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Eric et Paul – Chapitre 4

Eric et Paul - Chapitre 4



Je me lève assez tard le lendemain matin. Je suis un peu fourbu. Mais quand je pense à notre soirée, je bande tout de suite très fort. Jai hâte de retrouver Eric pour quil me traite encore comme une femelle en chaleur. Jaime vraiment porter ces dessous et vêtements féminins. Ils traînent dailleurs aux pieds de mon lit. Il ne faudrait pas que grand-mère tombe dessus. Que penserait-elle de moi ?

Avant que je descende, gm et Laure se sont téléphonées. Laure lui a racontée notre soirée :

— Donc mon petit Paul aime bien être Paulette. He bien écoute, je vais lemmener en ville ! Je veux savoir comment il réagira avec un autre quEric !

— Bonne idée ma chérie. Et ensuite amène-la-moi, au moins jusquà demain. Jaimerais la prendre en main rapidement.

— Daccord. A tout à lheure.

Gm maccueille dans la cuisine.

— Bonjour, tu as bien dormi me demande ma gm

— Oui très bien

— Tu as passé une bonne soirée ?

— Oui oui, dis-je en me sentant rougir un peu

— Viens prendre ton petit déjeuner maintenant.

— Je te propose daller faire des courses ce matin. Je voudrais que tu maides…

— Bien sur grand-mère pas de problème.

— Tu es gentil !

Dès mon petit déjeuner terminé je monte me laver et mhabiller. Jai prends soins de passer aux toilettes et de peaufiner mon rasage. Je débusque quelques poils qui mont échappés hier. Cette préparation mexcite. Jai hâte de retrouver Eric et sa belle queue. En pensant à elle, je ne peux mempêcher de me doigter. Dans larmoire de toilette, il y a un petit pot de crème que jutilise pour me lubrifier la rondelle. Je glisse facilement mon majeur, que jassocie vite à mon index. Je suis dans un drôle détat maintenant. Gm mappelle. Jenfile rapidement un jean léger, sans rien dessous, et une chemisette et je la rejoins dans sa voiture.

Nous voilà en ville. Gm me propose de macheter des vêtements

— Je voudrais toffrir quelque chose, me dit-elle. Regardes ici, il doit bien y avoir des vêtements qui te plaisent !

Cest une grande boutique où nous sommes accueillis par un jeune homme très serviable.

— Trouvez lui un pantalon et un haut à la mode, lance ma gm

Il minvite à le suivre.

— Jai une petite course à côté. Je te retrouve ici !

Gm quitte la boutique alors que le vendeur, Jacques, me présente divers pantalons.

— Essayez ceux-ci, dit-il en désignant les cabines

Je me retrouve dans une cabine au fond dun petit couloir. Je me mets nu et cela mexcite dêtre devant la grande glace. Je bande bien et je me caresse. Jenfile la chemisette sans la boutonner et le pantalon. Je plaque ma queue contre mon ventre et boutonne la braguette. Le vendeur passe la tête

— Alors ?

— Un peu serré peut être !

Il entre dans la cabine et passe son doigt à la ceinture au niveau des hanches puis le glisse vers mon ventre. Son doigt touche mon gland

— Mais dis-moi, tu es en forme ! pas étonnant que tu sois serré, dit-il en tirant sur la braguette qui souvre en entier, libérant ma bite bien raide.

Il la prend et me caresse.

— Et tu es toute lisse !

Son autre passe sur mes fesses, faisant glisser le pantalon à mes pieds. Ses doigts sont déjà sur ma rondelle que je sens palpiter.

— Tu es toute chaude petite salope ! et déjà lubrifiée on dirait !

Ma petite préparation de tout à lheure semble lui plaire Il a lâché ma queue pour me caresser la poitrine. Mes tétons sont aussi bandés que ma queue. Je frémis quand il les attrape.

— Tes une belle cochonne !

Je me cambre, incapable de me contrôler, offrant mon cul à cet étranger qui me traite comme une femelle.

— Tiens ! suce-moi

Il a dégrafé son pantalon et baissé son caleçon pour me présenter sa belle queue déjà bien gonflée. Je me penche sur elle et la prend en bouche. Elle continue à grossir dans ma bouche alors quil continue à me caresser les fesses, glissant un doigt dans ma rondelle.

— Tournes toi maintenant !

Je pose les mains sur le miroir. Je sens son gland à lentrée de ma grotte après lavoir entendu enfiler une capote. Je pousse pour laccueillir. Il me prend les hanches et pousse son pieu en moi. Je me sens mouvrir. En quelques coups de rein, il plaque son ventre contre mes fesses et me garde fermement contre lui. Je suis bien rempli. Il me redresse contre lui et me pince les tétons. Je suis sur la pointe des pieds, empalé sur sa grosse queue. Je pose mes mains sur la chaise alors quil me reprend les hanches pour me limer doucement dabord avant daccélérer. Je contracte mes sphincters sur son membre. Je me vois dans la glace, ma queue battant la mesure. Il grimace et sa queue se raidit. Il me pilonne plus fort encore et je le sens se vider en me gardant coller à son ventre. il se dégage alors quil perd un peu de vigueur. Il remonte son caleçon et son pantalon en glissant la capote bien remplie dans un mouchoir.

— Tes vraiment bonne toi ! ajoute-t-il avant de quitter la cabine.

Je reste un moment immobile, penché sur la chaise, à me regarder dans la glace. Jai du mal à réaliser que je viens de me faire sauter par un inconnu mais quel pied de se faire prendre comme ça ! Je deviens vraiment une vraie salope et jaime la bite.

Je remets mes fringues et retrouve gm qui discute avec le vendeur près de la caisse.

— Alors, tu les prends ? me demande gm.

— Oui merci gm

— Et nhésite pas à revenir nous avons souvent de nouveaux articles, me lance le vendeur avec un clin dil, je te montrerai tout ce quon a en réserve !

Une fois dans la voiture, gm me dit quelle me dépose chez Eric

— Je dois rendre visite à une amie je ne rentrerais que tard ce soir ou peut être que demain. Laure a proposé que tu restes chez elle.

Je bande toujours depuis le magasin et entendre que je vais sans doute passer la nuit avec Eric ne fait quaccentuer encore mon excitation.

Nous arrivons rapidement chez Laure et gm fait allusion à notre passage au magasin de vêtements.

— Tu as vu Jacques, me demande Eric alors que nous montons dans sa chambre

— Euh oui

— Alors ? il ta baisé, dit-il directement en me regardant dans les yeux

Je rougis, sans trop savoir quoi dire

— He ! ya pas de problème. Je connais très bien Jacques.

Il est tout près, et pose sa main sur mon entre-jambe. Je bande déjà.

— Gaulé comme tu es, il a surement essayé

— Oui dans la cabine

Son autre main se pose sur mes fesses. je bande encore plus.

— Et ma petite Paulette sest faite défoncer dans une cabine dessayage et tu as aimé ça, hein, petite cochonne il ta bien bourré le cul montres-moi comment il ta prise

— Mais Eric ta mère et ma gm sont en bas .

— Montres moi je te dis, insiste-t-il en massant plus fort mon sexe.

Je ne résiste pas longtemps. Je déboutonne mon pantalon et ma chemisette. Je suis nu devant lui en un instant, bandant comme un fou. Je mappuis sur sa chaise de bureau et le regarde approcher de mes fesses. Ses doigts glissent dans ma raie, jusquà ma rondelle.

— Et ça fait quoi de se faire défoncer le cul par un inconnu

Un doigt simmisce dans ma rondelle encore bien lubrifiée par la crème.

Agenouillé derrière moi, il me caresse les couilles, puis me branle doucement. Je mouille abondamment.

— Il ne ta même pas fait jouir

— Non. Je lai sucé un peu et il ma pris comme ça

— Et il sest bien vidé les couilles

Il se redresse et descend son short. Il guide sa queue sur ma rondelle et rentre en moi dun coup, jusquà la garde.

Pendant ce temps-là, gm raconte à Laure ce que Jacques lui dit.

— Il la trouvé dans la cabine déjà bien excité. Il bandait à fond quand il lui a ouvert le pantalon et il na rien dit ! il sest laissé faire. Il la bien baisé et il est sorti. Je crois quil est vraiment prêt maintenant.

— Très bien. Je vais marranger pour quil admette dêtre vraiment Paulette ! tiens écoutes Eric doit être en train de la baiser

De faibles gémissements leur parviennent malgré la porte fermée. Je narrive pas à ma retenir sous les coups de boutoir dEric, excité par mon histoire avec Jacques.

Laure sourit à gm :

— Il est vraiment comme son père lui aussi !

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