en revient avec deux tampons de ouate imbibés d’alcool.

Il se place derrière mon fauteuil.

Il positionne les tampons de ouate vis à vis les plaies de mes pectoraux.

« Tu es prêt? »

« Oui! »

Il applique rapidement les tampons sur mes plaies.

À leurs contacts, je n’ai même pas le temps d’émettre le moindre son.

Tous les muscles de mon corps se crispent: je sursaute du fauteuil et je perd immédiatement connaissance.

Quand je reviens peu à peu à moi, je constate que l’homme est toujours à genou devant moi.

Il a enlevé mon cuissard et mon caleçon.

D’une main, il tient mon pénis qui est en pleine érection.

« Il est beau et bien en chair: ton gland est gorgé de sang. J’aurais envie de le mordre, mais je me réserve ce plaisir pour plus tard. Comme tu peux le constater, je t’ai retiré tes souliers et tes bas. J’ai senti tes pieds: ils sentent bon. Je les ai embrassés et léchés: ils goûtent bon. Tu dois surement les poudrer avant de te chausser? »

« Oui, j’entretiens mes pieds et je les poudre avant de me chausser. »

« Tes pieds vont devoir payer pour les soins que tu leurs prodigues. Je fantasme dessus »

« Moi, j’ai déjà fantasmer sur les pieds de mon frère qui est cinq ans plus jeune que moi. Je les ai caressés de mes mains, je les ai léchés et je les ai même mordus.

« Il aimait ça? »

« Pas vraiment! »

« Il se laissait faire? »

« Oui! »

« Même quand tu les lui mordais? »

« Je lui maintenais fermement un pied entre mes mains et je le mordais au point de le faire pleurer. »

« Tu lui mordais les orteils? »

« Je lui mordais les orteils, le coté extérieur du pied et le talon. »

« Pourquoi ne se plaignait-il pas à ses parents? »

« Parce que pour le remercier de s’être laissé faire, je le masturbais et je lui faisais une fellation. »

« Une fellation complète? »

« Tout dépendant de ce que je lui avais fait. »

« Ça duré longtemps? »

« Environ deux ans. »

« Vous aviez quel âge? »

« J’avais dix-huit ans et mon frère en avait treize ans. »

« Tes parents ne se sont jamais aperçu de rien? »

« Je crois qu’ils savaient ce que je faisais avec mon frère mais ils ont fait comme s’ils ne savaient rien. »

« Pourquoi dis-tu cela? »

« Parce qu’une fois que j’étais à genoux à coté du lit de mon frère et que je lui suçais le pénis, j’ai entendu des bruits de pas dans l’escalier, simplement entourée d’une rampe, qui menait à notre chambre. Je n’a rien vu mais je suis certain que c’était les pas de ma mère. »

« Ton père fantasmait sur les pieds? »

« Sur les pieds de ma mère. »

« Tu les as déjà surpris? »

« Une fois. »

« Ils s’en sont rendu compte? »

« Non! »

« Que faisaient-ils?

« Ma mère était couché sur le ventre: elle avait les jambes écartées et relevées. Mon père était à genoux derrière, il lui tenait les pieds et il s’en servait pour se masturber. »

« Il s’est masturbé jusqu’à éjaculer sur ta mère? »

« Je l’ignore: je suis parti dans la salle de bain pour me masturber. Le spectacle de mon père et de ma mère m’avait trop excité pour continuer à les regarder faire sans rien faire. »

« Tu n’as jamais parle de tout ça avec tes parents? »

« Non, jamais! »

« Tu n’as jamais caressé ou torturé les pieds d’un autre garçon? »

« Non! »

« Tu n’as jamais fantasmer sur les pieds d’homme? »

« J’ai fantasmer sur des beaux pieds de femmes mais je n’avais jamais pensé qu’un homme puisse fantasmer sur les pieds d’un autre homme. »

« C’est mon cas et malheureusement pour toi, tes pieds vont devoir en payer le prix. »

« J’ai toujours fantasmer sur le fait que quelqu’un pourrait me torturer les pieds. »

« Tu ne seras pas déçu, loin de là! »

L’homme saisit un tube sur une table à portée de main. Il me le présente:

« Tu connais ce produit? »

« Oui, c’est un Fleet enema. »

« Tu te doutes du pourquoi que je te le donne? »

« Oui! »

« Tu as déjà été enculé par un homme? »

« Jamais! »

« Comme tu as pu le constater en entrant dans mon motorisé, j’ai un pénis qui fait l’envie de plusieurs hommes. »

« Oui, j’ai vu qu’il était très long et très volumineux. »

« Je vais t’enculer de toute sa longueur et je vais éjaculer dans tes entrailles.»

« Sans protection? »

« Sans protection. »

« Je crains ce genre de pénétration sans protection. »

« Je ne suis porteur d’aucune maladie vénérienne. Je vais t’enculer avec toute la force dont je dispose pour que la pénétration de mon engin dans les entrailles d’un cochon comme toi soit très douloureuse. »

« Ton cochon va se soumettre à tes volontés. »

« Prend ce tube et apporte le dans la salle de toilettes. Une fois que ton intestin sera dégagé, introduit la canule de ce tube dans ton anus: vide le et laisse le liquide faire son uvre. Par la suite, prend une douche et rejoins-moi dans la chambre vêtu exclusivement d’une serviette nouée autour de ta taille. »

« Tu vas m’enculer dans la chambre? »

« Sans auparavant t’avoir introduit des aiguilles hypodermiques à travers le gland de ton pénis et à travers ton pénis en plus de t’avoir torturé les pieds. »

« Que vas-tu faire à mes pieds? »

« Le Christ a eu les pieds cloués à une croix: je vais te clouer les pieds à un appareil de mon cru. »

« Je n’avais jamais imaginé que mes pieds puissent devoir subir un tel sort, mais je t’ai dis auparavant que mon corps t’appartenait, j’accepte de livrer mes pieds à cet autre fantasme. »

« La toilette est ici.»

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