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Et ça vous fait quoi ? – Chapitre 4

Et ça vous fait quoi ? - Chapitre 4



Le lendemain matin, jétais plutôt vaseux. On avait bourriqué toute la nuit avec maman et il ny avait guère plus dune heure que javais rejoint ma chambre lorsque Nicole et mon père sont revenus. Lorsque ma femme sest glissée dans le lit, elle sentait la transpiration et le foutre. Sans que je lui demande quoi que ce soit, elle ma expliqué, sur un ton enjoué, leur soirée.

— Ton père avait retenu une chambre dans un bel hôtel et nous nous y sommes rendus dès la fin du spectacle. Il a une santé étonnante pour un homme qui a passé la soixantaine. On a baisé comme des malades pendant au moins deux heures avant de sendormir. Et ce matin au réveil, il avait encore la trique, alors on a remis le couvert.

— Cest pour me faire de la peine que tu me dis ça ?

— Pas du tout, mon Loulou. Simplement, je ne veux rien te cacher. Dailleurs tu le savais que je baisais avec ton père et je voulais quon en parle.

— Que veux-tu quon en dise ? Oui, je vous ai vu, hier, dans la salle de bains. Je suppose que vous aviez laissé la porte ouverte exprès. Est-ce que je dois comprendre que tu ne maimes plus et que penses-tu faire à propos de ma mère ?

— Je vous aime tous les deux, mais différemment. Lui cest le grand mâle de la tribu, je suis une de ses femelles, soumise et heureuse. Toi tu es mon Loulou, mon petit caniche. Je ne serai jamais méchante avec toi, je veux juste que tu mobéisses sans discuter, quoi que jexige. Si un jour tu repères une fille que tu aimerais tirer, tu devras dabord men demander la permission. En revanche si je veux me faire un mec, tu nauras rien à dire, cest à ton père que je demanderai lautorisation. Tu piges ?

— Cest plus facile à comprendre quà accepter, ma puce.

— Stop ! Je ne serai plus jamais ta puce. Tu peux mappeler chérie, mon amour, maîtresse, mais plus jamais ma puce ou mon bébé. Tu es mon soumis, ne loublie jamais.

— Soit. Je suppose que mon père est à lorigine de ce changement.

— Disons quil ma aidé à voir clair. Depuis longtemps jai envie de te dominer, mais jusquà présent je ne réussissais quà être désagréable avec toi. Maintenant cela va changer. Si tu te comportes en parfait esclave de mes passions, tu nauras jamais une épouse aussi aimante et attentionnée envers son toutou. Et pour marquer ton acceptation, jaimerais que tu me fasses une bonne minette. Ton père ne ma pas laissé le temps de prendre une douche.

Je mempresse dobéir. Je suis à la fois écuré et surexcité. Ma bouche plonge sur cette chatte gluante du foutre de mon père, je dévore ces restes de jouissance, je me repais de ces relents lourds, épicés. Finalement, je sens que je vais très vite me faire à cette situation humiliante. Etre dominé par ma femme, dominer ma mère, voilà qui est plutôt sympathique comme programme, ma seule appréhension, dans tout ça, cest le rôle que voudra jouer mon père. Il me prend pour une lavette, certes, mais maintenant que je suis très officiellement cocu par ses soins, va-t-il mhumilier constamment ? Après lavoir consciencieusement nettoyée et avoir reçu en remerciement un début de branlette sur ma bite qui se met instantanément au garde-à-vous, je me risque à aborder le sujet avec Nicole.

— Puisque tu seras la soumise de mon père et que je serai ton soumis, je deviens de fait soumis à mon père. Je ne peux pas dire que jen sois ravi !

— Pas du tout. Tu ne dépends que de moi. Tu sais que ton père napprécie pas trop les pédés, donc aucune chance pour quil veuille avoir des rapports avec toi. En revanche, moi je te demanderai bientôt de te faire enculer par un mec, mais je te promets de le choisir avec toi. Parlons dautre chose, tu as baisé ta mère, jespère ?

— Oui, nous avons baisé une bonne partie de la nuit. Cétait super. Jespère que tu me permettras de conserver ce type de rapport avec elle.

— Bien sûr, mon Loulou, tu peux baiser ta mère autant que tu veux. Je te demanderai peut-être bientôt de participer une fois à votre séance. La seule chose que je te recommande, cest de ne jamais contrarier ton père. Il est suffisamment souvent absent pour que tu puisses sauter Simone sans que cela le gêne. Bien entendu, il sera tenu informé, par moi-même ou par Simone, car il nest pas question que tu fasses ça dans son dos, mais tu peux compter sur son approbation, il ma dit de te le dire, il a même insisté en disant que si tu ne faisais rien avec Simone, il considérerait cela comme une impolitesse et il le prendrait très mal.

— Quil se rassure, aussi souvent que je le pourrais, je baiserai ma mère et sans me forcer.

— Alors tout est bien. Maintenant, lève-toi et va faire un peu de ménage, moi je vais dormir une paire dheures pour récupérer. Cet après-midi, jai rendez-vous avec un beau mec, je veux être en forme. Réveille-moi dans deux heures.

Ainsi, le décor était planté. Nétant pas complètement stupide, je comprenais que dorénavant je serai un homme au foyer, chargé des tâches ménagères. Ça me convenait. Je suis assez doué pour la cuisine et nous nétions pas souvent tous les quatre à table. Lorsque nous aurions des invités, je naurai quà mettre Momone à contribution. Cependant, lidée que Nicole allait désormais se faire tringler à droite et à gauche, ne me plaisait guère. Non que je sois jaloux, même si ça me perturbait un peu que ma femme joue les vide-couilles au grand jour, mais parce que je craignais quelle finisse par tomber sur la mauvaise personne. Au risque quil me jette, il fallait que je discute de çà avec mon géniteur.

Loccasion sest présentée au repas de midi. Nicole nous a quittés précipitamment pour son rendez-vous, me laissant seul avec mes parents. Pendant que Momone servait le café, jai pris mon courage à deux mains et jai exposé mes craintes au paternel.

— Quest-ce que tu crains, pine dhuître, cest une grande fille, sest-il moqué.

— Grande fille ou pas, les rues sont pleines de mauvais garçons qui ne se gêneront pas pour abuser delle, vu le mépris quils ont pour les chaudasses, comme ils disent. Elle croira soffrir une après-midi de jambes en lair avec un beur bien monté et elle se retrouvera dans une cave de cité avec une douzaine de racailles pour la violer.

— Au risque de te surprendre, je partage tes craintes. Cet après-midi, ça ne craint rien, elle est avec un de mes anciens officiers. Jen réponds. Elle va rentrer très fatiguée, mais entière. Ensuite, je crois que le meilleur ce serait quelle amène ses conquêtes ici plutôt quà lhôtel.

— Ici ? Sous mon nez ? Cest ma femme quand même !

— Cest un peu tard pour y penser. Je suis sûr quelle sera ravie de te montrer ses fouteurs. Demande à ta mère, je procédais comme cela quand je ramenais une pétasse à la maison. Et elle avait intérêt à être ravie et à le montrer. Nest-ce pas ma grosse, tu ne dis rien, tes muette ? Quen penses-tu ?

— Je pense quon fera selon tes désirs, mon maître adoré. Et je pense que je vais arranger la chambre damis pour recevoir ces messieurs. Si toutefois vous my autorisez tous les deux

— Du moment que le capitaine a dit, bougonné-je. Je nai pas voix au chapitre.

— Attends, fiston, soyons clairs. Je vois les choses ainsi, mais cest Nicole qui décide. Pour ta mère, cest linverse, tu as toute autorité sur elle du moment que je nen ai pas besoin. Je parlerai à Nicole quand elle va rentrer et selon ce quelle souhaitera, elle te donnera les ordres en conséquence. A toi ensuite de les faire exécuter par ta soumise, cest-à-dire ta mère. Et maintenant on a assez discuté, on va passer aux choses sérieuses, en guise de pousse-café, pendant que tu dessers la table, elle va gentiment me faire une pipe.

Et mon père ouvre sa braguette et sort sa queue, déjà à moitié raide. Il a beau ne pas bander à fond, telle quelle est, sa queue est déjà plus longue que la mienne. Je la regarde avec envie. Jaimerai avoir la même. Puis en réfléchissant tout en continuant de regarder ma mère à genoux entre les jambes de mon père, je constate avec effarement que jaimerais bien, moi aussi, mettre ce bel engin dans ma bouche, le faire grandir et grossir comme le fait Momone en ce moment et je reste immobile, hypnotisé par cette scène. Serais-je en train de devenir homosexuel ?

Cette question tourne en boucle dans ma tête. Il est minuit, nous sommes couchés, ma femme et moi, depuis une bonne heure et je ne trouve pas le sommeil. Nicole commence à me crier après parce que je bouge trop. Elle rallume la lampe de chevet. En me voyant couché sur le dos, les yeux grands ouverts qui fixent le plafond, elle en déduit que quelque chose me tracasse. Appuyée sur un coude, elle dégage le drap qui nous couvre et samuse de me voir la queue bien raide. Elle joue avec un moment, me tripote les couilles, me suçote le gland, puis finit par me branler. Son geste est violent, très rapide, comme si elle voulait en finir très vite. Bien que ce soit douloureux, je suis au top de lexcitation.

— Alors, mon gros Loulou est très excité on dirait Tu avais peut-être lintention de me baiser ce soir, mais ce ne sera pas possible. Tu comprends, mon lieutenant de cet après-midi était monté comme un cheval et aussi doux quun étalon en rut. Il ma limé pendant des heures et à la fin il ma carrément explosé le fion.

— Il ta enculé ? Je nai pas pu me retenir de poser la question.

— Comme un sauvage. Et si tu voyais la queue quil a, tu comprendrais que je lai sentie passer. Mais ton père a décidé que mon cul devenait accès réservé aux légionnaires.

— Je croyais que tu avais apprécié ton après-midi

— Bien sûr, jai adoré, nempêche quune fois la jouissance passée, il te reste les courbatures. Jai limpression dêtre passée sous un bulldozer. La prochaine fois, je lui demanderai de faire un peu plus attention, sinon je vais finir aux urgences.

— Tu parles déjà de la prochaine fois ? Dis-je tristement.

— Devine ! Dès que je suis un peu remise de mes émotions, on remet ça. Si tu savais comme cest jouissif de sentir cet énorme manche de pioche te défoncer le rectum Dailleurs tiens, ça me donne une idée. Il faudra que tu essaies cela toi aussi. Jadorerai te regarder te faire casser le cul. Je sais déjà qui je vais inviter pour ça.

— Mais enfin ! je veux bien être ton soumis, je veux bien être cocu, mais je ne suis pas pédé !

— Pas encore, mon gros. Mais quand je taurai bien entraîné, tu verras, si ça se trouve tu aimeras. En tout cas, tu nas pas le choix, ma décision est prise, je vais contacter Philippe dès que possible. Il est bi, il maime bien, il est monté normalement, il sera ton premier amant. Tu vas voir, on va bien samuser tous les trois Eh ! fais attention, gros dégueulasse !

Je ne cherche pas à éviter la gifle quelle me donne de toutes ses forces, je la mérite. Ses propos, ajoutés à sa main qui na pas cessé de me branler mont fait lâcher la purée, laspergeant copieusement de foutre. Je mempresse de la lécher soigneusement pour effacer mes traces et calmer sa colère. Ce nest pas la première fois que javale mon foutre, mais cest toujours un plaisir. Finalement, après mavoir giflé la bite à plusieurs reprises, elle se recouche, le dos tourné et me lance un joyeux :Bonne nuit, mon futur enculé.

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